Les changements climatiques

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 28/09/2008 par Alex

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Roissy - Charles de Gaulle : je dois prendre le train qui me conduira à un petit hôtel un peu à l'écart du centre-ville de Paris, où je dois me rendre pour prononcer une conférence sur les causes et conséquences du réchauffement de la planète.

Entassé dans le wagon où je suis entré le premier, je me retrouve rapidement bloqué dans un coin, avec devant moi la chevelure rousse et doucement parfumée d'une femme dont, trop occupé à déposer ma valise, je n'ai aucune idée, de son âge, ni de son apparence, ne l'ayant pas vue entrer. Sur ma droite, une dame d'un âge avancé, probablement celui de ma mère. Et deux murs, l'un à l'arrière et l'autre sur ma gauche.

La dame à ma droite me dit bonjour et à la vue de ma valise coincée contre le mur de côté, sourit et me dit qu'à cette heure, il y a toujours foule et qu'on doit prendre son mal en patience avant d'arriver à destination.

•— Pas de problème, que je lui réponds, c'est à peu de chose près la même situation d'où je viens.
•— Ah oui, et vous venez de quel coin du Pays ?
•— Du Canada, de Montréal plus précisément.
•— Ah bon, c'est ça votre accent, je me doutais que vous n'étiez pas de Paris. Vous êtes en vacances ?
•— Non, je dois prononcer une conférence dans trois jours... et bla bla bla, et bla bla bla...

Pendant toute cette discussion, la chevelure rousse, ainsi que la femme qui la porte, ne cesse de reculer, m'écrasant de plus en plus contre le mur arrière, me laissant tout juste l'espace pour respirer. Plus elle recule et plus je sens ses fesses d'une fermeté assurée se presser contre moi. La chaleur torride qui se dégage d'elles n'a pour effet que de me faire sentir un peu bizarre, étant donné l'érection qui commence à se faire sentir dans mon pantalon. Elle se recule encore un peu afin de vraiment me coincer contre la paroi du train et commence à bouger doucement de gauche à droite. On dirait qu'elle veut s'assurer de bien presser ses fesses contre mon sexe afin de bien sentir les effets de son manège fort agréable sur moi.

La vieille dame continuant à me faire la conversation, je lui réponds tant bien que mal. Je n'ai pas à vous dire que mon esprit était plus tourné vers le petit cul qui se dandinant contre mes bijoux de famille qu'aux sujets divers de la conversation de la dame.

Oh ! Une main vient de se glisser entre l'arrière-train de la rousse devant moi et mon sexe maintenant gonflé à bloc par la pression et la chaleur torride de cette paire de fesses sur lui. De petits doigts commencent à me masser la queue doucement, la pressant et la malaxant sur toute sa longueur. Je bande comme un taureau alors que cette main ne fait rien pour me calmer. Elle m'enserre la queue, pesant fortement dessus, tantôt la tordant, tantôt la massant doucement. Après quelques instants de ce manège, je sens la main quitter ma queue pour défaire les trois boutons de ma braguette et s'y insérer, désirant, je le suppose, mieux palper mes attributs. Manquant de place pour bien y faire, elle extirpe ma queue de mon slip, la sort de mon pantalon et se la plaque contre les fesses, peau contre peau, ayant relevé sa jupe sans que je ne m'en rende compte. Je sens la chaleur de ses fesses tout contre ma queue. Elles bougent de façon à ce que l'objet de ses désirs aille doucement se caller entre elles. Ouf ! Il commence à faire vraiment chaud dans ce train !

Je suis dans un état tel que je vois bouger les lèvres de la vieille dame sans entendre ce qu'elle dit. Et penser qu'elle ne semble pas s'apercevoir de ce qui se passe à quelques centimètres d'elle me fait encore plus tourner la tête.

La queue maintenant bien insérée entre ses deux globes que je ne peux voir, n'ayant pas assez d'espace pour ce faire, elle bouge maintenant son petit cul de haut en bas, me fait une belle branlette qui va certainement me mener à lui arroser le dos d'ici quelques minutes si elle ne réduit pas le rythme. Reculant la tête vers la droite, de façon à ce que personne n'entende, la chevelure rousse me dit à l'oreille :

•— Baisses-toi un peu que je m'empale sur ta queue et laisses-moi faire, ne te retiens surtout pas, il ne nous reste pas beaucoup de temps avant la fin de la course.

Je fléchis donc, sans réfléchir un seul instant, les genoux et sens les fesses de la fille se soulever et s'écarter pour laisser ma queue glisser entre elles. Elle se penche un peu en avant puis recule sur moi, me guidant de sa main et m'introduisant d'un seul coup en elle. Elle mouille comme une fontaine et je m'y enfonce le plus profondément que notre position nous en laisse la possibilité. La fille commence alors à se dandiner doucement, me faisant passer par toutes les gammes d'émotions. Je sens mon gland se frotter contre les parois de son antre doux et tendre, ses fesses tantôt s'écrasent contre moi, tantôt se retirent doucement pour revenir d'un coup sec s'empaler sur ma queue qui, à ce rythme, va bientôt exploser en elle.

Reprenant mes esprits le temps d'un instant, je me rends compte que je suis en train de baiser, en plein jour, dans un train bondé de gens, en direction de Paris, avec une femme dont je n'ai même pas vu le visage, et que je trouve cela génial. La fille bouge doucement de gauche à droite, de bas en haut et moi je sens le plaisir monter au rythme de ses déplacements tendres et doux.

Je ne sais même plus si la vieille dame continue à me parler, si elle a quitté ou si elle est encore là, car toute mon attention est maintenant concentrée sur mon plaisir et l'éjaculation qui s'annonce pour bientôt. Afin de bien faire sentir à ma chère complice que je vais bientôt jouir, je lui enserre la taille doucement, n'entravant d'aucune façon ses mouvements, trop divinement orchestrés avec les mouvements du train. Quelques instants plus tard, je sens une main prendre mon bras et des ongles s'y enfoncer. Elle est en train de jouir en silence. Ressentant une chaleur intense provoquée par son plaisir irradier le bout de ma queue, je ne peux et ne veux me retenir, alors j'explose en elle, lui giclant toute la sauce au fond du ventre.

•— Vous allez bien, monsieur ? ... Monsieur ? ... Monsieur ?
•— Euh ! Pardon ? Euh ! Oui... Je vais bien.
•— En êtes-vous certain ?
•— Oui, oui, je vais bien... Juste un petit coup de chaleur, j'imagine...
•— Ah, tant mieux, me répond la vieille dame, car pendant une minute vous avez tourné de l'œil et êtes devenu tout rouge.

Il s'en fallu de peu pour que je lui réponde que si elle avait été à ma place, il en aurait été de même pour elle...

•— Un coup de chaleur, comme je vous dis, mais ça va mieux maintenant.

Pendant ce temps, la fille à la chevelure de feu avait eu le temps de se dégager et s'éloignait rapidement en bousculant les deux ou trois types qui se tenaient entre elle et la sortie. Elle a quitté le train sans même se retourner, balançant son petit cul de gauche à droite, un filet de nos plaisirs coulant lentement entre ses cuisses.

À ce moment, la vieille dame baisse les yeux et voit ma queue ramollie et pendante à l'extérieur de mon pantalon, une goutte de sperme perlant au bout du gland. Elle devient tout rouge puis, me regardant droit dans les yeux, elle se met sur le bout des pieds et me dit à l'oreille :

•— Belle pièce que vous avez là, dommage que je ne sois pas trente ans plus jeune car je m'en serais régalée. Entrez moi ce bijou avant qu'une de ses jeunes en manque ne vous la chippe... Et vous allez où maintenant?
•— Euh !...

Un peu gêné de la situation, je bafouille des mots incompréhensibles et plus désarticulés les uns que les autres.

•— Ne vous mettez pas dans cet état-là, mon beau jeune homme, je ne vous ferai pas mettre en prison... De plus qu'une passe comme ça ne vous arrivera pas plus d'une fois dans votre vie. N'est ce pas ?
•- Oui... en effet...
•-Une question... C'était comment ?
•— Heu, C'était bon !
•— Seulement bon ?
•— Non... Merveilleusement bon.
•— C'est ce que j'avais compris à l'expression que vous aviez...