Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Proposée le 13/06/2008 par Sandratvtg
ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
Par une belle après midi d'été, j'entends sonner le téléphone. C'est le patron d'une boîte de rencontres pour travestis qui m'appelle.
- Allo Sandra, j'ai quatre nouvelles qui t'attendent au club.
- Merci Steve, j'arrive le plus vite possible, lui dis-je en raccrochant.
Je suis heureuse de son coup de fil car il me présente toujours des partenaires féminines et cérébrales.
Très vite, je ressens l'excitation particulière du premier rendez-vous en sachant que dans ces étreintes sans lendemain, je peux vivre mes fantasmes les plus intimes avec pour seul motif de prendre et de donner du plaisir.
J'agrafe avec fébrilité ma guêpière en plaçant avec soin mes prothèses en silicone dans mes bonnets 105/C. Puis, je me glisse dans un affriolant slip ouvert avant de sortir une paire de bas d'un tiroir.
Je les enfile en les accrochant très haut à quatre paires de jarretelles pour allonger mes jambes et mettre mes cuisses fuselées en valeur.
Je les croise et décroise lentement devant la glace pour sentir le contact sensuel du voile satiné et j'ajuste mes bas en lissant les mailles avec volupté.
Munie d'un préservatif féminin, je m'allonge sur le lit pour le placer dans mon fourreau.
Je le pose avec soin en fixant la corolle en latex autour de ma rosette.
J'aime porter cette protection féminine qui me laisse toujours prête à faire l'amour sans devoir en changer entre deux rapports.
Poursuivant ma séance d'habillage, j'accroche un jupon à ma taille en ayant conscience de son haut pouvoir érotique lorsque je me laisse culbuter sur un lit.
Je me glisse enfin dans une jupe marron foncée que j'assortis à un corsage plus clair.
Devant la coiffeuse, je pose mes faux cils et ma perruque blonde coupée au carré en donnant une légère retouche à mon maquillage.
Enfin prête, je quitte l'appartement d'un pas rapide juchée sur mes talons aiguilles.
Arrivée au club, j'interpelle Steve en montant l'escalier.
- Envoie moi ta première protégée dans la chambre « chevalier d'éon » et demande lui de ne garder que ses dessous.
J'ai à peine le temps de m'allonger sur le lit que Betty apparaît dans l'embrasure de la porte.
C'est une ravissante blonde visiblement débutante et timide qui reste figée sur place.
Elle porte une nuisette transparente et un collant moule son sexe en la rendant provocante malgré elle.
Son maquillage excessif et son rouge à lèvres peu discret témoignent de son manque d'expérience.
C'est donc avec amusement que je joue le rôle d'initiatrice dans cette rencontre.
- Approche toi ma belle, lui dis-je en commençant à me déshabiller.
Pendant qu'elle s'avance d'un pas hésitant, je dégrafe rapidement mon corsage et j'enlève ma jupe.
Son regard se pose d'abord sur mes seins dressés dans ma guêpière avant de s'attarder sur mon jupon.
La voyant immobile devant moi, je la prends par la taille en mordillant tendrement son sexe à travers le nylon.
Puis, je la masturbe en frottant son gland décalotté sur les mailles de son collant.
Cela la fait craquer et elle se met à trembler, la queue gonflée de désir.
Je sais qu'elle ne résistera pas longtemps à mes caresses.
- Déshabille toi vite ma chérie.
Voyant mes cuisses gainées de nylon apparaître sous mon jupon, elle a une irrésistible envie de me trousser davantage.
Je la laisse farfouiller dans ma lingerie et remonter lentement vers ma grotte.
Betty devient rouge d'excitation en voyant palpiter mon illet à travers la fente de mon slip.
Pendant un court instant, je la masturbe avec mes pieds pour amplifier son érection.
Quand je la vois s'agiter nerveusement, je mets un terme à son attente.
- Viens maintenant, lui dis-je d'une voix chaude en me renversant sur le lit et en relevant mon jupon sur ma taille.
A ces mots, elle se jette sur moi comme un chien fou et j'ai juste le temps de saisir son sexe et de le guider dans mon fourreau.
Elle m'embroche avec fougue dans un rythme effréné.
Très vite ses gémissements m'annoncent l'imminence de son orgasme.
Je me presse alors contre elle et croise mes jambes dans son dos pour l'empêcher de bouger. Puis, je lui enfonce mon majeur dans l'anus.
Elle se tétanise un instant, le corps en arc de cercle avant de jouir par saccades en m'inondant généreusement de son sperme d'adolescent.
Souhaitant la baiser à mon tour, je l'allonge sur le ventre en lui écartant les fesses à deux mains.
Je fais glisser ma queue le long de sa raie en l'entendant gémir.
Puis, ne pouvant plus attendre, je me décide à la prendre.
Quand je force son passage, je me rends compte qu'elle est étroite.
Cette pensée associée à mon sexe serré dans son fourreau me fait exploser trop tôt en elle.
Un peu frustrée, je me sers de mon lait comme lubrifiant et me laisse tomber de tout mon poids sur elle en la transperçant plusieurs fois de suite jusqu'à ce que je débande.
Betty me remercie en me caressant longuement avant de me quitter.
Tout de suite après son départ, je vois apparaître Claudia, une superbe rousse transsexuelle.
Elle porte un corset et des cuissardes de couleur rouge et noir qui m'indiquent clairement ses penchants de dominatrice.
Je m'adapte très vite aux désirs de cette maîtresse en prenant un air effarouché et j'enfile rapidement ma jupe en la rabattant craintivement sur mes cuisses.
- Tu n'as pas à avoir peur de moi, je ne te veux que du bien, me dit-t-elle en faisant jaillir sa queue de son slip brésilien.
Je remarque avec satisfaction qu'elle a un sexe marteau.
J'aime particulièrement son gland massif et très épais qui va décupler mon plaisir en comprimant fortement mon point G.
Claudia glisse sournoisement une main sous ma jupe.
Je la serre tout d'abord entre mes cuisses en entendant crisser mes bas.
Puis, je la laisse m'explorer sans résister, les yeux rivés sur ses seins sublimes qui me donnent une érection spectaculaire.
Elle est d'ailleurs surprise par la taille de mon clito.
- On dirait que je te fais de l'effet ma belle, me dit-t-elle.
Ses doigts inquisiteurs continuent à me fouiller avec insistance en s'immobilisant sur ma corolle en latex.
- Retire cela immédiatement, me dit-t-elle d'un ton autoritaire.
- Je t'en prie, laisse le moi, c'est un préservatif spécial que j'ai mis pour amplifier ton plaisir, lui dis-je en l'implorant du regard.
La voyant hésiter, je la masturbe d'une main experte pour la faire fléchir.
- Je veux bien essayer me répond-t-elle finalement en s'allongeant entre mes jambes.
J'écarte alors les cuisses lorsqu'elle engage son gland turgescent dans ma grotte.
Mais, mon illet résiste à la pression.
Claudia insiste et mes sphincters finissent par céder sous la violence de son assaut et laissent son sexe s'engouffrer d'un coup dans mes reins.
Mon plaisir est intense lorsque j'entends le claquement de son bassin sur mes fesses en sentant ses bourses me fouetter l'intérieur des cuisses.
Claudia se rend compte de mon état et serre la base de mon sexe pour m'empêcher de jouir.
Soudain, elle explose en moi et je contracte mes muscles intimes en la pompant jusqu'à son dernier spasme.
Satisfaite, elle se rhabille un sourire au coin des lèvres et sort de la chambre en me laissant dans un état d'excitation intense.
Heureusement, deux ensorcelantes brunettes font leur apparition. .
Natacha et Sabrina portent la même adorable guêpière gris perle ornée de dentelle rose.
Je les regarde s'approcher de moi.
Elles ont un visage avenant, la taille fine et un cul d'enfer.
Tout en jetant un regard intéressé sur mon sexe en érection, elles m'expliquent qu'elles sont venues au club pour réaliser l'un de leur fantasme qui est de me prendre toutes les deux en même temps.
Les sens mis en ébullition par Claudia, j'accepte leur proposition en les masturbant jusqu'à ce que leurs queues dépassent la hauteur de leur nombril.
- Maintenant, allonge toi sur le lit, dis-je à Natacha.
Lui tournant le dos, je m'accroupis en m'empalant peu à peu sur son sexe.
Puis, je me couche sur elle en écartant les jambes pour inviter Sabrina à venir nous rejoindre.
- Je t'attends ma chérie, lui dis-je d'un ton provocant.
Figée par ce spectacle, elle ne peut détacher son regard du sexe de Natacha qui va et vient en moi.
Elle finit par se mettre à genoux entre mes cuisses en posant sa queue contre mon oeillet.
Très souple, elle se penche sur moi et commence une fellation d'enfer tout en me sodomisant lentement.
Doublement prise et pompée, je sens la sève monter irrésistiblement dans mes reins et décharge dans sa bouche en gémissant de plaisir.
Retrouvant mes esprits, je me décide à les achever.
- Tu vas être la première à jouir dis-je à Natacha en la fixant d'un regard torride.
Déclenchant de lentes et puissantes bascules du bassin, je me trémousse sur elle jusqu'à ce qu'elle se vide dans mes fesses dans de nombreux spasmes.
Sabrina, le souffle court me lime maintenant sans s'arrêter, en frottant son clito sur celui de son amie.
Excitée, elle regarde mes jambes gainées de nylon brasser désespérément l'air quand elle m'empale jusqu'à la garde.
Le moment venu, je la fais se coucher sur moi et je croise mes jambes dans son dos en éperonnant sa croupe avec mes talons aiguilles pour qu'elle s'active davantage.
Telle une mante religieuse, je resserre mon étreinte pour mieux dévorer son sexe.
Saisissant un gode caché sous l'oreiller, je le vrille sournoisement dans ses reins en le tournant de droite à gauche pour l'embrocher plus vite.
Surprise, elle se redresse haletante en essayant de retarder son orgasme pendant que je m'active de plus belle en la faisant exploser et tressauter de plaisir.
Quand elle se retire de mon fourreau, elle laisse échapper une coulée de sperme qui dessine une longue arabesque blanchâtre sur mes bas noirs.
Avant de me lever, je m'enfonce un plug dans l'illet pour conserver toute la sève que j'ai en moi.
Puis, je les raccompagne ensuite à la porte pendant que Sabrina me suggère d'autres jeux en prévision de notre prochaine rencontre.
Restée seule, j'agrafe rapidement ma jupe pour aller rejoindre Mirella qui m'attend chez elle.
C'est une transsexuelle de la Jamaïque arrivée à Paris depuis deux ans et que je vois régulièrement.
Elle m'ouvre la porte dans un superbe déshabillé ivoire qui fait ressortir la couleur de sa peau.
Lorsque je m'assois prés d'elle, son regard se pose sur la coulée blanchâtre qui macule mon bas.
Soupçonneuse, elle glisse sa main sous ma jupe en s'apercevant tout de suite de la présence de mon préservatif.
- Suis moi que je t'examine de plus près, me dit-t-elle d'un regard plein de reproche.
Elle m'allonge sur la table d'examen en bloquant mes escarpins dans les étriers.
Se plaçant entre mes cuisses, elle m'enlève le plug et ma protection féminine.
- Je vois que tu ne t'aies pas ennuyée, siffle-t-elle en agitant le latex devant mes yeux.
- Il contient encore au moins 20cl de sperme rajoute-t-elle outrée.
Je sourie en pensant que certaines fois je rentre chez moi avec mon préservatif complètement rempli.
- Puisque tu es aussi chaude, je vais m'amuser un peu avec toi, me dit-t-elle d'un air équivoque.
Elle me lubrifie abondamment et introduit trois doigts dans ma grotte pour me faire bander.
Puis, elle m'aide à me lever et m'entraîne dans la pièce voisine.
Je découvre un objet étrange ayant l'apparence d'un cheval d'arçons.
- Mets toi en selle, me dit-t-elle avec un sourire narquois.
Elle règle la hauteur pour que j'aie les jambes bien tendues et bloque mes pieds au sol dans des attaches spéciales.
M'ayant totalement immobilisée, Mirella presse le boîtier d'une télé commande et ouvre une trappe sous moi.
- Tu as maintenant un plug en métal d'une longueur de vingt cinq centimètres sur neuf de diamètre placé sous tes fesses ma chérie.
- Il va te pénétrer lentement en ouvrant ton illet en douceur.
- D'habitude, je me sers surtout de cet appareil pour des séances sado-maso en utilisant des diamètres plus gros pour ceux qui aiment souffrir.
Mirella appuie sur une autre touche et le plug commence à s'enfoncer imperceptiblement mais inexorablement dans mes fesses.
Je m'inquiète quand je sens le froid du métal élargir ma rosette.
- Détends toi ma belle, me dit Mirella en me masturbant d'une main experte.
Ses caresses efficaces lèvent mes dernières craintes et je me laisse embrocher sans résistance.
Je m'ouvre peu à peu sous la poussée du pal qui écarte mes chairs en me donnant des sensations plutôt agréables.
Le fait d'être complètement soumis à cette machine sans pouvoir l'arrêter redouble mon excitation.
Le pieu poursuit sa progression pendant que Mirella continue à m'exciter le clito.
Vingt minutes plus tard, je suis empalée jusqu'à la garde, la queue raide prête à exploser.
- J'ai incliné le plug vers l'avant pour qu'il presse ton point G, m'explique Mirella.
- C'est cela qui te fait bander comme un ours, rajoute-t-elle en souriant.
- Te voilà bien ouverte et ton anneau a maintenant le diamètre d'une bouteille de champagne, me dit-t-elle avec une lueur sadique dans le regard.
Cette comparaison me trouble et j'ai du mal à la croire.
- Tu as mérité une récompense, ma belle.
Elle me lèche la queue pendant que le plug plongé dans mes reins se met à vibrer avec intensité.
Je craque lorsqu'elle fait glisser lentement son ongle sur toute la longueur de mon frein.
- Contracte tes sphincters sur le plug pour jouir du cul, me chuchote-t-elle à l'oreille.
En suivant son conseil, j'ai très vite les premières gouttes de sperme qui perlent à la surface de mon gland et je gémis doucement quand une coulée épaisse sort lentement de ma verge et se déverse dans sa gorge.
Lors de cette éjaculation continue, je ressens un plaisir intense suivi d'une agréable sensation de plénitude.
Complètement sonnée, mais comblée, je contemple le mince filet de sève qui continue à s'échapper de mon sexe.
Mirella me détache et m'aide à enfiler une séduisante combinaison en satin rouge et noir par-dessus ma guêpière.
- Va m'attendre dans la chambre pendant que je me prépare.
Je me dirige vers son lit, troublée de sentir la tension de mes bas et de les entendre crisser à chacun de mes pas.
Mirella ne tarde pas à me rejoindre.
En plus de son déshabillé, elle porte à la taille un impressionnant gode ceinture.
Je m'aperçois avec surprise que son sexe est à l'intérieur.
- J'espère que ce jouet te comblera ma chérie, me dit-t-elle en l'exhibant sous tous les angles.
Il a des dimensions comparables au plug précédent et je comprends mieux la raison de mon initiation.
Elle m'embrasse à pleine bouche en plaquant ses seins magnifiques contre moi.
Puis, me mettant sur le dos, elle place deux cousins sous ma croupe pour me mettre à la hauteur du pal qui se balance lourdement entre ses cuisses.
- Remonte ta combinaison ma belle que je te plonge cette belle queue dans les fesses.
Je la retrousse sur mes hanches en dévoilant lentement mes bas et mes jarretelles tendus à craquer.
Elle m'écarte les jambes en contemplant mon oeillet qui palpite encore des ébats précédents.
Contrôlant mal mon émotion, ma queue jaillit d'un coup par la fente de mon slip ouvert mais, Mirella fait semblant d'ignorer mon état.
Elle me caresse longuement l'intérieur des cuisses en me pressant tendrement les bourses.
En même temps, elle masse ma rosette avec la pulpe de son doigt enduit de salive qu'elle m'enfonce dans l'anus en recourbant vicieusement son majeur vers le haut à la recherche de mon point G.
Fascinée, elle regarde mes sphincters se contracter sur son doigt en me voyant trembler de désir.
- Tu es encore bien ouverte ma chérie, me dit-t-elle en me glissant l'énorme dard entre les cuisses.
Impatiente, je saisis le gode à deux mains pour l'engager dans ma grotte pendant qu'elle exerce de petites pressions successives.
- Tu vas prendre un sexe de sept cent grammes dans les fesses, me dit-t-elle avec fougue.
Puis, elle le plonge dans ma croupe en me regardant droit dans les yeux.
La bouche sèche et la poitrine palpitante, je sens l'énorme pal me fouiller les reins.
Mirella me cloue sur le lit comme un papillon en s'aidant de ses mains agrippées à mes hanches pour m'empaler à fond sur le pieu.
Il est maintenant planté jusqu'à la garde, me souffle-t-elle à l'oreille.
Soudée à moi, elle me travaille l'oeillet sans faiblir avec une habilité diabolique en contemplant ma spectaculaire érection.
Elle pilonne fortement ma glande qui réagit en faisant jaillir une coulée de sève sur mes bas.
Quelques instants plus tard, ne pouvant plus retenir la lave qui monte dans mes reins, j'explose en inondant ma guêpière d'un flot de sperme.
Le gode est tellement serré par les contractions de mes sphincters que Mirella doit s'aider de ses mains pour le tirer de mes fesses.
En le sortant, elle regarde avec amusement ma rosette s'étirer sur la hampe de ce pieu comme pour mieux le retenir.
Puis, elle se lève et réajuste ses jarretelles tout en me guettant du coin de l'il.
Elle commence à se caresser lentement avec un érotisme torride et vient s'allonger prés de moi la queue vibrante de désir.
Je décalotte son gland en le frottant avec mes pieds sur le nylon de mes bas.
Elle craque littéralement quand je lui rentre lentement un à un mes orteils dans l'anus.
La voyant trembler de désir, je me décide à l'achever.
Face à elle, je m'assois sur son ventre en poussant une à une des boules anales dans ses fesses.
Sa queue dressée trouve naturellement l'entrée de ma grotte restée largement ouverte.
Je sape sa résistance en basculant lascivement mon bassin d'avant en arrière.
Dans le même temps, je contracte mes muscles intimes et fais tourner lentement mes fesses autour de son pivot de chair.
Patiente, je suis sur son visage la montée de son orgasme.
Quand je l'entends gémir, je me trémousse de plus belle sur sa queue.
Elle succombe alors rapidement à mon massage fessier.
Lorsqu'elle jouit, je tire sur le fil qui pend entre ses cuisses en sortant d'un coup les boules anales de son fourreau.
Elle pousse un cri et a un dernier spasme avant de s'immobiliser.
Epuisées et comblées nous ne tardons pas à nous endormir dans les bras l'une de l'autre. Sandra.
Merci de me donner vos remarques et suggestions concernant cette histoire à : sandratvtg@yahoo.fr