L'histoire de Pandora

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Proposée le 25/06/2008 par Bolo_CxRousse

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Avant propos
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Adepte des dialogues sur minitel durant quelques années, je devins très rapidement un fervent utilisateur des messageries Internet quand celles-ci firent leur apparition. Grâce à ces moyens de communication, couplés à d'autres bien plus conventionnels, je réussis, à entrer en contact avec un nombre impressionnant de personnes distantes durant ces quinze dernières années. Ayant pour habitude de m'intéresser d'abord à mes interlocuteurs et à leur vécu, et ensuite seulement à mes aspirations du moment, j'ai récolté les mémoires et les déboires de pas mal de mes correspondantes. Nos dialogues ne tournaient pas nécessairement autour du sexe. Je peux m'enorgueillir, encore aujourd'hui d'avoir conservé d'excellents rapports avec la majorité de mes correspondantes parce que j'ai eu la délicatesse de ne pas m'intéresser qu'à leurs expériences sexuelles. Certaines de ces interlocutrices devinrent des amantes mais la majorité d'entre elles n'ont pas de visage.

Parmi mes correspondantes les plus riches en anecdotes, il en est une qui pourrait alimenter un gros roman impubliable en librairie traditionnelle. Mais laissez moi vous la présenter succinctement :
Je fis la connaissance de cette femme en mal d'amour alors qu'elle cherchait un amant très docile sur une messagerie internationale spécialisée. Elle avait choisit le joli pseudonyme de Pandora. Nous échangeâmes avec Pandora des centaines de dialogues dans lesquels nous n'abordions pas forcément des sujets d'ordre sexuel. J'appris ainsi qu'elle était veuve d'un chef d'entreprise dans la papeterie, qu'elle avait deux enfants majeurs qui ne suivaient pas les traces de leur père dans les affaires. Je fus informé qu'elle avait un très bon train de vie qui lui permettait de s'offrir ce qu'elle voulait quand elle le voulait. Elle m'expliqua qu'elle avait vécu aux Etats Unis durant une trentaine d'années et qu'elle conserve de ce séjour de très bons souvenirs à l'exception du décès prématuré de son époux à l'âge de 59 ans. J'ai eu l'occasion d'entrer à son service vingt ans après les faits relatés ci-après, mais c'est une autre histoire que je ne vous raconterais que si vous êtes bien sages. Pandora me confia aussi sommairement, l'histoire de sa fille et celle de son fils, alors qu'elle me conta dans les détails tout ce qui se rapportait à son jardinier. Ces trois autres histoires s'imbriquant entre elles, vous ne connaîtrez qu'une partie embryonnaire de chacune d'elles. Je tenterais de consigner ces aventures dans de prochaines publications.
Je réussis à lui faire raconter à quoi ressemblait son quotidien lorsqu'elle vivait encore en famille dans l'état du Michigan. C'est une partie seulement de l'histoire un peu romancée de celle que nous appellerons Pandora, que je vous retranscris ici lorsqu'elle n'avait qu'une quarantaine d'années. Vous trouverez la suite de ses aventures dans les récits concernant son entourage.

Pandora
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Cette sexagénaire aujourd'hui, n'a jamais travaillé de sa vie. Les émoluments de son époux suffisaient à faire vivre confortablement toute la famille. Pandora se chargeait de l'éducation des enfants pendant que son mari trimait quinze heures par jour afin de subvenir aux besoins familiaux. Jusqu'à la majorité de leur descendance, Pandora et son mari avaient vécu la vie ‘normale' d'un couple avec ses hauts et ses bas. Surtout ses bas, aux dires de ma correspondante. Son époux ne rentrait jamais avant 22 heures et il était - la majorité du temps- bien trop épuisé pour remplir le devoir conjugal. Les années passant, Pandora se sentait de plus en plus frustrée par cette absence d'échange sexuel entre elle et son époux. D'autant plus que selon ses propres dires, elle a toujours eu une certaine appétence pour les ébats amoureux. Elle en était arrivée à se masturber seule dans sa chambre quand il n'y avait personne dans la maison. Elle rêvait de beaux mâles musclés et tendres prenant soin d'elle avec sensualité. Elle fantasmait sur les ouvriers qui travaillaient sur le chantier qui se trouvait en face de la fenêtre de sa chambre. Elle s'imaginait prise en tenaille entre deux hommes casqués et gantés aux corps luisants et bronzés. Elle fantasmait surtout sur le jeune jardinier qui venait une fois par semaine nettoyer la piscine, tondre la pelouse et arroser les plantes du jardin. C'était un garçon d'environ 18-19 ans au type méditerranéen. Très discret et très timide, il se débrouillait toujours pour être le plus éloigné possible de sa patronne. Pourtant Pandora multiplia les stratagèmes pour être présente dans le jardin pendant que le jeune homme s'affairait. Elle en profitait pour se faire bronzer au bord de la piscine en maillot de bain -deux pièces- très échancré sans que cela ne semble affecter le jardinier qui vaquait à ses occupations le menant à l'autre bout du jardin.

Elle prit l'initiative, un jour, de s'approcher du garçon. Pour la circonstance, elle avait revêtu un peignoir en tissus éponge et strictement rien en dessous. Elle s'adressa à lui pendant qu'il était affairé à tailler un rosier à genoux au milieu du massif.

« Il fait une chaleur insupportable aujourd'hui ! N'est-ce pas ? »

Le garçon se retourna brusquement surpris par la présence de sa patronne qu'il n'avait pas entendu venir. Il balbutia quelques mots pour confirmer les dires de son employeuse.

« Je ne supporte plus aucun vêtements ces derniers temps. J'ai revêtu ce peignoir seulement pour être présentable devant vous mais je suis intégralement nue sous ce vêtement. Il me tarde déjà de l'ôter tant il me tient chaud. » Dit-elle d'un ton las en dégageant une épaule de manière à ce que le jeune homme puisse découvrir la naissance de son sein droit.

« Vous devez être déshydraté à l'heure qu'il est ! Pourquoi ne feriez-vous pas une petite pause pour boire un rafraîchissement au bord de la piscine ? » Proposa t'elle.

Le garçon ne répondit pas. Il semblait pétrifié devant sa patronne.

« Ne vous faîtes pas prier ! Je vais vous préparer une limonade maison dans un grand verre rempli de glaçons. Pendant ce temps, installez-vous confortablement au bord de la piscine. »

Sur ces mots, et sans lui laisser la possibilité de refuser, Pandora tourna les talons et se dirigea d'un pas nonchalant en direction de la maison tout en ondulant du bassin afin d'exciter le beau jardinier.

Elle prépara une carafe complète de limonade, emplit un seau de glaçons et après s'être mirée une dernière fois dans la grande glace du hall, s'en retourna en direction de la piscine où l'attendait le jeune jardinier qui trempait ses pieds nus dans l'eau. Pandora déplaça une chaise longue près de lui et s'étendit dessus. En l'entendant arriver, le jeune jardinier lui sourit puis son regard se perdit au fond de l'eau de nouveau. Profitant que celui-ci lui tournait le dos, Pandora échancra d'avantage le haut de son peignoir et plia sa jambe gauche afin de dénuder presque en totalité sa cuisse lisse et bronzée.

« Venez partager un verre avec moi. Cette limonade est divinement fraîche et désaltérante. » Dit-elle avec engouement.

Sur ces mots, le jardinier se leva et prit le verre que lui tendait Pandora. Il n'osait la regarder et ses coups d'œil fuyants commençaient à singulièrement agacer la séduisante quadragénaire qui avait fait l'effort de prendre une pose sexy pour le faire réagir.

« Vous pouvez me regarder, mon garçon ! Je suis habillée de manière décente. Votre regard ne saurait être nullement offensant ! » S'exclama t'elle en tentant de garder son calme.

« Vous pouvez quitter votre tee-shirt si vous avez trop chaud. Je suis Française et cela ne nous choque pas dans notre pays. »

Malgré ses invites répétées, le jardinier semblait rester sur sa réserve. Agacée par tant de gaucherie de la part d'un garçon majeur ou presque, Pandora lui signifia sèchement qu'il fallait qu'il reprenne son travail dés que son verre sera terminé. Le jeune homme avala son verre et retourna à la taille des rosiers. Déçue par cette première approche, Pandora ferma les yeux en songeant combien il serait doux d'avoir un amant à sa disposition tous les mercredis à la maison. La chaleur aidant, la quadragénaire sombra dans un demi-sommeil peuplé de jeunes jardiniers transis d'amour pour elle et entièrement voués à son service sexuel. Ils étaient au nombre de cinq amassés entièrement nus autour d'elle. Deux d'entre eux suçaient amoureusement ses tétons pendant que deux autres suçaient dévotement ses orteils. Le dernier était étendu à plat ventre entre ses jambes et léchait religieusement sa vulve en feu. Tous présentaient d'énormes érections dont elle ne tarderait pas à tirer profit dans les instants à venir. Elle, qui n'a jamais aimé sucer le sexe de son mari, s'imaginait avec une grosse queue bien rigide dans la bouche pendant que deux autres aux mensurations impressionnantes s'occupaient de ses orifices. Elle sentait presque les deux bouches sucer avidement ses tétons érigés à la limite de la douleur quand elle sursauta au son de la voix du jardinier.

« Madame ! »

Elle se dressa sur un coude, éblouie par le soleil.

« Quoi ! » S'exclama t'elle d'un ton rogue.

« Pourrais-je avoir un autre verre de limonade, s'il vous plaît ? J'ai terminé le massif de roses et je dois m'en aller maintenant. Mais j'ai très soif à cause de la chaleur étouffante d'aujourd'hui. » Annonça t'il avec un fort accent sud-américain.

Pandora le contempla quelques secondes, le temps pour elle d'acclimater ses yeux à la lumière vive. Elle répondit avec le même ton sec par l'affirmative mais ne fit aucun geste pour servir le jeune homme. Après quelques secondes d'hésitation, celui-ci se servit un verre qu'il but debout devant la chaise longue de sa patronne qui avait de nouveau fermé les yeux, ne trouvant aucun intérêt à ce jeune benêt.

« Vous aviez raison Madame. J'aurais dû quitter mon tee-shirt car il est trempé de sueur maintenant ! » Dit-il sur un ton sincèrement désolé.

« Je vous l'avais dit mon garçon ! »

« Je suis désolé de ne pas avoir écouté vos recommandations Ma'am. » Annonça t'il d'un air timide. « Je vous promets qu'à l'avenir j'écouterais vos conseils. »

A ces mots, Pandora rouvrit les yeux pour découvrir le jeune homme agenouillé et tête baissée sur le côté de sa chaise longue. Elle avait usé d'un ton autoritaire seulement parce qu'elle était agacée par la niaiserie du jardinier. Elle venait de comprendre qu'il n'était pas nécessaire d'user de fins stratagèmes avec ce garçon mais qu'il suffisait d'exiger impérieusement de lui ce qu'elle voulait. Elle se détendit sur sa chaise longue savourant ce bref instant pendant lequel un bel homme athlétique était agenouillé devant elle. Elle s'enhardit à tester le degré d'obéissance du garçon. Elle se leva de sa chaise et sans l'inviter à la suivre, elle partit dans le jardin à la recherche de quelques besognes que le jardinier n'aurait pas encore accomplies. Elle ne tarda pas à trouver le prétexte dont elle avait besoin. Elle retourna au bord de la piscine où le jardinier l'attendait assis sur ses talons. Il se redressa sur les genoux dés qu'elle fit son apparition. Elle s'étendit sur sa chaise longue puis s'adressa à lui les yeux fermés.
« A quelle heure commencez-vous votre travail demain ? »
« Je commence à 7 heures madame... »
« Avez-vous une pause à la mi-journée ? »
« Oui madame ! Je m'arrête vers 11 heures et ne reprends le client suivant que vers 3 heures de l'après-midi. » Répondit-il interloqué.
« Très bien ! Je vous attends à 11 heures et demi demain matin pour tailler l'herbe autour des massifs ! »
« Mais madame ! C'est ce que j'avais projeté de faire pour la semaine prochaine... »
« Qu'importe ! » L'interrompit-elle. « Vous ne pensez tout de même pas que je vais attendre une semaine votre bon vouloir pour avoir des abords de massifs acceptables ! »
« Bien madame ! » Répondit le jeune homme d'un ton résigné. « Je serais ici à 11 heures et demi demain matin. »
Pandora cacha sa joie en essayant de rester impassible les yeux fermés. Elle congédia le garçon d'un sec 'au revoir'. Elle demeura un instant, étendue sur sa chaise longue puis, quand elle fut bien sûre que le jardinier avait quitté la propriété, elle se leva tout excitée et courut dans sa chambre. Elle quitta son peignoir, s'allongea sur les draps frais et se caressa en songeant à toutes les manières d'utiliser ce garçon au caractère indolent. Elle fomenta un plan dans sa tête afin d'assujettir à coup sûr le jardinier au corps d'athlète. Son projet était simple : Elle allait tester la soumission du garçon par paliers.
Dans la première phase, elle commençait par feindre le mécontentement vis à vis de son travail qu'elle devait l'obliger à recommencer. S'il ne regimbait pas elle pouvait passer à la phase suivante.
La seconde phase du plan consistait à lui demander des tâches auxquelles il n'est pas assigné. Lui apporter à boire, par exemple ou lui chercher ses mules autour de la piscine. C'est en testant ses réactions qu'elle pouvait ou non passer au palier suivant.
La troisième phase du plan consistait à le convaincre qu'il ne représentait rien d'autre pour elle qu'un serviteur à ses ordres. Elle n'hésitait pas à se dévêtir devant lui, pour lui faire comprendre que son regard n'a aucune importance pour elle. Ses ordres se faisaient plus brefs, pour n'être plus réduits qu'à un seul mot ou un claquement de doigts.
Enfin la dernière phase consistait à l'assujettir complètement en exigeant de lui des services plus intimes comme lui passer de la crème solaire sur le corps ou lui masser les pieds. Il ne resterait plus qu'à lui donner le coup de grâce en lui ordonnant de se déshabiller devant elle et de monter l'attendre dans sa chambre.
Pendant qu'elle réfléchissait à tout cela, Pandora sentit qu'un orgasme incontrôlable allait la submerger. Elle tendit son corps en arc au-dessus du lit et feula sa jouissance comme jamais elle ne l'avait fait auparavant. Ce n'était pas l'orgasme le plus intense de sa vie, mais c'était le plus libératoire. Les enfants allaient revenir de l'université, il était temps de se rhabiller et de se préparer à recevoir tout ce petit monde agité...

A suivre. (Le premier jour.)