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Proposée le 6/07/2008 par Bolo_CxRousse
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Pour ceux et celles qui n'auraient pas lu les précédents chapitres, en voici un résumé :
Pandora est le pseudo qu'a choisi mon interlocutrice sur une messagerie rose. Elle me raconte une aventure vécue durant laquelle elle séduit puis assujettit son jeune jardinier. Transi d'amour pour sa belle patronne, celui-ci accepte avec joie les épreuves originales qu'elle lui impose et il ne tarde pas à devenir son esclave sexuel pour leur plus grand bonheur.
Un rêve de Pandora
La chaleur accablante de l'après-midi aidant, la quadragénaire s'endormit en rêvant à son beau mâle docile. Elle s'imaginait, étendue sur un palanquin porté par six beaux mâles ressemblant à Pedro. L'attelage évoluait lentement dans les galeries d'un château médiéval. Tous les hommes qu'elle rencontrait sur son chemin, cessaient instantanément leurs activités pour se prosterner devant leur souveraine. L'attelage s'arrêta enfin dans une vaste chambre carrée d'environ 10 mètres de côté. La pièce était recouverte de tentures de soie bleue des murs au plafond. L'unique mobilier de la chambre consistait en un gigantesque lit à baldaquin bleu marine. Le sommier, qui devait mesurer environ trois mètres de côté, était supporté par une douzaine de mâles nus en position de cariatide de sorte que le lit se trouvait à environ un mètre vingt du sol. La lumière provenait de candélabres plantés dans les bouches d'une quarantaine d'esclaves au garde à vous le long des quatre murs, la tête renversée en arrière. Le palanquin s'immobilisa juste devant le lit et les douze porteurs s'agenouillèrent dans un ensemble parfaitement synchronisé, de sorte que le palanquin se trouva à la hauteur exacte du matelas. La souveraine se leva sur sa couche et n'eut à faire que quelques pas pour se trouver au centre du lit. Elle laissa choir l'étoffe diaphane qui la couvrait des épaules aux chevilles et à cet instant précis, elle put constater avec ravissement que tous les esclaves présents dans la salle, affichaient une belle érection. La reine Pandora s'étendit nue sur son lit alors que 11 esclaves infibulés un peu partout sur le corps, s'approchèrent respectueusement d'elle. Deux d'entre eux prirent les mains de leur souveraine pour les manucurer avec délicatesse. Deux autres lui massèrent les épaules et les seins. Un cinquième esclave s'était positionné de sorte à pouvoir rafraîchir d'un souffle léger, la vulve ardente de sa reine. Deux esclaves massaient ses cuisses avec douceur tandis que deux autres s'occupaient des mollets de sa majesté. Enfin les deux derniers esclaves étaient agenouillés aux pieds de leur maîtresse pour prodiguer mille soins buccaux aux pieds divins de leur souveraine. Une grande porte double s'ouvrit, laissant passage à quatre esclaves soutenant une croix de saint André sur laquelle était attaché Pedro. Les quatre esclaves dressèrent la croix à la verticale de sorte que le pauvre Pedro puisse faire face à sa maîtresse. Celui-ci s'adressa à elle avec une infinie tendresse teintée d'adoration mystique.
« Oh ! Divine majesté, déesse adulée. Je t'offre ma souffrance et mon sang pour te distraire un peu. Je suis enchanté de recevoir ce châtiment devant toi car j'aurais ainsi l'immense bonheur de pouvoir contempler quelques instants ton corps divinisé et peut-être même déceler un sourire amusé sur ses tes lèvres purpurines. La seule punition que je ne saurais supporter serait celle qui me priverait de la vue de ta beauté céleste. Un mot de toi et le supplice peut commencer, divine souveraine. »
Pandora observa Pedro pendant quelques secondes qui durent paraître très longue au futur supplicié.
« Que le châtiment de cette larve rampante commence maintenant ! Je veux qu'il ne se termine que quand cet être abjecte aura poussé son dernier soupir ! Qu'il en soit fait selon ma volonté ! »
Elle put lire avec ravissement la terreur envahir les yeux de son esclave. Elle s'étendit de nouveau pour savourer les lentes caresses des onze esclaves pendant que les quatre fouets claquaient sur la peau du supplicié volontaire. Elle avait décidé de ne pas prêter attention à la torture que son esclave subissait à seule fin de l'humilier un peu plus.
Quand Pandora fut informée par un des esclaves bourreaux, que le supplicié avait perdu connaissance, elle ordonna qu'on le détache et qu'on l'étende sur des draps au sol. Il en fut fait ainsi et Pandora attendit quelques instants avant de descendre de son lit sur le dos de trois esclaves qui faisaient office de marches d'escalier. Elle s'approcha de son esclave favori et l'enjamba. Elle s'accroupit au-dessus de son visage et urina directement dans sa bouche ouverte. L'esclave se réveilla sous l'action du fluide et s'écria :
« Je suis au paradis ! »
Pandora rit de bon cur en entendant cette expression, ce qui eut pour effet d'agiter son bassin inondant le pauvre esclave des cheveux à la poitrine. L'esclave lécha religieusement les gouttes dorées qui étaient restée suspendues aux lèvres intimes de sa déesse.
Alors qu'elle allait se relever, Pandora entendit une sonnette retentir. Après qu'elle eut sonné une deuxième fois, Pandora réalisa qu'il s'agissait de la sonnette du portail de la maison. Elle se précipita sur l'interphone pour entendre un coursier lui demander si elle était bien elle. Drôle de question, en effet ! Elle lui confirma d'un ton ironique qu'elle était bien elle-même. Elle appuya sur le bouton d'ouverture du portail et se précipita dans sa chambre pour enfiler un short et un tee-shirt. Quand elle arriva sur la terrasse, le portier regardait autour de lui pour la chercher.
« Je suis là, Monsieur ! » S'exclama Pandora en agitant un bras en l'air.
Le type s'approcha d'elle, un long paquet blanc à la main. Il dévisagea la maîtresse de maison comme si elle venait de la planète Mars. Il lui tendit le paquet sur lequel était posé un carnet qu'il fallait signer. Pandora apposa sa signature au bas du formulaire. Lorsqu'elle releva les yeux elle constata que l'homme la dévisageait toujours avec des yeux fixes et la nuque raide, comme si elle était un général passant ses troupes en revue. Elle salua le type étrange qui partit sans même un au revoir.
La quadragénaire posa le léger paquet sur la table du salon et s'en alla à la cuisine pour chercher un couteau et des ciseaux. C'est en croisant le grand miroir du fond dusalon qu'elle comprit pourquoi le type la regardait avec ces yeux de merlan frit. La braguette de son short n'était pas fermée et sa jolie minette glabre apparaissait dans toute sa splendeur au milieu du short. Le comble de la honte et qu'il y avait un mince filet de sécrétions blanches qui pendait en bas des grandes lèvres. L'instant de honte rétrospective passé, Pandora rit de bon cur en se demandant ce que le livreur avait bien put imaginer à son sujet. En tous cas, il avait de quoi alimenter ses fantasmes ce soir !
Pandora ouvrit le paquet et découvrit avec stupéfaction son contenu. A l'intérieur de la boîte se trouvait une rose rouge à la tige très longue dont les piquants avaient été conservés. Pandora la posa précautionneusement sur la table en se demandant qui avait bien pu lui envoyer un tel colis. Elle découvrit une petite enveloppe contenant un mot rédigé comme suit :
« La plus belle de mes roses pour la plus belle des roses. »
Le mot était signé 'Pedro, votre serviteur'.
Pandora contempla un instant la carte car elle avait du mal à réaliser ce qui se passait. Elle souleva le papier de soie qui se trouvait au fond de la boîte pour découvrir un objet oblong en cuir noir. Il s'agissait d'une cravache à n'en pas douter. Elle resta plusieurs secondes pétrifiée devant ce présent insolite. Au bout du manche de la cravache se trouvait une lanière de cuir traversant un carton blanc. Sur la carte était écrit :
« A utiliser quand Pedro n'est pas sage ou qu'il est désobéissant. »
La carte n'était pas signée mais un cur traversé de barbelés était dessiné dans le coin supérieur gauche et en dessous se trouvait un numéro de téléphone. Pandora avait du mal à réaliser que son projet allait être mis à exécution beaucoup plus vite qu'elle ne l'aurait imaginé. Elle était excitée à l'idée de voir son fantasme se matérialiser mais en même temps, elle redoutait ce moment de vérité crue. Elle se demandait si elle allait être à la hauteur des attentes de Pedro. Elle attrapa la cravache qu'elle fit siffler plusieurs fois dans l'air. Afin de la tester, la quadragénaire s'infligea un petit coup de cravache sur la cuisse. Elle ressentit aussitôt après une vive brûlure qui s'atténua heureusement rapidement. Elle se demandait si Pedro avait bien conscience de ce qu'il faisait en lui offrant un tel instrument. Savait-il combien les coups de cravache peuvent être douloureux ? Elle se rassura en se disant que ce garçon était majeur et qu'il avait bien du essayer la cravache. Pour peu qu'il ait été un masochiste confirmé, il avait bien dut fréquenter des clubs spécialisés... De toutes manières Pandora comptait bien essayer la cravache sur son nouvel esclave.
La maîtresse de maison retourna sur la terrasse et s'assit en face du téléphone en le regardant fixement. Elle essayait de se concentrer pour savoir ce qu'elle allait dire à Pedro au téléphone. Elle décrocha puis, composa le numéro inscrit sur la carte. Elle entendit quatre tonalités avant que quelqu'un décroche de l'autre côté.
« Pedro ? »
« Oui Madame. C'est moi. »
« Plus de « Madame » entre nous Pedro. Tu m'appelleras désormais Maîtresse ou Maîtresse... Pandora. Voilà qui sonne bien. Compris ? »
« Oui Maîtresse Pandora. Je suis à vos ordres Maîtresse. »
« Tu vas te dépêcher d'amener ta carcasse d'esclave chez moi car mes ongles de pieds ont besoin d'être vernis. Tu as intérêt à faire vite car il y aura un coup de cravache pour chaque minute écoulée entre maintenant et ton arrivée à genoux devant moi. Fissa ! »
« J'arrive tout de suite Maîtresse adorée ! » S'exclama Pedro avant de raccrocher.
Pandora monta dans sa chambre et enfila une légère robe d'été très courte aux tons pastel de pèche et de mandarine. Quand elle virevolta devant la glace, elle put constater que la robe se soulevait laissant voir son minou épilé et ses jolies fesses dodues. Elle enfila les escarpins transparents et descendit en vitesse s'étendre sur sa chaise longue au bord de la piscine. Dans sa précipitation, elle n'avait pas pris l'heure de l'appel. Qu'importait, puisqu'elle arrondirait de toutes façons à dix, le nombre de coups qu'elle comptait infliger ce jour à son catéchumène.
Pedro fit son apparition quelques minutes après. Il sembla à Pandora qu'il ne s'était pas écoulé plus de 5 minutes entre l'appel et son arrivée sur la terrasse. Le jeune homme s'agenouilla intégralement nu devant sa maîtresse. Il la déchaussa avec délicatesse et baisa dévotement les jolis pieds fins de sa nouvelle propriétaire.
« Ecoute-moi bien, chien ! Tu ne te déplaceras plus dans cette propriété qu'à quatre pattes. Les seules fois où tu seras autorisé à te dresser sur tes pattes de derrière seront quand tu auras la nécessité d'attraper un objet haut placé ou quand je te l'ordonnerais explicitement. Cela est-il bien compris, esclave ? »
« Oui Maîtresse Pandora. Vos désirs sont des ordres et votre volonté fait loi ! » Répondit-il, visiblement habitué à ce genre de pratiques.
Pandora se demandait où il avait bien put apprendre ce genre de phrases dithyrambiques... Elle ordonna à son esclave de la rechausser puis elle se leva et se dirigea dans le salon, suivie de près par l'esclave à quatre pattes. Elle s'empara de la cravache qu'elle fit siffler dans l'air trois fois.
« Ton retard est inadmissible, esclave ! Je vais te faire regretter ton cadeau, crois-moi ! Je vais t'assener dix coups de cravache sur le derrière pour le temps que tu as mis à venir ici aux pieds de ta déesse. »
Pedro ne discuta pas le nombre de coups de cravache, alors qu'il était évident qu'il n'avait pas mis dix minutes à venir. Il se prosterna aux pieds de sa maîtresse et baisa ses orteils un à un. Quand cette petite séance de dévotion se termina, Pandora fit le tour de l'esclave dont les épaules étaient restées au sol. Elle constata avec effarement que le derrière du mâle était déjà constellé de marbrures.
« Qui t'a déjà fouetté, esclave ? » Demanda t'elle en détournant un court instant sa vue de ce derrière atrocement martyrisé.
« C'est ma tante Olga, Maîtresse. » Répondit respectueusement Pedro.
« Tu es l'esclave de ta tante ? » Questionna Olga qui s'accoutumait petit à petit à la vue des cloques qui constellaient les deux globes fessiers.
« Non, Maîtresse. Mais tante Olga est très sévère et c'est elle qui s'occupe de mon éducation jusqu'à ma majorité. »
« Tu n'as donc pas dix-huit ans ? » Interrogea t'elle en reculant d'un pas.
« J'ai vingt ans, Maîtresse. La majorité dans mon pays est à vingt et un ans. »
« Nous verrons cela plus tard, esclave. En attendant, je double le nombre de coups pour m'avoir caché l'existence de cette charmante tante. Tu vas les compter et me remercier entre chaque cinglée. »
Pandora leva le bras et l'abattit de sorte que la cravache toucha les deux globes fessiers à la fois. Elle put constater qu'aucune trace ne subsistait de ce coup pendant que Pedro s'exclamait d'une voix monocorde :
« Un ! Merci divine Maîtresse ! »
Elle appuya un beaucoup plus le deuxième coup pour observer cette fois-ci une trace rouge à l'endroit ou la cravache avait frappé.
« Deux ! Merci divine Maîtresse ! »
S'exclama l'esclave avec une voix tremblante cette fois. Pandora asséna les vingt coups sans changer son rythme puis, en nage, elle laissa choir la cravache.
« Viens baiser la main qui t'a corrigé, misérable esclave ! »
Pedro se retourna et vint à quatre pattes déposer un tendre baiser sur la main de sa maîtresse. Celle-ci fit demi-tour et monta les escaliers qui mènent aux chambres. Elle ôta précipitamment sa robe. Pedro arriva une seconde après qu'elle était étendue sur le lit, les mains croisées derrière la nuque.
« Ce n'est pas trop tôt esclave ! A l'avenir, il faudra que tu apprennes à te déplacer plus vite à quatre pattes » Annonça t'elle avec une mauvaise fois évidente.
« Je suis en sueur à cause de toi, esclave ! Tu vas commencer par me décaper avec ta langue des aisselles jusqu'aux orteils. Mais attention ! Je veux que tu t'acquittes de cette tâche avec toute la dévotion qu'un misérable esclave comme toi se doit de témoigner au corps sublime de sa déesse. »
Pedro s'exécuta sans délai. Pendant plus d'une heure, il lécha consciencieusement les aisselles humides de sa maîtresse, il fit glisser sensuellement sa langue sur la poitrine encore ferme de la quadragénaire. L'organe de chaire rose se blottit au fond du nombril humide de sueur puis, avec une douceur infinie, il lécha le pubis de sa propriétaire en prenant bien soin de ne pas pénétrer dans l'antre encore interdit. Ses coups de langues se prolongèrent sur les cuisses et les mollets pour enfin se focaliser sur les pieds mignons de Pandora. Quand sa tâche fut terminée, Pandora se retourna lui enjoignant de prendre le sens inverse jusqu'à ses épaules. Quand l'esclave commença à lécher l'anus de sa patronne, celle-ci lui enjoignit d'écarter ses fesses.
« Regarde, esclave ! Admire le merveilleux illet brun de ta maîtresse ! Repais-toi de cette vision mirifique de l'anus divin de ta déesse. Il n'y a pas de joyau plus précieux et plus brillant que l'anus adoré de Maîtresse Pandora. Imprègne-toi de sa magnificence ! Observe-le au point de pouvoir déceler la moindre de ses contractions. Enivre-toi de ses parfums musqués au pouvoir aphrodisiaque. Je veux que ta dernière vision juste avant de mourir, soit celle de l'anus merveilleux de ta déesse. Je t'apprendrais à vouer un véritable culte à l'anus divin de ta Maîtresse. Je t'enseignerais les mille façons de lui procurer plaisir ou détente. Je t'amènerais à ne plus penser qu'à lui, à ne plus rêver que de lui. Je te rendrais totalement amoureux de mon petit trou. Tu auras l'air encore plus ridicule en adoration devant mon trou du cul. Tu ne pourras plus te passer de lui. Tes rêves seront peuplés des images de mon rectum merveilleux et tu devras bientôt me supplier pour avoir l'insigne honneur d'introduire ta langue d'esclave dans mon trou gluant et odorant. Je ne m'essuierais plus le derrière après m'être soulagée aux toilettes pour que tu puisses pleinement t'adonner à ta nouvelle drogue. J'attendrais impatiemment le jour béni où tu me supplieras de déféquer directement dans ton groin. Ce jour là tu deviendras mon esclave latrines et je ne m'assiérais plus jamais sur une cuvette en faïence. Maintenant enfonce ta langue servile au fond de mon trou du cul pour récolter les délicieuses saveurs qui s'y cachent ! »
Pandora sentit instantanément la langue de son esclave pénétrer son anus avec volupté. Au plaisir physique de sentir l'organe de chair fouiller la partie la plus intime de son individu, l'aspect humiliant de cette besogne augmentait sa jouissance. L'esclave cessa de lécher l'anus de sa maîtresse seulement quand celle-ci le lui signifia. Elle n'était pas mécontente de la prestation de son catéchumène. Quand le nettoyage de son corps fut terminé, Pandora envoya Pedro aller chercher le plateau de vernis à ongles dans la salle d'eau attenante. Elle choisit un flacon et ordonna préalablement à l'esclave d'ôter le vernis de ses ongles avec des tampons démaquillants. Il s'acquitta fort bien de sa tâche en vernissant impeccablement les pieds de sa maîtresse.
« On dirait le travail d'un professionnel ! » S'exclama t'elle en sifflant d'admiration. « C'est ta tante qui t'a appris à vernir si bien les ongles ? »
« Oui, Maîtresse Pandora. Je vernis les ongles de mains et de pieds de ma tante depuis l'âge de 5 ans. »
« Voilà une femme fort avisée, qui a su tirer partie de tes capacités dés ton jeune âge ! Cette femme a bien compris qu'un dressage n'est réellement efficace que quand il est dispensé le plus tôt possible. »
« C'est que je suis hébergé chez tante Olga depuis l'âge de 5 ans. Elle ne pouvait pas commencer mon dressage avant et je crois bien qu'elle le regrette. »
Pandora sourit devant la naïveté de ce charmant garçon.
« J'aimerais que tu me racontes tout ça un autre jour car il va falloir que tu me quittes. Je n'ai pas que cela à faire que de m'occuper de toi ! » Annonça Pandora non sans une certaine mauvaise fois.
L'esclave se prosterna pour baiser respectueusement les pieds de sa propriétaire puis, il descendit les escaliers à quatre pattes. Pandora l'observa par la fenêtre de la chambre. Il se dirigeait toujours à quatre pattes vers le portail de la propriété où il avait laissé ses vêtements. Quand la camionnette démarra, Pandora descendit à son tour les escaliers dans le plus simple appareil. Elle ramassa la cravache qu'elle rangea dans la commode avec le collier et les deux laisses. Ces petits accessoires lui seront offerts lors de la prochaine séance. Elle avait hâte de revoir son bel esclave entièrement dévoué au plaisir égoïste de sa maîtresse.
Comme les visites arrivent rarement seules, l'époux de Pandora fit son apparition vers 22 heures. Il avait des poches violettes sous les yeux, un teint blafard et on pouvait lire dans ses yeux la fatigue accumulée. Pendant qu'il grignotait quelque chose à la cuisine, Pandora, en bonne épouse, s'inquiéta de son état de santé. Il lui expliqua qu'il avait parcouru plusieurs milliers de miles cette semaine et qu'il avait beaucoup de difficultés à trouver le sommeil à cause de ses soucis.
« Tu ne devrais pas te mettre dans un tel état ! » Lui recommanda t'elle.
« Tu n'as plus vingt ans et ton pouvoir de récupération n'est plus le même. Je vais te faire couler un bon bain dans lequel tu pourras te détendre. Nous irons nous coucher de bonne heure afin que tu puisses dormir tout ton saoul jusqu'à tard dans la matinée. »
Son mari ne réagit même pas à cette offre. Il se leva et alla s'étendre sur le canapé. Pandora monta à la salle de bains et fit couler un grand bain chaud. Elle ajouta des huiles délassantes dans l'eau et alla quérir son pauvre époux fourbu. Il s'était assoupit dans le canapé. En le voyant dormir comme un gros bébé, Pandora n'osa pas le réveiller. Elle lui ôta ses chaussures et dénoua sa cravate. Elle monta chercher un drap dans l'armoire de la chambre et déposa un tendre baiser sur le front de son époux qu'elle recouvrit du drap. Pandora aimait sincèrement son mari. C'était un homme brillant, intelligent et ouvert d'esprit. Il n'oubliait jamais les anniversaires de quiconque y compris les anniversaires de fiançailles et de mariage. Elle avait le cur un peu gros de voir son mari s'éreinter au travail pour nourrir sa famille alors qu'elle n'avait jamais travaillé de son existence. Elle lui avait proposé à maintes reprises mais il avait toujours refusé prétextant que sa tâche consistait à élever les enfants. La plus jeune avait vingt ans maintenant mais la femme au foyer ne lui avait plus proposé de travailler après quelques années. En contemplant son époux endormi, la vision de Pedro en train de se faire fouetter dans le salon s'imposa devant Pandora. Elle fut étonnée de ne ressentir aucun remords vis à vis de son époux qu'elle cocufiait en quelques sortes avec le jardinier.
Un fantasme
Elle se surprit même à s'imaginer allongée sur la table du salon en train de se faire pénétrer par la queue démesurée de son esclave sexuel. Elle réalisa dans le même temps qu'elle ne l'avait pas vu bander une seule fois durant la séance. Serait-il impuissant ? Peut-être a t'il été dressé pour ne pas bander devant sa maîtresse sans que celle l'y autorise ? Peut-être qu'il ne la trouve pas bandante et que seuls les rapports sadomasochistes l'intéresse. Elle se promit d'en avoir le cur net dés la prochaine séance. Pandora remonta à la salle de bain et se coula voluptueusement dans l'eau moussante de la baignoire. Elle se caressa lascivement le clitoris jusqu'à l'orgasme en imaginant des scènes obscènes avec son jeune esclave. Elle se voyait en train de se faire lécher la chatte sous la table alors qu'elle dînait en tête-à-tête avec son mari. Elle imaginait la vie de famille si la présence de son esclave était officielle. Les enfants joueraient avec le chien dans le jardin. Sa fille s'amuserait à tenter de noyer le pauvre esclave dans la piscine en l'empêchant de refaire surface avec son pied. Pandora contemplerait son esclave se nourrissant des excréments de sa déesse dans une écuelle posée sur la terrasse. Il banderait comme un cheval en respirant les merveilleux effluves tout droit sortis du corps divin de sa maîtresse. Son mari se ferait sucer pendant qu'il regarde un match à la télé. Sa fille se ferait lécher la vulve dans sa chambre en période de règles. Mais ce qu'il considérerait le plus comme la friandise suprême serait les tampons usagés de celle qu'il aurait élevé au rang de divinité. Elle aimerait l'entendre du fond de la chapelle improvisée dans la cave psalmodier durant des heures des prières à la gloire de l'anus précieux de sa déesse. Elle aimerait le trouver étendu sous ses pieds quand elle se lève le matin. Elle n'aurait aucun effort à fournir, si ce n'est d'écarter les jambes pour uriner directement dans la bouche extatique de son pieu adorateur. Elle descendrait sur la terrasse et s'installerait confortablement sur une chaise percée sous laquelle son esclave attendrait, bouche ouverte, que sa maîtresse daigne lui faire la faveur d'un gros étron fumant pendant qu'elle prend son petit déjeuner. Rien n'aurait aux yeux de l'adorateur inconditionnel une saveur comparable aux excréments de sa déesse. L'ayant correctement conditionné, Pandora le verrait bander à la simple vue des orteils de sa maîtresse. Elle s'amuserait à se promener devant lui en sandales juste pour voir son sexe s'ériger. D'autres fois elle le ferait agenouiller devant elle et l'obligerait à ne pas quitter ses pieds des yeux. Elle s'amuserait alors à se déchausser et à se rechausser de plus en plus rapidement pour voir si le sexe de l'esclave pouvait soutenir ce rythme. Elle le fouetterait fréquemment pour les plus petites vétilles ou sans autre raison que son plaisir personnel. Elle l'enfermerait dans la penderie pour qu'il nettoie avec sa langue les innombrables souliers de sa maîtresse. Elle exigerait que toutes les chaussures soient humides quand elle reviendrait. Bien évidemment, l'esclave échouerait systématiquement et Pandora pourrait alors le supplicier pendant des heures avec des aiguilles plantées un peu partout sur son corps. Elle l'obligerait à sourire et à remercier sa maîtresse quand elle s'amuserait à malaxer ses parties génitales hérissées de fines aiguilles. Elle inviterait ses amies à venir déféquer dans des assiettes puis l'esclave devrait retrouver l'assiette contenant les excréments de sa propriétaire les yeux bandés. Elle ne se soulagerait dans aucune assiette afin que l'esclave soit obligé de goûter à toutes les déjections de ses amies et qu'il soit aussi privé du met qu'il considère comme le plus délicat. Après un certain temps, il serait devenu inutile à la maîtresse de battre son esclave. Elle ne le torturerait plus que pour son propre plaisir. La punition suprême consisterait à attacher l'esclave à un anneau mural de la cave et à déposer hors de sa portée une gamelle contenant un gros étron tout chaud de sa maîtresse. Le supplice de Tantale en quelques sortes. L'esclave deviendrait fou au bout de quelques minutes, suppliant qu'on le libère pour qu'il puisse adorer les déjections divines. Prenant pitié du pauvre esclave, Pandora lui proposerait de commuer sa peine en une journée complète de supplices tous plus atroces les uns que les autres, ce qu'il accepterait avec joie.
Après un quatrième orgasme aux effets dévastateurs, Pandora sortit du bain et alla se coucher nue entre les draps frais. Elle n'entendit pas son mari entrer en pleine nuit dans la chambre, pas plus qu'elle ne s'entendit pas marmonner des mots presque incompréhensibles dans lesquels il était question de lui lécher la vulve. Elle ne se réveilla que sous l'action de la langue de son mari. Celui-ci s'était positionné à plat ventre entre les cuisses de sa femme et il lui prodiguait cette caresse intime dont il la privait la plupart du temps. Pandora se laissa aller à l'orgasme qui la gagnait, envoyant des flots de jouissance dans la bouche de son époux. Quand elle put reprendre ses esprits, Pandora, reconnaissante, se pencha vers le sexe de son mari qui l'arrêta dans son geste. Il lui fit comprendre qu'il était éreinté et qu'il désirait surtout dormir.
« Alors pourquoi m'as-tu fait un cunnilingus ? »
« Parce que tu me l'as demandé, ma chérie. »
Répondit-il tout naturellement. Pandora s'étendit en songeant qu'elle avait dû parler dans son sommeil. Pourvu que son époux ne soupçonne rien.