Histoire Erotique (Archive)

complaisance

Proposée le 30/05/2008 par glorytoo

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Enfin nous voilà arrivés...
un grand soleil pour nous accueillir et un camping à première vue sympa.
Pour la première fois, nous osions des vacances naturistes.
Nous sommes guidés par une jeune femme charmante afin de prendre possession de notre bungalow.
Petite cuisinette, salon et 2 chambres le composent. Une chambre unique nous aurait bien suffit
mais nous avons choisis cette option pour un meilleur confort, nous pouvons ainsi ranger notre barda dans la pièce vide.
Seul bémol, il n'y a pas d'eau courante, il faut donc pour la vaisselle et la toilette se rendre au bloc sanitaire.

Devant le bungalow, une table de jardin et 4 chaises, les locations étaient très proches les unes des autres à 4 ou 5 mêtres de notre terrasse celle du couple voisin, il est 11 h 30 et ils sont semble-t-il au petit dèj' tous deux sont plutôt mignons et d'un grand sourire nous salut, salutation que nous leurs retournons bien évidemment.
Nous sommes occupés à ranger et installer nos affaires, nous attendrons un moment plus propice aux présentations.
Je demande à mon homme si comme moi il a lu la pancarte à l'entrée prévenant que la nudité était obligatoire dans le site. Il me répond que très certainement c'est le meilleur moyen d'éviter les voyeurs.
Je pensais que le naturisme n'était obligatoire que sur la plage je me sens alors mal à l'aise.
Me promener nue à la vue de tous je n'y suis pas habituée (finalement, j'ai très vite apprécié cette sensation de liberté).
Alors que Renaud continu l'installation, je lui demande s'il veut bien m'accompagner aux douches
les 11 heures de route me faisaient sentir vraiment rebutante.

Renaud:- "je finis de décharger la voiture, de mettre en place les draps sur le lit,de ranger les denrées et je te rejoins, ne te soucis de rien je me charge de tout et commence à profiter des vacances" .

Moi: -"tu vas me laisser seule à me promener nue dans le camp "

Renaud -"glorya... que veux-tu qu'il arrive ne t'inquiètes pas, tout le monde ici est nu, c'est un état d'esprit n'y voit pas autre chose tu ne risques pas plus ici nue que dans un camping classique en maillot de bain".

Soit..., il doit avoir raison, je me déshabille, prends le nécessaire de toilette et me dirige
vers la porte de sortie la serviette sur l'épaule.
Renaud me rappelle.

Renaud -" attention de ne pas faire chavirer les coeurs avec ton joli cul ".

Moi -"dis pas de bêtise, voyons..."

Renaud -"si si tu risques bien de créer une émeute une belle femme comme toi... doit pas y en avoir 2 dans le camp " dit-il en souriant.

Moi-"tu parles t'as bien vue la p'tite voisine, tu ne donnerais pas ta part au cochon je te connais "

nous rigolons nous embrassons et me voila cette fois partie.
je passe la porte et le voisin maintenant seul m'interpelle.

le voisin -"vous allez au sanitaire me semble-t-il "

Effectivement il ne faut pas être Sherlock Holmes pour le deviner

Moi -"en effet pourquoi cette question ?"

Il commence déjà à m'inquiéter,je laisse alors tomber ma serviette devant mes attributs afin d'être plus a l'aise dans la conversation, lui apparemment plus décontracte avec la nudité se lève de sa chaise pour me parler.
Fichtre !!! même si je ne voulais pas le voir il était difficile de faire autrement son membre pourtant au repos était si volumineux que malgré moi je fais les gros yeux en le voyant, il sourit en s'en rendant compte et me dit.

le voisin -"vous êtes déjà venu dans ce camp "

Moi -"non jamais "

le voisin -"je vous déconseille les douches du bloc d'à côté c'est le plus grand, mais aussi le plus fréquenté et forcément le plus sale,faites plutôt 100 mêtres de plus et allez au bloc sanitaire de l'autre coté, il est beaucoup plus petit ne comporte que 3 douches, mais comme les locations l'environnant sont équipées de salle de bain il n'y a jamais personne et de surcroit toujours propre, je vais si vous le voulez bien vous y accompagner vous risquez d'avoir du mal à le trouver "

Je n'osais refuser son aide, le choix était limité, soit je me rends dans des douches à priori crades (pas cool), soit je risque de tourner en rond à poil dans le camp (pas cool non plus), ou bien je me fais accompagner.
C'était encore la meilleure option. je lui demande de bien vouloir patienter juste le temps d'avertir mon homme qui doit me rejoindre.

Je retourne donc dans le bungalow, explique à Renaud ce que j'ai appris et que je me rends donc à cet endroit tout fois sans lui préciser que le voisin m'y conduisait de manière à ce qu'il ne se fasse pas de mauvaises idées.
Il ne m'écoutait qu'à moitié me dit qu'il allait mettre un café à couler et promet de me rejoindre plus tard.

Me voila donc partis vers les douches avec mon guide, nous échangeons alors les banalités d'usages, nos noms lieux de résidences, etc. Sur le trajet je ne peux m'empêcher de baisser la tête et de tourner les yeux afin d'apprécier discrètement le phallus proéminent.
J'étais contemplative et songeuse devant un tel engin. Mon Romeo été bien gâté, mais ce Christophe (le voisin) avait de quoi faire rougir les plus gourmandes.
De plus, il est beau garçon, 34 ans m'a-t-il dit, pas très grand, mais de belle morphologie, le corps entièrement bronzé, brun les yeux clairs, son thorax était robuste et ses tétons pointaient continuellement. J'affectionne ce détail, en effet j'adore téter les seins des hommes lors des préliminaires, mais ce n'est évidemment pas ce que j'apprécierais le plus sucer chez ce mec.

À peine 5 minutes plus tard nous sommes rendus au bloc sanitaire. Christophe passe alors devant moi ce qui me permet de lorgner son joli petit cul bien rond, courtoisement il m'ouvre la porte d'une des douches en m'invitant à nous revoir en compagnie de nos conjoints...

je referme et verrouille donc la porte derrière moi, un des avantages des camps nudistes est qu'on est pas embarrassé par nos linges qui ne trouvent jamais place dans les douches.
j'accroche ma serviette et passe directement de l'autre coté du muret qui protège celle-ci.
L'eau est chaude à souhait et je commence par me laver les cheveux lorsque je remarque un trou dans la cloison, ainsi qu'un même trou sur la cloison opposée.
Quel farfelu avait pu percer des trous de voyeur dans ce lieu ou tout le monde se promène nu ?
Je continu mon shampoing et rince mes cheveux. Je m'aperçois qu'un oeil reluque derrière l'un des trous. je suis d'abord prise d'un sursaut de peur, mais devant la passivité de ce voyeur je me calme prend mon gel douche et me savonne. Tout bien réfléchi j'étais persuadée que Christophe était derrière cette cloison. Il m'avait mener jusqu'ici et avait ouvert la porte de cette cabine.
Le coquin, il veut du spectacle pourquoi ne pas lui en donner...

En me savonnant délicatement je l'imagine bandant comme un taureau en se délectant de mes charmes. Quel gabarit pouvait atteindre ce sexe en érection qui déjà sans excitation était de mensuration fort appréciable ?
Mon coeur s'emballe et des chaleurs m'envahissent rien qu'à l'imaginer se masturber.
Je me caresse alors la toison et de l'autre main me masse un sein, les yeux fermés je m'imagine même prendre ce Christophe en bouche, je m'introduis un doigt puis deux et commence a défaillir, je fantasme plein gaz, des scènes torrides défilaient dans mon esprit.je décide de parler a ce supposé Christophe.

-"tu bandes... réponds moi, je te fais bander n'est-ce pas "
pas mot aucune réponse, mais toujours cet oeil à m'épier.

-"tu te branles... dis-moi que tu te branles "
aucune réaction .

-"ainsi tu ne peux voir mon cul,n'est-ce pas que tu voudrais le voir "

je me tourne afin de lui offrir une vue imprenable sur mon fessier que je sais irrésistible et bien naturellement j'en joue et use avec talent.
d'une main je m'appuie sur la cloison d'en face et de l'autre continue à me caresser profondément,
alors que je commence a jouir je me retourne a nouveau face à lui, il avait pendant que je lui tournais le dos introduit son sexe dans le trou ses bourses reposaient sur la cloison.

Bigre... je n'aurais jamais pu imaginer un tel mandrin je n'aurais certainement pas la chance de recroiser tel spécimen...
j'applique du gel moussant dans ma paume de main et commence délicatement a laver cette bite qui n'était pas encore parvenu a sa taille définitive, je la sent encore s'épaissir et durcir, mes doigts ne peuvent maintenant plus en faire le tour.
Le gel ainsi appliqué agit tel un lubrifiant, j'accélère progressivement le mouvement jusqu'à une
cadence plutôt soutenue, ma position debout n'est pas idéal,je décide de m'agenouiller la douche est effectivement bien propre et c'est sans crainte que je prends cette posture.

Je rince maintenant ce fabuleux phallus au même moment la temporisation du robinet de douche ce coupe l'eau coulant sur ma peau ajoute une touche érotique, c'est pourquoi je le réarme une nouvelle fois, je tourne ma tête pour effectuer cette manipulation et constate
qu'un nouvel oeil avait pris position derrière l'autre cloison, la brume que forme l'eau m'empêche de bien le distinguer, mais cela est certain il y a bien quelqu'un.
Après tout, je ne souhaite pas stopper ce moment me procurant tant d'excitation, que l'on me regarde ajoute encore du piment.je reprends la masturbation du majestieux membre qui m'attend vaillamment,j'ai la forte envie de le prendre en bouche, mais la pensée de mon roméo m'y empêche.

je suis tiraillée entre le fort désir de le sucer et les remords que cela peut engendrer.
Impossible de résister à cette pièce unique... je commence a tété son gland du bout des lèvres
tout en le titillant de ma langue, alors que jusqu'à présent aucun bruit n'était perceptible
j'entends enfin un râle de plaisir qui me procure grande satisfaction, je m'évertue d'engloutir le plus profondément possible ce merveilleux gourdin.
À chaque va-et-vient, je gagne encore quelques millimètres jusqu'à sentir ma gorge gonflée par ces formes généreuses, je ne parviens même pas jusqu'à ma main qui enserre la base de cette queue.
Depuis longtemps je suis adepte de cette pratique que Renaud apprécie tant, il m'avait fallu un certain temps pour y parvenir sur mon homme lui aussi généreusement doté,au début de notre relation j'avais lu que la moyenne française d'une verge est de 15 cm, curieuse de savoir ce qu'il en était de mon homme je lui avais mesuré et malgré sa bite épaisse et généreuse d'un bon tiers de plus que la moyenne je venais a bout de cette gourmandise.

Mais là c'est toute autre affaire je sens son pénis au fond de ma gorge et comme pour l'agripper
ou peut être le punir de ne pas me laisser parvenir à mes fins je mords vigoureusement dans cette chair exquise, je relâche ensuite mon étreinte pour recommencer, ma gorge enveloppe le gland et à chaque assaut je suis à la limite de restituer, j'engorge, dégorge engorge dégorge, encore et encore... cette fois-ci je n'ai pas l'impression d'effectuer une gâterie, mais de bel et bien me faire baiser la bouche.

Chaque fois que je mords dans ce gourdin ma main caressant mon minoi enfonce de plus en plus profondément des doigts vengeurs,vengeurs de ne pouvoir plus profiter de cet engin prestigieux, derrière la cloison ce n'est plus des râles de plaisirs, mais bien des cris de jouissance,je torture donc de plaisir ce pauvre homme qui ne pouvait que subir mes assauts.

Je souhaiterais maintenant qu'il soit acteur, que l'on me saisisse par les seins,les hanches,
sentir des mains prendre possessions de moi,je veux casser ce mur qui m'empêche de parvenir à mes fins...
l'eau s'arrête à nouveau de couler je relance alors le robinet et constate que le voyeur n'est plus la.

Quelqu'un frappe à la porte ???

moi -"c'est occupé "

un rire se fait entendre

Renaud -"glorya c'est moi !!!"

Ma main se fige en serrant fortement le phallus.

Moi -"j'ai bientôt fini mon chéri je me rince et sort "

En fait c'est ma gourmandise qu'il me faut rincer...

Renaud -"bien " rebond t-il "je reprends alors ma place dans la douche voisine."
mon coeur s'arrete, ma main gainant encore le sexe responsable de mes pulsions incontrôlables ce fige.

Moi -"une minute chéri je t'ouvre "

merde quelle connerie cela fait effectivement plus de 10 minutes que je suis là comment est je
pu être si bête et comment maintenant lui faire entendre mon amour.
Merde quelle conne...je relâche mon étreinte et repousse le fruit du pécher dans ses retranchements.

Je déverrouille la porte, je panique quelque peut mon palpitant s'emballe maintenant pour toute autre raison.
La porte s'ouvre, il entre tranquillement referme le verrou derrière lui, dépose sa trousse de toilette.
Pour ma part j'attrape ma serviette et commence a m'essuyer.
Il me regarde me sourit.

Renaud -"tu ne prends pas une douche avec moi ?"

Moi -"tu le souhaites vraiment ?"

Renaud -"bien entendu pourquoi?"

Moi -"c'est bien toi qui jouais les voyeurs tout à l'heure ?"

Renaud -"oui cela m'a beaucoup excité toute foi je suis déçue de revenir trop tard j'étais partie en pensant que tu pouvais avoir besoin de ça "

il ouvre sa trousse de toilette et en sort ses préservatifs.
Que répondre à cela...je garde le silence et me demande ce qu'il pense de moi.
Il frappe du doigt comme dans une porte contre la cloison commune qui raisonne.

Renaud -"vous êtes toujours là ? ,n'ayez crainte... répondez, êtes-vous toujours là ?"

Pour confirmer sa présence dans la douche voisine, l'apollon tousse plusieurs fois.

Renaud -"je t'espère encore en forme mon ami... Glorya a-tu déjà épuisé ton convive ? "

Je ne dis pas mot, alors qu'il me caresse les fesses je baisse la tête comme honteuse, que pense-t-il ?
ou veut-il en venir ? Mon plaisir a toujours été une priorité pour lui et notre sexualité débridée et complice toujours réciproque, rien n'était caché et tout était partagé, nous nous étions juré de ne jamais coquiner l'un sans l'autre et là finalement je l'avais trahi.

Il m'enlève la serviette des mains,la raccroche, me pousse dans le coin de la douche et fait couler l'eau. Il m'embrasse tendrement en me caressant encore les fesses puis me presse les épaules afin que je m'agenouille devant lui.
Je le gratifie sensuellement et comme a l'accoutumé son sexe ne tarde pas a se raidir. Renaud certainement dans le but d'alerter le voisin dit d'une voix bien perceptible.

-"vas y suce moi bien ma belle, suce moi à fond ma salope "

Ces éloges ne sont pas vaines puisqu'un oeil fait rapidement son apparition derrière le trou.
Renaud se déplace latéralement afin de nous rapprocher de la cloison prend le sexe de sa main le dirige vers ma joue et ainsi me suggère d'honorer devant lui la bite en semi-érection, contrairement a ce que j'avais pu penser je n'ai aucun mal ni même d'anxiété à gratifié un autre homme devant mon Roméo, je suis très vite heureuse de pouvoir me délecter de 2 beaux sexes chacune de mes mains exécutent leur office d'une même allure et ma bouche passe de l'une a l'autre de mes friandises Renaud semble aux anges et cela me motive a n'avoir aucune retenue, alors que ma seconde douceur semble avoir peine à retrouver ses formes nourrissantes je m'escrime avec plus d'insistance sur ce glaive devenu capricieux.

Renaud saisit un préservatif qu'il avait laissé tomber au sol, le fait glisser sur le sol en direction de la cabine voisine,j'imagine que si notre voisin le trouve cela devrait être suffisamment explicite .
Rapidement le somptueux phallus disparait et réaparait effectivement équipé de la capote qui manifestement l'étrangle,la partie non recouverte boudine sous l'étreinte du garrot que forme le préservatif .Le durex comfort xl qu'utilise mon homme lors de nos soirées particulières incontestablement ne convient pas a cet organe invraisemblable...

Renaud prend d'une main le sexe et de l'autre me pousse sur sur le ventre m'incitant ainsi à plaquer mon postérieur sur celui-ci, il se sert du phallus pour me caresser la vulve en lui donnant un mouvement parfois vertical ou parfois circulaire, malgré ma forte envie j'ai difficulté à accueillir un si gros mandrin, mon roméo doit s'en apercevoir, il s'agenouille face à moi et s'évertue sensuellement à me lécher le clitoris,je saisis le sexe et parviens à en introduire le gland, fort heureusement je suis seule à juger la vitesse et la profondeur à laquelle je souhaite ou plutôt peux recevoir l'outil qui serait devenu outil de torture s'il avait été utilisé par un ouvrier impatient ou indélicat.
après de nombreux va-et-vient, je peux enfin profiter pleinement de ce sexe puissant et généreux de virilité
Renaud se relève se positionne devant moi afin de se faire sucer, il me tire les cheveux et tend son bras vers mes fesses pour me caresser l'oeillet de son index.
Je deviens complètement folle et suis prise de sorte de spasme, je n'ai plu aucune retenue au point de gueuler comme une dingue sans me soucier qu'à tout moment quelqu'un pouvait nous entendre.
Mes mains sont agrippées aux cuisses de Renaud qui me tire la crinière, je le pompe au rythme que je m'empale sur l'engin de folie.
difficile à dire combien de temps nous passons ainsi,cela fait fort longtemps que je suis dans un état de plaisir indescriptible, insoutenable, d'orgasme quasi ininterrompu et de jouissances insoutenables,
plus aucun repaire je suis complètement transportée.

Je reviens à moi lorsque j'entends l'étalon jouir,il gémit si fort qu'il est certain que l'éruption est proche, je me libère de la profonde exploration, me retourne, soustrais le préservatif et secoue vaillamment le sexe, tantôt je le claque vigoureusement sur ma joue, tantôt je gobe le gland, Renaud profite alors de ma position pour me saisir les hanches et me convoiter le petit, ma rosette étant déjà bien préparée par les caresses insistantes qu'il lui avait conférées il n'à effectivement aucun mal à emprunter cette voie exceptionnelle.

Renaud commence doucement a m'investir le petit pendant qu'à pleine bouche je dévore le fameux gourdin emprisonné dans mes deux mains, mais quand il commence a m'enculer sèchement et sauvagement il m'est impossible de prendre un sexe en bouche sous peine de le voir s'enfoncer bien trop profond dans ma gorge,je branle et mord alors copieusement cette verge que je sens se raidir un peut plus avant qu'il ne crache son venin, trois ou peut être quatre fortes giclées me peinturent le visage, le vilain jouit vraiment très fort presque aussi fort que moi qui ne peux contenir mes râles sous les violents coups de bite de Renaud.

Le visage inondé je ne me résigne pas à relâcher le pauvre sexe qui tente de se dégager de mon étreinte, je dois compenser et riposter à l'intensité des assauts de Renaud.
Renaud qui ne se faisait pas entendre jusque la, bien trop concentré à me faire déguster gémit enfin et se finit a la main en giclant sur mes fesses ,je jubile à le voir prendre un tel pied et relâche la bite à laquelle j'ai du causé bien des tourments pour rincer celle de mon homme comme il se doit.

Renaud me sourit et me dit
"je trouve que les vacances commencent fort bien"

il allume la douche et nous prenons une douche, l'un contre l'autre nous embrassant langoureusement.
Nous entendons sortir l'homme de la douche voisine peut être est-ce Cristophe, quoi qu'il en soit je ne voulais pas savoir.
Renaud me dit alors

"c"était un sacré sextoy "

je rigole, effectivement ce n'était qu'un sexe sans visage sans main ni corps la comparaison était parfaite et j'étais très heureuse que Renaud voit les choses ainsi.
.

Lorsque nous sortons du hall des douches, 2 femmes sont aux bacs vaisselle situés à l'extérieur, elles nous regardent et en souriant l'une dit

"et bien !!! faites attention cela pourrait ne pas être du gout de tout le monde... bonne continuation..."


GLORYA NOCEL