La mère de Luc

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Proposée le 29/04/2008 par Alain

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J'avais un ami, Luc, avec qui je me rendais au lycée tous les jours. J'avais l'habitude d'aller chercher mon ami à son domicile tous les matins, il habitait très près de chez moi, et nous nous rendions ensemble au lycée. Cependant Luc avait la fâcheuse habitude d'être souvent en retard. Aussi quand je me présentais à la porte de sa maison, c'était toujours sa mère, Chantal, qui venait m'ouvrir. Son père, routier, était absent la plupart du temps, ne rentrant chez lui qu'a la fin de la semaine seulement. Lorsqu'il lui arrivait d'avoir une journée de repos, il en profitait pour la passer en compagnie de son fils, qu'il amenait généralement à la pèche. Ce qui me déplaisait car cette journée là je me sentais abandonné et ne savais comment passé mon temps.

Lors de mes visites matinales, la mère de mon camarade se montrait toujours très gentille avec moi, me complimentant sur mes habits, ma coupe de cheveux, et même sur mes yeux bleus. Chaque matin elle me recevait toujours vêtue du même peignoir vert olive, qui lui arrivait juste au-dessus des genoux. À quarante-cinq ans, elle avait l'âge de ma propre mère, Chantal était une très belle femme pour l'adolescent que j'étais. De souche italienne, elle possédait de soyeux cheveux noirs qui lui descendaient jusqu'aux épaules, de grands yeux vert irisés, une grande bouche aux lèvres charnues. Et surtout, le plus important à mes yeux, elle possédait une poitrine fort ronde qui déformait le devant de son peignoir. Lorsqu'elle me tournait le dos pour me précéder jusqu'à la cuisine, je ne pouvais détacher mon regard de ses larges hanches qui mettaient en valeur sa croupe rebondie.
Chaque matin je m'arrangeais pour me présenter largement en avance, afin de demeurer quelques instants, seul avec la mère de mon ami. Au fil des jours je m'étais pris d'une véritable adoration pour cette femme si séduisante. Dans ces moments privilégiés, Chantal me parlait comme si j'étais un ami intime, se confiant aisément, comme si je pouvais comprendre ses problèmes personnels. Tout en l'écoutant d'une oreille attentive, je profitais des moindres mouvements qu'elle faisait, pour essayer de distinguer par l'ouverture de son peignoir, un coin de chair nue. Parfois lors d'un geste un peu plus brusque qu'elle faisait, son vêtement s'ouvrait assez largement pour que je puisse entrevoir une bonne partie de ses seins. Quelques fois, plus rarement, c'était un peu de ses cuisses que je pouvais entrapercevoir, pour mon plus grand bonheur. Comme j'étais persuadé que la mère de mon ami ne portait aucun sous-vêtement sous son peignoir, je me sentais rougir comme une tomate chaque fois que le bas du vêtement s'écartait plus qu'il n'aurait dû.
J'éprouvais un réel plaisir à découvrir fugacement les merveilleux appas de la séduisante mère de Luc. Or au fil des jours, à surprendre, soit une partie des cuisses, soit le bombé d'un sein, il m'arrivait d'être victime d'une fâcheuse érection. Erection qui déformait de façon vraiment indiscrète le devant de mon pantalon, me procurant une effroyable gêne. Fine mouche, Chantal ne tarda pas à s'apercevoir du trouble qui m'habitait et de ce qui le créait. Ses discrets, mais appuyés coups d'œil en direction de cette protubérance qui m'embarrassait ne fit qu'accentuer mon embarras. Même si le regard qu'elle me lançait ensuite était plus amusé, qu'outré.
Pourtant, malgré mon innocence, je constatais avec un émoi certain, que plus les jours passaient, plus les incidents avec son peignoir se multipliaient ; celui-ci s'ouvrant de plus en plus largement et de plus en plus fréquemment.
Au fil des jours, je devins follement amoureux de la mère de mon ami. Aussi, chaque matin, sitôt mon petit déjeuner avalé, je m'empressais de me rendre chez mon ami Luc, sachant pertinemment que ce dernier serait, soit encore couché, soit sous la douche. Le cœur battant la chamade, je me faisais une joie de passer quelques instants en tête à tête avec Chantal, espérant au fond de moi, d'avoir l'occasion de découvrir encore un peu plus de ses appas affolants.

Un matin, alors que selon l'habitude, nous nous trouvions seuls à la cuisine, Luc faisant sa toilette, Chantal se plaignit qu'il fallait qu'elle fasse le lit et qu'elle range la chambre de son fils chaque matin. Aussitôt, afin de lui donner une bonne image de moi, je me vantais de faire mon lit moi-même tous les jours, et de ranger mes affaires avant de partir, ce qui n'était pas vraiment la réalité.
— C'est vrai ? s'exclama Chantal... Tu es vraiment un garçon parfait, ce n'est pas comme Luc... Tu ne veux pas m'aider à faire le lit de ton copain, pendant que monsieur se prélasse sous la douche ?
Evidement que je le voulais, espérant fortement que lors de cette tache je pourrais percevoir de nouveau quelques parties de ce corps féminin qui me faisait tant fantasmer.

Placé chacun d'un côté du lit de Luc, nous nous escrimâmes à tendres draps et couverture. Cependant, je ne tardais pas à me rendre compte que Chantal se penchait en avant plus souvent qu'il en était besoin. C'était soit pour tirer le drap, ou bien pour le défroisser longuement de la main, ou même pour retirer une poussière imaginaire. La gorge sèche, je profitais au maximum de l'affolant spectacle qu'elle m'offrait alors. Par l'échancrure de son peignoir, dont les premiers boutons étaient défaits, je pouvais voir ses gros seins blancs, qu'aucun soutien-gorge ne comprimait, se balancer mollement. Par moment, je pouvais même apercevoir une partie de ses mamelons brun foncés.
Si cette vue me ravissait au delà de tout, elle m'excitait aussi terriblement. Très vite j'éprouvais un terrible embarras au niveau du bas-ventre. Sous les différentes visions des lourds appas mammaires, mon sexe s'était raidi et avait largement doublé de volume, formant une protubérance fort disgracieuse sur le devant de mon pantalon. Comme je tachais maladroitement de cacher cette excroissance indiscrète, Chantal surprit mon geste :
— Eh bien, que t'arrive-t-il me lança-t-elle en riant... On dirait que tu as quelques ennuis...Ce n'est quand même pas moi qui te met dans un tel état ?
— Je m'excuse, murmurais-je terriblement confus...
— Ce n'est pas grave, tu sais... C'est normal à ton âge... Tu me trouve si... séduisante ?
— Oh oui ! M'exclamais-je soudain rassuré.
— Tu es un amour ! Viens la que je t'embrasse !
Et comme pour me prouver qu'elle ne m'en voulait pas de mon indécente et inconvenante érection, Chantal m'enlaça tendrement, comme l'aurait fait une mère vis-à-vis de son fils. Mais, alors qu'elle déposait ses lèvres contre mes joues, dans un tendre baiser, je sentis avec émoi son bas-ventre se plaquer et onduler imperceptiblement contre ma virilité gonflée. Ce qui ne fit qu'aggraver un peu plus mon état. Mais avant que je ne puisse faire le moindre geste déplacé, ce que j'aurai bien été incapable, Chantal se recula précipitamment, m'abandonnant , moi et mon érection.
Me souriant tendrement devant mon embarras, Chantal me reconduisit jusqu'à la cuisine, où Luc nous attendait en grignotant une biscotte. Ce jour là, en me disant au revoir, la mère de mon ami me tendit la main que je m'empressais de serrer amoureusement. Chantal, elle me pressa les doigts avec insistance en me demandant :
— Demain matin, si tu veux tu peux venir plus tôt, on pourrais prendre un café ensemble... Luc n'en bois pas, et comme je déjeune toujours toute seule, ça me ferais plaisir d'avoir un invité, quand penses- tu ?
— Certainement m'empressais-je de répondre. Je viendrais plus tôt avec plaisir...
Luc enchaîna :
— Si tu acceptes de prendre un café avec ma mère, tu es condamné à le prendre tous les matins.
Je me pinçais les lèvres pour ne pas lui répondre que cela ferait bien mon bonheur.

Le lendemain matin, qui était un mercredi, je me présentais une demi-heure plus tôt que j'en avais l'habitude. À peine dans le hall d'entrée, l'odeur du café me caressa agréablement les narines. Chantal, portant son éternel peignoir, m'accompagna jusqu'à la cuisine où elle me pria de m'asseoir à la table :
— Tu veux bien m'attendre quelques minutes ? me demanda-t-elle d'une voix suave...Le temps que le café passe... Je vais ranger ma chambre en attendant...
Moi qui était si heureux de me trouver en tête à tête avec cette femme si sensuelle, je ressentis une immense déception à l'idée de me retrouver seul. La chambre de Chantal se trouvait pratiquement en face de la cuisine, et immédiatement je remarquais que d'où j'étais j'avais une vue parfaite sur les activités de mon hôtesse. Pour l'instant cette dernière avait entreprit de plier du linge sans faire attention à moi. Tout à sa tache, elle ne se rendait certainement pas compte que son peignoir par moment s'ouvrait d'une manière des plus indiscrète, suivant les mouvements qu'elle faisait. Le cœur battant à cent à l'heure, je ne manquais pas un des gestes et déplacements de Chantal. La vision même fugace de ses gros seins qui ne voulaient pas rester à l'intérieur de son peignoir me rendait malade d'excitation.
A un moment donné, elle se présenta près de la porte, à environ deux mètres de moi, et afin de ramasser quelques vêtements qui traînaient à même le plancher elle s'accroupit face à moi. Les cuisses largement écartées, dans la position d'une femme qui urine, la mère de mon ami m'offrait sans s'en douter la vue de son sexe extrêmement poilu. Dans mon slip soudain trop étroit, ma verge se redressa vigoureusement, sans que je ne puisse l'en empêcher. Je commençais à avoir très chaud et je devais avoir le visage cramoisi.
Au bout de cinq minutes, son rangement terminé, Chantal revint vers moi en replaçant son peignoir sur son corps sensuel que je convoitais de plus en plus.
— Voila, j'ai fini, me lança-t-elle... Tu ne t'es pas trop ennuyé, tout seul ? me demanda-t-elle en affichant un large sourire qui me parut plein de promesses.

Une fois le café servi dans les tasses, Chantal s'installa à mes cotés devant la table de bois cirée. Tout en tenant ma tasse fumante, je lorgnais en douce du coté de ses cuisses dont la rondeur provoquait un écartement du peignoir, jusqu'à quelques centimètres de son entrejambe. Mais au moment de boire son café, la mère de Luc s'aperçut qu'elle avait oublié les cuillères et le sucre sur le bahut. Voulant les attraper, sans se lever de sa chaise, elle étira le bras en direction des couverts. Dans ce geste, sa jambe droite suivit le mouvement de son tronc et s'écarta largement par rapport à la gauche. Je demeurais tétanisé par le spectacle qui s'offrit alors à mon regard. Le peignoir s'étant complètement ouvert au niveau du bas-ventre, j'eus sous les yeux le sexe abondamment poilu de la mère de mon ami.
Je sentis mes joues et tout mon visage s'empourprés. Je demeurais sans voix, la bouche soudainement asséchée. Découvrant la fixité de mon regard en direction de son entrecuisse, Chantal me murmura d'une voix chaude :
— Elles te plaisent tant que ça mes cuisses ?
Je n'osais lui avouer que ce qui me plaisait surtout, était placé plus particulièrement entre ses cuisses. Je n'osais même pas la regarder dans les yeux. Comme elle n'avait pas fait un geste pour refermer son peignoir et reprendre une tenue plus correcte, je ne pouvais détacher mon regard de l'épaisse touffe noire qui lui couvrait le bas-ventre.
— Je ne pensais pas qu'à mon âge je pouvais intéresser un beau jeune comme toi, me murmura-t-elle d'une voix extrêmement douce.
C'est le moment que choisit Luc pour sortir de la salle de bain. Chantal referma alors vivement son peignoir, me privant du spectacle affolant de son affolante fourrure. Avant que son fils nous rejoigne dans la cuisine, elle me murmura tout bas :
— Demain c'est le jour de repos de mon mari... Il va amener Luc à la pêche. Ils vont partirent à cinq heure du matin, si tu n'as rien à faire, tu peux venir me tenir compagnie... Tu peux même venir prendre ton café avec moi... Puis après tu feras ce que tu veux !!
Je m'empressais pour répondre que j'étais d'accord. Je ne pouvais laisser échapper une telle occasion de me trouver enfin vraiment seul avec cette femme si désirable et qui m'avait déjà tant offert.
— Tu sais, je ne veux pas te gâcher ta journée, si tu as autre chose à faire ne sois pas gêné pour le dire, insista Chantal d'un ton qui sonnait faux.
— Non, non, demain je n'ai rien à faire me hâtais-je de répondre. Je viendrais prendre le café avec vous.
Je vidais ma tasse au moment où Luc s'approchait de la cuisine. Je me levai avec regret de ma chaise pour me diriger vers la sortie en bavardant avec mon ami. Chantal nous suivit jusqu'à la porte. Pendant que Luc plaçait ses livres dans son sac, me faisant face, je lançais un regard discret en direction de sa mère. Mon cœur fit un bon dans ma poitrine. Chantal, qui n'était pas dans le champ de vision de son fils, avait prestement écarté le bas de son peignoir, m'offrant fugitivement la vision de ses deux cuisses nues. Je me sentis rougir encore une fois à un point que Luc s'exclama :
— Tu es tout rouge ! Qu'est-ce qu'il t'arrive ?
— C'est le café qui m'a donné chaud je crois...
Cette réponse fit rire Chantal qui me fixait du regard avec insistance... Il était clair que cette femme me montrait volontairement son corps, cela devait l'exciter au plus haut point et moi je l'encourageais par mon côté voyeur.

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Le lendemain matin vers huit heure je me présentais chez mon ami Luc, que je savais être absent. Chantal m'accueillit toute souriante. Refermant la porte derrière moi, elle s'approcha pour me faire une bise sur la joue, je pensais déjà à la suite de la matinée. Surpris je constatais qu'elle portait ce matin une chemise de nuit bien fermée jusqu'au cou et assez longue ; mais qui se gonflait généreusement au niveau de son opulente poitrine. Une fois arrivée à la cuisine elle me dit :
— Je ne t'attendais pas si tôt, le café n'est pas prêt.
— Je m'excuse, bafouillais-je, déçu. Je ne veux pas vous déranger, je peux revenir plus tard.
— Mais non, reste... Je dois t'avouer que je suis bien heureuse que tu sois venu à cette heure-ci, c'est moi qui n'ai pas pensé préparer le café, mais on a tout notre temps... Assied-toi je vais te laisser quelques minutes, je vais me changer... Ce n'est pas correct de recevoir un jeune homme en chemise de nuit... Alors ne bouge pas, je reviens...
M'abandonnant, la mère de mon ami Luc se dirigea en direction de sa chambre. Je m'empressais de m'installer à la place que j'occupais la veille, sachant qu'à cet endroit je pourrais suivre les activités de mon hôtesse. Un côté de la chambre où était entrée Chantal était caché par un mur et c'est dans ce recoin qu'elle se plaça pour se changer, à ma grande déception. Heureusement pour moi, face à ce recoin où s'était isolée la mère de mon ami, se trouvait une armoire dotée d'un immense miroir. Ce dernier me renvoya les moindres gestes de mon hôtesse. C'est ainsi que je pus voir Chantal retirer sa chemise de nuit. Entièrement nue, elle me tournait le dos. Je pus très facilement admirer ses fesses rondes et dodues, séparées en leur centre par la profonde raie, ses cuisses bien et ses jambes un peu fortes mais très bien faites. Elle avait le bas des reins très cambré, ce qui mettait en valeur la rondeur de sa croupe. Je trouvais cela très extrêmement excitant, et je na tardais pas à ressentir une phénoménale érection. Semblant complètement ignorer ma présence, Chantal prit le temps de plier sa chemise de nuit avant d'enfiler son éternel peignoir. Pour accomplir ce geste elle pivota sur elle-même, faisant ainsi face au miroir. Je la découvris alors dans son intégrale nudité. Ses seins volumineux, avec leurs gros bouts rouges presque bruns, tombaient mollement sur son torse étroit, semblable à deux outres auxquelles j'aurai aimé m'accrocher. Son ventre légèrement rebondi s'ornait d'un épais triangle de poils noirs, que j'avais pu découvrir la veille.
Je sentis mon visage s'irradier, mon sang me monter à la tête et m'incendier les joues. Les battements de mon cœur se ressentaient dans ma tête comme des coups de marteaux. Lorsque enfin Chantal sortit de sa chambre en serrant la ceinture de son peignoir autour de sa taille, elle s'aperçut immédiatement de mon émoi. Mon visage devait tiré sur le violet et comme je portais un short assez court, elle n'eut aucune peine à constater que j'étais en proie à une fabuleuse érection.
Me fixant avec un large sourire, elle me lança :
— Bon, on va prendre un bon café... J'ai l'impression que tu en as rudement besoin.
— Tu sais, je te trouve très gentil. Et tu me plais beaucoup, ajouta-t-elle au bout d'un moment de silence.
— Moi aussi je vous trouve sympathique et... aussi très jolie, parvins-je à articuler, la bouche sèche.
— C'est vrai ? Tu me trouves jolie ?... Tu es vraiment adorable !
Le café étant prêt, ma séduisante hôtesse, se pencha pour remplir ma tasse, me dispensant de répondre. Son peignoir n'étant pas complètement fermé, s'écarta légèrement, me permettant de contempler ses deux grosses mamelles laiteuses. Ignorant l'objet de ma curiosité, Chantal continuait de me parler de chose et d'autres. Se rendant compte soudain de l'intérêt que je portais à sa poitrine, la mère de Luc me sourit gentiment et me demanda :
— Tu as une petite amie ?
— Non... Je... Je n'ose pas approcher les filles, avouais-je gêné.
— Et Luc ? A-t-il, lui une petite copine ?
— Je ne sais pas... je ne crois pas !
Je ne pouvais lui avouer que son fils, contrairement à moi, était plus particulièrement attiré par les garçons. J'en avais fait l'expérience lors d'une après-midi passé dans sa chambre. Luc avait tenu à me montrer des revues pornos qu'il avait dénichées je ne sais où. J'avais été étonné de constater qu'il y en avait un certain nombre montrant uniquement des garçons se caressant. Evidemment nous étions terriblement excités à contempler tous ces corps nus se procurant du plaisir, et Luc ne tarda pas à frotter sa main le long de sa braguette. Victime moi-même d'érection, je ne tardais pas à imiter mon ami. Luc, plus excité que moi, avait vivement déboutonné son pantalon et repousser son slip, pour libérer sa virilité tendu et sans se soucier de ma présence, il entreprit de se masturber vivement. Puisque mon ami me montrait l'exemple, je l'imitais et nous nous trouvâmes tout les deux à nous branler de concert. J'avais bien remarqué que mon compagnon fixait mon sexe bandé avec insistance, mais je n'y apportais pas d'intérêt particulier. Pas plus d'ailleurs lorsque Luc me proposa de nous branler simultanément. J'avais accepté, plus par curiosité que par réel désir. Assis l'un en face de l'autre, nous nous sommes alors masturbé en cadence, moi branlant la queue de Luc, alors que celui-ci en faisait de même avec ma verge. Je dois avouer qu'à ce moment là j'y prenais un certain plaisir. Luc avait une façon bien particulière de presser mon gland, me procurant un élancement voluptueux dans toute ma verge. C'était beaucoup plus suave que lorsque je me masturbais en solitaire, le soir dans mon lit. Pas habitué à me faire ainsi branler par une main étrangère, qu'elle soit masculine ou féminine, je sentis la jouissance monter depuis mes couilles jusqu'à ma verge sur le point d'exploser. Je tins alors à prévenir mon ami de l'imminence de mon éjaculation. La réaction de Luc me surprit énormément. Mon ami se pencha vivement sur mon bas-ventre pour saisir dans sa bouche ma virilité sur le point d'exploser. Le mouvement avait été si prompte, que je ne pus repousser le visage de Luc, mais le voulais-je vraiment ? Lorsque les lèvres de mon ami coulissèrent le long da ma queue, à la place de ses doigts, une douce béatitude m'envahit. Je savais que ce que nous faisions n'était pas bien, que j'aurais dû repousser mon trop entreprenant camarade, mais c'était la première fois qu'une bouche s'activait ainsi autour de mon gland. Le plaisir devenait de plus en plus intense et dans un violent soubresaut de tout mon être, sans que je ne puisse me contrôler, je déchargeais ma semence au fond du gosier de mon camarade. Cette éjaculation dépassait en ivresse toutes celles que j'avais connues lors de mes masturbations solitaires.
Mais lorsque Luc me demanda de lui en faire autant, je refusais nettement, éprouvant un certain dégoût pour ce genre d'attouchement. Je le fis quand même jouir d'une main rapide. Là s'arrêta notre complicité sexuelle, mais pas notre amitié. Je savais que Luc continuait à s'adonner à ce genre de pratique, avec des garçons plus jeunes que lui.
— Alain !
La voix de Chantal me tira de mes songes.
— A quoi pensais-tu ? Je te disais que je pourrais peut-être t'aider à te guérir de ta timidité !... Qu'en penses-tu ?
— Je veux bien m'empressais-je de répondre, tout heureux de l'aubaine.
Déplaçant alors sa chaise, Chantal vint s'asseoir face à moi. Ses cuisses, qu'elle tenait assez écartées, provoquaient un écartement important de son peignoir. Ses genoux se trouvaient à trente centimètres des miens. Comme je baissais mon regard en direction des cuisses dévoilées, Chantal, dans un mouvement naturel croisa puis décroisa ses jambes dans un large mouvement, ce qui m'offrait une vision plus indiscrète de son entrecuisse. Je commençais vraiment à transpirer et à rougir. Extrêmement troublé j'avais du mal à avaler ma salive. Je me sentais réellement mal à l'aise, et je remarquais bien vite que Chantal se rendait compte de mon tourment et semblait prendre du plaisir à me voir dans cet état.
— Tu veux un biscuit avec ton café, me demanda-t-elle mettant ainsi un terme à mon émoi.
Avant que j'aie pu répondre, elle se leva pour aller chercher la confiserie promise. Comme elle tentait de passer derrière moi, et que l'espace entre moi et le buffet était restreint, je tentais de me lever pour lui laisser le passage. Mais aussitôt Chantal m'appuya sur les épaules de ses deux mains m'obligeant à me rasseoir :
— Reste assis... Je suis capable de passer, je ne suis quand même pas si grosse !
Comme elle s'approchait de moi, une folle idée me traversa l'esprit. Je laissais mon bras dépasser nonchalamment de la chaise sur laquelle j'étais assis, raccourcissant le passage déjà fort étroit. Lorsque la mère de mon ami, malgré l'étroitesse de l'accès, passa dans mon dos, je sentis ses cuisses se frotter sur mon coude. Elles me semblèrent extrêmement fermes. J'attendis son retour avec impatience, le cœur battant. Lorsqu'elle revint, le paquet de biscuits à la main, mon coude accrocha le bord de son peignoir, l'écartant largement. Aussitôt je sentis la douceur de sa cuisse sur mon bras nu. Me laissant guider par mes sens en ébullitions, je remontais mon bras. Mon coude se trouva automatiquement au beau milieu des deux cuisses chaudes et veloutées de mon hôtesse, la pointe enfoncée dans ses poils pubiens. Etonné, je sentis un liquide chaud, mouiller mon avant-bras, alors que Chantal poussait un étrange gémissement. Nous restâmes immobiles quelques secondes. Etonné par mon audace, je n'osais faire un geste, m'attendant à un reproche mérité de mon hôtesse. Ce qui se passa alors me laissa sans réactions. Le visage empourpré, la mère de Luc me saisit brusquement le visage pour poser sa bouche brûlante sur la mienne. J'avais le cœur dans la gorge. Je ne résistais pas lorsque sa langue agile força mes lèvres à s'écarter, pour s'infiltrer entre mes dents, et finalement s'enfoncer dans ma bouche. Cette langue qui me parut étonnamment fine et humide vint frôler mon palais, me procurant un étrange plaisir. D'abord surpris par ce baiser encore inconnu pour moi, je me laissais faire, passif.
Mais au bout d'une minute ou deux, Chantal cessa son baiser pour se reculer :
— Tu n'as jamais embrassé de filles ? Me demanda-t-elle.
— Non... Avouais-je timidement.
— Je suis la première ? Continua-t-elle en me fixant d'un air extasié.
— Ou... oui...
Ma sensuelle hôtesse me couva d'un regard plein de tendresse :
— Toi aussi, tu dois enfoncer ta langue dans ma bouche, me conseilla-t-elle... Allez essayes !
Cette fois, c'est avec énormément de douceur que Chantal se saisit de mes lèvres. Même sa langue qui tenta de rencontrer la mienne, s'agita dans ma bouche avec délicatesse. En bon élève, je tentais cette fois de suivre les conseils de mon initiatrice. Je m'appliquais à imiter les mouvements de l'organe féminin qui frétillait dans ma bouche. Peu à peu, je pris une certaine assurance. J'arrivais à infiltrer ma langue dans la bouche féminine, me régalant de la salive sucrée de mon initiatrice.
— C'est bien, me félicita Chantal en reculant son visage... Maintenant à toi de commencer. Il faudra bien un jour que tu embrasses une fille...
Comme la mère de Luc, me regardait en souriant, attendant que je prenne l'initiative de ce baiser, je collais mes lèvres aux siennes et tentais de mettre en pratique ce qu'elle m'avait enseigné. Le fait de fouiller de ma langue la bouche parfumée de la femme passive, me donna un sentiment d'assurance. Comme Chantal me laissait œuvrer à ma guise, j'osais alors avancer une main dans l'ouverture de son peignoir, pour me saisir d'un sein. Un trouble intense m'envahi en sentant sous mes doigts cette chair si douce et extrêmement moelleuse, que j'entrepris de malaxer maladroitement. Je réussis à saisir un téton étonnamment raide entre mes doigts, qu'aussitôt je pinçais doucement. Il était dur et certainement sensible, car sous cette pression, Chantal poussa un petit gémissement.
Jamais je n'avais bandé aussi fort. J'avais l'impression que ma verge allait jaillir de mon short. Soudain Chantal échappa à mes attouchements. Le visage aussi congestionné que le mien, elle me tira à elle pour me forcer à me lever de ma chaise. Une fois debout l'un contre l'autre, ma sensuelle hôtesse repoussa les pans de son peignoir et s'emparant de mes deux mains, elle les posa sur ses magnifiques seins à la peau si soyeuse.
— Caresse mes seins, gémit-elle.
Je m'exécutais sans me faire prier, malaxant les chairs fragiles avec frénésie. Encore innocent, je demeurais ébahi en découvrant combien les tétons étaient durs et énormes. Nous haletions tous les deux. L'excitation était à son comble.
— Ho oui !... gémissait Chantal en pressant fiévreusement mes mains contre ses seins gonflés... C'est bien mon chéri... Continue comme ça !
Soudain, alors que je venais accidentellement de pincer plus fortement l'un des boutons de chair durci, Chantal se jeta sur ma bouche pour m'embrasser fougueusement. Tout en me fouillant presque rageusement l'intérieur du palais de sa langue diabolique, elle posa sa main sur la bosse que faisait mon membre viril gonflé. Avec passion elle me caressa par-dessus le tissu de mon short. Nous restâmes un long moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis abandonnant enfin son baiser, Chantal me regarda dans les yeux :
— Tu veux, que je t'apprenne comment un homme doit se conduire avec une femme ?
Comme si j'allais refuser une telle offre. Je n'avais pas lâcher les lourdes mamelles que je continuais à presser des mes dix doigts. Se reculant pour échapper à mes attouchements, Chantal me repoussa, me forçant à m'asseoir sur ma chaise.
— Je suppose que tu n'as jamais vu de femme nue ?... Alors regarde, me dit-elle.
Continuant à me fixer d'un drôle de regard, la mère de mon ami fit deux pas en arrière et dénoua la ceinture de son peignoir, qu'elle retira lentement, faisant encore grimper mon excitation. Je ne perdis pas connaissance, mais je n'en étais pas loin, à la vue de ce merveilleux corps féminin si proche de moi. La mère de Luc n'était peut-être pas un canon, mais pour moi, qui n'avait jamais vu de femme nue, elle m'apparut merveilleusement belle, dans sa plénitude de femme mure.
Me faisant face, Chantal entreprit de se caresser les seins d'une manière si sensuelle, que j'en eus très vite la gorge sèche. Presque machinalement je posais une main sur ma verge gonflée que je pressais avec émotion. Me fixant, les yeux brillants étrangement, ma sensuelle hôtesse approcha sa chaise pour y déposer son pied droit. Sa cuisse largement écartée m'offrit une vue parfaite sur son sexe broussailleux. Démêlant les abondantes bouclettes de sa toison, elle écarta les grandes lèvres qui s'y cachaient à l'aide de ses doigts, pour me montrer sa vulve rose et luisante.
Subitement, comme pris d'une ferveur païenne, je tombais à genoux aux pieds mon initiatrice. Se trompant sur mon geste, Chantal me demanda d'une voix soudain changée.
— Tu veux embrasser mon minou ?
Je savais par ouïe dire que ce genre de baiser se pratiquait entre amants, mais jamais évidemment je ne l'avais pratiqué moi-même. Je ne savais pas vraiment comment je devais m'y prendre. Heureusement pour moi, Chantal ayant décidée de faire mon éducation, m'agrippa la tête et poussa mon visage contre sa vulve extrêmement poilue.
— Embrasse là, me commanda-t-elle d'une voix hachée.
Timidement, je posais alors ma bouche contre les lèvres humides du sexe féminin. Une odeur étrangement épicée, me monta aux narines. C'était la première fois que je voyais un sexe féminin de si près. Même si j'avais follement rêvé d'un moment pareil en contemplant certaines photos érotiques, je me trouvais totalement idiot, ne sachant pas vraiment comment m'y prendre. Heureusement pour moi, Chantal me guida, prise par sa passion dévorante. Appuyant mon visage contre sa longue fente, pareille à une blessure sanguinolente, elle m'encouragea d'une voix rauque :
— Embrasse ma petite chatte, mon chéri... Je l'ai parfumé pour toi ce matin...
Mes lèvres baignaient dans une onctuosité odorante. Fermant les yeux, je me lançais à l'eau. Timidement, je commençais à embrasser la vulve ruisselante, la couvrant de petits baisers appuyés.
— Oui, c'est bien, m'encouragea Chantal... Lèche-là... Enfonce ta langue à l'intérieur...
Ne voulant pas passer pour un idiot, je m'exécutai, tachant de faire de mon mieux. Je promenais ma langue à l'intérieur de cette faille humide, l'enfonçant légèrement à l'intérieur des chairs chaudes et gluantes. Aussitôt, Chantal commença à s'agiter au dessus de moi, frottant sa chatte trempée contre mes lèvres. Puis, sans que je comprenne son geste, elle m'agrippa la tête de ses deux mains, m'immobilisant contre son sexe poilu. Alors, comme prise de frénésie, elle agita son bas-ventre d'avant en arrière, frottant avec fougue la totalité de sa fente contre ma bouche et mon menton. Je ne tardais pas à me rendre compte que son sexe était de plus en plus dégoulinant de sécrétion au goût bizarre. Le jus brûlant qui s'échappait abondamment de la vulve de ma compagne, me poissait le bas du visage.
Au moment où je me posais la question de savoir ce que je devais faire, Chantal cessa tout mouvement, s'immobilisant brusquement, tandis qu'une douce plainte jaillissait de sa gorge, brisant le silence de la cuisine. Je restais prisonnier de ses cuisses tétanisées qu'elle avait resserrées autour de mon visage. Ce n'est qu'au bout de quelques minutes, qu'elle me libéra enfin.
— C'était rudement bon, tu sais, me dit-elle dans un sourire... Assied-toi !
La bouche et le menton littéralement trempés par tout le liquide qui s'était échappé de la vulve de ma sensuelle hôtesse, je me réinstallais sur ma chaise. Le sexe effroyablement bandé, j'éprouvais une vive curiosité quand à ce qui allait se passer.
Comme elle pivotait, afin de ramasser son peignoir à terre, Chantal me dévoila sa croupe agréablement rebondie. Deux blocs charnus, séparés en leur centre par la longue et mystérieuse raie des fesses. S'apercevant de l'intérêt que je portais à ses appas fessiers, Chantal me lança :
— Elles te plaisent mes fesses ?...
Comme je ne répondais pas, ne sachant pas vraiment comment lui dire mon admiration, la mère de Luc se cambra toute, faisant encore ressortir sa plantureuse croupe. Empoignant ses fesses de ses deux mains, elle entreprit de les caresser doucement en me fixant intensément. Je devais avoir les yeux hors de la tête et le visage cramoisi, car Chantal me souriant d'un air moqueur, se pencha en avant en écartant largement ses jambes. Immédiatement mes yeux purent contempler son anus rose et les grandes lèvres de sa longue vulve. Courbée en avant, le crâne effleurant presque le sol, me fixant entre ses jambes largement écartées, Chantal lança ses deux mains entre ses cuisses afin d'écarter les bords ourlés de sa chatte broussailleuse. J'eus sous les yeux le spectacle hallucinant des plis et replis rouges vifs et luisants de l'intérieur de sa vulve. Je mourais d'envie d'enfoncer mes doigts à l'intérieur de ce sexe féminin, de sentir les chairs palpitantes enserrer mes phalanges. Combien de doigts pourrais-je y enfoncer ? Ainsi maintenu écarté, la chatte broussailleuse me paraissait immense.
— Tu n'as pas envie d'enfoncer ta queue dans ma chatte ?... Regarde tu serais bien à l'intérieur de mon ventre!...
N'attendant même pas ma réponse, qui de toute façon ne pouvait qu'être positive, Chantal se redressa et me saisissant la main elle m'entraîna dans le couloir qui desservait les chambres :
— Viens ! m'ordonna-t-elle d'une voix changée.
Me guidant par la main, la mère de mon ami m'entraîna jusqu'à sa chambre. Là, debout l'un en face l'un de l'autre, elle se colla à moi, frottant vicieusement son bas-ventre au pelage abondant contre la bosse que faisait mon membre gonflé. Ses lèvres s'emparèrent des miennes dans un baiser plein de fougue. Ayant perdu toute timidité, je profitais de cet intermède pour laisser courir mes doigts sur ce corps si sensuel, frôlant les larges hanches évasées, pétrissant les fesses rebondies, les écartant largement l'une de l'autre. Est-ce le fait de mes caresses, pourtant bien maladroites, Chantal, accrochée à mon cou, s'agita de plus en plus vivement contre mon corps. Son pubis dénudé écrasait douloureusement ma verge à l'étroit dans mon slip.
— Déshabille-toi, grogna soudain Chantal en se reculant.
Avec des gestes désordonnés, elle voulut m'aider à enlever mes vêtements. En moins de trente secondes je me retrouvais aussi nu que le jour de ma naissance. Au bas de mon ventre, ma bite se dressait orgueilleusement, tandis qu'une douleur me tordait les entrailles.
Sans un mot, Chantal grimpa sur le lit conjugal où elle s'allongea sur le dos. Là me fixant avec une intensité que je ne lui connaissait pas, elle écarta largement ses cuisses, me dévoilant son sexe abondamment poilu.
— Viens ! M'appela-t-elle... Viens entre mes jambes mon chéri... Je veux que tu prennes le temps de découvrir ma chatte, je veux que tu saches dans quoi tu vas enfoncer ta queue, tu vas voir, c'est très doux et chaud...
Tout en me parlant, elle avait écarté les longs poils qui me cachaient l'entré de son sanctuaire, et de ses deux mains elle ouvrit sa longue fente cramoisie. Du fait de ma position agenouillé entre ses cuisses, je pouvais contempler la magnifique vulve. Je remarquais à la brillance des parois internes qu'elle était excessivement humide. À la commissure supérieure des épaisses lèvres sexuelles je découvrais une énorme excroissance rose, que je devinais être ce clitoris dont chaque garçon au lycée parlait, sans l'avoir vraiment vu. J'étais terriblement excité par le spectacle plutôt obscène que m'offrait généreusement la mère de mon ami. Ecartant encore plus largement l'entré de son vagin, Chantal m'invita à la pénétrer d'une voix oppressée.
— Viens !... Mets-la moi !... Enfonce ta queue dan ma chatte, regarde je l'ouvre bien pour que tu puisse entrer dans mon ventre... Viens mon chéri !... Prends-moi !...
Je n'en croyais pas mes yeux. Ce merveilleux sexe féminin m'était offert, était à ma disposition. Pressée de sentir mon membre dans son ventre, Chantal se saisit de ma bite pour diriger mon gland à l'entrée de sa faille sexuelle. Alors je me laissais aller et m'allongeais sur elle, m'appuyant sur mes coudes.
Avec une énorme émotion je sentis ma verge s'enfoncer progressivement dans le conduit vaginal d'une extrême onctuosité. J'étais terriblement excité par cette situation. C'était la première fois que j'enfonçais ma queue dans le sexe d'une femme. J'en avais tellement rêvé. Une fois mon membre enfoncé entièrement dans la profonde vulve bouillante, je sentis mes couilles venir heurter les fesses de ma compagne. Alors que j'ondulais des hanches, afin d'investir au mieux la chatte brûlante, Chantal, sans que je comprenne pourquoi, se mit à gémir sans retenue. Prise d'une espèce de frénésie, elle avançait son bassin et relevait ses jambes en les écartant le plus possible, pour s'offrir sous un meilleur angle, me facilitant une pénétration plus profonde.
J'entamais alors ce mouvement de va-et-vient vieux comme le monde. Avec ivresse je fis coulisser mon dard dans les entrailles féminines, lentement pour mieux savourer le frottement des chairs moites et brûlantes le long de ma verge. J'éprouvais un plaisir énorme.
— Plus vite ! Gémit soudain Chantal... Va plus vite mon chéri... Baise-moi bien à fond.
Puisqu'elle me le demandait, j'accélérai alors les mouvements de mes hanches. Les lents va-et-vient de mon membre viril à l'intérieur du vagin de Chantal devinrent de violents coups de boutoir qui me projetaient sauvagement dans la chatte incandescente. Plus mes coups de reins se faisaient rageur, plus Chantal se cambrait en poussant de petits cris de plaisir. Haletante, elle s'accrochait à mon cou pour m'embrasser avec fougue. Nos langues se caressaient dans un bain de salive parfumé.
J'étais au paradis. Depuis le temps que je rêvais de faire l'amour à la mère de mon ami, mon fantasme s'était réalisé. La si sensuelle mère de Luc, m'appartenait enfin, je la possédais, elle était là, entièrement nue, impudique, dans mes bras. Ma langue lui fouillait la bouche, pendant que ma queue lui pistonnait allègrement le vagin. Des gémissements, des râles s'échappaient de sa gorge, tandis que tout son corps de tendait, s'arquait, s'offrait à la pénétration de ma bite. Ses doigts me griffaient le crâne, ses cuisses m'encerclaient nerveusement les hanches, son bas-ventre se projetait furieusement au devant de mes coups de boutoir. Je n'arrivais pas à réaliser ce qu'il m'arrivait. Je voyais et sentais ma queue entrer et sortir de cette forêt de poils noirs dans un bruit de clapotis terriblement excitant. Chantal avait fermé les yeux, comme pour mieux savourer les va-et-vient de mon membre dans son sexe ruisselant. Entre deux gémissements langoureux, elle me marmonnait entre ses dents qu'elle aimait ça, que je la rendais enfin heureuse.
— Oh oui !... C'est merveilleux !... Vas-y mon chéri, enfonce ta bien ta queue dans mon ventre... Oh oui, baises-moi profondément... Défonce bien ma petite chatte... Elle est à toi...
Son souffle devint de plus en plus puissant et bruyant. Malgré mon innocence, je compris que mon initiatrice jouissait grâce à moi. Au début, devant les marques évidentes de jouissance, je pensais que Chantal me jouait la comédie dans le but de me faire plaisir et de me motiver. Mais à voir son regard dilaté, son visage en sueur et sa bouche tordue dans un rictus, je compris que ma partenaire sexuelle ne jouait en aucun cas la comédie. Sa jouissance était bien réelle, et elle m'offrait son orgasme sans pudeur, sans retenue. Encouragé par ces différentes marques de plaisir, je baisais la mère de mon ami de plus en plus sauvagement, lui labourant violemment le vagin de mon gland congestionné. Sa chatte fouillée par mon dard dégoulinait d'un jus chaud et poisseux qui nous trempait les cuisses, avant de souiller les draps du lit.
Mais ayant présumé de ma résistance, je sentis le plaisir monter subitement en moi, et avant que je puisse avertir ma compagne de ce qui allait lui arriver, je déchargeais mon sperme au plus profond de son vagin accueillant. De longues giclées jaillirent de mon gland tuméfié, comme pour éteindre l'incendie qui ravageait la vulve dans laquelle je naviguais. Cet orgasme aussi violent que soudain me procura des douleurs dans le dos et à l'arrière des jambes, j'étais secoué de la tête aux pieds. Je demeurais douloureusement cambré durant tout le temps de mon éjaculation. Sous l'inondation subite de son vagin par mon sperme, Chantal se raidit convulsivement en émettant un long râle déchirant. Tout son corps se mit à trembler, comme pris de convulsions. Je découvrais là, ce qu'était un véritable orgasme féminin. Ça dépassait tout ce que j'avais pu imaginer. Le fait de penser que j'étais responsable de cette jouissance phénoménale, me comblait de joie et de fierté.
Nous sommes restés allongé l'un sur l'autre, l'un dans l'autre, sans rien dire pendant plusieurs minutes, à reprendre notre souffle et nos esprits. Je n'avais pas retiré ma verge de la chatte devenue brûlante et dégoulinante d'un jus poisseux où se mêlaient intimement nos deux jouissances. Au bout de quelques minutes, Chantal ayant refait surface, me passa tendrement la main dans les cheveux.
— Tu as aimé ? Me demanda-t-elle doucement. Tu as bien joui ?
— Oh oui, répliquais-je comblé.
Chantal me sourit tendrement :
— Tu es sûr que c'est ta première expérience ?
— Oui, c'est la première fois.
— Eh bien, il me semble que tu es plutôt doué, me complimenta-t-elle.
M'attirant à elle, Chantal m'embrassa à pleine bouche. Nous avons passé dix minutes à nous embrasser et nous caresser mutuellement. Au bout d'un moment, m'ayant repoussé hors de son sexe, elle se redressa pour se pencher sur ma virilité encore à demi bandée. Lorsque je sentis la pointe de sa langue effleurer mon gland tout poisseux de nos sécrétions amoureuses, je ne pus refouler un geste de recul, songeant qu'elle ne pouvait lécher les résidus de nos jouissances respectives, ce n'était pas propre. Comprenant mon émoi, Chantal tint à me rassurer :
— Tu sais, en amour, rien n'est sale... Ton sperme ou mon jus, mon foutre, comme certain l'appelle, sont des liquides savoureux... Regarde je vais sucer ta queue et crois moi, je vais me régaler.
Tout en étant ravi de l'initiative de Chantal, je ne pus m'empêcher de songer amusé, qu'elle s'apprêtait à me dispenser le même type d'attouchement que son fils m'avait offert un certain après-midi. Joignant le geste à la parole, ma sensuelle partenaire se mit à me sucer la verge avec ardeur. Si bien qu'en un rien de temps, je me remis à bander avec autant de force qu'avant mon éjaculation. Je n'en revenais pas. D'habitude, lorsque je me branlais, le matin dans mon lit, il suffisait que je me fasse jouir et j'étais tranquille pour la journée. Or sous la fellation savante et terriblement voluptueuse que me procurait Chantal, mon sexe s'était durci de nouveau, dix minutes après qu'il eut déchargé sa réserve de sperme.
Profitant que ma sensuelle partenaire était penchée sur mon bas-ventre, occupée à me sucer d'une bouche experte, je tendais le bras pour pouvoir lui caresser les fesses. Avec ferveur, je pétris les masses charnues, les malaxant fiévreusement, mais surtout les écartant largement l'une de l'autre afin de contempler le minuscule orifice brun qui s'y cachait. Mais découvrant aussi la longue fente broussailleuse, dans laquelle je venais de m'épancher, l'envie me prit d'y coller mes lèvres pour en goûter le bouquet. Me contorsionnant habilement, je réussis à infiltrer mon visage entre les deux cuisses à la chair si douce de ma suceuse. Le nez enfoui entre les opulentes fesses, je me mis alors à fouiller la vulve nacré de ma langue. Je trouvais les lèvres vaginales étonnamment collantes et dégageant une odeur bizarre qui me rebuta quelque peu. Mais ne voulant pas montrer à ma compagne ma répulsion pour sa chatte pleine de ma semence, je changeais d'objectif. Je m'attaquais alors à son anus, petit œillet rose et plissé qui réagit aussitôt aux caresses de ma langue. Quelques minutes se passèrent ainsi, où nous nous léchâmes de concert, nous procurant un indicible plaisir. Soudain Chantal abandonna ma verge frémissante pour me demander :
— Tu aimes que je suce la bite ?
— J'adore, lui répondis-je.
Que pouvais-je répondre d'autre.
— Moi aussi, j'aime que tu me lèches le cul ! Ronronna-t-elle... C'est rudement bon !
Un moment passa, avant qu'elle reprenne la parole :
— Tu aimerais enfoncer ta queue entre mes fesses ?
J'en restais sans voix. C'était trop beau. La mère de mon meilleur ami m'avait déjà offert ce que tout adolescent espère, mais que très peu obtienne : faire l'amour avec une vraie femme, Et voila qu'elle me proposait de l'enculer, comme on disait entre nous au lycée.
Devant mon silence, Chantal continua :
— Tu sais qu'un homme peut faire l'amour à une femme de ce coté là aussi ?
— Ouuui répondis-je soudainement gêne.
— Tu veux essayer ?... Ça te ferais plaisir ?...
— Oh oui, réussis-je à bégayer.
— Alors, attends-moi !

Étonné, je suivis des yeux ma volcanique initiatrice qui s'était dirigée vers la salle de bain. Elle en revint très vite, tenant un tube à la main. S'installant de nouveau à mes cotés elle me précisa :
— Ça aidera... Pour ton âge, tu est déjà bien monté !...
Elle ouvrit le tube pour s'enduire la main d'une crème translucide avec laquelle, elle me massa la verge.
— Avec cette crème, ça glissera plus facilement, tint-elle à me prévenir... Je suis plus étroite de ce coté là...
Sous le prétexte de m'enduire le membre de cet onguent, Chantal me branla d'un mouvement des plus suave, faisant encore grimper le désir dans mon bas-ventre. Enfin jugeant ma virilité suffisamment lubrifiée, mon ardente initiatrice, me tendit le tube et se couchant sur le ventre, lança ses mains dans son dos pour écarter largement ses fesses.
— À toi, me demanda-t-elle... Passe-moi de la crème dans mon petit trou.
Je n'en revenais toujours pas. Devant moi, à quelques centimètres de mes yeux, Chantal, la mère de mon meilleur ami, celle qui quelques jours plus tôt m'accueillait comme son fils, m'offrait avec une réelle impudeur son petit trou du cul légèrement poilu. La gorge sèche, j'approchais l'embout de l'orifice anal, et je pressais le tube. La crème incolore en jaillit, pénétra l'anus relâché, avant de déborder de chaque côté du minuscule cratère.
— Fais-la bien pénétrer à l'intérieur avec ton doigt, me conseilla Chantal, m'offrant son cul dans une position des plus obscène.
Reposant le tube, j'étalais la crème à l'aide de mon majeur de la main droite, tout autour de la collerette fripée, massant consciencieusement les bords avec un certain plaisir. Peu à peu, cependant, comme attiré par cet orifice si tentant, mon doigt glissa jusqu'au centre du mini cratère de chair pour y pénétrer lentement. Lorsque ma première phalange se fut enfoncée dans le conduit anal, il me sembla que celui-ci s'ouvrait, s'écartait de lui-même pour accepter mon intrusion. Je continuais donc à forcer, et bientôt tout mon doigt se trouva fiché dans le cul féminin, sans que cela ne m'ait posé de problème. Il est vrai que la grosseur de mon majeur était loin d'atteindre le volume de mon sexe bandé.
— Oh oui, frotte bien ! M'encouragea Chantal en cambrant ses reins au maximum.
Puisqu'elle me le demandait avec une réelle insistance, j'activais mon doigt dans l'orifice anal. J'éprouvais un certain plaisir à explorer ce cul féminin étonnamment resserré par rapport à la vaste vulve, que j'avais fouillé de ma bite quelques instants plus tôt. Comblé, je fis coulisser mon majeur dans le mignon petit trou, sodomisant ma partenaire de mon doigt rigide.
— Oh oui, c'est bon gémit Chantal au bout d'un instant... Continu mon chéri... Branle-moi bien le cul... Huummm...
Étonné qu'elle puisse ressentir un tel plaisir à l'exploration de son anus, j'accélérais mon pistonnage. Mais alors un désir pervers me vint à l'esprit. Accolant mon index à mon majeur, j'enfonçais mes deux doigts dans le cul féminin copieusement lubrifié par la crème que j'y avais versé et les activais fébrilement. Chantal eut un sursaut, lançant furieusement son derrière au-devant de mes doigts explorateurs : :
— Oh oui, c'est encore meilleure... Viens maintenant ! Je veux sentir ta queue dans mon cul !... Mets-la moi !
D'un coup de reins, elle se positionna à quatre pattes devant moi, et lançant une de ses mains dans son dos, elle se saisit de ma bite qu'elle dirigea entre ses fesses. Le bout arrondi de mon gland s'appuya sur son œillet rose, qui me semblait extrêmement petit.
— Là, tu y es, me prévint Chantal d'une voix sourde... Va maintenant !... Pousse !...
Avec émotion, je sentis comme des pulsations émanant du minuscule orifice anal. Agrippant fermement les hanches de mon initiatrice, que la position rendait encore plus denses, je poussais pour enfoncer mon dard dans ce cul offert. Mais contrairement à l'introduction vaginale, qui s'était déroulée dans un glissement, l'orifice anal résista à ma poussée, faisant ployer ma verge pourtant rigide. Chantal poussa un petit gémissement.
— Vas-y, pousse ! M'encouragea-t-elle. Ça va rentrer !
Bien que me posant des questions sur le résultat, j'exerçais une nouvelle pression, en tirant à moi Chantal que je tenais fermement par les hanches. Celle-ci poussa un nouveau gémissement, suivit aussitôt par un petit cri. Sans que je me rende compte de ce qui m'arrivait, je me retrouvais fiché jusqu'aux couilles dans le cul féminin qui venait de s'écartelé brusquement.
— Oui, oui, ça y est grogna Chantal... Je sens ta queue dans mon cul... C'est terrible, j'ai l'impression de la sentir jusqu'au fond de mon ventre... Tu es bien ?
Son anus .était tellement serré que j'avais l'impression que mon gland était divisé en deux par un élastique trop petit, je sentais le bout de ma bite gonflé à l'intérieur des intestins de ma folle partenaire. Je demeurais immobile, ivre de joie. J'enculais une femme. Quand je raconterais ça aux copains, j'allais tous les estomaquer. Cependant, devant mon immobilité, Chantal s'impatienta :
— Vas-y, commanda-t-elle... Encule-moi !
Je commençais alors à agiter mes reins, imprimant un va-et-vient entre ces fesses tant convoitées. Chantal avait passé sa main entre ses cuisses et se caressait le clitoris en poussant des petits gémissements
— Oh oui ! Vas-y mon chéri, encules-moi bien à fond, défonce moi...
Tout en faisant coulisser ma verge dans le minuscule orifice anal, je me régalais à contempler le merveilleux cul que j'admirais depuis des mois. La raie des fesses était assez large et remplie de poils noirs. Je voyais ma bite entrer et sortir de l'anus dilaté. J'étais excité comme jamais je ne l'aurais imaginé et les gémissements amoureux de ma compagne m'encourageaient à continuer. J'accélérais peu à peu mon mouvement de va-et-vient, pistonnant le cul accueillant de plus en plus vite et de plus en plus profondément. Chaque pénétration de ma verge dans les profondeurs de ses intestins arrachait un véritable cri à Chantal. Si bien que je me demandais si elle éprouvait vraiment du plaisir ou de la douleur.
Mais d'un seul coup je senti mon sperme monter de mes couilles gonflées. Sans que je puisse me retenir je lâchais mon sperme dans les intestins de la mère de Luc, mon ami. J'eus l'impression de me vider entièrement les couilles, tant l'éjaculation dura. Chantal se raidit subitement et grogna comme un animal, son corps tremblait comme une feuille
Epuisé par cet acte intime, je retirais ma verge de l'anus inondé. Elle était extrêmement sensible. De petites plaques brunâtres témoignaient sans aucun doute de l'endroit où je l'avais plongé. Se redressant, Chantal me serra dans ses bras, ses tendres baisers me remercièrent de tout ce plaisir qu'elle venait de vivre et partager avec moi.
— Tu sais, pour la première fois que tu encules une femme, tu t'es conduis en artiste. J'ai jouis comme une folle, tu m'as procuré énormément de plaisir. Et toi, tu as aimé ?
— Oh oui !
Devant ses compliments, je me sentais très fier d'avoir pour la première fois de ma vie, donné autant de plaisir à une femme mûre et expérimentée. Puis la journée passa, en grignotant des biscuits, nous avons continué à faire l'amour en s'embrassant. Cette journée bien remplie était le début d'une relation qui dura quatre ans. Elle fut la femme de ma vie, et même aujourd'hui, à 52 ans, je pense encore à cette femme qui m'a tant donné. Sa personnalité, son corps m'ont marqués pour la vie. Aujourd'hui vivant en Amérique du nord, j'ai connu plusieurs femmes avec le sexe rasé, et je dois dire que le sexe de Chantal très poilu m'excitait bien plus, je suis devenu, grâce à elle, un amateur de sexe naturel. C'est avec beaucoup d'émotions que j'ai rédigé ce récit, car je crois que je suis encore amoureux de cette femme qui n'est peut-être plus de ce monde.

Alain..

adpnt02@hotmail.com