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Proposée le 12/12/2013 par miamibabes
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Ma mère a pour habitude en été ainsi qu'au printemps de ne porter que des tenues légères à la maison. J'entends par là des chemises de nuit légèrement transparentes en dessous desquelles elle ne porte qu'un string. Le soir pour se mettre à l'aise, elle ne prend plus la peine de mettre de soutien gorges. Ses deux gros obus sont alors bien visibles par transparence et l'on peut dire que pour son âge ceux-ci n'ont rien perdu de leur superbe.
Lorsque maman n'est pas à la maison, de temps en temps, j'aime aller récupérer dans le panier à linge les sous-vêtements qu'elle a porté la veille. Sa lingerie est vraiment excitante, maman ne portant que des strings, noir, de couleur ou en dentelle.
Un soir alors qu'elle n'était pas encore rentrée du boulot, je me dirigeai vers la salle de bain. Dans le bac à linge je trouvai alors un string transparent que ma mère devait surement avoir porté la veille. Je le portais à mon nez et sentis son odeur féminine. L'odeur de sa chatte était vraiment enivrante. Je commençais à me masturber énergiquement. J'étais sur le point de venir quand j'entendis maman monter les escaliers. Je ne l'avais même pas entendu rentrer du travail. Je ne pu qu'éjaculer en catastrophe dans le string de maman, n'ayant pas eu le temps d'agripper un mouchoir pour me vider les couilles. Je remis in extremis le string dans le bac à linge avant que ma mère ne me trouve dans la salle de bain.
Je n'ai pas encore parlé de mon père qui est souvent en déplacement, ne se soucie plus trop du bien être de sa femme et est relativement absent dans nos vies. Je demandais alors à ma mère s'il était possible que l'on dorme ensemble dans le lit conjugal. Je lui sortis alors un ou deux arguments bidons, le fait qu'il était plus facile de se sentir en sécurité dans une grande maison et d'autre conneries dans le but d'arriver à mes fins. Au bout d'une semaine maman céda et accepta ma requête.
Les premières nuits pendant lesquelles nous dormions ensemble, chacun dormait de son côté. Petit à petit pendant les nuits je me rapprochais de ma mère. Je n'hésitais plus à m'approcher de ses fesses, rondes et appétissantes. Au début je laisser mon caleçon pour dormir mais je me décidai un soir de le retirer et de tenter de m'approcher le plus possible de ma mère.
En faisant semblant de dormir, je m'approchais de maman et au milieu de la nuit, je commencer tout doucement à frotter ma bite le long de ses fesses. Dans la position de la cuillère, ma queue s'insinuait entre les fesses de maman,
En se réveillant, elle ne pu que sentir ce contact entre ma bite qui était toute bandée et ses fesses bien fermes et rebondies
Avec un jeune homme dans la fleur de l'âge au sexe long et dur dans son lit, maman devait se sentir désirée. Elle enroula alors ses doigts autour de ma bite et constata la vigueur de mon érection. Elle tâtait le matériel puis soupesa mes couilles qui sans me venter sont d'une taille conséquente et adaptée à la longueur de ma bite en pleine érection.
Elle murmura alors:
- Mon chéri, tu es réveillé ? J'ai vu que tu avais laissé des traces de sperme dans un de mes sous-vêtements cette semaine, mon string ficelle noir. C'est ta mère qui te met dans ses états ?
Je lui répondis:
- Maman, tu es une femme très sexy avec des formes aguichantes. Je suis désolé mais tes tenus légères, en plus de tes strings et de tes gros nibards que tu laisses pointer fièrement n'y arrange rien...
- Oh je vois, répondis-t-elle. Il va falloir y remédier alors. Et pour cela, j'ai un remède miracle.
Elle se tourna alors d'un coup, retira la couverture puis approcha sa bouche de mon sexe. Elle commença par frôler de sa langue mon gland et mes boules avant de se lancer dans une pipe effrénée. J'étais sidéré de la façon dont maman me sucer goulûment la queue.
J'étais excité comme jamais et commençais alors un cunnilingus pendant que maman se régalait de ma queue. Jamais je n'oublierai ce plaisir mutuel échangé avec maman.
Le rythme s'accéléra alors:
- Prend moi maintenant, s'écria-t-elle. J'ai envie de sentir la bite de mon fils me faire du bien. Cela fait longtemps que j'en ai envie.
Je n'en revenais pas du fait que cette attraction mère fils était mutuelle.
Je ne me fis pas prier, je frottais mon gland quelques secondes à l'entrée de sa chatte déjà bien humide avant de m'y enfoncer jusqu'à la garde. En levrette, la vision du cul de ma mère et de ma bite s'enfonçant dans sa chatte serrée était exquise. Les va-et-vient continuant de plus belle, j'insinuais alors mon majeur vers l'anus de maman.
Après lui avoir doigté le cul avec deux trois doigts, J'approchais doucement mon gland turgescent de son anus qui représentait pour moi un trésor. Je fis entrer lentement mon gland entre ses grosses fesses puis lorsque maman se détendit, je commençai des va-et-vient à vitesse modérée avant de pouvoir enfin lui défoncer le cul à toute vitesse. Je n'en pouvais plus, finalement j'envoyais d'épaisses giclées de sperme dans son cul comme jamais je n'avais giclé auparavant, je me vidais les bourses au fond de son cul, quel sensation exquise de sentir son foutre s'y répandre. Je venais de terminer une partie de baise extrêmement chaude avec la seule femme vivant sous mon toi, ma mère.