L'histoire de Pandora (Capitre 10. Dans l'intimité de la chambre

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Proposée le 28/07/2008 par Bolo_CxRousse

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Pandora est une quinquagénaire au naturel dominateur. Elle profite des tendances fétichistes de son mari pour l'assujettir sexuellement avec son consentement. Une nouvelle ère de jeux s'ouvre au couple. (Ce n'est pas mon meilleur jeu de mots, mais je n'ai pas pu résister.)
La scène se passe à l'hôtel.

Elle ne frappa pas à la porte de la chambre, sachant pertinemment que celle-ci n'avait pas été fermée à clef. Elle pénétra dans une sorte de vestibule meublé seulement d'une armoire murale et d'un petit banc sur lequel se trouvaient les effets de son mari, pliés soigneusement. Elle se fit automatiquement la réflexion qu'à la maison son mari ne prenait pas tant de soin pour ses vêtements. Elle saurait s'en souvenir. Elle entra dans la chambre proprement dite pour découvrir son mari nu, agenouillé au pied du lit. Elle sursauta en apercevant autour de son cou le collier de chien qu'elle avait acheté deux jours plus tôt. Elle se ressaisit rapidement, ne voulant surtout pas donner la satisfaction à son mari de l'avoir prise en défaut. Elle fit plusieurs fois lentement le tour du corps dénudé de son mari pour accentuer la tension qui commençait à se sentir dans l'air. Celui-ci demeurait immobile sur les genoux tête baissée et les bras dans le dos. Pandora tira le fauteuil le plus proche jusqu'à ce qu'il se trouve en face de son mari. Elle prit tout son temps pour s'installer confortablement dans le siège moelleux. Elle croisa sa jambe droite sur la gauche, de sorte que sa mule se trouve juste en dessous du visage de son soumis. Elle balança sa mule au bout de son pied pendant quelques instants pour exciter un peu plus l'homme agenouillé humblement devant elle. Elle finit par exprimer son premier désir.

« Retire cette mule du pied sacré de ta maîtresse, esclave ! » Ordonna t'elle sentencieusement.

Elle vit son mari prendre respectueusement le soulier entre deux mains tremblantes d'émotion. Il retira la mule mais ne la posa pas. Pandora était un peu déçue car elle avait projeté de le punir pour avoir posé la mule au sol. Elle ne se démonta pas, modifiant un peu son plan initial.

« Lèche le pied divin de Maîtresse Pandora et savoure tout ce qu'il a magnifié à son contact. » S'entendit-elle ordonner sur un ton un peu trop sentencieux.

L'esclave commença un long labeur de nettoyage sans abandonner la mule qu'il tenait religieusement dans ses mains. Sa langue passait avec agilité entre chaque orteil sans jamais les écarter désagréablement. Elle récoltait la purée odorante de mozzarella avec délectation. Jamais Pandora n'eut à corriger les procédés qu'utilisait l'esclave pour parfaitement nettoyer son pied tout en lui procurant le plaisir d'une caresse sensuelle. Elle sentait sa sève s'épandre sur le fauteuil sur l'assise duquel elle avait posé directement ses fesses nues. Bien qu'il fut toujours attentionné vis-à-vis d'elle dans le passé, l'épouse n'aurait jamais supposé que son mari puisse déployer de tels trésors de sensualité. Elle sentait le plaisir sourdre de son pied adulé et monter inexorablement jusqu'en haut de son épine dorsale, ramollissant ses jambes au passage. Elle n'avait jamais expérimenté une telle facette du plaisir charnel. Pas que la sensation ait été plus forte que lors d'un orgasme traditionnel, mais sa perception était très différente. Quand son pied fut nettoyé, elle se fit rechausser, enfonçant de nouveau ses orteils humides de salive dans la pâte au contact doux. Elle n'eut pas besoin de lui signifier d'agir de même avec son pied gauche après qu'elle eut croisé ses jambes dans le sens inverse.

Alors que Pandora était heureuse d'assouvir un de ses fantasmes les plus chers, elle rageait de ne pas avoir su profiter plus tôt de cette opportunité. Elle se contenta d'exercer une petite tape du bout de son pied sur le front de son mari pour lui indiquer que cette séance de nettoyage prenait fin. Elle se leva et fit glisser les brides de sa robe de part et d'autres de ses épaules. Elle fit tomber le vêtement d'un simple mouvement gracieux du bassin. Elle ordonna à son mari de plier la robe, de la baiser respectueusement et d'aller la poser sur ses effets dans le vestibule. Pendant qu'il s'affairait, Pandora s'étendit sur le lit, les pieds dépassant d'environ vingt centimètres du matelas. Elle secoua les jambes pour se débarrasser des mules qui volèrent dans la pièce. Son mari revint sur les genoux et se précipita sur les chaussures qu'il baisa dévotement. Il les emporta dans la pièce d'à côté sans que Pandora n'ait la nécessité de le lui demander. Il revint, toujours sur les genoux et se pencha vers les pieds de nouveau englués de sa femme. Il les lécha, les suça, les massa avec une conscience presque religieuse. Pandora se laissait aller à imaginer la suite du déroulement de la séance. Elle avait eu en premier lieu l'intention de punir son mari à la moindre vétille, mais elle devait se rendre à l'évidence que celui-ci ne semblait pas manquer d'expérience. Elle révisa son plan en se décidant à l'avilir sans qu'il soit nécessaire de prétexter une hypothétique punition. Elle envoya soudainement, un véritable coup de pied dans le visage de son soumis. Celui-ci cessa ses manifestations d'adoration immédiatement et sans prononcer un mot. Pandora écarta les cuisses lentement puis elle claqua des doigts. Il enfouit son visage contre le pubis glabre de sa femme dés qu'il vit le doigt qui lui montrait où il devait officier. Il réussit en une demi-heure à lui déclencher trois orgasmes consécutifs grâce à une technique visiblement éprouvée. Pandora ne se lassait pas de cette caresse intime mais il lui manquait l'aspect humiliant pour réellement prendre du plaisir. Décidée à reproduire la scène qu'elle avait fait subir à Pedro, elle le repoussa sans heurt, cette fois et se retourna sur le ventre.

« Ecarte mes deux adorables fesses et admire le trésor qui se niche entre elles ! » Commença t'elle à déclamer.

Il s'exécuta sans un mot. Pandora était bien décidée à tester sa technique de conditionnement.

« Extasie-toi devant mon petit œillet bistre ! Contemple ce trésor inestimable sur lequel tu pourras peut-être avoir l'honneur de déposer le témoignage de ta dévotion si je juge que tu le mérites. Imprègnes-toi de la vision affolante de mon anus sacré. Je veux que tu emportes jusqu'à ton dernier souffle, l'image des imperceptibles contractions de mon œillet merveilleux quand il se sent flatté par le regard adulateur de l'esclave qui vient offrir sa destinée au service exclusif de sa déesse. »

Pandora imprimait un rythme lancinant à ses phrases qui sonnaient comme des litanies religieuses. Elle s'étonnait elle-même de l'imagination avec laquelle elle formulait ses invocations, sans même sembler chercher ses mots. Elle les avait certainement rêvées à maintes reprises et elle devait provenir du fond de son subconscient. Elle jeta un coup d'œil par-dessus son épaule pour confirmer ce qu'elle pensait : Son esclave de mari semblait réagir aux propos de sa femme dans un état semi-hypnotique. Ses yeux étaient hagards et rien ne semblait plus exister autour de lui que cette couronne anale frémissante à quelques centimètres de son visage.
« Pose ta bouche en adoration sur le rectum sanctifié de ta déesse ! » Ordonna t'elle. Puis elle ajouta après avoir apprécié le contact doux contre son orifice. « Maintenant embrasse-le avec dévotion comme s'il s'agissait d'une bouche. Je veux sentir ta langue sonder mon trou du cul et ne t'avises pas de faiblir avant que je t'aie explicitement ordonné de t'arrêter de le vénérer. Mon trou du cul est sacré ! C'est la plus belle merveille du monde ! Inculques-toi cela dans l'esprit car j'attendrais de toi, que tu lui voues un véritable culte religieux... » Avertit-elle en se détendant.

La digestion aidant aussi, Pandora ne tarda pas à s'assoupir sous la tendre caresse que lui procurait cette langue servile. Elle s'était endormie en souriant comme une enfant gâtée. Lorsqu'elle reprit ces esprits elle ne réalisa pas tout de suite qu'il s'était passé deux heures depuis son assoupissement. La langue adoratrice continuait son office religieusement. Pandora fit cesser la séance d'adoration de son derrière d'un simple mot :

« Suffit ! »

Elle se retourna sur le dos et positionna ses bras derrière sa nuque. Elle contempla silencieusement son mari devant lequel elle s'exhibait sans pudeur. Elle semblait heureuse au-dessus de ses espérances et lui était en pleine béatitude. Elle rompit le silence de nouveau.

« Comment me trouves-tu physiquement ? » Demanda t'elle, amusée à l'avance de la réponse qui avait toutes les chances de lui être confiée.
« Je vous trouve admirable, Maîtresse vénérée ! Vous êtes la plus belle des femmes, au point que je vous considère maintenant comme une déité, venue de l'Olympe pour m'élever sous ses pieds ! » Déclara t'il, un air empreint de mysticisme pouvant se lire dans ses yeux de plus en plus hallucinés.
« Vraiment ? Aucune femme ne trouve grâce à tes yeux, à part moi ? » Demanda t'elle sournoisement.
« Vous êtes la perfection incarnée, divine Maîtresse ! Votre corps splendide ne peut être égalé dans cet univers ! Les galaxies font pâles figures en comparaison de la beauté céleste de votre anus sacré que j'ai eu l'occasion d'adorer religieusement un couple d'heures. Vos pieds divins ont une grâce infiniment supérieure à toutes les merveilles que nous offre notre planète. Votre poitrine au galbe incomparable ferait pâlir de jalousie les déesses de l'antiquité et le sanctuaire sacré qui se niche entre vos cuisses merveilleusement dessinées est le plus précieux des trésors de l'univers ! »
« J'ai dormis pendant deux heures ! » S'exclama t'elle un peu déboussolée. « Heureusement que je peux te faire confiance et que tu as veillé avec attention sur mon sommeil sacré ! »
« J'ai fait tout mon possible pour vous honorer sans vous réveiller, Maîtresse. »
« Heureusement car tu aurais subit les conséquences fâcheuses de mon courroux... » Prévint-elle.

Pandora se laissa glisser jusqu'au pied du lit et se dressa, jambes écartées, face à son esclave encore agenouillé. Elle appuya sa vulve contre la bouche de son adorateur qui s'appliqua en auréole autour de sa féminité. Quelques secondes plus tard, Pandora se soulageait dans la bouche de cet homme qu'elle avait asservi en moins d'une journée. Elle entendait avec ravissement le bruit caractéristique de sa déglutition saccadée car elle n'avait même pas pris la peine de lui ménager des pauses pour qu'il puisse avaler. Pandora n'avait jamais eu une telle sensation de toute puissance. Le plaisir de faire subir cet acte dégradant à son mari la menait aux portes de la jouissance physique. Elle baissa les yeux pour seulement constater, satisfaite, l'érection qui s'exhibait entre ses mollets.

« Délecte-toi de mon nectar doré et précieux, petite larve rampante ! Et crache ton foutre sans te toucher parce que ta maîtresse divinisée te l'ordonne désormais à chaque fois que tu auras l'honneur de t'abreuver à la source sacrée de son corps. »

A peine Pandora avait terminé sa phrase qu'elle vit la verge de son mari éclabousser le bas du dessus de lit. Elle n'aurait pas songé que cela puisse fonctionner si précipitamment. Il faut dire que cela faisait plus de deux heures que le pauvre était conditionné en état d'adoration. Son esclave nettoya avec soin la vulve souillée de sa maîtresse puis, il se prosterna et baisa ses pieds. Il se glissa entre les jambes écartées de sa femme et lécha spontanément son propre foutre qui maculait un pan du dessus de lit. Pandora resta quelques instants, pétrifiée devant ce qui semblait être un rituel bien rôdé pour son mari.

Elle le fit allonger sur le dos puis l'enjamba. Ses pieds étaient posés de part et d'autre du bassin de l'homme à terre. Elle apposa ses poings sur ses hanches puis, souleva une jambe et déposa délicatement son pied sur le ventre un peu rond de son époux. Elle ne le quittait pas des yeux et lui non plus. Elle pouvait déceler dans son regard comme une sorte de résignation mêlée de dévotion. Elle détourna brusquement les yeux, ébranlée par cette vision inattendue. Pandora accentua la pression de son pied jusqu'à se dresser d'une jambe sur le corps torturé de son mari. Elle reposa son autre pied sur la poitrine de l'esclave afin de mieux répartir son poids. Inexpérimentée, Pandora ignorait que l'homme pouvait supporter son poids réparti sur un seul pied et ce n'est que plus tard qu'elle découvrit qu'il la supportait aussi quand elle portait ses talons. Pandora fit quelques pas sur le corps étalé à sa merci comme pour en jauger la souplesse et la résistance à la douleur. Elle posa son pied nu sur l'appareil génital de son mari et se tourna vers lui, ne décelant aucune réaction dans son regard extatique. Elle souleva la verge molle du bout de ses orteils et remarqua, stupéfaite que celle-ci se raidissait au simple contact de son pied nu. Elle rabattit de force le pénis et l'écrasa contre les bourses qui s'écartèrent comiquement. Pandora ne décela pas la moindre contraction musculaire sur le corps de son soumis. Elle ne pouvait pas croire que son mari soit capable de maîtriser sa douleur de la sorte. Elle se tourna vers son visage quelque peu crispé par la douleur lancinante qu'elle lui faisait subir.

« Je te fais mal ? » Demanda t'elle avec une innocence feinte.
« Oui, Maîtresse divine, mais je suis trop heureux de dédier ma souffrance en l'honneur de votre gloire infinie. » Répondit-il avec une voix singulièrement rauque.
« Quoi de plus naturel en somme ! » S'exclama t'elle en affichant une moue dédaigneuse. Elle ajouta : « Parce que tu vas souffrir sous mes pieds larve rampante ! Tu n'es même pas digne de baiser le sol que ta maîtresse a foulé, estimes-toi heureux d'exister sous ses augustes pieds ! Ta souffrance n'est rien comparée à l'honneur qui t'est fait de pouvoir ressentir des parcelles de ma gloire céleste éclabousser ton corps de vermisseau quand je l'écrase sous mes pieds divins ! Louange la magnanimité de ta déesse qui t'autorise à communier avec sa liqueur sacrée sans exiger du toi un ultime sacrifice ! Ne te sens-tu pas moins veule quand rutile dans tes veines, le breuvage doré dont je t'ai honoré ? »
« Je ne saurais jamais assez vous remercier, Déesse céleste ! » Se contenta t'il de dire en un souffle.

A suivre... Epilogue et confidences.