L'histoire de Pandora (Chapitre 8. L'escapade des deux tourtereaux.)

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Proposée le 19/07/2008 par Bolo_CxRousse

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Résumé :
Pandora est une quinquagénaire dominatrice qui vit ses fantasmes aussi bien avec le jardinier qu'avec son époux. Ce dernier entre volontairement dans son jeu pour le meilleur et pour le pire.

Elle ouvrit la penderie et choisit un ensemble jupe, chemisier assez stricte puis, se ravisant, elle l'échangea pour la courte robe d'été qui avait tant fasciné Pedro. Elle se contenta de la passer sur son corps intégralement nu puis, elle enfila les mules fuchsia qui se mariaient très bien avec les tons de pèches et de clémentines de la robe. Elle entra dans la salle de bain pour se maquiller. Son époux sifflotait un air ringard sous la douche. Elle prit la peine de se farder avec un soin particulier. Elle se voulait irrésistible. Si une autre femme gravitait dans l'existence de son mari, elle, Pandora saurait l'affronter à la loyale ! Elle s'imaginait une pauvre secrétaire experte dans l'art de la fellation et du rendez-vous de cinq à sept. Une sorte de pute policée qui s'attirait les faveurs du patron moyennant quelques petits sacrifices. Ce genre de fille ne pouvait pas se mesurer à la femme expérimentée et élégante qu'elle est. Pandora retourna dans sa chambre, prit son sac à main et descendit sur la terrasse prévenir les enfants de leur absence improvisée durant l'après-midi.
Son mari ne tarda pas rejoindre tout ce petit monde près de la piscine. Leur fille exultait de joie de voir ses parents prendre ce genre d'initiative qu'ils ne prenaient plus depuis longtemps.

Ils montèrent dans le cabriolet qu'ils décapotèrent préalablement et s'enfuir vers leur destin.
« Quelque chose semble te contrarier, ma chérie ? » Demanda t'il sans quitter les yeux de la route.
« Ce n'est rien ! Juste une petite aigreur d'estomac passagère. J'ai dut trop boire de jus d'orange ce matin. »
« J'espère que ça ne va pas contrarier nos projets de cet après-midi. » Dit-il sur un ton jovial.
« Rassures-toi ! Ca va passer... » Annonça t'elle, un pauvre sourire se dessinant sur ses lèvres carminées. « Mais, au fait ! Quels sont-ils ces projets dont tu parles ? »
« Chut ! Il s'agit d'une surprise... » Répondit-il avec un air mystérieux.

Pandora savait qu'il lui fallait absolument prendre le dessus sur elle, si elle voulait arracher son homme des griffes de cette usurpatrice. Elle prit profondément sa respiration comme si elle voulait tourner une page et passer à la scène suivante. Elle retira ses pieds nus de ses mules et les posa sur le tableau de bord bien en vue. Elle avait, à dessein, peint ses ongles de pieds avec un vernis aux reflets nacrés. Elle observait du coin de l'œil, le regard de son époux qui maintenant se posait alternativement sur la route et sur la partie droite du tableau de bord. Elle tendit ses pieds en pointe pour attirer son regard quand celui-ci semblait se fixer trop longtemps sur la route. Elle bougeait ses orteils pour attiser le désir de son mari. Elle savait maintenant qu'elle allait utiliser à fond son fétichisme pour l'arracher à cette harpie. Elle releva subrepticement sa robe de manière à dévoiler son pubis imberbe et blanc. Son mari était tellement accaparé parla vision des pieds nus de sa femme qu'il ne s'aperçut de rien. Pandora retira ses pieds du tableau de bord de sorte que son mari fit immédiatement une réflexion !

« Mais tu n'as pas mis de culotte, ma chérie ! » S'exclama t'il.
« Non ! J'avais envie de sentir la brise caresser mon mignon minou fraîchement épilé. » Répondit-elle d'un air faussement ingénu. « Ca ne te déplais pas, au moins ? » Demanda t'elle sournoisement.
« Bien au contraire, mon amour ! Tous les hommes fantasment la-dessus ! Qui y a t'il de plus érotique qu'une belle femme nue sous ses vêtements ? »

« Deux femmes ! » Se retint-elle d'ajouter.

« Tu me sembles d'humeur coquine, aujourd'hui. Ca tombe bien, parce que cet après-midi sera placé sous le signe de la sensualité. Qu'en penses-tu ? » Renchérit le mari.
« Je ne demande que ça, mon chéri ! Je suis prête à te surprendre cet après-midi. Tu ne soupçonnes même pas combien je peux être féline ou cochonne ! »
« Voilà qui présage d'une journée mémorable ! » S'exclama t'il, ne croyant pas un mot de ce que venait d'annoncer sa femme.
« Plutôt que sous le signe de l'érotisme, j'aimerais que cette après-midi soit placée sous le signe de la luxure la plus graveleuse et de l'obscénité la plus crue ! Tu ne peux même pas soupçonner combien ta femme a envie de se dévergonder ! J'ai envie de sentir ta bite ramoner ma petite chatte de pute jusqu'à ce qu'elle soit complètement dilatée ! J'ai envie de sentir ta langue lubrifier ma rosette en chaleur avant que ton gourdin gicle dans mes intestins ! Arrête la voiture ! J'ai envie de pisser debout devant toi ! »

Son mari n'en croyait pas ses oreilles. Il n'aurait jamais soupçonné sa femme capable de sortir de telles obscénités. Il stoppa l'auto sur le bord de la route et ils descendirent ensemble sur le bas côté. Pandora observa son mari incrédule qui semblait attendre les bras croisés qu'elle s'exécute. Elle releva sa robe afin d'exhiber sa fente rasée puis retira ses mules. Elle posa un pied nu sur le pare-chocs du cabriolet puis un autre sur le capot sans quitter son conjoint du regard. Elle écarta les jambes et commença sa miction directement sur le capot rouge de la voiture. L'urine lui giclait sur les mollets et même quelques gouttes vinrent mourir sur le pantalon de son mari médusé par la scène inimaginable pour lui quelques instants auparavant. Lorsque Pandora fit gicler les dernières gouttes sur la carrosserie, elle descendit d'un bon, face à son mari. Elle se pendit à son cou et l'embrassa fougueusement sur la bouche. Leur baiser dura assez longtemps pour les exciter tous les deux. Leurs bouches se désolidarisèrent mais Pandora ne lâcha pas son étreinte. Elle susurra quelques mots à l'oreille de l'homme qu'elle aimait.

« Agenouille-toi mon chéri. Je crois bien que j'ai éclaboussé mes adorables petits petons. » Demanda t'elle langoureusement.

Son mari ne se fit pas prier. Il s'agenouilla devant sa femme qui s'était assise sur le siège passager, les jambes dépassant par la portière. Il passa et repassa sa langue sur les pieds de sa femme avec une sorte de passion mystique.

« J'ai aussi éclaboussé mes chevilles. » Dit-elle, paresseusement.

Son conjoint lécha consciencieusement les gouttes d'urine sur les chevilles de sa femme. Il ne fut pas nécessaire de lui demander de continuer sa progression vers le haut des cuisses mouillées de Pandora. Il ne s'arrêta pas de lécher sa femme lorsque sa langue atteignit les grandes lèvres souillées dont quelques gouttes dorées pendaient encore. Pandora crut défaillir quand, forçant sur sa vessie, elle envoya une dernière giclée d'urine directement dans la bouche de son mari qui la déglutit sans sourciller. Elle n'arrivait pas à s'ôter de l'esprit que cet acte dégradant ne pouvait être accepté que par un masochiste confirmé. Elle se fit rechausser et ferma la portière après avoir demandé à son mari qu'il lui dépose un dernier baisé sur le minou. Quand il eut fait le tour de la voiture, il découvrit sa femme qui s'était déplacée du côté conducteur. Interloqué, il n'insista pas et fit le tour de la voiture dans l'autre sens pour s'asseoir côté passager.

« Lèche-moi la chatte jusqu'au lac ! Tu reprendras le volant après ! » Ordonna t'elle sur un ton ferme mais pas encore despotique.
Son époux se pencha sur le côté sans discuter et glissa son visage entre les cuisses de Pandora. Ils roulèrent ainsi pendant une vingtaine de kilomètres. Pandora roulait assez lentement pour que même les camions puissent doubler leur auto. Les chauffeurs de poids lourds avaient une vue imprenable sur la scène qui se déroulait dans le cabriolet. La majorité d'entre eux klaxonnaient en doublant. A aucun moment le mari de Pandora ne sembla distrait dans sa tâche. Il léchait de manière incessante la moule inondée de sa femme qui regrettait de n'avoir plus envie de pisser. Lorsque le lac fut en vue, Pandora immobilisa le véhicule sur le bas côté, elle repoussa sans douceur son mari pour tirer le frein à main. Elle descendit de la voiture pendant qu'il s'installait à la place du conducteur, le visage mâchuré de sécrétions féminines.

« Essuie-toi le visage ! Tu ne peux pas entrer dans le restaurant ainsi ! » Se contenta t'elle de prononcer en guise de remerciement.

A suivre... (Domination au restaurant.)