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Proposée le 11/07/2008 par Bolo_CxRousse
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Quatrième jour
Le lendemain matin, Pandora laissa son mari dormir et prit son petit déjeuner sur la terrasse avec son fils. Sa fille ne tarda pas à les rejoindre dans une tenue des plus équivoque. Elle ne portait en effet qu'un tee-shirt suffisamment court pour qu'on voie ses fesses nues quand elle se penche. Elle s'installa à table et commença par attaquer une pleine assiette de céréales de bon cur pendant que sa mère constatait avec effroi que sa fille avait la chatte épilée.
« Depuis quand te rases-tu le minou, Delphine ? »
« Depuis un an environ, Maman. C'est Sandra qui me l'a suggéré. »
« Je ne vois pas en quoi les poils de ta minette regardent Sandra ! » S'exclama la mère un peu indignée.
« C'est bien la première fois que tu t'intéresse à ma vie sexuelle, Maman ! »
« Quel rapport y a t'il entre ta vie sexuelle, les poils de ton pubis et Sandra. »
« Le rapport est que Sandra n'aime pas les chattes poilues et que j'aime trop quand elle me lèche la chatte ! Voilà ! C'est dit ! »
« Tu ne serais pas en train de me dire que tu es... Enfin... »
« Homosexuelle ! C'est le mot que tu cherchais ? Et bien oui ! Je suis lesbienne ! »
« Quand ton père va apprendre cela ! Je ne donne pas cher de l'ambiance à la maison... » Dit calmement Pandora.
Elle ne voyait aucun inconvénient à ce que sa fille aie des goûts saphiques mais elle savait que son père verrait les choses tout à fait autrement.
« Je pense qu'il sera préférable que cette conversation ne quitte pas cette table. Je pense que tu ne réussirais qu'à chagriner ton père qui a déjà assez de soucis comme ça ! Qu'en pensez-vous ? » Demanda t'elle en s'adressant à ces deux enfants.
« Je pense que Maman a raison. » Intervint le fils. Puis, se tournant vers sa sur : « Tu auras bien l'occasion de lui avouer tes penchants quand tu seras autonome et que tu pourras vivre ta vie comme tu l'entends. En attendant, il est inutile d'alarmer papa. »
« Ca fait longtemps que tu fricottes avec Sandra ? » Demanda la mère.
« Ca fait plus d'un an. Nous sommes très complémentaires. Elle est la soumise et je suis la dominante. »
« C'est à dire ? » Questionna Pandora qui pressentaient qu'elle n'était pas au bout de ces surprises matinales.
« C'est à dire qu'elle joue à être mon esclave et que je suis sa maîtresse. Tu comprends Maman ? C'est un jeu en faite ! » Pandora comprenait surtout que sa fille savait de qui tenir.
« Est-il indiscret de te demander quand et où vous pratiquez vos petits jeux. ? »
« Sandra habite une piaule du centre ville. Nous y allons après les cours. »
« Et pourrais-tu me dire en quoi consistent ces jeux ? »
« Ca, non, Maman ! C'est du domaine du privé. Peut-être qu'un jour je t'en dirais plus en aparté, mais pour l'instant j'aimerais bien conserver mon petit jardin secret. »
« Je te comprends ma fille. Que diriez-vous de passer à un autre sujet avant que votre père ne se lève ? A moins que mon fils veuille m'annoncer qu'il participe à des soirées SM avec son amant ou qu'il fait le trottoir en porte-jarretelles après les cours pour se payer sa dose d'héroïne... » S'exclama t'elle sur un ton comique.
Les deux enfants rirent de bon cur et sa fille se leva pour embrasser le front de sa mère.
« Je n'aurais jamais crut que tu acceptes ma sexualité avec autant de sérénité. Je t'aime, Maman ! »
« Sache pour ta gouverne, que ta mère a l'esprit beaucoup, beaucoup plus ouvert que tu ne l'imagines. Je te surprendrais si je te racontais certaines choses. Mais ce sera pour une prochaine fois... Quand tu m'auras un peu raconté ce que vous faites Sandra et toi... »
« Je te promets de te raconter cela très bientôt, mais il va falloir que tu sois encore plus tolérante. »
« Prépare-toi à l'être aussi, ma fille. » Prévint Pandora avec un sourire énigmatique.
La conversation avait glissé sur un tout autre sujet quand le père de famille fit son apparition à petits pas sur la terrasse. Ne pouvant soutenir très longtemps le regard de son père, Delphine se leva de table et s'en retourna dans sa chambre. Pandora resta quelques instants à continuer la conversation avec son premier rejeton puis, elle laissa le père et le fils discuter entre eux. Elle monta directement dans la chambre de sa Delphine. Elle frappa à la porte pour entendre sa fille l'inviter à entrer.
« Je t'attendais, maman ! » Se contenta de dire la Delphine étendue à moitié nue sur son lit.
Pandora s'agenouilla près de sa fille qui vint se blottir dans ses bras.
« Depuis combien de temps as-tu conscience de ton homosexualité ? »
« Je ne sais pas si je suis vraiment lesbienne. Je n'ai jamais couché avec un garçon. Sandra m'a initiée aux jeux saphiques et j'y ai trouvé mon compte. »
« Tu veux dire par-là qu'aucun garçon ne t'a jamais dragué ? Tu te moques de moi, ma chérie ! Une belle fille séduisante comme toi devrait avoir la moitié du campus à ses pieds. »
« Les garçons me dégoûtent ! Ils sont rustres ! Ils ne sentent pas bon ! Ils ne sont pas sincères ! Et par-dessus tout, ils sont égoïstes... » Déclama t'elle sur un ton renfrogné de gamine gâtée.
« N'en jettes plus, la cour est pleine ! Les garçons ont des comportements de garçons, ce qui est dans la normale. Certains d'entre eux sont fins, délicats, attentionnés et par-dessus tout amoureux ! Tu ne peux pas dénigrer ce que tu ignores. J'aimerais qu'un prince charmant te fasse comprendre combien il est doux de se blottir dans les bras musclés de son homme. J'aimerais que tu comprennes que les amours saphiques sont stériles et qu'un jour ou l'autre tu regretteras de ne pas avoir d'enfants... »
« Nous pourrons certainement en adopter un. Les murs évoluent. »
« Ce ne sera pas le tien, quoi que tu en dises. Je t'assure que tu devrais au moins essayer de sortir avec un garçon. »
« Je n'en ai pas envie et Sandra est très jalouse. »
« Que dirais-tu si je t'en présentais un susceptible de te plaire ? »
« Tu rigoles, Maman ! Tu ne vas tout de même pas te transformer en mère maquerelle pour essayer de me convaincre de me diriger vers l'hétérosexualité ! »
« Je t'ai dit, tout à l'heure, qu'il allait te falloir faire un effort de tolérance, ma fille. »
« Mais il n'est pas question d'intolérance, là ! Je n'en ai pas envi, et... »
« Je ne te parle pas de cela ! » L'interrompit Pandora en élevant un peu le ton.
« Tu m'as dit que tu prenais beaucoup de plaisir à soumettre Sandra. N'est-ce pas ? »
« C'est vrai ! J'aime mon rôle de maîtresse quand je joue avec elle. »
« Que dirais-tu d'essayer de devenir la maîtresse d'un homme ? »
« Beurk ! Tu n'y penses pas, maman ? Et puis, quel homme serait assez stupide pour vouloir se soumettre à une gamine de vingt ans sans expérience ? »
« Précisément un esclave confirmé et bien dressé. Si un tel homme se présentait à toi, tenterais-tu l'expérience ? »
« Je ne sais pas ! » Répondit évasivement Delphine.
« Réfléchis, ma fille ! Tu pourrais lui demander tout ce que tu aimes sans t'encombrer de ce que tu n'aimes pas. Il serait entièrement dévoué à ton plaisir en ignorant complètement le sien. Tu l'utiliserais quand bon te sembles et il ne t'encombrerait pas le reste du temps. Il se comporterait comme tu e désire. Il te considérerait, non pas comme sa petite amie, mais plutôt comme sa souveraine toute puissante. »
« Mais pourquoi essayes-tu de me convaincre de quitter Sandra ? »
« Parce que je sais qu'elle te rendra malheureuse quand elle te quittera, lassée de vos petits jeux stériles. Elle voudra un jour reprendre sa liberté et tu ne pourras rien contre cela. »
« Comment peux-tu dire cela, Maman ! Tu ne la connais même pas. »
« Il ne m'est pas nécessaire de la connaître pour comprendre qu'elle aura, tôt ou tard envie de changer de partenaire et qu'elle n'a que-faire de tes sentiments. N'avait-elle pas déjà une petite amie avant de sortir avec toi ? »
« Si ! La pauvre a même quitté la fac à cause de sa dépression nerveuse. »
« Et tu voudrais, que moi, ta mère, je risque de voir ma fille dépérir parce qu'elle vient de se faire larguer par une égoïste insensible ? »
« Je ne sais plus où j'en suis, Maman. Aide-moi ! Tu as toujours été de bon conseil, alors je suis prête à t'écouter. »
« Voilà que tu redeviens raisonnable, ma fille chérie ! La première chose que tu vas faire c'est de commencer à prendre tes distances avec Sandra. Refuses certains rendez-vous ou ne vient pas aux rendez-vous. Si elle tient sincèrement à toi, tu vas voir que son attitude va se modifier et j'aurais eu tord de t'encourager à la quitter mais j'aurais eu raison de t'inciter à la pousser dans ses retranchements. »
« Je veux bien, mais Sandra est très attachée à moi. Je suis sûre qu'elle amoureuse. Je ne sais pas si... »
« Je te garantis que je t'obligerais à rentrer tous les soirs immédiatement après les cours s'il le faut ! »
« Bon ! Et ensuite ? »
« Je préfère ne pas t'en parler tout de suite... »
« Ne me laisses pas languir ainsi, Maman. Essayes au moins de me mettre sur la piste. »
« Ensuite je te présenterais un homme que je connais et qui ne doit guère être plus âgé que toi. »
« C'est qui cet homme que tu connais ? C'est ton amant ? »
« On ne peut pas le désigner ainsi... Disons que je suis très intime avec lui mais qu'il n'est pas mon amant... »
« C'est un soupirant, en quelques sortes ? »
« On peut voir les choses ainsi. La seule certitude qu'il a, c'est que je ne lui octroierais pas le droit de coucher avec moi. »
« Le droit ? C'est ton esclave alors ? »
« Exactement, ma fille ! » Confirma Pandora en regardant sa fille, droit dans les yeux.
« Tu as un esclave ? Il vient à la maison ? »
« Oui, mais ton père l'ignore. Ca doit rester un secret entre toi et moi. Promis ? » Chuchota t'elle avec un ton complice.
« Juré, craché ! Qu'exiges-tu de lui ? »
« Certainement ce que tu exiges de Sandra ... Et plein d'autres choses... »
« C'est à dire. »
« Il me vernit les ongles, il doit baiser mes pieds pour me saluer. Il doit me nettoyer le corps avec sa langue. Je le punis aussi... »
« Comment le punis-tu ? »
« Avec une cravache qu'il m'a offerte hier. »
« Il ne dit rien quand tu le frappes ? »
« Si ! Il dit merci Maîtresse et il baise la main qui a tenu la cravache. »
« C'est incroyable ! Et que fais-tu d'autre avec lui ? »
« Il n'est mon esclave que depuis hier, je n'ai pas encore eu assez de temps pour m'amuser réellement avec lui. Mais j'ai bien l'intention de parfaire son dressage et si tu le désires, tu pourras te joindre à nous. »
« Tu crois qu'on pourra faire ce que l'on veut avec lui ? »
« Bien sûr ma chérie ! C'est juste une question de paliers. Dans cette situation la précipitation peut avoir des effets irréversibles. J'ai décidé de le dresser dans un premier temps à adorer mon rectum. Je le conditionne pour qu'il ne se mette plus à rêver, à fantasmer, à désirer que mon anus. »
« Sandra adore me lécher le petit trou ! Tu crois qu'il acceptera de lécher les nôtres ? »
« Bien entendu ! Et il a intérêt ! Sa langue remplacera même le papier toilette. Je suis sûre qu'en quelques semaines nous n'aurons plus à nous asseoir sur une cuvette de WC... »
« Quel sentiment de supériorité on doit ressentir quand on se soulage dans la bouche d'un être soumis ! » S'exclama la jeune fille rêveuse.
« J'ai l'intention de t'aider à devenir une femme puissante et adulée de dizaines d'hommes qui seront prêts à déposer leur fortune à tes pieds. Tu pourras vivre ta vie comme tu le voudras sans jamais avoir de comptes à rendre à qui que ce soit. »
« Je ferais travailler mon cheptel très dur pour qu'il me rapporte toujours plus d'argent. Je déposséderais des dizaines d'hommes de leurs biens en échange de quoi, je les remercierais en leur pissant dessus... »
« Je vois que tu commence à comprendre où se trouve ta destinée, ma chérie. Je dois te laisser maintenant et m'occuper du reste de la famille. »
« Je sens que je vais adorer dresser ce mâle avec toi, Maman ! » S'exclama Delphine.
« Je serais enchantée d'être efficacement secondée par ma fille préférée. Et puis nos deux imaginations conjuguées devraient faire des merveilles. »
Pandora quitta la chambre de sa fille un sourire sardonique aux lèvres. Elle rejoignit son mari qui prenait un bain dans la salle d'eau. Elle se regarda attentivement dans la glace au-dessus du lavabo.
« J'ai quelques rides qui commencent à naître. » Dit-elle en tirant sur sa peau comme le ferait un lifting.
« Tu es toujours aussi ravissante, ma chérie ! » Lui rétorqua son mari.
Pandora laissa tomber son peignoir et s'approcha nue de son époux.
« Tu penses réellement ce que tu viens de dire, chéri ? »
« Mais oui, mon amour ! On ne dirait pas que tu as donné le jour à deux beaux enfants tant ton ventre est plat. »
Pandora enjamba la baignoire et vint placer ses pieds de part et d'autre des fesses de son mari. Elle leva une jambe pour prendre appui sur le bord de la baignoire et écartant ses grandes lèvres intimes, elle approcha son sexe des lèvres de son époux.
« Alors lèches-moi ! »
Se contenta t'elle d'ordonner. Bien qu'un peu surpris par la demande un peu sèche de sa femme, il fit pénétrer sa langue dans le conduit déjà humide de sécrétions. Ce n'est qu'après quelques secondes que Pandora commença à appuyer en rythme sa chatte dégoulinante contre la bouche de son époux. Celui-ci l'aidait en appuyant ses mains sur ses fesses. Pandora sentit un violent orgasme la submerger. Elle déversa un flot impressionnant de foutre féminin dans la bouche de son mari, puis se détacha de lui pour contempler son visage maculé.
« Avale toute ma mouille, mon chéri ! Ne perds pas une goutte de mon précieux fluide ! » Lui demanda t'elle tout excitée.
« Tes désirs sont des ordres, mon amour ! » Avança t'il en la regardant droit dans les yeux. Le sourire sardonique de Pandora apparut de nouveau sur ses lèvres.
« Tu ne sais pas où cela te mènera, mon mignon ! » Répondit énigmatiquement Pandora.
Son mari se pencha sur le pied nu qui reposait sur le bord de la baignoire. Il déposa un long baiser langoureux sur le pied de sa femme puis repris sa position, le sourire aux lèvres. Pandora ne savait pas bien comment interpréter le geste de son époux. Sans quitter un seul instant son mari du regard, elle s'assit dans la baignoire, en face de lui. Elle étendit les jambes de sorte que son pied droit soit positionné entre les jambes de son mari tandis que son pied gauche reposait sur sa poitrine à quelques centimètres de son visage. Elle n'attendit pas longtemps avant qu'il prenne ce pied entre ses deux mains puissantes afin de l'approcher de ses lèvres pour enfin sucer les orteils de sa femme. Pandora ferma les yeux et accentua sa pression sur le sexe maintenant érigé de son homme. Bien qu'il ne fut pas aussi expert que Pedro dans cet art délicat, il se débrouillait très bien. Pandora sentait des picotements parcourir ses longues jambes et venir se concentrer dans son sexe qu'elle caressait lascivement. N'y tenant plus, elle se leva brusquement, renversant pas mal d'eau au passage et se positionna de dos entre les cuisses de son mari. Elle s'assit lentement sur le sexe bandé jusqu'à le sentir vibrer au fond de son vagin. Elle remua les fesses lentement pour sentir l'organe contre ses parois vaginales. Après quelques instants de ce manège diabolique, Pandora entama un lent va et vient qui la mena à son deuxième orgasme de la journée.
Ils s'habillèrent dans la chambre et Pandora prit soin de choisir une tenue sexy qui mettait en valeur le galbe de ses seins. Son mari la félicita en la faisant tournoyer sur elle-même comme dans une passe de rock n roll. Il la conduisit sur le lit et ils firent l'amour tout habillé avant de descendre au bord de la piscine où les attendaient leurs deux enfants en chahutant dans l'eau. Pandora s'étendit sur la chaise longue sans se départir de son air réjoui. Elle sentit les mains de son mari qui lui massaient les épaules et s'assoupit en songeant que cette journée avait été riche en enseignements. Quand elle se réveilla, elle crut tout d'abord qu'elle était restée seule au bord de la piscine. Elle découvrit sa fille étendue intégralement nue au bord de l'eau.
« J'espère que tu as mis de la crème solaire, ma chérie ! Autrement aucune langue ne pourra apaiser le feu de ton mignon minou. »
« Ne t'en fait pas, Maman ! Je suis prudente... C'est vrai que tu le trouves mignon ? » Demanda-elle en s'approchant de sa mère.
« Oui ! On dirait un sexe de petite fille, comme ça sans poil. »
« Le tient aussi est épilé. Il doit bien ressembler à un sexe de petite fille... » Annonça sa fille d'un air espiègle.
« Comment peux-tu savoir si je m'épile le sexe ? »
« J'ai eu l'occasion de le voir deux ou trois fois à la dérobée. Je dois t'avouer que ça m'a à chaque fois fais fantasmer. »
« Que veux-tu dire ? » Questionna Pandora qui sentaient qu'une autre mauvaise avait toutes les chances d'être annoncée.
« Que j'ai rêvé que je le léchais ! » Répondit la fille effrontément.
Celle-ci se caressait le clitoris sans aucune gêne devant l'auteur de ses jours.
« Ca ne t'excites pas de me voir, me caresser devant toi ? »
« Si ! Je suis tout excitée, à ma grande honte, car je n'ai nullement envie d'avoir de rapport incestueux avec toi. »
« Comme c'est dommage ! Tu ne connaîtras donc jamais le contact de ma langue experte sur ton charmant minou tout chauve ! » Dit sa fille sur un ton enfantin.
« Probablement pas, ma fille ! Mais je saurais survivre à ce manque. » Répondit sèchement Pandora qui préféraient que la conversation tourne court.
« Regarde, Maman ! Ma petite chatte de pute est toute trempée à l'idée que je vais te lécher la moule. » Annonça t'elle d'un air ingénu en écartant de deux doigts ses lèvres vaginales.
« Ca suffit comme ça, Delphine ! Tu vas aller te rhabiller immédiatement sans cela, je vais me fâcher ! » Cria Pandora scandalisée en se dressant devant sa fille.
Celle-ci lui sourit puis se penchant vers sa mère, elle l'embrassa fougueusement sur la bouche en frottant sa langue contre celle de sa mère. Les sens de Pandora vacillèrent et elle se s'assit sur le bord de la chaise sans que la bouche de Delphine se soit désolidarisée de la sienne. Elle sentit une main fouiller sous sa robe courte, puis la main écarta sa culotte et enfin elle sentit la douceur d'un organe chaud et habile fouiller son intimité. Quand Delphine, agenouillée entre ses cuisses mordilla son clitoris, Pandora poussa un feulement en aspergeant le visage de son enfant avec sa jouissance abondante. La fille leva un visage luisant de sécrétion vers sa mère et l'interrogea en souriant malicieusement.
« Quelle langue te lèche le mieux, Maman ? Celle de Papa, celle de ton esclave ou celle de ta fille ? » Demanda t'elle malicieusement.
« Je dois avouer que tu... Mais enfin ! Qu'est-ce que c'est que cette question ? Ce que nous avons fait n'est pas bien. Il ne faudra jamais recommencer et j'ai déjà soustrait de ma mémoire ce fâcheux événement. »
« Moi, je ne veux jamais l'oublier. Ton jus de chatte est encore meilleur que la mouille de Sandra. »
« Là n'est pas la question ! Je suis ta mère et tu es ma fille. Un point c'est tout ! »
« Tu te disais ouverte d'esprit... Tu me déçois ! Nous ne faisions rien de mal. Apprends, pour ta gouverne que l'inceste est interdit dans nos sociétés occidentales parce que les enfants nés de l'inceste ont très fréquemment des tares. Nous n'avons aucunes chances d'avoir des enfants ensemble. Repense à ce que je viens de te dire et essaye d'être un peu plus tolérante. » Informa sa fille d'un ton professoral.
« Tu me demandes à moi d'être plus tolérante ! Je me demande ce qu'il te faut ! J'apprends que ma fille pratique le SM avec une autre fille et celle-ci m'avoue dans la même journée qu'elle a toujours rêvé de lécher le sexe qui l'a enfanté ! Je ne sais pas si je peux être plus tolérante ! » S'exclama Pandora en excédée pour de bon.
« Excuses-moi maman ! Je ne voulais pas dire que tu n'es pas tolérante. Oublions tout ça. Je vais nous préparer deux glaces dégoulinantes de chocolat et pleines de chantilly et de choses interdites formellement par les nutritionnistes. »
Delphine partit dans la maison pour mettre à exécution son projet suicidaire pour les régimes. Elle revint avec deux énormes coupes correspondant à la description sus énoncée. La jeune fille toujours en tenue d'Eve, approcha une chaise de longue de celle de sa mère et s'installa confortablement. Les deux femmes attaquèrent leurs glaces avec appétit.
« Tu voulais savoir ce que je fais avec Sandra ? » Demanda sa fille entre deux bouchées.
« Je m'en doute un peu maintenant. J'ai très peur d'entendre les pires horreurs. » Répliqua Pandora.
« Tu exagères, Maman ! Je suis sûre que je suis moins imaginative que toi. »
« C'est bien possible, ma chérie, mais mets-toi à ma place cinq minutes. Entendre sa propre fille étaler ses turpitudes devant sa mère m'effraie un peu. »
« Je ne rentrerais pas dans les détails, ce serait de toutes façons trop long. Disons que tous les jours, je me retiens d'aller aux toilettes. Ce n'est que le soir que je me soulage chez Sandra. En général dans ses toilettes avec sa tête coincée entre mes cuisses. Quelques fois, je chie dans sont lit ou dans ses assiettes. Dans ces cas là, elle doit dormir dans ma merde ou respirer mes odeurs quand elle mange à la cuisine. Il va de soit que j'économise le papier toilette de mon amante en utilisant sa langue. Je veux l'habituer à l'odeur de mes excréments car j'ai bien l'intention d'utiliser prochainement sa bouche en guise de cuvette. Pour te dire la vérité, Sandra s'est beaucoup plus vite accoutumée à la puanteur de mes pieds quand je quitte mes tennis qu'au parfum, pourtant incomparable de ma merde. »
« Parce-qu'elle lèche tes pieds sales ? » Demanda la mère incrédule.
« Bien sûr ! Tout esclave se doit de lécher les pieds de sa maîtresse. La première chose que je fais quand j'arrive chez elle est de m'installer confortablement sur son canapé. Elle s'approche de moi à genoux et me salue en posant son front au sol. Si je suis de bonne humeur, je me racle la gorge. Sandra comprend tout de suite et se positionne prêt de moi la tête renversée en arrière et la bouche grande ouverte pour attendre mon crachat. Ensuite elle me déchausse religieusement et respire un long moment l'odeur fétide qui stagne à l'intérieur de mes chaussures. Elle enlève éventuellement mes socquettes si j'en porte et les renifle également avec amour. Elle les pose précautionneusement sur un coussin recouvert de soie qui supporte déjà mes chaussures car ces objets ont été sacralisés au contact de mes pieds. Ce n'est qu'après ce petit cérémonial qu'elle est autorisée à sucer mes orteils sales avec la ferveur d'une fidèle pour sa déesse. J'aime sentir sa langue passer entre mes orteils pour les débarrasser des dépôts de crasse qui s'y sont accumulés ! J'aime voir sa chatte suinter sur ses cuisses quand elle lèche pieusement la plante de mes pieds crasseux. Depuis qu'elle est mon esclave, Sandra ne porte pas de chaussures neuves avant que je les aie empuanties avec mes pieds qu'elle considère comme sacrés. Ensuite je vais généralement me soulager aux toilettes et elle lèche longuement mon trou poisseux. Ce que j'aime dans cet acte humiliant, c'est sentir son amour pour ma merde grandir au fur et à mesure que les jours passent. Bien entendu, Sandra boit ma pisse quotidiennement depuis pratiquement le début. Il m'est arrivé même de pisser ici dans des bocaux à confitures que je lui amenais pour qu'elle ne se sente pas en manque le week-end. J'ai inculqué à Sandra l'amour de ma chatte. C'est maintenant, pour elle la plus belle merveille de l'univers. Je lui ai fait prendre des photos de ma chatte sous tous les angles et elle m'a avouée avoir été morte de honte quand il a fallut les chercher chez le photographe qui les avait toutes agrandies. Tous ces posters sont étalés sur tous les murs de l'appartement. Le plus beau d'entre eux, à mon sens est celui qui représente ma chatte de face en train d'uriner dans un grand verre à orangeade. On voit une paille dépasser du vers qu'une bouche, celle de Sandra, est en train de sucer. Sandra aime tellement ma pisse qu'elle emmène souvent une gourde pleine de mon urine à la fac pour se désaltérer. Elle me dit qu'elle a la sensation de sentir un peu de mon pouvoir et de ma beauté la pénétrer quand elle s'abreuve de ma pisse divine.
« Tu as déjà goûté à de l'urine ? »
Non ! Je crois que la seule personne qui réussirait à me convaincre de boire sa pisse, serait toi. Et encore, faudrait-il qu'il y ait un gros truc en échange ! »
« Comme par exemple ? » Demanda Bêtement, Pandora.
« Que tu me promettes que tu me lécheras la moule bien à fond jusqu'à ce que je jouisse dans ta bouche ! »
« Laisse-moi le temps de m'accoutumer à cette idée... Veux-tu ? »
« Je sais que tu ne résisteras pas longtemps à la vue quotidienne de mon adorable chatte de pute. Tu es bien trop vicieuse pour te refuser ce plaisir malsain. »
« Tu as raison, petite salope ! »
« Alors pourquoi décliner mon offre ? »
« Parce qu'il me reste un soupçon de morale, ce qui semble te manquer cruellement ! »
« Ce n'est pas de la morale que tu as, c'est de la peau de saucisson devant les yeux ! Depuis vingt ans que tu es marié avec Papa, tu ne t'es jamais aperçu de ses penchants masochistes ! »
« Comment peux-tu affirmer cela sur ton père ! »
« Que crois-tu qu'il fasse quand il passe une heure dans ma chambre ! Je lui fais ranger mes affaires en échange de quoi, je l'autorise à lécher mes pieds odorants. »
« Ca n'est pas possible ! Je suis dans un cauchemar ! Et depuis quand pratiquez-vous ce genre de fantaisie ensemble ? » Demanda la quadragénaire en se frappant le front.
« Depuis cinq ou six ans ! Je te rassure tout de suite, sa langue n'est jamais montée au-dessus de mes chevilles... »
« Je devrais être rassurée en entendant ma propre fille m'affirmer que son père lui suce les pieds dans sa chambre ! »
« Il ne tient qu'à toi qu'il cesse. Demande-lui de sucer les tiens ! »
« Je ne vais pas m'en priver ! Surtout que c'est une caresse que j'adore ! Mon mari est masochiste et je l'ignorais depuis vingt ans ! »
« Il n'est pas, à proprement parlé masochiste... Je crois qu'il est fétichiste. »
« Pourquoi me l'avoir caché, alors ? »
« Je pense qu'il a peur de te perdre s'il t'avoue son fétichisme. Il a certainement peur que tu le prennes pour un pervers, ce qu'il n'est pas... »
« Le pauvre ! S'il savait combien j'aurais aimé qu'il m'en parle ! Nous-nous serions parfaitement entendus sur ce point. » Affirma rêveusement Pandora.
« Tu dois savoir qu'il préfère largement lécher des pieds sales et puants. »
« Qu'importe ! Je ne me laverais plus les pieds... »
« Ce n'est pas très drôle au quotidien de te coucher avec les pieds qui puent. Je te conseille de porter des chaussures fermées dans lesquelles tu n'as pas de mal à transpirer : Baskets, Tennis, bottes... Tu peux aussi découper des semelles intérieures dans une feuille de plastique. C'est très efficace. »
« J'ai appris plus de choses dans cette journée qu'en vingt ans de vie commune avec mes enfants et mon mari ! C'est un comble ! »
« Je vais me baigner car j'ai la chatte trempée par toutes ces histoires. Tu me rejoins, Maman ? » Demanda Delphine avec un sourire radieux.
« J'arrive ! « Annonça Pandora en laissant tomber ses vêtements à ses pieds.
Elle plongea nue dans la piscine bientôt rejointe par sa fille qui commença à lui caresser la poitrine.
« Laisse-moi tranquille, Delphine! J'ai besoin de digérer tout ça ! »
Quand le père et le fils rentrèrent de leur longue ballade à vélo, Pandora remarqua que son époux avait retrouvé un visage radieux. Il ne semblait pas fatigué alors que la randonnée avait dû être pénible. Elle s'informa sur leur parcours ainsi que leur appétit.
« Je pourrais manger une vache sur pieds ! » S'exclama son fils.
Le père affirma qu'un troupeau complet lui irait bien en guise d'entrée.
« Bon je vais vous préparer quelque chose de consistant. Nous les filles, nous contenterons d'un repas plus frugal, étant donné que nous n'avons strictement pas bougé du bord de la piscine et que nous avons déjà dévoré une énorme glace pleine de calories partout ! »
« Tu fais attention à ta ligne, chérie ? »
« Disons que je la surveille et que j'évite les excès. Je veux conserver ma ligne pour plaire à mon petit mari... »
« Alors c'est réussi ! »
Le repas se passa presque sans encombre. Pandora sentit à plusieurs reprise le pied de sa fille qui essayait de se frayer un passage entre ses cuisses, mais à part cela, rien ne vint ternir la bonne ambiance de ce repas en famille.
Le soir venu, son mari s'installa sur le canapé pour regarder la télé. Le film était déjà commencé, mais cela lui importait peu. Il avait juste besoin de se distraire. Pandora vint le rejoindre après qu'elle eut débarrassé la table avec l'aide de son fils. Pandora ôta ses chaussures et vint se blottir contre son mari. Pendant ce temps leurs enfants étaient en train de jouer sur la console de jeux de l'aîné. Pandora demanda à son mari si ça ne le dérangeait pas qu'elle s'allonge sur le canapé. Il l'invita à s'installer confortablement. Elle se positionna de telle sorte qu'au bout de ses jambes repliées, ses pieds soient en contact avec la cuisse de son amour.
« Ca ne te déranges pas si j'étends mes jambes, mon chéri ? »
« Fais comme chez toi, ma douce. »
« J'ai les pieds fatigués en ce moment. C'est une horreur comme ils me font souffrir ! »Annonça t'elle malicieusement en feignant la douleur.
« Veux-tu que je te les masse ? »
« Tu serais un amour ! Je ne suis pas chatouilleuse mais fais attention car je suis très sensible des pieds. »
« Je ne comprends pas bien ce que tu veux dire par-là. »
« Je te dis que tu aurais tôt fait de m'exciter si tu rendais ton massage trop lascif. » Annonça t'elle malignement.
Elle sentit les mains musclées de son mari malaxer ses pieds de plus en plus sensuellement. Elle n'était pas dupe du petit jeu qui se tramait entre eux. Pandora leva une jambe de sorte que son pied vint se positionner juste sous le nez de son mari.
« J'espère que je ne sens pas trop des pieds. J'ai un peu transpiré dans ces chaussures... » L'informa t'elle à dessein.
Son mari s'empara du pied et l'embrassa très tendrement.
« Je te rassure. » Dit-il. « L'odeur de tes pieds ne m'importune aucunement. Au contraire... » Ajouta t'il en déposant le pied sur sa cuisse et des points de suspension à cette dernière affirmation.
« Et l'autre ! Tu l'oublies ? » Demanda Pandora avec une petite voix enfantine.
« Je ne pense qu'à lui. » Rétorqua son mari d'un air bienveillant.
Il s'empara du pied élégant de sa femme et le porta à sa bouche. Le baiser fut plus long et plus appuyé que pour le précédent pied. Pandora sentait qu'elle avait ferré son mari. D'un imperceptible geste de la cheville, Pandora présenta ses orteils devant la bouche de son mari qui se mit à les embrasser délicatement en fermant les yeux. En exerçant une pression de plus en plus forte, elle obtint ce qu'elle voulait en quelques secondes. Trois de ses orteils étaient dans la bouche de son époux qui les suçait, toujours les yeux fermés. Question de l'encourager à continuer, Pandora accéléra volontairement sa respiration, feignant ainsi un intense plaisir.
« Comme c'est agréable, mon amour ! Je n'aurais jamais imaginé prendre autant de plaisir à me faire sucer les doigts de pieds ! » Mentit-elle. « Si tu enfonce la totalité de mon pied dans ta bouche, je crois bien que je vais avoir un orgasme. » Chuchota t'elle.
Elle vit alors la bouche de son mari se distendre complètement pour laisser le passage à ces cinq orteils. Elle imprima une pression pour que son pied s'enfonce encore. Elle sentait avec volupté la langue de son mari s'agiter sous la pulpe de son pied. Elle agita ses orteils, griffant sans conséquence le palais de l'homme. Elle feignit l'arrivée d'un orgasme car elle ne voulait surtout pas ameuter la maisonnée. Quand elle retira son pied trempé de salive de la bouche de son mari, celui-ci se leva du canapé et s'agenouilla. Il prit l'autre pied de sa femme dans sa bouche et le suça avec une ferveur inhabituelle. La vision de son mari agenouillé à ses pieds ainsi que la sensation délicieuse que lui procurait sa succion eurent tôt fait de lui déclencher un véritable orgasme, cette fois. Elle éteignit la télé pendant que son mari l'emportait dans ses bras jusqu'au lit conjugal. Il la déshabilla avec adresse puis l'étendit sur le lit. Il se déshabilla à son tour et s'étendit à côté d'elle qui feignait le demi-sommeil. Il commença à couvrir son cou de tendres baisers, puis se furent ses seins dont les tétons se dressèrent rapidement sous l'action des lèvres de son époux.
« Oh, oui ! Mon chéri. Couvre mon corps de tes baisers ardents. Ne laisse aucune parcelle de ma peau exempte du contact de tes lèvres amoureuses. » Dit-elle la voix assourdie pour simuler l'endormissement.
Son mari la couvrit de baisers, recto et verso pendant que Pandora sombrait dans un sommeil cotonneux. Quand elle s'éveilla au beau milieu de la nuit, elle sentit la bouche de son mari qui officiait encore sur ses pieds. Décidément ! Se dit-elle. J'ai épousé un vrai maniaque fétichiste. Mais ce n'est pas moi qui vais m'en plaindre.
Le cinquième jour
Quand elle ouvrit les yeux au petit matin, Pandora fut étonnée de ne pas voir son mari dans la couche conjugale. Elle se leva prestement et alors qu'elle allait chercher un tee-shirt dans la commode, elle découvrit le corps endormi de son époux à même le sol au pied du lit. Elle sourit en songeant combien il avait dû être heureux de pouvoir enfin s'adonner à sa pratique favorite. Pandora enfila un long tee-shirt blanc et une paire de chaussures de sport blanche également. Pas de culotte car elle voulait sentir l'air caresser sa chatte. Elle alla se soulager aux toilettes en prenant la précaution de ne pas s'essuyer puis, elle descendit se préparer son petit déjeuner. A sa grande surprise, Pandora n'était pas la seule levée à cette heure matinale. Sa fille l'attendait dans la cuisine dans une tenue des plus suggestive. Elle portait, en effet un long tee-shirt qu'elle avait découpé au niveau des seins et de l'aine.
« Que fais-tu ici dans cette tenue indécente ? »
« Je sais que tu as pu constater le fétichisme de Papa. Je viens chercher ma récompense. » Annonça t'elle fièrement.
« C'est à dire ? »
« Je veux que tu m'autorises à te lécher la chatte. »
« Je savais que tu ne te découragerais pas de sitôt. Je ne me suis pas essuyé la fente volontairement après avoir pissé. Je me suis dit que tu apprécierais ce petit geste. » Dit-elle d'un ton perfide.
La jeune fille ne répondit rien. Elle s'agenouilla devant sa mère et souleva le tee-shirt. Elle contempla un instant le pubis qui s'exhibait devant elle en s'exclamant.
« Comme ta chatte est belle, Maman ! On a envie de la manger. »
Puis elle plongea son visage entre les cuisses fermes de sa mère. Elle lécha avidement la vulve odorante de sa mère et l'amena jusqu'à l'orgasme qui faillit les faire tomber toutes les deux. Pandora baissa son tee-shirt et s'adressa à sa fille de manière peu courtoise.
« La prochaine fois, je ne pisserais pas aux toilettes avant. Alors gare à toi ! »
« Tu crois m'impressionner ? Je boirais ta pisse avec le même plaisir que j'ai à boire ton foutre ! Tu es aussi perverse que moi, sinon plus. Je sais très bien que tu ne tarderas pas à prendre du plaisir à baiser ta fille ! » Annonça t'elle perfidement.
« Je le sais pertinemment et c'est cela qui me fait peur mais je veux t'en faire voir de toutes les couleurs avant de céder à tes avances obscènes ! »
« Tu n'arriveras pas à me décourager. Dusses-je te lécher le trou plein de merde, je t'amènerais dans mon lit et tu me supplieras de te sucer le cornichon. » Répondit la fille vulgairement.
« A moins que ça ne soit toi qui me supplie de te laisser me le sucer religieusement. Tu ne sais pas de quoi je suis capable, ma fille. En attendant, va enfiler une tenue décente ! »
« Comme la tienne ? Tee-shirt, baskets et pas de culotte ? »
« Par exemple ! Ca me permettra de t'exciter toute la journée en tripotant ta fente, petite pute ! »
« J'aime quand tu me parles comme ça, Maman ! J'ai l'impression que tu commence à comprendre ce que tu as enfanté. »
« Ce n'est tout de même pas moi qui t'ai transformé en chienne lubrique continuellement en chaleur ! »
« Non, mais j'aurais bien aimé ! »
« File dans ta chambre avant que je me fâche pour de bon « !
« Si tu veux me punir ; mes adorables petites fesses de salope lubriques sont à ta disposition ! »
« Fais bien attention à ce que tu dis, sinon il risque de t'en cuire ! »
Sa fille disparut en riant. Pandora prépara le breakfast. Revenue de sa chambre en tenue décente, sa fille l'aida en dressant la table sur la terrasse.
« Que fait ton frère ? »
« Il doit être en train de se branler sur ses revues cochonnes. Comme d'habitude ! »
« Je n'en crois pas mes oreilles ! Je vis au milieu d'une famille constituée de pervers lubriques. »
« Parles pour toi, Maman. Ni mon frère ni mon père n'ont d'esclave. Quant à moi, je n'ai rien fait de plus que toi... »
« Je n'ai jamais uriné dans la bouche de quiconque ! »
« Tu vas le faire très prochainement. Ca revient au même. En tous cas tu devrais avoir une discussion sérieuse avec mon frère... »
« Qu'est-ce à dire ? »
« Ces fréquentations m'inquiètent un peu... Mais il sera beaucoup plus simple que tu t'adresses directement à lui. »
A suivre... (La mère de famille va de surprise en surprise.)