Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Proposée le 25/09/2008 par Roxanne
ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
Enfin la journée se termine et je rentre à la maison ! Je monte les escaliers en pensant avec délice au bon bain relaxant que je vais prendre, mais en même temps je me sens un peu frustrée de savoir que je ne te verrai pas ce soir...
Je tourne la clé dans la serrure, et là, surprise, je m'aperçois que la porte est déjà ouverte... j'entre en demandant naïvement « qui est là ? » et je te vois arriver vers moi, tout sourire : « surprise ! »
En effet je suis étonnée, tu m'avais dit travailler, mais je suis ravie de cette surprise. Tu ne me laisses pas le temps de poser de questions et m'entraînes vers la chambre. Sur le lit, je vois ma tenue « coquine », celle que nous avions choisie pour la soirée « entre amis », que nous n'avons encore jamais faite. Je reste assez interdite et une foule de questions m'envahit « mais qui ? quand ? combien ? pourquoi tu ne m'as rien dit ? ». Tu me prends par la taille et tout en m'invitant à enfiler ma tenue, tu me lances un regard rassurant en me disant « fais moi confiance, laisse toi juste aller et profite ». Je maîtrise mon stress et décide de m'en remettre à toi sans poser davantage de questions. Tu es là, je ne risque rien.
Une fois prête, tu noues mon bandeau noir autour de mes yeux et me guides jusqu'au canapé, où tu me fais asseoir. Tu m'embrasses et sors de la pièce. Je respire et attends la suite.
L'attente est brève, je t'entends quitter l'appartement et revenir quelques secondes plus tard, mais tu n'es plus seul. Je perçois des pas, des voix inconnues, que j'entends se rapprocher... mon cur bat de plus en plus fort, mélange d'angoisse et d'impatience.
Vous êtes à présent dans la pièce, et moi plongée dans le noir, ignorant combien sont là, et ce que je dois faire... Quelques compliments de nos « invités » fusent et je reprends confiance... puis c'est le silence.
Toujours assise, j'attends la suite et l'angoisse laisse peu à peu place à l'excitation. Rapidement je sens une main sur mes cheveux, qui pousse doucement ma tête vers l'avant... j'entrouvre la bouche, pressentant ce qui m'attend. Je sens entre mes lèvres un gland chaud et doux, que ma langue ne tarde pas à lécher avec délectation, avant que s'enfonce doucement dans ma bouche cette épaisse queue déjà bien dure. Elle fait des va et vient jusqu'à ma gorge, assez lentement pour que je prenne le temps de la déguster. Puis il se retire et très vite une nouvelle queue se présente à ma bouche, que je goûte à son tour, commence à téter avec gourmandise et ne tarde pas à dévorer très profond. Mais cette queue m'est bientôt enlevée pour faire place à une troisième, plus grosse encore que les précédentes. Trois belles queues toutes à moi, qui maintenant s'enfoncent à tour de rôle dans ma bouche offerte et de plus en plus gourmande. Je les suce et les lèche avec envie, pendant qu'ils gémissent et vantent mes talents de bonne salope. J'entends le cliquetis de ton appareil photo, je pense à ta belle queue, bien dure devant ce spectacle, et cette pensée me motive davantage, je les pompe comme si toutes ces queues étaient la tienne.
Soudain l'un deux me fait mettre à genoux sur le canapé, et je sens une langue s'enfoncer dans ma chatte ruisselante... je me laisse aller et oublie toute inhibition, je continue à m'appliquer à sucer les 2 queues qui restent devant moi. Bientôt l'inconnu me pénètre, et je suce de plus belle pendant qu'il me baise de plus en plus vite. Je te sens t'approcher de moi, tu m'encourages, « tu es une magnifique chienne ». Tes mots décuplent mon excitation. Je suis de plus en plus détendue, et deviens de plus en plus salope... je sens l'homme se retirer et un autre se diriger derrière moi. Il me baise à son tour, je leur suis totalement offerte et ils disposent de mon corps comme bon leur semble. « on va bien te baiser, salope », ils deviennent de plus en plus crus tandis qu'ils se délectent de ma bouche et de ma chatte, et l'un d'eux ne tarde pas à prendre possession de mon cul, qu'il pénètre doucement puis fermement. Je m'abandonne totalement au plaisir, je sens ta présence et j'entends tes encouragements... je m'occupe au mieux de ces belles queues que tu m'as choisies et que je ne vois pas. Je sens ces mains sur moi, ces hommes qui changent de place, ces voix et ces râles de plaisir, un vrai tourbillon de sensations... je ne fais que ressentir pendant que toi tu vois, tu es mes yeux, et cette impression me stimule terriblement. Le seul visage que je peux imaginer derrière mon bandeau est le tien, la seule queue la tienne, c'est un peu comme si nous étions seuls dans cette pièce, et cette illusion délicieuse me permet de me lâcher totalement pendant que je me fais baiser par ces trois inconnus, comme une bonne salope.
Après tous ces assauts, les hommes se retirent et me font mettre à genoux sur le sol... je sens ces trois queues gorgées de plaisir au-dessus de ma tête, et je sais que ma récompense ne va pas tarder. Je penche ma tête en arrière et ouvre grand la bouche. Le premier pose son gland sur ma langue, et y répand son liquide chaud et épais, qui coule jusque dans ma gorge... je le déguste. Puis il caresse mes lèvres avec sa queue encore humide. J'y passe ma langue pour ne pas perdre une goutte de ce bon jus. Rapidement le second enfourne ma bouche, pendant que le troisième met sa queue dans ma main. Je sens les spasmes de plaisir sur ma langue et l'inconnu pénètre plus profond pour se vider au fond de ma gorge dans un râle de plaisir. Je me régale de son plaisir tout en branlant plus fort son acolyte, qui très vite vient lui aussi remplir ma bouche gourmande de son bon sperme. J'ai fait bien jouir chacun d'entre eux, et c'est satisfaite et toujours excitée que je me rassois sur le canapé, pendant que tu raccompagnes nos invités encore haletants.
Tu reviens ensuite vers moi et retire lentement mon bandeau... le calme est revenu... « tu as été parfaite »... pour nous la nuit ne fait que commencer...