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Proposée le 3/09/2008 par DouxVoyeur
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Cette histoire est une histoire entièrement vraie puisqu'elle a été entièrement inventée par un ami.
Elle a pour cadre un petit village et son héroïne, une vraie héroïne, sans histoire, et qui pourrait être votre voisine. Pour cet ami c'est vraiment l'héroïne idéale puisqu'il s'agit de sa femme ! C'est une mère de famille de 34 ans qui habite le Nord de la France, mariée depuis 13 ans à ce qu'il aime rappeler. Un vrai couple de français moyen avec une fille et un garçon de 9 et 6 ans.
Stéphanie devrait vous plaire, en tout cas vous aimeriez bien qu'elle soit votre voisine. Elle exerce le métier d'institutrice, qui après ceux d'infirmière et d'hôtesse de l'air est l'un des métiers féminins qui active le plus les fantasmes des français. Elle exerce ce métier en maternelle non loin de chez elle. Comme beaucoup d'élément de son petit univers quotidien, elle en fait une chose agréable et la rend très plaisante par sa passion des choses bien faites.
Au premier abord Stéphanie parait tout à fait quelconque, sans doute vous trouveriez son allure assez ordinaire, sa silhouette un peu trop alourdie par les grossesses, et sa coiffure manquant d'originalité, comme beaucoup de maîtresses d'école maternelle, Stéphanie sacrifie peut être une part de féminité au confort et à l'aspect pratique, mais l'épaisseur de sa coiffure serait sans doute le premier élément qui la distinguerait.
Puis, vous ne manqueriez pas d'être quand même attirée par le coté plus voluptueux que lui apportent des courbes généreuses, qu'elle parvient à dissimuler par des vêtements plutôt amples. Ces courbes vous finiriez par les trouver franchement charnelles quand vous accrocherez votre regard à la plénitude de son corps sage, avec toute l'ambivalence d'une telle expression !
Puis vous seriez surpris par son regard, un regard qui vous invite à la sensualité. Ce n'est pas tant l'azur de ses yeux qui vous fascinerait, non ce serait plutôt ce pétillement qui surgit de leur clarté et qui semble vous attirer dans un profond envoûtement, comme si une muse sensuelle habitait cette enveloppe charnelle bien trop sage pour mériter un tel regard !
Puis immanquablement vous remonteriez vers cette fascinante poitrine, à qui vous trouveriez un soupçon d'obscénité. Alors l'ouverture de son chemisier réveillerait en vous cette pulsion de recherche de la douceur et de la chaleur du sein de la mère, et le balancement de leur pale enveloppe évoquerait sans coup férir le geste du boulanger qui pétrit son pâton enfariné. Hum... Que vous aimeriez vous trouver un instant dans le rôle de ce petit mirliton qui par un geste trop défendu, toucherait ne serait ce que d'un doigt cette masse globuleuse qui semble appeler la main qui pétrit.
Mais lorsque Stéphanie bouge, ce soupçon d'obscénité qu'évoque son opulente poitrine se dissipe totalement dans cette impression de femme bien dans sa peau, presque fière de ses formes onctueuses et de ses hanches aussi généreuses que la terre de cette province où elle demeure.
Oh ! Bien sur elle n'a rien du charme éthéré de ces midinettes anorexiques, aux gestes indéfiniment suspendus, aux fesses étriquées qui laisse une impression d'objets fragiles et mal finis.
Chez ses filles au corps presque trop droit, là où finit leur dos, s'achève l'envoûtement, dans un dernier sursaut du désir mais qui reste hélas suspendu par la crainte de toucher un objet trop précieux ou trop fragile, alors que chez Stéphanie en ce point semble s'ouvrir la vallée des merveilles et le règne du sens, de tous les sens. Ah cette croupe ! Comme on aimerait l'empoigner, la faire claquer du plat de la main, et par un geste plus apaisant, en sentir la moiteur, le grain et la chaleur, la humer et la lécher pour se délecter enfin de son goût de confiture interdite.
Comme si elle devinait toutes les pensées qu'elle évoque, Stéphanie ne dédaigne pas cependant se parer de vêtements plus moulants qui renforcent indéniablement le coté débordant de ses charmes.
Parfois il arrive, de manière pas si innocente que cela, du moins aimeriez vous vous en persuader, que le pantacourt qu'elle vêt s'incarne si intimement dans son entrejambe que le tissu épouse parfaitement le vallonnement de son mont de vénus et la même fissure que sa fente d'amour. Joue-t-elle avec les sensations du tissu qui tient ses rondeurs trop à l'étroit ou au plus secret d'elle-même, se fait-elle un peu de cinéma dans ce rôle de courtisanes sensuelles et effrontées ? Un rôle totalement de composition vous dirait son mari, mais vous auriez bien du mal à le suivre sur ce terrain là, tant les charmes de Stéphanie sont bien trop jolis pour être honnêtes. Et vous ne manqueriez pas alors d'invoquer à charge ce regard d'allumeuse !
Mais bien vite à la moindre évocation grivoise ou même en raison d'un regard trop appuyé, vous verriez bien à regret la belle rentrer dans sa coquille de mère de famille très sérieuse ou de maîtresse d'école au comportement irréprochable et à la neutralité bienveillante.
Mais a-t-elle vraiment idée du désir ardent et des songes qu'elle allume chez un homme ? Son mari vous dirait qu'elle est très gênée à l'idée qu'un homme puisse laisser trop longtemps son regard se poser sur ses formes généreuses. Surtout lorsqu'il la détaille avec envie et gourmandise et qu'elle réalise la raison de ces illades insistantes. Mais la plupart du temps, tous ces regards masculins qui se posent sur elle, Stéphanie ne les voit même pas. Elle ni prête pas attention. Occupée qu'elle est par sa vie de mère de famille dynamique et par son métier.
Oui Stéphanie est entière jusque dans sa pudeur car si elle n'apprécie pas les regards insistants sur sa personne. D'une certaine manière elle se montre aussi bravache, en ne faisant rien pour les éviter. Aussi nous nous contenterons d'affirmer, sans en rajouter, qu'elle est fière de ses formes et que Stéphanie est une de ces femmes qui semble sans histoires possibles mais qui peut éveiller les désirs les plus fous, les envies les plus soudaines...
Tout retour de votre part sur cette histoire auprès de l'auteur est vivement autorisé...