Chantage : jour 2

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Proposée le 22/05/2008 par Carole M

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Remarque : Attention, pour ceux qui avaient déjà lu la première partie le découpage partie 1 / partie 2 a été revu. La fin de la première partie devient le début du deuxième... avec quelques "améliorations".

Ce scénario écrit à deux est une initiative d'un lecteur comme vous. Chaque changement de personnage correspond à un échange par mail et chaque réponse est une occasion d'entraîner l'autre dans son univers, d'exprimer avec ses mots son regard sur la scène.

Nous avons pris beaucoup de plaisirs à écrire cette suite et nous espérons que vous en prendrez autant à la lire.

Elle :
Ma première soirée sous la domination sexuelle de Loïc avait été intensive. Il ne m'avait pas épargnée et j'étais décidée à en faire de même au bureau. Dés son arrivée Loïc a eu une pile de dossiers urgents à traiter pour qu'il comprenne sans ambiguïté que c'était à son tour de remplir sa part du contrat. J'étais prête à assumer pleinement ma soumission sexuelle le soir, mais il allait en contre partie devoir me prouver dans la journée une capacité de travail à la hauteur de mon engagement. J'avoue avoir pris un malin plaisir à me montrer particulièrement intransigeante tout au long de la journée et la journée de travail terminée je suis partie en déposant un dernier dossier sur le bureau de Loïc.

- Vous ne devriez pas en avoir pour plus d'une heure ou deux, vous n'aurez qu'à déposer votre compte-rendu sur mon bureau avant de partir. Bonne soirée.
- Comptez sur moi... La journée a été pénible mais ma soirée va être excellente.

L'allusion à ce qui m'attendait ne faisait aucun doute, et je savais qu'il n'allait pas se priver. Il m'a fait attendre pendant une heure devant sa porte, en bas résilles et porte-jarretelles noirs, offerte sous mon manteau. Je m'attendais à une deuxième soirée au moins à la hauteur de la première, et dés son arrivée j'ai su que ce serait le cas. Sans un mot, Loïc m'a adossée au couloir de son étage et il a ouvert en grand mon manteau pour vérifier que j'avais respecté sa demande. A la vision de mon corps nu Loïc a esquissé son premier sourire de la journée. Ses mains ont empoigné mes seins, les ont palpés, et j'ai senti sa main droite glisser sur mon ventre pour descendre me doigter sans autre forme de procès. Loïc semblait vouloir me faire jouir debout dans son couloir, je sentais ses doigts délicieusement aller et venir en moi pendant qu'il ne me lâchait pas des yeux. Comme pour la première soirée, il avait décidé de commencer très fort, et j'étais loin d'être au bout de mes surprises ...

Sans se soucier de la possibilité d'être surpris par un voisin de palier, Loïc a accéléré le mouvement de sa main droite et a glissé deux doigts de sa main gauche dans ma bouche.

- Je te rassure, je vais t'offrir bien mieux que quelques doigts, c'est juste histoire de te préparer à devoir assouvir plusieurs queues en même temps, une petite mise en condition. Pour les choses sérieuses je t'ai acheté une boite de préservatifs. Nous allons voir si après ce soir tu t'amuseras encore à me presser comme un citron dans la journée. Je te donne trente minutes pour revenir avec des préservatifs utilisés et du sperme dans la bouche. A ton tour de me prouver que tu sais être une bonne salope bien soumise et que tu tiens tes engagements ...

C'était le défi le plus fou qu'on m'ait donné. On aurait été dans un club échangiste les choses auraient été simples et plaisantes, mais ici j'étais loin d'être dans les conditions idéales pour relever ce défi, je partais de zéro depuis un endroit inconnu...

Je devais agir vite et je me suis contentée de fixer son regard quelques secondes avant de me diriger vers l'escalier en regardant ma montre. J'étais au rez-de-chaussée avant d'avoir entièrement reboutonné mon manteau, abandonnant d'office l'idée de trouver mon bonheur dans l'immeuble. A moins de tomber par miracle sur un attroupement d'étudiants, c'était peine perdue. Je ne voyais qu'un seul endroit pour trouver des hommes capables de sauter sur une nana aussi rapidement, il me fallait un bar. J'avais quelques minutes pour embarquer trois piliers de bar et pas beaucoup plus de temps pour les faire jouir. L'idéal serait de réussir à embarquer un des employés, histoire de pouvoir s'éclipser dans une salle privée, mais j'étais consciente qu'il ne fallait pas que je me berce d'illusions.

Heureusement pour moi, Loïc habitait dans un quartier pas trop paumé et je n'ai eu aucune difficulté à trouver un bar près de chez lui. Ce n'était qu'un petit bar de quartier un peu sombre et sans aucun cachet, mais il y avait bien plus de monde que je ne l'aurais espéré. Les clients étaient occupés à regarder un match de foot, ce qui expliquait la fréquentation sans arranger mes affaires. Le délai imparti ne me permettait pas de perdre du temps, je devais y aller franchement... mais comment ?

Un regard circulaire m'a permis de constater que certains trouvaient mon arrivée au moins aussi intéressante que le match en cours, mais il n'y avait aucun groupe isolé. Il y avait par contre un beau black qui ne me lâchait plus du regard et que je semblais visiblement intéresser. Je me suis installée près de lui...

- Vous regardez toujours les femmes avec autant d'insistance ?
- Seulement celles qui me plaisent particulièrement.
- Et ça marche ?
- Ca permet parfois de beaux échanges de regards et de temps en temps des fins de soirées agréables.
- Jamais un plan purement sexuel dans les toilettes d'un bar ?
- (rire) uniquement dans mes rêves les plus fous ...
- Dans ce cas vous pouvez remercier mon amant et ses défis débiles, j'ai moins de vingt minutes pour revenir le voir avec au moins deux préservatifs usagés.
- Je ne prends pas. Une femme comme vous ne vient pas se faire sauter par des inconnus dans les chiottes d'un bar minable.
- Vous seriez surpris de savoir de quoi est capable une femme comme moi. Vous êtes simplement au bon endroit, au bon moment. Il y a quinze minutes je ne vous aurais pas adressé un regard et dans quinze minutes vous aurez disparu de ma vie.
- Et vous comptez me faire remplir deux préservatifs à moi tout seul ?
- Ca c'est le bonus. Je vous donne l'occasion de faire le show devant un ou deux potes s'ils me remplissent chacun un préservatif pendant le spectacle...

LUI :
La curiosité m'a vite poussé à suivre discrètement Carole. Impossible de ne pas la voir à l'œuvre avec un défi pareil. Je suis resté en retrait et au claquement de la porte de l'immeuble je suis rapidement descendu pour ne pas la perdre de vue et la voir se diriger vers ce bar que je connaissais bien. Je n'en croyais pas mes yeux. D'un endroit discret, je pouvais observer que cette gourmande n'avait décidément peur de rien. Elle a choisi d'elle-même le plus grand type du bar et j'ai commencé à craindre qu'elle se fasse déborder par la situation.

Carole a embarqué le black dans les toilettes des femmes avec deux de ses potes (et une chaise ??), et je suis entré pour m'installer derrière la porte des toilettes. Je l'entendais les diriger autoritairement : « Toi et toi chacun contre un lavabo et enfilez chacun votre capote. Jouissez bien du spectacle ... mais dans la capote. ». Je les ai entendu s'installer et j'ai risqué un œil discret dans l'entrebâillement de la porte. Les gars déroulaient du caoutchouc, le black faisait tomber sur le sol le manteau de Carole, et ma gourmande était déjà en train de jauger de sa main la bite raide et longue qu'elle allait s'enfiler. Le black s'est ensuite assis sur la chaise en entraînant Carole avec lui, et Carole a immédiatement pris les choses en main pour guider la queue de son amant de passage. Carole contrôlait néanmoins la pénétration et vu la taille de l'engin elle avait plutôt intérêt. Son rythme de va et vient était par contre soutenu et ses gémissements n'ont pas tardé à prendre de l'ampleur. Ma salope de patronne prenait visiblement son pied malgré le stress du chrono et le lieu peu ragoûtant. Quant aux deux autres larrons, ils se masturbaient frénétiquement devant le spectacle. La scène a durée ainsi quelques courtes minutes avant qu'ils éjaculent. Les deux gars ont alors déroulé leur capote pour la nouer avant de la donner à Carole, et ils ont quitté la pièce sans chercher à obtenir plus. Je suis pourtant certain que Carole n'aurait pas fait de difficulté ...

Par contre au bar ils se sont montrés moins discret et je les ai entendu annoncer à qui voulait l'entendre qu'il y avait une salope en train de se faire baiser dans les chiottes. Carole n'a pas dû entendre ce qui se passait dans la grande salle du bar, mais après avoir laissé sortir les deux premiers, je ne pense pas qu'elle ait été surprise de voir débouler une dizaine de footeux. C'était maintenant l'équipe complète du quartier qui rêvait de s'offrir en cœur une bonne salope. Carole était au bord de la jouissance et le glaive de son hôte la fendait littéralement en deux. Elle exploitait maintenant la totalité de ce sexe hors norme, s'asseyant intégralement sur le black en se mordant les lèvres. A chaque fois que Carole se relevait, on pouvait voir l'impressionnante colonne de chair qu'elle s'enfilait. Elle était dans un état second mais semblait cependant parfaitement consciente de la situation et de sa terrible faiblesse. Il ne lui restait plus qu'une petite dizaine de minutes pour s'extirper de cette situation sans que cette dernière dérape, et Carole tremblait de tout son être. Je me demandais si elle commençait à paniquer ou si elle était totalement surexcitée, en tout cas Carole devait voir défiler dans sa tête de sérieuses images de gangs bangs bien salés. Son orgasme la stoppa net pendant plusieurs secondes... pendant une éternité vu la situation, puis avec une force tirée de je ne sais où, elle s'est adressée à l'ensemble des mecs qui l'entouraient.

- Approchez vous.

Les footeux étaient proches de l'hystérie.

- Mettez vous en demi cercle. Si votre ami me laisse la chaise je m'allonge la tête en arrière pour vous laisser jouir où bon vous semble. Si vous jouez le jeu cela inclus ma bouche grande ouverte, mais il faut que je sois partie dans moins de 5 minutes.

Maintenant même si Carole continuait de diriger ces hommes, on sentait bien qu'elle les craignait aussi. Le long silence qui s'en suivit la fit blanchir et quelqu'un que je reconnus immédiatement prit la parole. C'était le capitaine de l'équipe de notre quartier, un sacré queutard.

- Les gars je ne veux pas d'histoire, vous astiquez vos manches pour vider vos couilles sur sa petite gueule de salope et le premier qui déconne je lui défonce la tête !
- ok capitaine

Carole reprit des couleurs et le black se retira pour la laisser s'installer de tout son long face à une dizaine de sexes plus ou moins bien bâtis. Le capitaine se plaça alors derrière Carole pour lui tenir la tête bien tirée en arrière et qu'un à un les joueurs qui le désirent puissent jouir dans sa bouche. Celle-ci fut rapidement très sollicitée et les joueurs se bousculaient pour éjaculer entre ses lèvres. La dernière giclette du libéro marqua le coup d'arrêt et Carole ferma difficilement la bouche avant de se relever et d'enfiler son manteau en quatrième vitesse.
Toujours en retrait derrière la porte je l'ai vu courir à travers le bar et traverser la rue comme une furie. A ma montre il lui restait moins d'une minute ...

Lorsque je suis arrivé à l'appartement elle respirait encore si fort que j'ai un moment cru qu'elle allait s'étouffer avec le sperme qu'elle essayait de ne pas avaler. Elle me tendit trois capotes bien gorgées et déversa tout le foutre qu'elle gardait dans sa bouche dans le creux de ses mains jointes et arrondies.

ELLE :
Je me suis retrouvée comme une conne avec tout ce sperme dans les mains et aucun récipient pour le déverser. Commençant à connaître Loïc je m'attendais à devoir le lécher devant lui, ou à devoir l'étaler sur mes visages, sur mes seins. Il n'en fut rien. Contre toute attente Loïc est même allé me chercher un verre et un sopalin humide.

L'ambiance était différente. Pour la première fois j'ai eu l'impression qu'on n'était plus dans la démonstration. Ses gestes étaient plus lents, plus posés, rien à voir avec la précipitation de la première soirée. Il m'a montré le paquet qu'il avait avec lui lors de son arrivée, et en a sorti un gode vraiment impressionnant, couleur chair, noir. Visiblement Loïc faisait partie de ces hommes qui fantasment sur la salope blanche qui se fait baiser par un étalon noir. Si seulement il savait .....

Il a placé le gode sous mes yeux et m'a demandé ce que j'en pensais. La première chose qui m'est venue à l'esprit c'est que j'aurais préféré un sexe en chair et en os, mais je n'ai rien répondu. J'espérais simplement qu'il avait pensé au lubrifiant et ça occupait tout mon esprit. Un gode non lubrifié, qui plus est d'une telle dimension, n'a rien à voir avec une vraie queue. Il allait devoir bien glisser pour s'enfoncer et élargir amplement mes parois vaginales.

Sans attendre ma réponse qui ne venait pas, Loïc a déposé le gode près de son ordinateur. Il est ensuite revenu fouiller dans son sac pour en sortir un loup très élégant. Contrairement au masque de notre première soirée, le loup laissait visible la partie basse de mon visage. Il l'a tranquillement ajusté pour vérifier qu'il masquait suffisamment mon identité, puis il a démarré une session internet.

J'ai alors cru qu'on en avait fini avec les emplettes et je mettais faites une idée assez précise de la suite, mais Loïc a sorti un autre article. Il m'a fallu quelques secondes pour comprendre qu'il s'agissait d'un large collier raz du cou noir. Il était en jolie dentelle fine, avec un anneau devant qui tenait une longue chaîne en argent, fine et élégante. J'avais été surprise par la longueur disproportionnée de la chaîne et par les deux curieux pendentifs en forme de goutte d'eau. Loïc m'a passé le collier autour du coup avec un plaisir non dissimulé et a ensuite pris mes tétons entre son pouce et son index pour y fixer les attaches des perles.

- A partir de ce soir tu devrais porter ce collier à chacune de nos soirées. Ainsi chaque personne que nous rencontrerons sera sans ambiguïté que tu te présentes en bonne salope bien soumise....

Enfin il a sorti un rouge à lèvre rouge vif, « comme il les aime », et il m'a demandé de l'appliquer en m'indiquant la glace de l'entrée. Il voulait vérifier que le rouge faisait bien ressortir mes lèvres.

Lorsque je me suis regardée dans la glace, montée sur mes talons hauts, avec le collier de soumise très sophistiqué, le loup, mes lèvres rouges vives, et mon corps nu sous un porte-jarretelles et des bas résilles, j'ai vu une salope de la haute bourgeoisie qui s'offrait comme une pute. Je me voyais comme l'actrice principale dans la mise en scène d'une sauterie de très haut standing, gracieusement offerte aux convives par le maître des lieux.

Mes talons hauts m'obligeaient à me tenir droite et cambrée, les seins en avant et le cul en arrière. Avec la chaîne qui descendait de mon cou pour s'attacher à mes tétons, reliant par le milieu mes deux seins, il était impossible de ne pas arrêter son regard sur ma poitrine exhibée. J'étais pire qu'une pute, j'étais une chienne de luxe, soumise et offerte.

Pendant ce temps Loïc tchatait tranquillement, Webcam allumée. Dans la fenêtre vidéo de la Webcam on voyait juste son buste avec le gode en premier plan, je n'ai pas eu besoin d'un dessin supplémentaire. Il m'a regardé arriver puis il a écrit une dernière phrase que je ne suis pas prête d'oublier : « Rendez-vous à tous les connectés dans 45 minutes, il est temps que je pense aussi à moi. Figurez vous que je n'ai pas encore pris le temps de lui défoncer son petit cul ... »

LUI :
J'ai éteint la Webcam et je me suis retourné vers Carole. Ma patronne en esclave sexuelle parfaitement soumise me faisait triquer comme un fou. Rien que d'imaginer que dans moins d'une heure elle va se goder à la demande de dizaines de voyeurs en rut... Mais avant cela j'allais en profiter. Je me suis approché de Carole avec le sentiment jouissif d'être le maître de sa nuit.

J'avais devant moi une jolie bombe capable te baiser devant toute une équipe de foot dans les chiottes d'un bar minable. J'ai tiré un peu sur le collier, martyrisant avec délicatesse les deux tétons de Carole, et je l'ai regardé se pincer les lèvres et grimacer. Ses traits laissaient entrevoir un doux mélange de douleur et de plaisir, ce qui n'était pas pour me déplaire. J'ai donc continué un peu en doigtant en même temps sa petite chatte si accueillante de ma main libre. Je m'amusais à lire se mélange si subtile de plaisir et de « douleur ». Le chaud et le froid, tout en mesure.

Savoir Carole ainsi à ma merci me mettait dans tous mes états, je n'avais plus qu'une pensée... la baiser sur le champ. J'ai passé un doigt dans l'anneau du collier et je l'ai dirigée vers la table du salon. Une fois arrivé je l'ai penché en avant contre la table sans dire un mot. Sa taille semblait parfaite pour l'exercice et son buste était plaqué contre la table froide tandis que ses jambes étaient tendues, sa croupe relevée. J'ai écarté ses jambes et j'ai admiré Carole, ainsi offerte sur la table, plus bandante que jamais. Elle offrait sa chatte et son cul tous deux grands ouverts par l'excitation et la position.

J'aurai pu la baiser immédiatement mais j'ai eu envie de goûter sa chatte, de la laper. Cette caresse a vite arraché à Carole des petits miaulements et des mouvements de bassin révélateurs. Carole était proche de la jouissance et quelques coups de langue bien placés lui aurait arraché un puissant orgasme, mais c'était trop précoce, trop facile.

J'ai abandonné sa chatte pour titiller son petit trou en forme d'étoile, d'abord doucement, puis avec un peu plus d'insistance avant d'immiscer ma langue dans son petit cul. Chaque pénétration de ma langue la faisait soupirer et elle s'ouvrait comme une fleur, si bien que mes doigts enduis de son suc vaginal ont remplacé ma langue sans effort et sans résistance. Savoir que j'allais vider mes couilles dans ce magnifique petit cul me comblait de joie. Je faisais bouger mes doigts en elle, en faisant des ronds, puis des va et vient et enfin des 8, au plus profond de son cul. La respiration de Carole se faisait saccadée, calée sur mes déambulations.

Quant à moi, mon excitation était renforcée par l'humiliation et la soumission de Carole. Je regardais ce cul et cette chatte, et je savourais l'idée de sodomiser ma patronne jusqu'à la garde pour vider mes couilles dans ses entrailles...

Carole offrait un trou béant qui ne se referma pas lorsque j'ai retiré mes doigts. J'ai posé mon gland sur son anus et d'elle-même elle est venue happer mon sexe d'un petit mouvement de bassin. J'ai pris tout mon temps pour m'enfoncer progressivement au plus profond de son cul, savourant chaque millimètre de ma progression. Puis j'ai astiqué son rectum en alternant les longs coups de bite et les petits mouvements rapides. Carole gémissait à en perdre haleine et s'incrustait dans la table à chaque coup de butoir. Elle s'offrait complètement. Lorsque j'ai commencé à jouir, elle a tendu son cul et elle a refermé ses cuisses au maximum pour serrer ma verge, c'était divin...

J'ai repris mes esprits quelques secondes plus tard. Carole avait encore les joues empourprées par le plaisir et j'ai pensé qu'elle avait bien mérité une pause...

- Va chercher deux verres et le champagne, je t'offre un break avant ta dernière partie de soirée. Mais avant de commencer l'apéro, tu vas remettre ton loup et te présenter aux internautes. Préviens les que pendant 1 heure tu exécuteras tous leurs ordres devant cette Webcam. Précise aussi qu'avant de commencer tu exécuteras une corvée de nettoyage devant eux et montre le verre de sperme. Tes lèvres ne devront pas toucher le verre, tu garderas le verre bien au dessus de ta tête pour qu'il n'y ait pas d'ambiguïté sur le contenu que tu déverseras dans ta magnifique petite bouche.

La pause a été courte ... en tout cas plus courte que la troisième partie de soirée de Carole ....

Carole M et Loïc.
(maboitecoquine@hotmail.com)