Chapitre 1 : Dans lequel je découvre les plaisirs de la chair.

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Proposée le 14/10/2013 par IsaCoquine

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32 ans, c'est à cet âge qu'a réellement commencée ma vie sexuelle. Un peu tard, direz-vous ! Certes mais il n'est jamais trop tard. Il me faut te dire, cher lecteur, que j'avais quelques excuses. Une éducation bourgeoise très, très stricte dans des pensionnats privés jusqu'au bac puis des études de lettres pendant quatre ans. Mes parents me destinaient à faire des enfants au beau parti qu'il avait envisagé pour moi.
Bref, mariée à 22 ans avec un brillant avocat descendant d'une lignée de tout aussi brillants juristes. Arrivée vierge au mariage, (si, si, lecteur, je t'assure) et après un dépucelage douloureux, les cinq premières années de ma vie de couple se résumèrent en réceptions mondaines, dîners d'affaires ou l'on me cantonnait dans le rôle de potiche, et en nuits où, deux ou trois fois par semaine, mon mari tentait de m'engrosser.
Cela se passait évidement dans l'obscurité totale de notre chambre, et je recevais ses assauts couchée sur le dos, chemise de nuit remontée à la taille et les jambes écartées. Autant te dire, cher lecteur, que je connus jamais l'extase à me faire ainsi ensemencer. Au bout de cinq ans, mon ventre restait plat, au grand désespoir de mon mari, de sa famille et de la mienne.
Deux ans supplémentaires à courir les consultations médicales avec leur lot d'examens en tout genre pour arriver à la conclusion que j'étais stérile, irrémédiablement stérile. À dater de ce jour, mon mari me laissa dormir dès que je me couchais. À quoi bon ensemencer une terre stérile ?

Trois ans passèrent ainsi, pendant lesquelles mon mari se satisfaisait avec des aventures sans lendemain, puis il se décida à divorcer. Il lui fallait bien continuer la lignée d'avocats.

J'obtins, malgré tout, une rente confortable qui me permettait de vivre sans me soucier de l'avenir.
Un an avant le divorce, mon mari me pria de décamper. Certes il le fit avec élégance en m'offrant un appartement dans le XVIIème. C'est peu après que je fis la connaissance de Mike.

J'entrais par hasard dans une exposition sur le Tibet d'un reporter-photographe. La salle était vide en ce milieu d'après-midi et dès que je fus entrée, Mike vint à ma rencontre et me fit les commentaires sur les clichés qu'il exposait. Physiquement Mike était à l'opposé des hommes que nous fréquentions habituellement dans le réseau de relation de mon mari. Grand, maigre, le corps sec, de longs cheveux gris regroupés en catogan, une barbe grise elle aussi, des yeux d'un bleu délavé, il était vêtu d'un jean usé à la corde, d'une sorte de tunique artisanale et de nu-pieds en cuir. En voyant ce véritable baba-cool, je pensais alors qu'il portait un uniforme, qu'il était en représentation pour l'occasion mais je ne le vis jamais habillé autrement.
Je tombais rapidement sous le charme de sa voix, pleine de douceur et qui me faisait rêver quand il se répandait en anecdotes, quand il me racontait ses aventures tout en me faisant découvrir ses photos. Personne n'entra dans l'exposition et rien ne vint troubler ce moment qui dura jusqu'à la fin de l'après-midi. Avant que je franchisse le pas de la porte, Mike me tendit sa carte et me fit promettre de le rappeler.
Ce que je fis quelques jours après. Pendant plusieurs mois, je rencontrais Mike plusieurs fois par semaine, sauf quand il s'absentait. Et je me morfondais pendant ses absences qui duraient parfois plusieurs semaines. J'en vins à le considérer comme un ami véritable et je me confiais à lui. Il sembla effaré quand je lui appris le vide sidéral de ma vie sentimentale.
Quelques jours avant le jugement de divorce, alors que nous dînions dans une brasserie et que mon moral n'était pas au beau fixe, je lui racontai également ce qu'avait été ma vie sexuelle. Cette confidence le plongea dans un océan de perplexité. Il changea de sujet et il ne m'en reparla pas de la soirée.
Lors de notre rencontre suivante, il revint sur ce sujet. Après une longue discussion, il déballa une tirade presque sans reprendre son souffle.
- Isa, je suis ton ami et je veux que tu considères ce que je vais te dire comme venant d'un ami sincère et fidèle. J'enrage de savoir qu'une femme comme toi, belle, très belle, intelligente, n'a jamais connu ce plaisir intense qu'est l'extase des sens. J'ai beaucoup réfléchi depuis quelques jours et, si tu es d'accord, je te propose de découvrir cela en ma compagnie. Mais je ne veux pas que tu croies que je veux vivre avec toi. Je suis quelqu'un d'invivable et tu te lasserais surement de moi très rapidement. Il s'agit simplement de sexe et de rien d'autre, en plus bien sûr de notre amitié.

J'avoue que cette proposition totalement inattendue me laissa sans voix. Il me fallut quelques minutes pour reprendre mes esprits.
- Mike, tu veux me dire que tu veux coucher avec moi ?
- Pas exactement, Je veux t'apprendre ce que jamais personne ne s'est donné la peine de t'apprendre, te faire découvrir ce que tu aurais dû découvrir depuis longtemps. En un mot, je veux te faire jouir.
- Je suis très touchée de cette proposition. Mais je ne veux pas te donner de réponse immédiatement. J'ai besoin de réfléchir.
- Je comprends. Je ne m'attendais pas à ce que tu dises oui tout de suite. Prend le temps qu'il te faudra, et quand tu auras décidé, dis-le-moi. Je dois d'ailleurs partir demain pour un reportage en Bolivie pendant un mois. Tu peux prendre ce temps pour réfléchir.
Mike partit deux jours plus tard, je l'accompagnais à l'aéroport et je sanglotai sur son épaule dans la file d'attente pour les contrôles de sécurité.
Ce mois sans Mike me sembla éternellement long. Quand il m'appela de chez lui pour me dire qu'il était rentré, mes premières paroles furent de dire oui à sa proposition. Il m'invita le lendemain à venir chez lui. Je n'avais jamais été chez Mike, toutes nos rencontres avaient eu lieu dans des bars, des restaurants, des lieux publics.
Le lendemain, je sonnais d'un doigt tremblant à la porte de Mike, au dernier étage d'un immeuble du quartier latin. Ce qui me troublait le plus était l'heure de notre rendez-vous, en début d'après-midi ; je ne concevais pas à l'époque que l'on puisse avoir des relations sexuelles avant la nuit tombée. Mike m'accueillit avec sa bonne humeur habituelle. En rentrant dans son loft, la chaleur ambiante me fit presque suffoquer.
Mike ne me proposa pas de m'asseoir mais resta devant moi au milieu de l'espace salon. Il me questionna de sa voix douce :
- Ça va. Comment te sens-tu ?
- Comme une collégienne qui va à son premier rendez-vous. C'est un peu ça d'ailleurs.
- Oui, c'est vrai. Tu as confiance en moi ?
- Bien sûr, sinon je ne serais pas ici.
- Merci de cette confiance. Es-tu prête à suivre mes conseils ? Tout ce que je te demanderai aura pour but de te conduire au plaisir et de te faire sentir libre de tes désirs. Il n'est absolument pas question de te contraindre à quoi que ce soit.
- Est-ce que ça veut dire que je peux arrêter tout cela quand je le veux ?
- Tu es parfaitement libre. Et quoi que tu décides, ne remettra pas en cause notre amitié.
- Tu es vraiment un ami extraordinaire. C'est d'accord. Je t'écoute, mon cher Mike. Quel est ton premier conseil ?
- Tu vas me dévoiler ton corps, sans rien me cacher.
- Tu veux que je me déshabille devant toi, ici, en plein jour ??
- Exactement.

Mike alla s'asseoir sur le canapé, sans rien ajouter, me laissant plantée seule au milieu du salon.
Mon cerveau bouillait, je me demandai si je n'allais pas reprendre mon manteau et mon sac et fuir, fuir loin de tout cela et retourner à ma vie antérieure. Je me sentais comme au bord d'une falaise, prise de vertige. Pourtant, je décidai de faire le pas vers cet inconnu qui m'attirait comme un aimant.

Je posais donc fièrement la veste de mon tailleur sur le fauteuil tout proche. Jusque-là facile ! Le regard de Mike me sembla devenir plus bleu que jamais. J'eu un moment de honte et je me retournais pour échapper à son regard. Mais je continuais mon effeuillage. Les boutons du chemisier se défirent un à un, je le posais sur la veste. Puis la jupe, pour me forcer à continuer, je m'imaginais chez le médecin. Mon collant faisait une boule dans ma main, je le jetais sur le fauteuil. Mes doigts tremblants eurent du mal à dégrafer mon soutien-gorge. Je restais ainsi quelques secondes, face à la bibliothèque croulante sous les livres, les bras le long du corps, seulement couverte par ma culotte. Je passais mes pouces sous l'élastique, hésitant encore quelques secondes avant de la faire glisser sur mes jambes. Je me redressais, toujours de dos par rapport à Mike. Je sentais son regard sur ma nuque, mon dos, mes reins, mes fesses. J'attendais qu'il dise quelque chose, qu'il se jette sur moi. J'étais tendue, prête à sentir sa main sur ma peau. Mike me laissa ainsi, dans l'incertitude, dans l'inquiétude. C'était troublant, angoissant, excitant. Enfin le son de sa voix, douce, caressante.
- Tu es merveilleuse. Viens t'asseoir ici, à côté de moi.
J'envisageai une seconde de la rejoindre à reculons pour ne pas me présenter face à lui, pour ne pas lui révéler ma nudité. Mais le ridicule me retint. Je couvrais donc ma poitrine de mon bras replié et cachais mon pubis de l'autre main. Je me retournais alors brutalement, comme un défi et je fis les quelques pas pour rejoindre le canapé et m'y asseoir.

Mike ne fit aucune allusion à ma nudité, ni à mes tentatives puériles pour le lui cacher. Au contraire, il commença par me parler de son voyage en Bolivie. J'avais du mal à me concentrer sur son récit, tant j'étais obnubilée par mon état. Il se leva en me demandant si je voulais boire quelque chose.
Je m'entendis répondre - Oh oui, je crois que j'ai besoin d'un scotch.
Il remplit aux quarts deux verres avec du Knockando et les posa sur la table basse, puis il se saisit d'un grand classeur et le posa sur mes genoux. C'était les premiers tirages des clichés de son reportage.
Je ne sais pas si ce fut l'effet de l'alcool ou de l'attitude de Mike, mais je me détendis imperceptiblement. À mesure qu'il me commentait les photos, ma main quittait mon bas-ventre pour tourner les pages. Je commençais à participer réellement à la conversation, à le questionner et je me rendis compte que je faisais des gestes de mon bras gauche qui découvraient ma poitrine. Un peu plus tard, alors que je revenais des toilettes, je me rendis compte que je me dirigeais vers lui les bras ballants le long du corps.

Encore plus tard, alors que nous avions parlé tout l'après-midi, il me proposa de dîner. Il avait préparé quelques plats exotiques délicieux. Alors que nous mangions face à face, je remarquais qu'il avait une vue plongeante sur mes jambes et mon ventre à travers le plateau en verre de la table.
En fin de soirée, j'étais totalement détendue et je ne tentais plus de cacher mon anatomie à mon ami. À ma grande surprise, Mike me dit en baillant :
- Ma chère Isa, je crois qu'il va falloir que je dorme. Je suis désolé de te congédier ainsi mais je suis encore en plein jet-lag.
Curieusement, je me sentis frustrée d'apprendre qu'il ne se passait rien de plus ce soir. Frustrée mais soulagée...
- Pas de soucis, Mike, je vais rentrer chez moi. Est-ce que tu peux appeler un taxi.
Mike appela le taxi et en raccrochant il me dit de celui-ci arrivait dans 15 minutes.
Je me levais et je me dirigeai vers la penderie pour prendre mon manteau quand Mike m'arrêta :
- Eh, Isabelle, tu es sure que tu n'oublies rien ?
Je me retournais, surprise, pour découvrir son visage hilare. Je mis quelques secondes à me rendre compte que j'étais nue. Nous sommes partis l'un et l'autre dans un long fou-rire. Lui assis sur le canapé et moi debout face à lui, le visage caché dans les mains.
Pendant que je reprenais mes vêtements, Mike me donna quelques consignes pour la semaine qui allait s'écouler jusqu'à notre prochaine rencontre. Je devais :
1. Vivre nue en permanence quand je serai seule chez moi.
2. Changer mes sous-vêtements trop sages à son goût. Il précisa que je devais "me vêtir de façon à me rendre désirable".
Et surtout, Mike me félicita pour mon courage et la confiance que je lui accordais. Le taxi sonna.

La semaine suivante, je me rendis chez Mike le cœur léger. J'espérais qu'il apprécierait les emplettes que j'avais faites durant ces quelques jours.

Mike m'accueillit tendrement et gaiement. Il y eut dans ses yeux un je-ne-sais-quoi qui fit briller son regard quand il découvrit ma petite robe noire, qui m'arrivait à mi-cuisses et mes jambes gainées de bas foncés à couture. J'avais aussi mis des escarpins à hauts talons qui affinaient mes jambes. Il y avait longtemps que je ne m'étais pas sentie aussi belle et désirable. J'avais d'ailleurs remarqué que le chauffeur de taxi avait réglé son rétroviseur quand j'avais ouvert mon manteau.
Je demandai à Mike, un peu espiègle, s'il voulait voir l'envers du décor. L'expression le fit sourire et il approuva en faisant glisser le zip de ma robe. Je m'en débarrassais pour lui montrer mes dessous. Un soutien-gorge balconnet en dentelle noire qui recouvrait à peine les larges aréoles de mes seins, un tanga coordonné et un porte-jarretelles qui soutenait mes bas. Mike me dit que j'étais superbe, ce qui me ravi. Après m'être fait admirer par mon ami, je quittais mon soutien-gorge et ma culotte mais il m'arrêta quand je fis mine de poser mes bas. - Garde le reste, tu es magnifique comme cela.

Mike alla s'asseoir sur le canapé et m'invita à le rejoindre. Il entra dans le vif du sujet en me posant une question :
- Isa, dis-moi, est-ce que tu te masturbes parfois ?
- Non, je ne l'ai jamais fait.
- Il est important que tu touches ton corps et que tu le vois. Attends ici, j'ai une idée.
Il se leva et revint très vite en portant une psyché qu'il posa devant moi. Il revint s'asseoir à côté de moi.
Il écarta mes cuisses. Cela m'excitait de m'offrir ainsi à son regard et... au mien. Il m'enseigna ensuite comment me caresser. D'abord les seins doucement, puis de façon de plus en plus forte, à faire rouler mes tétons durcis entre mes doigts. Il me demanda ensuite de faire glisser mes mains sur mes cuisses gainées de nylon, m'incitant à aller toujours plus haut, jusqu'au pli de l'aine. Puis il guida ma main vers ma chatte, ses doigts entrelacés avec les miens, il me fit faire des mouvements circulaires sur mon sexe. Rapidement des sensations nouvelles envahirent mon corps. Des ondes de chaleurs partaient de mon ventre, irradiaient dans ma poitrine, dans mes seins que je sentais se gonfler. Mike n'avait plus besoin de guider ma main. Le souffle me manquait et c'est la bouche entrouverte que je trouvais de l'air. Il me souffla à l'oreille:
- Tu mouilles ?
Oui, je mouillais. Il continua:
- Mets-toi un doigt !
J'enfonçais mon majeur entre mes petites lèvres gonflées. Le plaisir fut tel que sans attendre qu'il me le demande, je joignis mon index au majeur. J'étais merveilleusement bien. Mike tourna mon visage vers le miroir.
- Regarde-toi, regarde comme tu es belle.
Ce que je voyais dans le miroir, n'était pas moi. Plutôt, ce n'était plus l'Isabelle d'avant. Non, je voyais, une jeune femme, jolie, désirable, qui se caressait, offerte. C'était moi que je voyais. Mike me caressait les seins.
- Touche ton clitoris, maintenant. continua Mike en me prenant le poignet. Guidant ma main, il fit glisser mes doigts mouillés dans ma fente, les conduisit jusqu'au petit bourgeon de chair. Ce contact déclencha de nouvelles ondes de plaisir, plus fortes que les autres. Je gémis.D'un seul coup, je sentis perdre le contrôle de mon corps. Mes doigts me caressaient frénétiquement, indépendants de ma volonté, mon bassin se mit à onduler sous mes propres caresses. Je gémissais, je me tortillais, je me branlais comme une folle.

Un regard vers le miroir et l'image qu'il me renvoyait de moi-même et je perdis presque conscience de ce qui m'arrivait. Je m'entendis crier, je sentis mon corps se soulever, se cambrer, se tendre comme un arc. Mes membres tremblaient hors de tout contrôle, pendant que des ondes de plaisir me submergeaient et que des milliards d'étoiles explosaient en feu d'artifice devant mes yeux.

Je revins à la réalité quelques instants plus tard. Ce fut pour découvrir le visage de Mike qui me regardait tendrement. Et pour la première fois depuis que nous nous connaissions, Mike m'embrassa la bouche. Quand il me libéra, j'articulais péniblement
- Qu'est-ce qui m'est arrivé ?
- Tu as jouis, ma belle, tu t'es fait jouir, voilà ce qui t'est arrivé.
- C'était bon, terriblement bon mais je ne pensais pas que cela soit aussi violent. C'était presque effrayant.
- C'est parce que c'était la première fois, mais tu verras, avec l'habitude, ce sera encore meilleur mais cela ne t'effrayera plus.

Dès que je fus remise de toutes ses émotions, Mike me demanda de le déshabiller. Sa tunique ethnique ne me résista pas longtemps, son jean me posa quelques problèmes mais j'en arrivais quand même à bout. Il ne lui restait que son boxer. J'hésitais à libérer ce membre qui tendait le tissu. Une profonde inspiration et je glissais mes doigts sous la ceinture élastique et je fis glisser son boxer. Mike prit ma main et la guida vers son membre gonflé. Première sensation, sa queue était chaude, dure et douce à la fois. Je serrais le poing doucement de peur de le blesser. Je sentais son membre frémir dans ma paume. Mike me montra comment le caresser. Je m'appliquai à faire monter et descendre doucement ma main sur la hampe, décalottant le gland rose foncé.

Lentement, sans que je cesse de le branler, Mike me coucha sur le canapé et s'allongea sur moi. Il me souffla à l'oreille.
- Guide-moi.. Je le conduisis vers l'entrée de ma grotte, il s'y enfonça doucement, dilatant ma chair, prenant possession de mon sexe détrempé. Je me sentais remplie, comblée. Il se retira un peu, tout aussi doucement, et revint, plus profond encore. Mike me baisa comme cela, avec une infinie douceur. Alors qu'avec mon mari, je me comportais comme une pièce de viande inerte, avec Mike j'avais envie d'agir pour son plaisir...et aussi pour le mien car les coulissements de son pieu dans mon vagin provoquaient de délicieuses sensations. Je l'enlaçai de mes bras et de mes jambes nouées sur ses reins, je l'embrassais avec volupté. De mes talons, j'éperonnai ses fesses, l'incitant à venir en moi encore plus profondément. Mike accéléra insensiblement ses coups de reins. Les sensations qu'il me procurait devenaient plus fortes, trop fortes pour que j'y résiste et je glissai ma main entre nos ventres pour me caresser. Mike explosa en moi juste comme un deuxième orgasme me submergea. Encore plus fort que le premier, mais cette fois-ci, rassurée, avide de ce plaisir nouveau, je me laissai aller complètement, jouissant des spasmes de son chibre, recevant ses jets de sperme au plus profond de mon con.

Il était tard. Je lui dis que j'étais totalement épuisée et que je voulais rentrer. J'espérai qu'il me propose de dormir chez lui. Réaction de midinette car je me souvins des bornes qu'il avait posées - Il s'agit simplement de sexe et de rien d'autre. Effectivement Mike me proposa uniquement de prendre une douche avant de partir. Et en attendant le taxi, il me demanda de me caresser tous les jours, au moins une fois ou plus, si j'en avais envie. Inutile de te préciser, cher lecteur, que je me suis conformée scrupuleusement et avec délice à cette consigne.

La semaine suivante, alors que je me déshabillais dès la porte de Mike franchie, je lui posai la question de savoir si je devais garder mes bas. Mike me répondit de garder uniquement bas et porte-jarretelles et ajouta:
- Remets ton manteau, je t'emmène faire un tour dans le jardin du Luxembourg.
Surprise, je lui demandai des précisions.
- J'aimerais que tu aies la sensation de t'exhiber, nue sous ton manteau. Tu verras, je pense que tu trouveras ça très excitant.

Les premiers mètres dans la rue furent éprouvants, je guettais le regard de chaque passant que nous croisions, certaine qu'il voyait ma nudité, vérifiant tous les deux pas que la ceinture ne se dénouait pas, que mon manteau restait bien fermé. Pourtant, les premières minutes passées, je reconnu que Mike avait raison. En ce début de printemps, l'air était doux, et son souffle sur ma chatte nue m'excitait. Autant que le frottement de mes tétons sur la doublure de mon manteau.

Dans le jardin, Mike m'entraîna vers un coin désert. Il tira un appareil photo de sa poche, s'excusant de n'avoir pas pris son matériel professionnel. Cela me surprit :
- Tu veux faire des photos ?
- Exactement, et des photos de toi !
Mike m'expliqua qu'il voulait faire des clichés de moi, dans le parc. Il commença par quelques photos soft, pour lequel il me demanda de simplement dénouer ma ceinture et de garder mon manteau plus ou moins entrouvert avec mes mains. Avant chaque photo, il choisissait le lieu, m'expliquait la pose que je devais prendre, nous scrutions ensuite les alentours et il prenait une dizaine de photos en rafale en quelques secondes. Parmi les pauses qu'il me demanda de prendre, pour une, je devais poser mon pied sur un banc et faire mine d'ajuster une jarretelle, pour une autre il me fit asseoir à califourchon sur une chaise et me photographia le front appuyé sur mes bras croisés sur le dossier, mon manteau largement ouvert. Enfin dans une des dernières, j'étais assise sur un banc, les jambes écartées et je devais faire semblant de me caresser et de jouir.

Cette séance d'exhibition m'excita beaucoup. J'avais hâte de rentrer chez Mike. J'avais envie de jouir. - Tu es en train de devenir une belle salope me disais-je en accélérant le pas et cette fièvre érotique me convenait à merveille.

Mike me conduisit vers son lit, je le déshabillai frénétiquement tant j'avais envie qu'il me baise. Mais au lieu de s'allonger sur moi, Mike prit mes jambes sous le pli des genoux, les remonta sur ma poitrine en les écartant et posa ses lèvres sur ma chatte inondée. Il me suça, furetant dans les replis de ma fente avec sa langue. Il agaçait mon petit bouton de la pointe de sa langue, m'arrachant des soupirs d'aise. Il mordillait mes petites lèvres gonflées de sève, il enfonçait sa langue dans mon con inondé. Je jouis le corps cambré, les mains crispées sur le drap, enserrant fortement la tête de mon amant entre mes cuisses.

Mike, un fois ma jouissance apaisée, me retourna sur le ventre. De ses mains agrippées à mes hanches, il attira mes fesses vers lui, me forçant à me mettre à quatre pattes, en levrette comme il nomma cette position. Il glissa son sexe dans mon ventre et me fit coulisser sur sa tige. Dans cette position, il me pénétrait profondément et son gland venait heurter le fond de ma grotte à chaque coup de ses reins. J'accompagnai ses mouvements, les anticipai. Mike n'avait plus besoin de me faire aller et venir, ses mains libérées eurent alors la possibilité de s'occuper de mes seins et de mon sexe.

Mike me donna du plaisir, qu'il prolongea longtemps. Puis me sentant assouvie, il reprit mes hanches et me défonça violemment. Il jouit en moi, en faisant cogner mes fesses sur son ventre.

Nous sommes ensuite restés allongés l'un contre l'autre en discutant comme un vieux couple. Je me mis à jouer avec son sexe ramolli. Mike me demanda :
- Tu veux encore ?
- Oui.
- Tu es devenue vraiment insatiable. Est-ce que tu veux connaître encore autre chose de nouveau ?
- Que peut-il y avoir que tu ne m'as pas fait découvrir ?
- La sodomie...
- La sodomie, tu veux me prendre par l'anus ? Je ne sais pas, j'ai peur d'avoir mal.
- Si tu es détendue, si tu me fais confiance, je te promets que ça ne sera pas douloureux.
- Et c'est bon ?
- À en croire la plupart des femmes que j'ai rencontré, c'est très bon.
- D'accord, mais il faudra que tu sois très doux.
- Je te le promets mais avant il va falloir que tu me remettes en forme
- Tu veux que je te caresse.
- Oui mais avec ta bouche, suce-moi pour me faire bander

Je glissai alors ma tête sur son ventre plat tout en continuant de la caresser. Je sentais son membre grossir entre mes doigts. Je me décidais enfin à poser mes lèvres sur son gland. J'avalais ensuite cette grosse fraise violacée, y retrouvait le gout de mon propre sexe que j'avais découvert sur les lèvres de Mike. J'enroulai ma langue autour de son gland, tout en le branlant d'une main, tandis que l'autre mue par une étrange intuition palpait ses testicules. Je le suçai comme cela jusqu'à ce que Mike m'arrête et m'attire vers lui. Il me fit rouler sur le ventre. Il lubrifia ma rosette avec du gel lubrifiant, du bout de son doigt. Il enfonça son doigt dans mon cul, toujours pour le lubrifier. J'essayai de rester détendue, rassurée par la douceur et les précautions que prenait Mike. Ensuite Mike s'allongea à côté de moi et m'attira sur lui. Il me demanda de le chevaucher et relevant mes fesses, il redressa son dard en direction de ma rosette. Il me regarda et me dit:
- Maintenant, c'est toi qui décide.

Je fermais les yeux, inquiète, je sentais son membre à l'orée de mon anus. J'avais juste à me laisser descendre dessus. Je pris une grande respiration et je commençais à m'empaler. Mike me caressait les hanches, les seins. Je n'avais pas mal, je sentais son chibre enfoncé en moi, planté dans mon cul. Mike me souleva par les fesses, et il ajouta du gel sur son membre, je redescendis, m'empalant encore plus profond jusqu'à ce que mes fesses reposent sur ses cuisses. La sensation de son pieu dans mon petit trou était extraordinaire. Avide de plaisir, je restai empalée sans bouger et je me masturbai pendant que Mike donnait de légers coups de reins pour faire glisser sa queue dans mon cul.

L'orgasme arriva rapidement, trop rapidement à mon gout. J'aurai voulu profiter encore de son dard. Mais je n'avais qu'à m'en prendre à moi-même car je m'étais caressée frénétiquement. Ma dernière pensée avant de perdre pied fut de me traiter moi-même de salope. Je criais mon plaisir.

Je glissai sur le côté, ivre de plaisir, me libérant de ce pieu qui m'avait délicieusement perforé. Mike attendit que je refasse surface en me caressant le dos du bout de ses doigts. Ma première pensée fut pour lui, il n'avait pas jouit de mon cul. Effectivement, son sexe était toujours dressé, fier et dur, toujours recouvert du préservatif qui le protégeait. Je me ruais dessus, arrachant la capote et je me mis à le sucer goulûment. La douceur de ma bouche, mes coups de langue sur son gland, la pression de ma main sur sa hampe eurent bientôt raison de sa résistance. Mike gémit, tenta désespérément de m'arracher à sa queue. Il m'avertit encore qu'il allait jouir mais je tins bon et gardait son gland entre mes lèvres. Il jouit dans un râle profond, les jets de sperme se répandirent dans ma bouche, j'en gouttais la saveur grasse et salée. J'avalais tout.

Mike me gratifia d'un "Tu es complètement folle". Il m'apprit alors qu'aucune femme ne l'avait jamais sucé jusqu'au bout, jusqu'à recevoir sa semence dans sa gorge.

Nous étions l'un et l'autre repus de sexe et après une douche, nous sommes partis dîner dans un restaurant place de la Contrescarpe. Pendant le repas, Mike semblait soucieux, un peu fermé. Je lui demandais alors la cause de ce changement d'attitude. À force d'insistance, Il m'avoua qu'il devait partir pour quelques mois à l'autre bout du monde, en Australie et en Nouvelle-Zélande pour un travail. Cette nouvelle me fit monter les larmes aux yeux. D'une voix chevrotante de sanglots, je lui demandais :
- Mais qu'est-ce que je vais devenir sans toi ?
- Tu n'as plus besoin de moi, maintenant. Vu ce que tu m'as montré, je pense que tu pourras te débrouiller toute seule. Prends des amants, Isa, et tu trouveras probablement un homme avec qui tu seras heureuse. Toi et moi, c'est impossible. Tu vois, je suis toujours entre deux avions, entre deux voyages.
Je dû convenir qu'il avait raison et après quelques semaines, pendant lesquelles je pleurais un peu et me masturbais beaucoup, je suivis son conseil...