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Proposée le 12/10/2008 par Celinette
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Cette soirée m'ennuyait. L'ivresse des vacanciers commençait à me peser. Ma mère était très entourée au bar, elle ne rentrerait pas cette nuit et je dormirais seule dans notre bungalow. Les garçons de mon age ne me regardaient pas dans les yeux : ils semblaient scotchés par ma robe. Il est vrai que j'avais opté pour une tenue moulante ultra-courte et un décolleté jusqu'au nombril.
Je décidai donc de fuir cet endroit et je suis allée me balader sur la plage. Il faisait bon et je savourais la brise sur ma poitrine. J'étais bien.
Je marchais en fixant la mer calme et apaisante. J'eus envie de m'y plonger. J'ai fait glisser ma robe dans l'obscurité, ôté mon string et j'ai couru dans les vagues. J'ai nagé longtemps, savourant le contact de l'eau sur mon corps nu. J'ai ensuite rejoins le rivage en nageant sur le dos, fixant les étoiles.
Quand j'ai senti le sable, je me suis relevée et retournée. Un homme était là, debout, tenant ma robe sur son bras. Il m'attendait. Bien que nue devant lui, je ne fus pas effrayée. Il souriait. Il était bel homme, portait parfaitement une cinquantaine épanouie, et m'inspirait confiance, me rassurait.
Il a enlevé sa veste blanche pour me la poser sur les épaules et m'a dit : "Il n'y avait qu'une jeune et jolie femme pour porter ce genre de robe, mais j'étais encore loin d'imaginer que ce fut une déesse". Je souris à sa flatterie, mais j'ai été très sensible à sa voix chaude et douce. Un sentiment inexplicable me transperça. C'est comme si j'avais désiré sa compagnie...
Nous nous sommes assis sur le sable, moi sur sa veste et lui, tout à côté, tenant toujours ma robe entre ses mains, comme un bijou précieux. Je pensai alors que mon string était resté quelque part sur la plage et que je n'avais plus aucune chance de le retrouver car nous avions marché, mais ce ne serait pas la première fois que je n'en porterais pas...
Nous avons parlé longtemps, je me sentais bien et je lui ai beaucoup dit sur moi, ma vie, mes amours, mes amants, mes besoins sexuels.
J'étais toujours nue et cela ne me dérangeait nullement. Tout en parlant, nous nous étions allongés sur le dos, et il me décrivait les galaxies tout en caressant le sable.
Sa main effleura la mienne et je fus submergée d'un désir foudroyant. Mon ventre palpitait, mes cuisses s'ouvraient, mes seins durcissaient, mais j'essayais de ne rien dévoiler. Nos mains sont restées en contact et c'était comme si elles échangeaient je ne sais quel fluide qui nous unissait. Mon désir augmentait, je sentais mon sexe s'ouvrir et ma liqueur s'en échapper, coulant entre mes fesses, me caressant l'anus. J'avais envie qu'il me prenne, là tout de suite, mais je m'abstins, il semblait si galant...
Je retournai ma main, offrant ma paume a la sienne et nos doigts se sont croisés. Ce fut le signal. Il s'est redressé sur un coude et avec son autre main m'a doucement caressé les cheveux. Quand son visage s'est approché du mien, j'ai fermé les yeux et lui ai offert mes lèvres. Un baiser tendre d'abord, puis de plus en plus passionné, j'étais au paradis. Il embrassait bien et mon envie de lui était à son paroxysme. Mon ventre se soulevait, appelant le plaisir, mais il restait allongé à côté de moi. J'ai essayé de l'attirer sur moi, mais il m'a dit : " Doucement, jeune fille, je vais t'apprendre la patience qui décuple le plaisir."
Il m'a embrassé tout le corps, les seins, le ventre, les cuisses et je me tordais dans tous les sens tellement ses lèvres étaient douces et expertes. J'aurais voulu le caresser aussi mais j'en étais incapable, je ne pouvais que subir...tout mon corps vibrait sous ses caresses, j'étais en sueur, un pantin désarticulé en proie au plaisir pur.
Puis il s'est écarté et je me suis surprise à attendre ses mains sur mon corps offert. Quand il a posé sa main douce sur mon sexe lisse, j'ai cru mourir. Ses doigts me caressaient exactement là où j'en avais envie, je lui offris mon entrejambe, complètement abandonnée. Il posa ses lèvres et sa science m'a arraché deux orgasmes consécutifs et cela m'apaisa un peu...
Il s'est couché, toujours habillé à côté de moi, j'ai posé la tête sur son épaule, déboutonné sa chemise, caressé son torse puissant, son ventre plat, tout en l'embrassant fougueusement. Il m'a serré dans ses bras chauds et forts quand j'ai dégrafé son pantalon. Le désir me reprenait. J'avais envie de lui rendre ce qu'il m'avait donné.
J'ai rassemblé toutes mes connaissances du plaisir masculin et je me suis appliquée. J'ai libéré son sexe et, curieusement, je n'ai pas été surprise de découvrir un membre énorme, comme je les aime...Je lui ai fait la plus belle fellation que j'avais jamais faite, lentement, pour faire venir son plaisir de loin, lui caressant l'intérieur des cuisses, les testicules, l'anus...je l'ai absorbé en entier jusqu'au fond de ma gorge. Il a commencé à remuer alors j'ai redoublé d'efforts pour lui donner le maximum de plaisir. Il me caressait la tête pendant qu'il déversait sa sève dans ma bouche et je savourais le fruit de son plaisir avec délectation. Après que je lui eus nettoyé son sexe jusqu'à la dernière goutte, j'enfilais ma robe et lui dis:
- Je suis seule dans mon bungalow ce soir, tu viens pour la suite?
- la suite?
- Je veux que tu me baises (c'était la première fois que je parlais ainsi) et on ne va pas dormir, au fait je m'appelle Céline
- Maxime
Il m'a pris la main pour me suivre...Je ne lui dirai pas ce soir que j'ai 16 ans...