jour de greve

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 15/01/2007 par claude lamour

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Sandrine ; c'est mon prénom. J'ai toujours aimé sentir le regard des hommes se poser sur moi. Je porte souvent des minijupes, sans culotte et recherche les escaliers les plus abrupts possible pour dévoiler ma croupe à ces messieurs.
Quand je fais mes courses, je ne porte pas de soutien-gorge et mets un chemisier bien décolleté, ainsi, si je me penche, mes seins se dévoilent aux regards des males.
Je viens d'avoir 22 ans, mariée à un homme trop souvent absent, mais je n'ai jamais ressenti le désir de le tromper. C'est juste que je m'ennuie un peu, alors je m'amuse.
Aujourd'hui, je ne sais pas pourquoi, j'ai envie d'un peu plus, j'ai envie d'exciter bien sûr, mais si je pouvais y mettre un peu de piment... une amie m'a dit récemment que la peur était un super aphrodisiaque. Et si je testais !?...
Comme souvent au printemps, c'est jour de grève. Service minimum dans les transports, je n'irais pas au boulot. Et si ???... une idée vient de traverser mon esprit de blonde, et mon mètre soixante dix rentre en ébullition. Oserais je ??... Aller, plus d'hésitation, je me lance.
Une paire de bas, une jupette plissée noire, juste une veste de tailleur sans rien dessous, des escarpins et un petit sac en bandoulière seront ma panoplie pour aujourd'hui.
Je me dirige vers la bouche de métro, en descendant les escaliers le vent tente de soulever ma jupe. Je la maintiens d'une main, mais je suis sur que des yeux ont déjà vu que je portais des bas.
Arrivée sur le quai, je me noie dans la foule, et attend mon destin, avec un petit quelque chose au ventre. Mon but d'aujourd'hui ; me sentir presque nue et me coller à des hommes qui ignorent tout de mon jeu.
Le quai est noir de monde, impossible d'éviter le contact avec les gens qui m'entourent. C'est pourquoi je n'ai pas réalisée que la personne qui se tenait derrière moi, se pressait contre mon dos en appliquant, contre mes fesses, de très léger coup de reins discret, afin que personne ne le remarque. J'ai senti le rouge me monter aux joues et mon cœur battre plus fort. Et si il avait vu, si il avait remarqué, si il avait compris que je suis nue sous mes vêtements et de ce fait très vulnérable. Je l'imaginais ouvrant d'un coup ma veste en arrachant les boutons, puis soulevant ma jupe et se mettant à hurler « regardez, c'est une salope ». Je pris une grande respiration afin de calmer la panique qui m'envahissait. Si cela se trouve, il ne fait rien et c'est moi qui fais un peu de paranoïa.
Le métro arrive enfin au bout d'une demie heure. Je ne suis qu'a une station du début de la ligne, de ce fait il est presque vide. Pas pour longtemps. Les portes s'ouvrent, et une marée humaine me propulse dans le wagon. J'ai juste le temps d'attraper une barre centrale pour éviter de me faire écraser contre la porte opposée. Au bout d'une minute les portes tentent et retentent de se fermer et y parviennent enfin. La rame démarre. C'est le moment de faire le bilan de ce qui se passe autour de moi. Je suis face à face avec un homme d'une cinquantaine d'années, visiblement il souffre de ce manque d'espace et grimace un peu. A ma gauche, un type a réussi à plier son journal, et le tenant appuyé sur le dos de la personne devant lui lit les dernières nouvelles. A ma droite, un autre homme, plus jeune, plutôt pas mal, essaye de trouver un endroit ou se tenir, le pauvre, il se retrouve avec un bras en l'air et se tient avec deux doigts contre la paroi.
Peu de femmes dans cette rame, les jours de grèves elles sont nombreuses à préférer marcher. Voilà, je peux enfin commencer à jouer avec mes sens. Je tiens la barre de la main gauche et mon épaule est collée à celle du liseur de journaux. Mon bras droit est à quarante cinq degrés, ma main tient la lanière de mon sac, et le dos de celle-ci est directement posé sur les abdos du jeune homme. Ha ! Si j'osais, j'appuierais plus fort pour voir si il est très musclé, mais bon !! Le plus important, pour le moment c'est de sentir ma poitrine, écrasée contre celle du quinquagénaire, se frotter contre lui au rythme des secousses. J'ai envie de plaquer mon ventre contre le sien mais faire une chose comme ça serait insensé, pourtant, je le fais, mais instinctivement, par réflexe, car je viens de sentir une légère caresse sur mes fesses et je suis surprise. Le quinqua aussi est surprit et me regarde avec des yeux tout ronds. Le rouge remonte à mes joues. Je lui fais une petite grimace en signe d'excuse. Il a du comprendre le message et me sourit légèrement. Je pense que mon agresseur est le jeune homme, mais le pauvre a tellement de mal à arriver à s'agripper quelque part, que ce ne peut être lui. Derrière moi, la caresse se fait plus présente, plus insistante. Impossible de me retourner, mais pendant un court instant, dans le reflet de la porte, je peux voir le visage de la personne qui se tient derrière moi, et je la reconnais de suite. L'homme du quai. C'est bien lui et visiblement je ne suis pas parano, maintenant j'en suis sûre.
Il passe le dos de sa main doucement d'une fesse à l'autre, en appuyant de plus en plus fort. Mon sang se glace quand il prend ma fesse droite à pleine main et commence à la malaxer. J'avoue, j'ai peur, mais pourtant je laisse faire. Mon cœur fait des bonds dans ma poitrine. Devant mon manque de réaction il prend confiance en lui, et applique son autre main sur ma fesse gauche. Il caresse mon cul sans ménagement, et il va forcément sentir que mes fesses sont nues. OUI ! Bien sur qu'il l'a senti, et son sang à l'inverse du mien doit bouillir. Tout en me caressant, je le sens remonter ma jupe lentement, puis son petit doigt touche la couture de mes bas. Il remonte un peu et ...c'est le contact avec ma peau. Il va doucement, continu de remonter le tissu, et d'un coup applique ses mains directement sur mes fesses. Il monte ses mains très haut sur ma croupe et les redescend jusqu'à mes cuisses sur mes bas. Puis il les met de chaque cotés de mes hanches, serre et me plaque contre lui. Je sens le renflement dans son pantalon, il se frotte contre la fente de mon cul, je suis paralysée par la trouille, mais si se n'était pas la crainte d'être surprise, j'y trouverais du plaisir. Un coup de frein, plus fort que les autres, nous fait tous vaciller. En une fraction de seconde je vois les yeux du jeune homme se baisser, s'écarquiller, et sa bouche s'ouvrir. Je me sens vraiment très mal. Je sais qu'il a vu ce que faisait l'homme du quai derrière moi, je sais qu'il a comprit que je ne disais rien et que je laissais faire. Quelle allait être sa réaction ?
Il rougit légèrement, lève les yeux au ciel comme si il n'avait rien vu, et appose, lui aussi, une main sur le coté de ma jambe. Çes doigts glissent sur mon bas, puis remontent au dessus de la couture et s'aventurent sur le devant de ma cuisse. La pivoine, que je suis devenue, ferme les yeux quelques instants, juste quelques secondes pour tenter de comprendre si dans l'ouragan qui dévaste mes pensées se trouve un soupçon de plaisir, ou n'est ce que de la peur, de celle qui vous paralyse sur place. Je n'ai pas le temps de trouver la réponse. Je ré ouvre les yeux très vite. Je viens de sentir quelque chose sur mon ventre. Je regarde le quinqua, il a les yeux baissés, sa vue plonge dans mon décolleté. Je comprends qu'il a glissé deux doigts entre le bouton du bas de ma veste et le suivant et me caresse doucement le ventre. Il relève les yeux, me regarde tendrement avec un léger sourire et ma respiration se bloque. Il vient de défaire le bouton du bas. Instinctivement je recule, à la plus grande joie de l'homme du quai, qui écarte d'un coup mes fesses et écrase sa boursouflure presque sur mon anus. Le jeune profite lui aussi de mon recule, et plaque sa main sur mon sexe que je devine humide, car il parvient à glisser un doigts sans aucune difficulté. Le quinqua, lui, profite de l'espace providentiellement fourni pour glisser sa main sous ma veste et me prendre un sein à pleine main. OK ! , c'est bon, là j'ai vraiment peur, ma jupe est entièrement relevée, mon ventre est à l'air, et je ne dois mon salut qu'à la foule qui fait paravent.
Je suis tétanisée. Le jeune me masturbe le clito... mon amie avait raison, la peur peut multiplier le plaisir... je vais jouir... je panique, tente de me dégager, mais rien y fait, bien au contraire. Profitant d'un mouvement de montée et de descente de passagers, ils parviennent à me coller contre la porte du fond, dans l'angle du wagon. J'ai été trop loin, je suis prisonnière de mon propre jeu et je ne peux plus rien dire, d'ailleurs, même si je le voulais, aucun son ne pourrait sortir de ma bouche tant j'ai peur. Le jeune appuyé contre la paroi, fait pénétrer son pouce droit au plus profond de mon puit d'amour, son autre main malaxe ma fesse droite. Prêt de lui, l'homme du quai, dans un mouvement rapide et précis, soulève ma jambe gauche en plaçant sa main sous mon genou. Je crois défaillir, quand debout sur une jambe, un pouce dans le sexe, le quinqua à ma gauche, déboutonne toute ma veste, l'ouvre en grand pour faire sortir mes seins, les prendre à pleine main et triturer mes tétons durci par l'excitation. Je perds toute notion de danger. Je ne sais plus très bien où je suis. Le pouce quitte mon humidité pour venir prendre ma main et la plaquer sur la braguette du jeune. Devant mon manque de réaction, il entreprend de l'ouvrir lui-même, et sort une queue gorgée à ras bord de plaisir, qu'il me met dans la main. Elle est très dure, très douce, et presque sans m'en apercevoir, dans ce tourbillon de folie, je le masturbe tout doucement.
Sa main libérée vient rejoindre celle du quinqua, sur mes seins. Mon sexe, trempé, bouillant, ne se rend pas tout de suite compte que ce qui vient de le toucher n'est en rien une main ou un pouce. L'homme du quai a lui aussi sorti son sexe, et l'applique sur ma fente. Apres plusieurs tentatives, il parvient à me prendre, là, au milieu de tous ces inconnus, et sans être vu. Il fait un très léger mouvement de va et vient, profitant de tout les à-coups de la rame. Un éclair de lucidité me fait dire que si il jouissait je serais très ennuyée pour rentrer. J'ai à peine fini ma réflexion qu'une giclée chaude s'écoule en jets saccadés sur ma cuisse. Le jeune vient de jouir sur moi, j'en ai plein les mains, mais tout vas trop vite et je ne parviens plus à gérer mon cerveau. Une seule chose me vient à l'esprit ; il ne faut pas que le sperme coule sur mes bas, alors je lâche l'objet de mes ennuis, et m'applique à étaler la liqueur sur la peau de mes cuisses, allant même jusqu'à mes fesses. Je suis secouée une fois de plus, une décharge brûlante se déverse dans mon ventre, son sexe sort, il laisse retomber ma jambe. L'angoisse de la coulée me reprend et me met en panique, je reprends sa queue et la frotte sur ma vulve, comme pour faire pénétrer sa liqueur, mais sentant que cela ne suffira pas, j'entreprends de me masser la chatte avec la main. C'est chaud, gluant, et contre toute attente je jouie. Je ferme les yeux, et retiens un léger cri. Je continue d'étaler le sperme, qui commence à sécher. Mes doigts sont collants, je suis contrainte de finir de les essuyer sur mon ventre. Le quinqua, lui, continue de me triturer les seins et semble s'en satisfaire. Je commence à reprendre mes esprits, du coup je recommence à rougir. Mon dieu, qu'ai je fais. Je dois être folle.
« Les voyageurs sont informés que le trafic est totalement interrompu sur l'ensemble du réseau »
La voie du haut parleur finit par me sortir complètement de ma torpeur. Les gens sortent rapidement du wagon, ainsi que mes trois compères, me laissant en plan, jupe relevée et seins à l'air.
Je me retourne promptement face à la porte, je rabaisse ma jupe et reboutonne ma veste en prenant garde de ne pas la tacher, car mes doigts étaient encore couverts de semence gluante. Je lève la tète et je vois sur le quai d'en face, deux clochards qui n'ont pas perdu une miette du spectacle que je viens de leurs offrir. J'ai chaud et je crois que je resterais rouge toute ma vie. Je sort de la rame et me dirige vers la sortie. Je suis la dernière et bien contente de l'être. Je n'ai pas vu défiler les stations, et je ne sais même pas où je me trouve, mais un panneau de sortie me fait comprendre que j'ai presque fait toute la ligne, je dois être à « Etoile ». Ma veste colle à mon ventre, ma jupe à mes cuisses. Un coup d'oeil rapide me permet de voir qu'il n'y a pas de dégât apparent, sinon une petite tache blanche sur un de mes escarpins. Je monte les escaliers, tout en me frottant les mains pour faire totalement disparaître les traces de cette folie. Personne dans les couloirs, j'en profite pour repasser ma main sur ma vulve afin d'enlever une coulée que je sentait proche, et bien sûr, je recommence à frotter mes mains.
J'arrive dehors, il fait beau et chaud. Je vais marcher un peu pour « sécher ». J'ai l'impression que tout le monde me regarde, que tout le monde sait. Je m'assoie sur un banc face à l'avenue, et me refais tout le film de mon aventure incroyable.
Je respire, me détend, le rouge quitte peu à peu mes joues, mon cœur bat encore la chamade mais je suis soulagée. La réalité revient progressivement, et je commence à me demander comment rentrer. Un taxi stop juste devant moi, la glace arrière descend et le visage du quinqua apparaît. « Je peux vous déposer quelque part ? ». Le rouge qui m'avait gênée toute la journée revient au galop. Je me lève et monte dans le taxi en me penchant et en prenant bien garde à ce que les passants voient bien mes fesses, et lui mes seins.
Les sièges de la voiture sont moelleux et profond. Ma jupe remonte jusqu'à la couture de mes bas. Il sort un mouchoir de papier et se penche. Il pose sa main gauche sur ma cuisse, de sa main droite il essuie mon escarpin taché, et après avoir déposé un baiser sur mon genou, il me dit d'une voie douce et chaude...
« Où voulez vous aller ? »
Mon amie avait raison de dire que la peur était aphrodisiaque, je suis chaude bouillante.
« Chez vous, si vous m'autorisez une douche !? »


Claude Lamour
(claudelamour@hotmail.fr)