Souvenirs érotiques : les orgasmaphoriques

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Proposée le 27/07/2008 par odalisque

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Je me souviens aussi de cette journée merveilleuse où tu m‘as emmené en forêt de Fontainebleau.
Le matin nous avons visité Barbizon, le village des peintres, première envolée artistique de la journée ! paradoxe des impressions romantiques des peintres de Barbizon et des heures de sueur et de sexe qui allaient suivre ...
Le vent faisait tourbillonner les feuilles et danser les arbres.
Les rayons du soleil de ce mois de septembre ressemblaient à une douce caresse d'un été indien. La musique du vent qui tourbillonne dans les feuilles des arbres étaient comme un doux présage d'un moment d'évasion et toi tu étais là, à me serrer dans tes bras, assis sur ce gros rocher. Moi un peu en contre bas de ce rocher, entre tes jambes.
Doucement j'ai déboutonné ton jean, baissé ton boxer pour laisser apparaître ta toison brune. D'un geste délicat j'ai fait sortir ton sexe comme une magicienne qui attrape sa baguette magique. Sans aucune formule magique mais simplement en laissant glisser ma langue chaude et mouillée sur ta baguette, ton sexe est devenu fier et dur comme pour m'inciter à continuer dans cette direction. Ma bouche gourmande dévalait cette pente et ma main serrée, entourait ton organe, allait et venait pour te faire ressentir du plaisir...

Au loin quelques voix de chercheurs de champignons ou du garde forestier se sont fait entendre, mais mon plaisir de te voir jouir sous des yeux voyeurs n'a été que plus grand...
D'ailleurs par pure générosité, je t'ai mis à nu, fait levé et je t'ai attaché au premier arbre venu avec ta chemisette pour lien.
Devant tes yeux et ceux des regards cachés, je me suis lentement dévêtue. Ma tunique tombée, j'enchaînais avec mon pantalon noir, laissant apparaître des sous-vêtements sexy en dentelle elle aussi, noire...
Je me suis alors approchée de ton arbre pour me frotter contre ton corps, d'abord mon visage sur ton torse, chauffé par les rayons du soleil ...
Je me suis retournée, stimulant tes énergies sous l'influence de mes fesses rebondies sur ton corps attaché...
Puis comme une chatte brûlante, je t'ai fait découvrir mes seins, mes tétons érigés et ma touffe blonde après cette danse excitante devant des spectateurs muets mais dont les chaussures piétinaient les brindilles. Nus comme Adam et Eve, dans la forêt du Paradis, moi à goûter désormais ta pomme sucrée dont le jus allait jaillir...
Très excités à se savoir épiés, notre nouvelle ronde n'a fait que commencer...
Je t'ai libéré de tes lianes vestimentaires et un peu plus loin caché sous les arbres feuillus de la forêt, sur ce tronc d'arbre, mes fesses blanches se sont posées.
Ton pinceau cherchait mes lèvres, la coupe mon corps, l'eau de la jouissance féminine.
Tu as écarté mes cuisses charnues avec empressement, j'ai sentis mon corps t'obéir sans la moindre réticence et pour mieux t'aider dans le tableau j'ai remplacé tes mains par les miennes. Mon profil ainsi délimité, tu as pris ton sexe dans une main pour caresser ma matière chaude et humide qui ne demandait qu'à s'ouvrir...
De soupir en soupir, tu es rentré entre cette chair, aux couleurs roses et vives qui, avec tes vas et viens répétés et de plus en plus rapides, est devenue une palette aux tons rouges prononcés... prête à faire jaillir une fontaine...

Ton excitation comme le brame d'un cerf en plein rut cherchant sa biche, tu me l'as fait entendre. Ton cri saccadé, tes mouvements pressants nous ont fait oublier le bruit de ses brindilles cassées. Tel un jeune cerf à l'époque des amours, le garde forestier ou ce ramasseur de champignons, surexcité de voir cet accouplement, a laissé échapper le raisonnement d'une jouissance solitaire.
Sans pouvoir inviter notre nouvel hôte dans notre forêt des plaisirs, nous avons continué à faire l'amour dans cette endroit champêtre comme sur cette plage de sable lors de nos premières vacances.

Proches des vagues, dans ses dunes de sable, loin de toute décadence mais empreint d'une forme de romantisme, nous sommes restés des heures à s'embrasser, se butiner, se caresser.
Tes mains ont frôlé mon visage, tes doigts sont descendus doucement sur ma nuque, mes épaules, mes seins...tel un musicien à la découverte d'un nouvel instrument, une touche, un son, mes soupirs.
Tes lèvres douces, ta langue chaude qui allait et venait dans ma bouche à trouver ma sensualité, m'embrasser à m'étouffer, à bouffer mes lèvres de gourmandise...sentir nos odeurs mêlées, frissonner de sentir le vent courir sous nos chemises entrouvertes, déboutonner nos pantalons pour se libérer d'un carcan pour continuer nos caresses....
Ta main est coquine et téméraire. Après avoir dévalé la colline de mes seins, tes lèvres se sont posées sur mon téton gauche près de mon cœur, tu m'as aspiré goulûment, tant ma peau était douce et fine, ta main, elle continuait à descendre, à passer sous ma culotte, sur mes poils, mon clitoris mouillé, pour finir sa course à l'intérieur de mon sexe.
Je me sentais bien sous tes caresses, j'écartais mes cuisses pour t'encourager à poursuivre ta quête. Tes doigts ont délicatement écartés mes lèvres, ton majeur est rentré le premier, suivi de ton annulaire. Mon plaisir était palpable et audible dés les premiers mouvements de tes doigts...tu as fait durer ce moment... me voir ainsi onduler comme les vagues lointaines te transportait dans le monde du plaisir.

N'y tenant plus tu as baissé plus bas ton pantalon pour faire apparaître ton mat érigé. Tu t'es retourné et d'un mouvement d'un seul nous n'avons formé qu'un seul navire, moi dessus, ton sexe dans ma bouche, toi dessous, dans la même situation.
La houle de nos corps donnait le rythme de cette union, de notre croisière excitante.
Pour combiner cette fellation aux senteurs marines, je te léchais les bourses.... Ma langue humide, je le sentais, te donnait du plaisir, et pour l'augmenter je gobais tes testicules avec douceur mais fermeté. De l'autre main je serrais un peu plus ton sexe en érection. Mon envie de décupler ta jouissance était réussie car j'ai senti ton corps et ta langue se raidir dans mon orifice.
Notre première vague de plaisir réussie, je t'ai embarqué vers un nouveau port...sur toi je me suis assise, ton sexe est rentré facilement dans le mien déjà mouillé de ces plaisirs....