Marc et Moi

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Proposée le 17/11/2013 par JeuneLolita

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Alors que j'étais très jeune, mes parents se sont séparés. J'eu un père très absent et une mère avec qui nous n'avons jamais réussi à créer de liens.
Mais tout fut bouleversé quand j'ai eu dix ans : un nouvel homme fit son apparition dans la vie de ma mère et dans la mienne. C'était Marc. Marc, un grand brun ténébreux, beau et intelligent. Bref, tout pour plaire à la petite fille que j'étais.
Très vite, une relation de complicité se créa entre nous.

C'est l'année de mes quinze ans que tout fut chamboulé.
J'étais devenue une jeune femme : petite, avec des formes généreuses, mes cheveux tombaient comme une cascade sur mon dos et faisaient ressortir mes yeux verts.
C'était en novembre, ma mère était absente pour le week-end.
Quand Marc rentra, je l'attendais dans la cuisine pour lui servir un café comme à notre habitude. Je m'installai à côté de lui, et nous nous mîmes à discuter, de tout et de rien, l'un et l'autre buvait les paroles de son interlocuteur. À un moment de la discussion, il posa se main sur la mienne ce qui m'étonna et eu comme impact de diffuser une décharge électrique dans tout mon corps et particulièrement entre mes jambes.

- Tu aimerais que je t'emmène dîner en ville ce soir?
- D'accord, mais seulement si tu me laisses le temps de me préparer. Lui répondis-je sans aucune hésitation.

Il acquiesça et je partie me préparer à l'étage. J'enfilai une robe noir décolletée et plutôt courte, puis pris le temps de me coiffer et de me maquiller. Quand je vins le rejoindre, lui aussi s'était changé, il portait une chemise blanche avec un jean foncé. Qu'est-ce que je le trouvais beau.

- Un italien, ça te va?

Je lui offris une sourire comme unique réponse.
Une fois devant le restaurant, il m'ouvrit la portière.
Arrivés à table, il hésita un peu, puis nous commanda une bouteille de vin italien.
Nous reprîmes une des nos conversation habituelles jusqu'à l'arrivée de la bouteille. Après trois verres bien remplis, j'étais beaucoup plus désinhibée qu'habituellement.

- Tu me trouves belle ce soir?
- Euh comme tous les jours. Me répondit-il, étonné par ma question.
- Je te plais'

Il régurgita et me regarda perplexe.

- Je te plais'
- Oui... Me dit-il, posant son regard sur son assiette.

Le reste du repas fut très calme.

Arrivés à la maison, je m'affalai directement sur le grand canapé et lui dit avoir froid. Il posa donc la veste qu'il portait encore sur lui le long de mon corps.

- Viens t'asseoir à côté de moi ! Lui intimais-je en levant très haut les jambes.

Il vint s'asseoir à la place laissée libre par mes jambes. Je me mis à frotter mes pieds contre ses jambes.

- Masse moi les pieds !

Il me regarda avec un grand sourire et se mît à me caresser les mollets à la place. Je me pencha vers mon sac, resté à terre à côté du canapé, pour en sortir une cigarette que j'alluma aussitôt.

Tu fumes, tu bois. Qu'est-ce que ta mère dirait'

Je lui lançai un grand sourire, puis me redressa, les mollets toujours sur lui.

- Tu veux tirer ?

Il acquiesça et je tendis la bâtonnet de nicotine à sa bouche. Il tirait, les yeux clos. Quand ils ouvrit les yeux à nouveau, son regard se posa sur ma poitrine généreuse.

- Qu'est-ce que tu regardes'
- Tes seins. Tu en as de bien plus gros que ta mère.
- Ah bon'
- Affirmatif!
- Tu veux encore ? Lui dis-je en désignant la cigarette.

Encore une fois, il acquiesça. Mais cette fois-ci, je vins me mettre à califourchon sur lui. Je tirai sur la cigarette et lui apportai directement la fumée à la bouche. Il était étonné, mais posa ses mains sur mes hanches et se laissa faire.
On se regarda un long moment dans les yeux sans rien dire, jusqu'à l'instant où mon regard se posa sur le filtre qu se trouvait entre mes doigts.

- Elle est finie...
- Que faire maintenant'

Il se mît à me caresser les hanches où ses mains étaient déjà posées. Je me laissais faire respirant fort contre son visage. Quand il approcha ses lèvres des miennes, j'eu un mouvement de recul.

- N'aies pas peur, bébé.

Puis on s'embrassa passionnément pendant que ses mains me caressaient.
Je suis là, contre lui et très vite, il ôte ma robe, la faisant passer par dessus ma tête, après avoir ouvert la fermeture. Mes mains viennent se coller à son torse et doucement, j'ouvre les boutons de sa chemise, un par un. À ce moment précis, il n'est plus de vingt ans mon aînée ou le compagnon de ma mère, ce n'est plus que l'homme que je désire, que je veux plus que tout. L'ultime bouton ouvert, j'enlève sa chemise et vent me coller à son torse. Il se met à embrasser mon cou; je renverse ma tête en arrière pour lui faciliter l'accès et miaule de plaisir. Il finit par m'asseoir à côté de lui, se lève, écarte délicatement mes cuisses et vient se mettre à genoux entre elles. Il commence à enlever mon string quand je l'arrête.

- Je suis vierge...
- Je sais, bébé. Je te promets d'être délicat.
- (Je souris) Emmène-moi dans ma chambre.

Il morte jusqu'à mon lit où il ne dépose délicatement et il ôte le reste de ses vêtements.

- Je veux que tu me fasses l'amour!

Il me sourit et cette fois-ci, il enlève vraiment mon string. Il écarte mes jambes, puis passe sa tête entre elle. Il commence à passer sa langue sur mon clitoris. Mon corps s'électrise en réponse à l'assaut de sa langue qui me parsème de délice. Doucement, il vient lécher tout mon sexe avide de lui. Il entre délicatement en de ses doigts en moi, et y fait des va et viens lent pendant que sa langue est toujours plaquée contre ma chair rosée.

- J'ai tellement envie de t'avoir en moi.

Je le vois hésiter un instant, mais il remonte et m'embrasse tendrement. Il saisit son sexe qu'il présente à l'entrée de mon intérieur et très délicatement, il s'enfonce en moi, petit à petit; j'en ai le souffle coupé. Arrivé prêt de mon hymen, il me regarde dans les yeux et s'introduit, encore plus doucement que précédemment, dans le plus profond de mon être. Il replonge son regard danse mien.

- Ça va?
- Oui... Lui répondis-je en souriant.

Doucement, il débute les va-et-vient en moi. Au début, je ne bouge pas, mais très vite je commence à y prendre du plaisir. Je caresse son dos pendant que ses lèvres se posent sur les miennes, dans mon cou, sur mes seins qu'il a sorti de mon soutien gorge.
Je commence à me délecter de ses coups de reins, je gémis de plus en plus vite pendant que je viens passer deux de mes doigts sur mon clitoris que je me mets à caresser gentiment. Marc me regarde en souriant.

- Tu peux aller plus vite !

Marc prend appuie sur ses bras et se met à s'agiter en moi, tandis que je me caresse de plus en plus frénétiquement.

- Qu'est-ce que j'aime te sentir en moi.
- Je t'aime...
- Tu... Tu m'aimes ? (Je suis étonnée de l'entendre me dire ça.)
- Oui...

Émoustillée par l'aveu qu'il vient de me faire, je l'autorise à aller encore plus vite.

- Je vais jouir, Charline.

J'enroule mes jambes autour de lui e après quelques coups de reins, je le sens se déverser en moi. Il me regarde dans les yeux et se retire délicatement, pendant quand je me caresse toujours. Je viens chercher sa main pour remplacer la mienne. Il me sourit et me caresse très vite le bouton de plaisir, très dur. Ainsi, je jouis à mon tour. Je suis à bout de souffle. Il s'assied sur le bord du lit et me prend contre lui. On s'embrasse longuement. Je pose ma mains sur son sexe encore un peu dur.

- Tu veux goûter ?

Je le regarde dans les yeux, puis descends mon visage sur son sexe que je lèche timidement. Je remonte la tête pour retrouver ses yeux.

- Tu aimes'

Je fais signe que oui avec ma tête et vint m'installer à califourchon sur lui pour l'embrasser encore.

- Moi aussi je t'aime, Marc.

Il me sourit et m'embrasse encore. Quand, sans prévenir, il vient s'enfoncer en moi. Il me fait monter et descendre sur lui. Je ne m'étais jamais sentie aussi bien. On s'agite quand, à nouveau, il jouit en moi.

Il va me chercher à boire. Je bois négligemment l'eau qu'il m'a apporté et que tombe par petite gouttes sur ma poitrine. Il vient chercher les perles d'eaux sur mes seins puis s'allonge. Je viens le rejoindre en me blottissant contre lui. Ce fut notre première nuit ensemble.