Un après-midi assez (dé)tendu

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Proposée le 15/06/2008 par SSemeSS

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J'étais seul à la maison, de retour d'une journée d'école qui remplissait son quota de peines. Je devais absolument trouver un moyen de me relaxer. Hélas ! Pas facile lorsqu'on a 16 ans et que l'on habite à côté d'une école féminine!

Il n'y avait rien d'intéressant à la télévision et je décida donc de me louer un film. Je m'apprêtais à sortir lorsque l'interphone m'annonça un visiteur. Étonné, car ma mère travaillait et ma sœur était en voyage, j'eus la surprise de ma vie en reconnaissant la voix de Delphine, une amie du primaire qui allait à l'école à côté. Durant la première année où elle entra à cette école, nous eûmes une relation d'aguichage visuel chaque fois que nous nous croisions, sans toutefois nous adresser la parole. Je savais pertinemment qu'elle savait où j'habitais pour m'y avoir vu rentrer maintes et maintes fois. Une fille superbe : grande, élancée, de longs cheveux noirs soyeux, des yeux d'un vert intense, une croupe et des seins superbement sculptés.

Lui ouvrant la porte, je remarquai qu'elle ne portait pas son uniforme d'école. Je remarquai cependant qu'un pan de sa jupe règlementaire dépassait de son sac : j'imaginai qu'elle était allée se changer au restaurant d'en face, rien que pour moi. Et ce qu'elle sentait bon! Une odeur de lilas mélangée à une petite touche sucrée. Un délice. Impatient comme je suis, laissant néanmoins une place à la crainte d'être repoussé, je ne pus m'empêcher de l'embrasser sur les lèvres. Rien qu'un petit baiser léger : il fit toutefois son effet, ma verge se dressant un peu sous l'effet du contact.

Je remarquai aussi qu'elle n'était pas contre une telle initiative. Un peu gêné par mon acte impulsif, je l'invitai à entrer.

Sans un mot, elle alla s'assoir sur le sofa, à quelques mètres de la porte d'entrée. << J'ai un gros dilemme, et j'ai besoin de ta logique. J'ai reçu la déclaration d'amour d'un ami que j'apprécie beaucoup, et il me plaît, mais j'ai un ami que j'aime encore plus, qui n'as rien fait depuis un certain temps. >>

Évidemment, je lui demandai quelles étaient les personnes touchées, et sa réponse me surprit énormément. Son ami Samuel et, oui, moi-même! Je ne savais pas que cet amour était réciproque. Ne sachant que répondre fasse à cette déclaration à peine voilée, elle prit l'initiative et vînt m'embrasser passionnément. C'était trop beau pour être vrai! Une si belle fille, qui m'embrassait, moi, un garçon au physique si ordinaire!

La fermeture éclair de mon pantalon, déjà très serrée en plus d'avoir une coupe slim, sauta dans un Ping! bien sonore. Quelle humiliation!

Mais la belle le prît comme un compliment! << J'en conclus que l'autre garçon m'apprécie lui aussi! >>

De sa main fine et agile, elle entreprit de sortir la virilité à moitié libérée de sa prison. D'une si belle main ne peut sortir qu'une merveilleuse masturbation! Et ce qui devait arriver arriva. Fou de désir depuis mes premiers émois sexuels, je ne pus que m'extasier devant ses gestes. D'une énergie peu commune, je l'installai sur moi et pris tout mon temps pour retirer la chemise qui lui enserrait la poitrine. Une fois retiré, ce fin bout de tissu trouva par lui-même le chemin du sol, suivit peu après par mon propre t-shirt. Salivant devant cette si belle poitrine, encore à moitié cachée par son soutien gorge, j'entrepris de le dégrafer tout en me frottant contre elle. Une fois ce dernier rempart aboli, je m'empressai de saisir un téton avec mes dents pour le sucer et le caresser avec ma langue.

Les exclamations de plaisir de Delphine me laissèrent comprendre qu'elle n'était pas indifférente à ce traitement. Je me permis même de rouler les tétons tout durs entre mes lèvres. N'en pouvant plus, elle attira mon visage vers le sien pour m'embrasser avec une fougue que je ne lui connaissais pas. Puis, elle descendit son corps pour arriver à la hauteur de mon sexe tendu comme une peau sur un tambour. Elle le massa en une savante fellation, donnant de légers coups de langues, puis descendant le long de mon phallus en jouant avec la peau sensible. Étant circoncis, aucun besoin de me décalotter la verge. Sentant venir la jouissance libératrice, le l'avertis. Réaction étonnante : elle me pinça à la base du membre pour retenir le sperme. Suite à un effort surhumain, je réussis à garder en moi le liquide procréateur.

Mes mains ayant remplacé mon visage sur ses seins, elle poussa un gémissement de volupté.

La suite bientôt!