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Proposée le 14/07/2008 par TendreSquale
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Kristel arrive avec quelques minutes de retard, et vient se placer sans un mot au milieu de la pièce.
- Mets toi à genoux les mains sur la tête. Tu es en retard.
- Oui, seulement de quelques minutes.
- Je veux que tu sois à l'heure. Tu seras punie tout à l'heure pour ce retard. Mais tu dois aussi me suggérer une punition qui viendra s'ajouter à celle que je te destine. Tu as 5 minutes pour y réfléchir.
Je la laisse méditer quelques instants dans cette position inconfortable, et en profite pour la détailler du regard. Elle est vêtue d'un tee shirt blanc trop serré qui laisse largement et presque vulgairement deviner son soutien gorge, et d'un caleçon noir relativement moulant qui met bien en valeur ses fesses et ses jambes, sans vulgarité cette fois ci. A ses pieds, une paire de basket rouges montantes laisse a peine entrevoir ses chaussettes de tennis.
- Tu as choisi ta punition
- Oui maitre, je mérite des claques.
- Non, je ne veux pas de violence entre nous. Tu dois trouver quelque chose de plus doux, mais de plus humiliant pour toi. tu as une autre idée ?
- Oui, une ... fessée
- Soit, tu l'as bien méritée. Approche. Couche toi à plat ventre sur mes genoux, et cambre toi bien.
Visiblement soulagée de ne plus devoir rester à genoux, Kristel se lève et vient se mettre dans la position demandée. Elle sursaute lorsque je commence à faire glisser son caleçon pour découvrir ses fesses.
- Et bien quoi, tu ne croyais quand même pas recevoir cette fessée par dessus le pantalon ! Tu vas compter chaque coup jusqu'à 10, et suffisamment fort sinon on recommence.
Je fais encore glisser un peu le caleçon jusqu'en haut des cuisses, dégageant totalement une chaste culotte blanche. Tirant celle ci vers le haut, je réussi à en faire rentrer la quasi totalité dans la raie de ce cul qui attend sa punition. Une claque, puis deux puis trois de plus en plus appuyées, rythmées par le compte qu'en faisait Kristel.
- Relève toi et rhabille toi. On va faire des photos.
Ces mots semblent inquiéter Kristel, assaillie de clichés sur les images pornos qui circulent sur le web ou autre. Je trouve alors honnête de ma part de la rassurer, même si cette séance va être un peu éprouvante tout de même pour sa pudeur.
Il s'agit pour elle de découvrir 20 positions de soumission, qu'elle devra connaitre par cur pour pouvoir les prendre à la demande. Certaines sont relativement soft, positions pour lesquelles tout est dans la suggestion, alors que d'autres sont carrément obscènes, surtout lorsqu'elles sont demandées alors que la soumise est froide, sans aucun préliminaire.
Kristel devra prendre successivement les 20 positions, et après d'éventuelles corrections de positionnement, je prendrais une photo qui lui servira de référence. Elle doit auparavant lire le descriptif de la position, et les éventuels commentaires sur ses aspects ou possibilités remarquables.
J'ai passé la soirée d'hier à rédiger ce document, et j'ai volontairement glissé des commentaires humiliants et impersonnels à l'intention de celle que je nomme 'la soumise'. Les positions sont volontairement classées par ordre croissant ... ou comme j'allais le découvrir par ce que je croyais être l'ordre croissant.
Kristel semble soulagée, elle attaque la première position avec une certain entrain. Il s'agit de la 'position de présentation humble'. A genoux assise sur les talons, les mains derrière le dos, bien cambrée et la poitrine gonflée, le regard sur le sol. La lecture des commentaires associés se fait avec une petite voix, ce qui lui vaut de recommencer.
- "La soumise peut attendre son maitre plusieurs minutes dans cette position sans ressentir de gêne réelle. Si elle est nue, cette position offre au maitre un accès rapide à l'anus et au sexe de la soumise pour toute opération digitale ou contrôle d'hygiène. Cette position permet également à la soumise de se soulager la vessie."
- Bien, allez en position. Tu ne vas garder pour cette fois que ta culotte, ton soutien gorge et tes chaussettes.
Kristel s'exécute, se déshabillant lentement et s'agenouillant devant moi, dans une représentation quasi parfaite de ce que j'avais imaginé la veille. Je la reprends juste sur la cambrure du dos, que je juge pas assez prononcée. Le flash de l'appareil photo provoque une sorte de repli de Kristel qui se lève prestement, feignant de vouloir attaquer rapidement la position, "la présentation avec offrande des seins", variante de la précédente ou la soumise offre sa poitrine en la soulevant des deux mains en regardant son maitre.
Kristel avance rapidement parmi mon document, j'obtiens même une lecture suffisamment forte des commentaires dès la première lecture.
Arrivé à la position 6, "présentation vaginale", Kristel semble à nouveau gênée, plus mal à l'aise que véritablement honteuse ou humiliée. Dans cette position, la soumise est couchée sur le dos, jambes largement écartées, plante des pieds jointes, les grandes lèvres ouvertes par les deux mains, l'entrée du vagin offert au regard ou aux doigts du maitre. Je tente de la rassurer en lui disant qu'elle gardera sa culotte aujourd'hui et positionnera donc juste les mains sur sa culotte a l'endroit indiqué, mais il me semble que ce point était déjà acquis pour elle, c'est autre chose. En fait, l'ordre croissant de perversité que j'avais imagine pour Kristel ne s'avère pas du tout le bon. Les positions pleines de suggestions, comme "le réceptacle" ou la soumise est a genoux, bouche ouverte et langue sortie dans l'attente du sperme du maitre ou de tout autre substance ne lui posent pas de problèmes majeurs, mais elle bloque dès qu'elle doit ouvrir les cuisses. Je m'aperçois également rapidement que sa gêne s'amplifie si j'ai l'appareil photo à la main. Elle le perçoit comme une tierce personne, voyeur étranger qui viole son intimité en profitant de sa soumission.
Vexé de m'être trompé dans ma progression de perversité, j'exploite au maximum cette gêne, en faisant durer au maximum les positions ou Kristel a les cuisses ouvertes, corrigeant un maximum de détails, lui demandant même pour certaines de réduire la taille de sa culotte en en faisant disparaitre un peu dans sa raie. Je réalise quelques gros plans de son entrejambe, commentant au maximum ce que je vois. Elle doit rester plusieurs minutes dans ces positions qu'elle semblait redouter.
Une fois la dernière position réalisée, elle dispose de 20 clichés des positions qu'elle devra savoir adopter dès la prochaine séance.
Rendez vous deux jours plus tard, samedi a 13h30, jupe bleue plissée au dessus du genou, chemisier, chaussettes de tennis et basket basses blanches. Elle ne viendra plus se placer debout au milieu de la pièce, mais en position d'inspection, toujours au milieu de la pièce, face au bureau.
Les deux jours suivants sont interminables. J'imagine la mise en uvre de mon fantasme suivant, et me rends en ville pour en repérer les ingrédients. Le soir, une longue masturbation m'attend, peuplée de l'imaginaire du lendemain.