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Proposée le 28/06/2008 par TendreSquale
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Je connaissais cette fille depuis quelques mois. J'avais déjà remarqué ses yeux bleus, mis en valeur par des cheveux très noirs et des joues rosées. J'avais aussi largement apprécié son jean qui mettait en valeur une jolie paire de fesses, ronde et appétissante sans être trop grosse. Kristel éveillait en moi inconsciemment des souvenirs d'adolescence, des filles qui me plaisaient physiquement mais que je n'avais jamais osé aborder.
Nous avons sympathisé, puis nous nous sommes rapprochés jusqu'à un soir ou après avoir longuement discuté nous avons échangé nos premiers baisers chastes. Il faut vous dire qu'à l'époque, j'avais 21 ans et qu'elle n'en avait que 18. J'étais étudiant et je louais un petit studio juste à coté de l'appartement de ses parents.
A la suite de cette soirée, j'ai reçu un petit mot m'invitant à venir la voir jouer au volley lors d'un tournoi qui avait lieu dans un gymnase proche. Durant les matchs, je me suis surpris à être troublé en imaginant la sueur sur son corps, sa respiration saccadée ... Très attaché à ces émotions sensuelles je venais régulièrement la voir jouer, jusqu'à ce qu'un jour nous fassions un détour par chez moi en revenant. Je n'étais pas amoureux d'elle, et pourtant je ressentais une réelle attirance physique. Je la voyais par contre très amoureuse, mais la différence d'âge et de sexe faisait que ne n'avions visiblement pas les mêmes attentes.
S'en suivit alors une longue discussion, ou je finis par lui dire que j'avais envie d'elle, mais que l'attirance sexuelle était prédominante et que je ne voulais pas lui mentir en lui parlant d'amour et de projets. Nous nous quittâmes ce soir là, tous les deux les larmes aux yeux. Elle pour son début de conte de fées brisé, et moi pas fier de lui avoir fait du mal.
Nous nous revîmes quelques fois, s'adressant un sourire gêné, jusqu'a ce qu'un jour elle vienne sonner à ma porte.
- "J'ai beaucoup réfléchi, j'ai 16 ans et je suis prête a faire l'amour avec celui que j'aime. Si tu veux encore de moi, alors c'est d'accord, et tant pis si pour toi c'est juste un attirance physique, je veux être avec toi.
- Tu es sure ? Je risque de te demander beaucoup"
J'avais en effet lu entre temps des récits de soumissions, et l'occasion semblait trop belle pour que je la laisse passer.
- oui, je ferais tout ce que tu me demanderas.
- alors entre, et reste debout en face de mon bureau
C'était surnaturel. Je me retrouvais assis à mon bureau, avec cette fille rougissante debout en face de moi. J'avais lu sur le web des histoires de contrat de soumission, et j'allumais mon PC pour en rédiger un.
- bien, tu vas retourner chez toi, tu t'habilleras comme pour aller au volley. Je te donne 10 minutes.
Je profitais donc de ces 10 minutes pour rédiger son contrat. Classiquement, tout refus entraînait la fin du jeu, un mot de passe y figurait pour qu'elle puisse également donner fin. Je joignais également un questionnaire avec les questions les plus crues que je pouvais imaginer en si peu de temps :
- Pratique de la masturbation (O/N) ?
- Si oui, combien de fois par semaine ?
- Es tu vierge ?
- Quelqu'un (autre que médecin) t'a t'il déjà touché :
- les seins (O/N) ?
- les pieds (O/N) ?
- le sexe (O/N) ?
- les aisselles (O/N) ?
- l'anus (O/N) ?
As tu dejà vu un sexe d'homme ? de femme ? etc etc ...
Le questionnaire était à peine fini que Kristel sonna à la porte. Elle était vêtue comme demandé, un tee shirt blanc large laissant juste deviner un soutien gorge de sport, un pantalon de sur-vetement noir et des baskets blanches.
- Retourne au milieu de la pièce, debout, jambes tendues et pieds légèrement écartés.
Je lui expliquais le principe du contrat. Elle devait le lire à haute voix, puis apprendre ce soir par cur les 10 commandements principaux qu'il renfermait, pour qu'elle puisse me le réciter au début de chaque séance. Elle le lut donc à haute voix en rougissant. Puis elle du remplir le questionnaire 'médical' ... qu'elle me remit en rougissant de plus belle.
J'apprenais ainsi qu'elle était vierge, que personne ne lui avait jamais touché autre chose que les seins (une fois au ciné), qu'elle se rasait les aisselles mais pas le sexe ... toutes les révélations que je n'aurais jamais cru obtenir. Elle se prêtait au jeu avec de gros efforts visibles tant sa timidité et sa pudeur étaient mises à mal.
- Bon, maintenant que je sais pas mal de choses sur toi, on va s'intéresser de plus prêt à ton corps. Je vais t'examiner, et t'expliquer exactement ce que je souhaite pour notre prochaine rencontre. Retire ton tee shirt, tes baskets et ton pantalon
Elle s'exécuta sans grâce, visiblement encore plus gênée que par le questionnaire. Je sentais que j'avais touché là son point sensible, comme beaucoup d'autre filles elle se trouvait trop grosse, trop blanche, de trop petits seins ... et de se sentir détaillée du regard (ce que je ne me privais pas de faire, lui demandant de tourner sur elle même, de se pencher, de se mettre accroupi) lui demandait un gros effort. Mais elle fut obéissante, et je décidais donc qu'elle n'était pas encore prête à être nue. Je redoutais aussi sans vouloir me l'avouer qu'elle mette fin à notre jeu.
- Approche. Monte sur la balance, et dis moi ton poids.
- 63 Kg
- Monte sur le tabouret, je vais prendre tes mensurations
En fait de mensurations, il s'agissait véritablement (et c'est le terme que j'emploierai avec elle pour la suite) d'une calibration. J'aime ce terme qui sonnait 'industriel', la rabaissant à l'image d'un fruit, d'un objet. Je mesurais à l'aide d'un metre de couturier le maximum de parties de son corps : poitrine, hanche et tour de fesses bien sur, mais aussi mollets, cuisses (au repos et en flexion), ventre, cou, chevilles, longueur des bras de sous les aisselles jusqu'au bout des doigts ... A la fin je disposais de toutes les dimensions de ma soumise.
- Bien, maintenant la pilosité. Je ne veux pas de poils sous les aisselles, tu m'as dit que tu t'en occupais déjà, je vais donc vérifier.
Je lui fit remonter les bras derrière la tête, et vérifiais de près ses affirmations. Quelques poils naissants parsemaient la peu fine, ainsi que des points rouges laissés par le rasoir. Je profitais de cet examen pour appuyer un peu avec le bout des doigts et vérifier que Kristel était également sensible aux chatouilles, ce que deux ou trois mouvements de retrait discrets me confirmaient. Bien, j'ai des projets pour toi ....
- Bon, je veux des jambes lisses tous les jours, et un triangle de poils sur le pubis. Rien sur les grandes lèvres, ni entre les jambes. Par ailleurs, pas de parfum, pas de douche dans les 4 heures avant la séance quelles que soient tes activités, pas de maquillage. A demain 16h30, même tenue. Tu peux t'en aller.
Surprise par ma dernière phrase, Kristel est restée un moment dans sa position; les bras derrière la tête. Puis elle a entrepris de se rhabiller rapidement, et s'est approchée de moi. Son contrat prévoit qu'a la fin de chaque séance, elle doit s'agenouiller à mes pieds, et attendre. Suivant mon envie du moment et la façon dont s'est passé la séance, je peux l'embrasser, tourner les talons ... Je décide aujourd'hui en guise d'encouragement de l'embrasser. Un long baiser fougueux avec la langue, je la sens frémir. Il semblerait que le jeu lui plaise, vivement demain. L'heure choisie (16h30) n'est pas innocente, elle a entraînement de volley de 14 à 16, et je l'imagine inventant une excuse pour ne pas aller à la douche avec ses copines ...
A peine est elle sortie que je dégage mon sexe, et me masturbe longuement en relisant son questionnaire.