Une aventure débridée

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Proposée le 8/06/2008 par Grogol

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A cette époque, j'étais encore étudiant. Je n'étais pas un grand fêtard mais j'aimais sortir, faire des rencontres, découvrir les gens. Mon problème était que dès que j'étais en soirée, j'étais malheureux quelque part. En effet, j'étais et je suis toujours très porté sur les plaisirs charnels et ayant à l'époque une copine depuis longtemps mais vivant assez loin, j'étais tiraillé entre les jolies plantes que je pouvais rencontrer et ma copine à laquelle je me devais de rester fidèle.

Pourtant lors d'une soirée étudiante, je rencontre la colloc' d'un camarade de promotion. Plutôt mignonne, cheveux châtains, les yeux marrons, un petit nez, un menton légèrement avancé, un minois agréable, quelques rondeurs mais pas plus que ce qu'il faut, des petits seins fermes à ce que je pouvais en juger et un cul bien fait. Mais surtout beaucoup de style et percée à la langue. J'entame la conversation en évoquant son bijou. On parle de choses et d'autres, elle m'explique qu'elle est engagée dans une relation stable, on apprécie le moment présent mais rien de plus ne se passe. Alcool aidant, je deviens un peu lourd et insiste pour l'embrasser. Je ne la saoule pas mais n'arrive pas à mes fins. La soirée continue sans que nous recroisions.

Je ne la garde pas spécialement en mémoire mais deux jeudis après, retour dans la même boite pour une nouvelle soirée. Je croise mon pote qui arrivait d'une autre soirée et me dit que Stéphanie n'arrête pas de me chercher. Je ne sais pas trop pourquoi, elle m'avait gardé en tête. J'attends alors avec une certaine impatience notre nouvelle rencontre. Je finis par la croiser dans la boite bondée. Elle me fait la bise et on commence à discuter un moment. On se ré éloigne mais c'est alors que s'instaure un jeu entre nous. Dès lors, dès qu'on se croise, on se saute dessus, on se fait la bise et part dans certains trips. Après s'être amusés de la sorte un moment, elle me prend par la main et m'emmène à l'étage via un escalier en colimaçon. On se pose sur un pouf de couleur noire dans un coin de la boite. Elle pose ses lèvres sur les miennes, je ne refuse pas. Malgré ma copine, tous les potes qui peuvent me griller dans la boite et mes efforts, ma libido convainc mon esprit de ne pas chercher à résister.

Rapidement, Stéphanie me fait gouter à son piercing. On s'embrasse langoureusement tels des collégiens se roulant une pelle pendant des heures. La machine est lancée. On commence à danser collés serrés, on s'embrasse, on plaisante, un moment bien agréable. Puis elle reprend l'initiative et m'emmène vers les toilettes pour hommes du rez-de-chaussée. On se dirige vers un cabinet, mais le verrou est en l'air. J'essaie tant bien que mal de bloquer la porte avec mon pied. L'endroit est tout sauf propre, une odeur laissant à désirer, de l'alcool renversé... Stéphanie défait alors ma braguette et libère mon sexe. Elle se met à me sucer, délicatement, en jouant de son piercing sur mon gland. C'est l'extase, je suis archi-dur, elle est experte mais ne va pas aussi loin que je le souhaiterais sur l'instant.

C'est alors que quelqu'un cherche à pénétrer dans les toilettes. Mon pied ne verrouille pas suffisamment la porte et il nous aperçoit. Gêné, le mec fait rapidement demi-tour. Mais ça n'arrête pas ma nouvelle camarade de jeu. Sa salive se fait de plus en plus abondante. Mon sexe se raidit encore. Malheureusement, je ne suis pas un rapide et n'éjacule pas dans la foulée. Malgré l'excitation... J'aimerais partir vite dans ces moments là. Même si je n'atteins pas l'orgasme, je décide de lui rendre quelque peu la pareil en lui baissent le pantalon sur le haut des cuisses, en lui écartant son string noir et la doigtant à la fois fermement et doucement. Elle est contre le lavabo, face à un miroir. Je suis derrière elle, mon bras la contourne pour que mes doigts s'affairent autour et à l'intérieur de son sexe. Je lui arrache quelques gémissements ; elle mouille incroyablement. On décide cependant de quitter notre repère.

L'heure tourne et je croise certains potes qui me disent qu'il faut partir pour attraper les derniers bus de nuit. Je ne pense plus à ma belle et m'apprête à partir. Parce qu'après, aucun moyen de rejoindre mon appart'. Je vais à la recherche de mon pull et retombe sur ma partenaire du soir. Elle insiste pour que je reste et à vrai dire, je n'ai pas envie de partir. Elle m'écrit sur la main son adresse msn et son téléphone. Mais je cède et décide de rester. La soirée continue donc. Elle cherche à réitérer son coup en m'emmenant cette fois ci dans les toilettes des femmes. Mais un videur nous en empêche. Qu'importe, il est 5h du mat', la boite va fermer. C'est alors que je suis en galère pour rentrer ; je lui explique mon souci en espérant susciter une proposition intéressante. En effet, je savais que son appart' n'était pas si loin et qu'elle avait prévu d'y retourner à pied. On fait donc la route avec son colloc' et deux de ses amies qui l'avaient accompagnée. On arrive à sa collocation et on en profite pour casser la croute. Il n'est pas loin de 6h du matin et on est affamé à vrai dire. On échange avec ses amies et mon pote puis on se décide de se coucher. Elle offre généreusement sa chambre à ses copines. Mais du coup, elle n'a plus de lit. Fabrice (mon camarade de promo) lui propose de dormir dans son lit 2 places avec lui et de me laisser le clic-clac. En fait, il avait remarqué notre manège. Fabrice et Stéphanie sont amis de longue date (et colloc' depuis 1 an), aucune ambiguïté entre eux. Pour tout avouer le copain de Stéphanie est le meilleur pote de Fabrice. Ils sont ensemble depuis 4 ou 5 ans. Bien qu'ayant tout compris de ce qu'il se passait, Fabrice n'a pas fait trop de remarques. Stéphanie, elle, ne souhaite pas dormir dans sa chambre et préfère partager le clic-clac. Fabrice n'insiste pas mais nous fait comprendre qu'il n'approuve pas. On met notre lit en place, les lumières s'éteignent...

On commence à s'embrasser, elle me masturbe, je la masturbe... Activité qui se poursuit de longues et agréables minutes. Elle me suce à nouveau. On cherche à faire le minimum de bruit, les murs n'étant pas très épais. Crevés, on fini par s'endormir. Le lendemain arrive. Tout le monde se regarde. Les regards vers nous sont interrogatifs. On prend le petit déjeuner, on s'adresse des regards complices. Fabrice et moi partons en cours et sur le trajet, il essaie de me cuisiner. « Tu te l'es faite ? ». « Elle-t-a sucé ?». Je reste volontairement dans l'ambiguïté et dans l'évasif, pensant que c'est la meilleur façon pour éviter que ça s'ébruite. Les gens pensent ce qu'ils veulent, imaginent à leur convenance mais ça restera au stade de rumeurs. En me taisant, on m'aurait reproché une attitude pas très claire, en parlant, j'aurai avoué. Stéphanie m'appelle dans l'après-midi sur le portable de Bruno, elle s'en veut, me fait jurer de ne rien avouer... Mais je perçois autre chose dans ses propos. Je n'arrive pas à savoir quoi sur le coup mais j'apprendrai par la suite que cela cache une certaine envie de continuer cette relation extraconjugale.

On se rappelle dans le week-end et décide de se revoir le samedi soir pour faire un point. Je l'attends sur une place du centre-ville. On a rendez-vous à 20h. Les minutes passent, toujours rien. Je suis partagé entre la peur de m'être fait poser un lapin et l'appréhension de la revoir. Elle finit par arriver, élégante, vêtue d'un jean un peu fashion, des talons, un grand manteau, bien maquillée et bien coiffée. Elle me tend sa joue, elle me fait la bise. Relative déception. On se ballade comme deux bons potes, on apprend à se connaître vu que nos discussions avaient été jusqu'à présent plutôt futiles. On se vanne, on déconne, on se découvre. On mange des pates puis retour vers mon appart tous deux. Je suis partagé entre l'envie de l'embrasser et celle de me contenir. Elle m'avoue qu'elle aimerait que je sois entreprenant. Je succombe et l'embrasse directement. Après une certaine dose de marche à pieds, on rejoint mon appart en cité u. Il se fait tard mais on cherche à éviter de se faire remarquer. Débute une partie de cache-cache pour que personne ne puisse avoir vent de cette relation.

Une fois dans mon studio, vers minuit, nous filons à la douche. Je caresse et masse son corps enduit de savon. Je masse ses seins, petits mais fermes. Ses mamelons pointent vite et je m'amuse à les mordiller. Moi qui préfère les femmes plantureuses aux seins lourds et rebondis, je m'étonne à apprécier cette poitrine qui ne correspond pas à mes canons. Je profite enfin pleinement de son corps, des vêtements ayant toujours été présents à cause des circonstances du moment. Je m'agenouille et entreprend un cunnilingus. Après quelques minutes, elle est partagée entre plaisir et sensation à la limite de l'agréable. On gagne alors mon lit. A peine commence-t-on les préliminaires que le lit grince comme ce n'est pas permis. N'étant encore pas trop excités, je mets rapidement le matelas par terre et en accole un second. Nos jeux sexuels peuvent reprendre. Elle entreprend de me sucer les mamelons puis descend petit à petit. Elle me suce parfaitement puis décide de prendre mes testicules en bouche. Elle les gobe un après l'autre, les suce, les lèche tout en me masturbant frénétiquement. Elle compresse mes boules dans ca bouche, les mordille. C'est à la limite de faire mal mais j'aime vraiment et suis excité au plus haut point. J'ai l'impression d'un jeu SM. Elle est très entreprenante et concernée, aucunement passive, ce qui me changeait de ma copine. Elle continue à m'astiquer puis sa langue glisse vers mon petit trou. Elle effectue un anulingus délicieux. Je n'avais jamais essayé et je dois l'avouer, ça ne m'attirait pas particulièrement mais elle m'a pris de cours. Elle me branlait en salivant un maximum sur mon trou, explorant avec sa langue le moindre pli. Une impression de plénitude m'envahissait. Comment expliquer ? Je jouissais sans éjaculer en fait. Je n'attendais plus qu'elle glisse un doigt pour me faire juter. Mais elle na pas osé. Elle reprit mon sexe en bouche. Elle l'avala sur toute sa longueur en alternant va-et-vient rapides et lents. Je lui demandais de présenter sa chatte au dessus de ma bouche pour entamer un 69, elle sur moi. Elle s'exécuta aussitôt. Elle mouillait déjà cette chienne. Que dis-je, elle m'inondait le visage. J'en profitais un maximum en avalant goulument son jus. Mais ce cunnilingus vint par lui déplaire. Elle avança et resta à quatre pattes. Je m'avançais derrière elle et la pénétrais sans difficulté aucune. Elle en est presque trop large tellement elle mouille. Ne pouvant m'en empêcher, je me serre de sa mouille pour lui lubrifier son petit cul et y introduire rapidement mon pouce, qu'elle apprécie en l'accueillant d'un petit cri. Toujours dans cette optique de SM soft, je lui claque les fesses et la pilonne vigoureusement. On ne communique pas spécialement mais j'ai l'impression que nos caractères s'accordent et se comprennent. Elle finit par jouir silencieusement mais je la sens vidée. Au contraire de moi, au propre, comme au figuré.

On prend un peu de repos mais une demi-heure plus tard, rebelote. Je commence à la caresser. Mes doigts rejoignent rapidement sa chatte qui suinte déjà. J'en mets un, puis deux, puis trois, puis quatre, je pourrais presque la fister tellement elle est dilatée. Néanmoins, je préfère m'abstenir ne pensant pas suffisamment la connaître pour me permettre cette fantaisie. A posteriori, je pense que si j'avais insisté, elle aurait squirté sans problème, chose qui m'excite terriblement. Pas besoin de s'éterniser dans de longs préliminaires, d'autant plus qu'elle ne demande qu'à être remplie. Je la prends en missionnaire. S'en suivent de nombreuses positions : je la mets de bout face à mon bureau sur lequel elle prend appui alors que je la lime en étant positionné derrière elle, elle grimpe ensuite sur mon sexe tendu. Je lui introduis à nouveau un doigt dans son cul. Elle n'est pas rebutée. Ca risque de m'être problématique un jour d'ailleurs : cette perversion de la sodomie.

Ma copine (officielle) adore que je joue avec son petit trou, Lui mettre un doigt dans le cul au moment opportun lui fait décupler sa jouissance. Et j'adore cette sensation de posséder une femme au point qu'elle soit capable de me livrer ses deux orifices. J'aime aussi la pression du sphincter sur mes doigts. Il n'est pas rare que je lui enfonce jusqu'à quatre doigts lorsqu'elle est complètement dilatée. Elle m'avoue d'ailleurs que ce sont vraiment mes doits qui la font hurler, peut lui importe ma bite. Bref, toujours est-il que si je suis amené à fréquenter d'autre femme, ce ne sera pas forcément évident de la sodomiser d'une manière ou d'une autre.

Revenons au cœur de l'histoire. Je n'ai plus le détail de tout ce qui s'est passé mais la nuit fut courte, seulement entrecoupée de quelques siestes récupératrices. Au détour d'une conversation, j'ai également confié à Stéphanie que j'avais plusieurs gadgets à disposition qui servent à ma copine lors de ses venues : boules de geisha, boules thaïs, gode cristal, double dong, plug anal, rosebud, menottes, balle à mord... Ca vient de ma curiosité et de mon besoin continuel de sexe. Elle me demanda de les essayer mais je ne préférais pas lui céder. Je trompais déjà ma copine « physiquement », je ne souhaitais pas lui faire d'« infidélités morales » en plus. Voyant mon refus, elle souhaita au moins voir ces jouets, sûrement dans l'optique de me faire changer d'avis une fois sortis. Mais, j'ai pour une fois résisté à la requête de ma maitresse. Quelque part à regret aujourd'hui. Comme elle était attendue le dimanche en fin de matinée, elle prit congé de moi sans m'avoir fait éjaculer. Mais comme je l'ai déjà écrit, je ne suis plutôt pas une flèche dans le domaine. Néanmoins, je n'ai jamais autant baisé en une nuit et à dire vrai la qualité était aussi au rendez-vous. J'étais claqué tout le dimanche du fait du manque de sommeil et de nos activités nocturnes.

On restait en contact et ne tenant pas, nous avons décidé de nous revoir dès le lundi soir. Elle arriva à la tombée de la nuit. Un de mes potes la croisa lors de son arrivée, ce qui relança les rumeurs. Après une douche commune, elle m'avoua qu'elle avait un peu le sexe irrité suite aux nombreux va-et-vient de la nuit précédente. Je lui ai alors proposé spontanément de passer par derrière, emporté par mon envie. Elle accepta aussitôt. Impossible cependant de se servir de sa mouille abondante des derniers jours, sa chatte ne pouvant être caressée. J'ai alors sorti le tube de vaseline que j'avais à disposition. Je commençais par introduire un doigt puis en lui dilatant doucement son sphincter un deuxième. Elle se positionnait pour que je la prenne en levrette alors que je me masturbais pour être parfaitement dur. Je m'approche mais mon sexe ne s'engouffre pas. Stéphanie n'était peut-être pas vierge de se côté-là mais en tout cas que moyennement expérimentée. J'arrive à enfiler son cul jusqu'à la moitié de mon sexe et commence à aller et venir. Aucune réaction de dégout ni de déplaisir mais aucun signe de jouissance non plus. J'essaie de m'enfoncer plus loin pour avoir ma bite dans son cul jusqu'à la garde mais rien y fait... Je lui proposer de monter sur moi, ce qu'elle fait. Les minutes s'égrainent, je m'enfonce complètement, je sens mon sexe bien calé et comprimé. Ca me change de l'avant-veille où je nageais dans son vagin. Quoique les deux sensations sont agréables ! De sont côté, elle commence à aimer sans être expansive. L'opération se prolonge mais le sommeil nous emporte.

On se revoit une nouvelle fois dans la semaine où nous passons une bonne partie de la nuit à faire l'amour. Je me rends le matin en cours où j'ai un contrôle. Je bâcle mon travail pour retrouver Stéphanie au plus vite. On passe la journée ensemble en centre-ville. Elle craint de croiser son, frère et sa sœur qui pourrait tout dévoiler mais qu'importe, nous profitons l'un de l'autre comme un couple ordinaire. Elle m'accompagne à la gare le soir même et m'embrasse avec fougue. J'ai alors l'impression que notre relation est plus qu'une simple relation sexuelle. Quelques heures après, c'est ma copine qui m'embrasse avec fougue à mon arrivée. Lors de ce week-end avec elle, je me rends bien compte que c'est elle que j'aime mais que ma vie sexuelle est désespérément ordinaire. Je lui fais l'amour presque mécaniquement alors que c'est à Stéphanie que je pense, l'intensité de notre relation sexuelle étant sans commune mesure.

De retour auprès de Stéphanie, nous calmons chacun nos ardeurs, ayant chacun revu notre partenaire légitime et ne voulant mettre en l'air des histoires solides et partant pour ma part peu après à l'étranger. On a repassé quelques nuits ensembles, faites uniquement de baisers et de câlins. On a fini par s'éloigner et s'oublier. J'ai vraiment apprécié les moments qu'on a passé ensemble mais j'ai des regrets puisqu'à mon idée, on aurait pu tenter pas mal d'expériences. Du moins, cette relation m'aura ouvert les yeux sur la monotonie de ma vie sexuelle et tend à me pousser vers de nouvelles aventures.