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Proposée le 30/08/2008 par P_Libertin
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Pour cette Saint Valentin 2003, j'emmène C. au château de Namur. Un restaurant de grande classe.
Elle a revêtu pour l'occasion une longue jupe fendue et un croise-cur largement décolleté. Sa poitrine n'est pas protégée par un soutien-gorge et l'on peut aisément voir ses tétons durcis par le contact du tissu. Chaque garçon de salle y perd son regard. Tout au long de la soirée, elle se sent la reine de la salle est provoque les hommes dans les yeux.
Le repas est excellent de même que les vins.
Pour le retour, C. conduit. Elle s'attarde plus que de raison pour s'installer derrière le volant, laissant au portier tout le loisir d'apercevoir que la petite salope porte un string sous sa jupe La route est calme.
Après avoir passé la cinquième, sa main s'attarde sur ma cuisse. Je lui rends la pareille et m'insinue sous sa jupe.
Ma main remonte très vite près de son sexe. Nous ne disons rien.
C. tente de rester concentrée sur la route pendant que mes doigts jouent avec ses lèvres et son string.
Mes caresses se font de plus en plus précises et je la sens mouillée à travers le tissu.
De mon autre main, je dégage mon sexe durci. Elle commence à me masturber lentement.
A un feu, elle craint que les occupants de la voiture située à son coté ne remarque notre manège. Je refuse de cacher ma queue. De fait, la passagère nous observe avec envie. Elle est morte de honte et c'est avec soulagement qu'elle voit passer le feu au vert.
Elle passe les vitesses puis repose sa main sur ma verge. Mes doigts son maintenant sur son sexe.
La petite cochonne n'arrête pas de mouiller. Je porte mes doigts à ma bouche pour goûter son jus. Elle me fait une grimace de dégoût. Moi j'aime.
Je replonge sous sa jupe et m'occupe de son bouton. Très vite, il durcit et sort de sa tendre protection. Je plonge dans sa grotte humide pour lubrifier mes doigts. Je joue avec son clitoris pendant qu'elle me masturbe rapidement.
Elle se cabre de plaisir en gémissant. Ses jambes tremblent. Elle est au bord de l'orgasme.
Nouveau feu, elle en profite pour prendre mon sexe en bouche. Elle me suce sauvagement mais en a profité pour écarter son sexe sensible de ma main. Le chauffeur du camion arrêté à notre hauteur ne doit rien rater de cette fellation, mais il a le bon goût de ne pas klaxonner.
C'est avec regret que je vois passer le feu au vert. Les voitures derrières ne nous laissent pas achever et nous devons repartir.
La route est sinueuse maintenant. Sa main droite passe sans cesse du changement de vitesse à ma queue. Si l'on avait une automatique, j'aurais déjà joui !
Mes caresses la rendent folle. Je l'ai déjà amené par trois fois au bord de l'orgasme.
Arrivés devant chez nous, elle coupe le moteur et rapidement, mon sexe disparaît dans sa bouche. Mais cette fois elle laisse sa chatte à portée de ma main et écarte un peu plus les cuisses.
D'une main experte, elle contrôle mon plaisir en m'emmenant au bord de l'orgasme sans jamais me l'accorder.
Je la fouille sauvagement. Mes doigts glissent sur sexe trempé. Je passe du clitoris à l'entrée de sa chatte en feu. Elle se cambre. J'insiste sur son bouton. C'est fort.
Quelques minutes plus tard, elle s'abandonne totalement et poussant de petits cris de jouissance. Cela fera encore des choses à raconter pour nos voisins.
Elle m'embrasse avidement, en prenant soin de ne pas me faire jouir.
Elle sort de la voiture en me disant: "Viens et gardes-le comme ça, j'en ai trop envie."
Nous avons passé une nuit torride.