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Proposée le 3/10/2013 par vecu85
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Cette aventure a commencé au mois de juin.
Je me présente Nath 58 ans, rousse, 1m65, 73 kg (la ménopause), bonnets C avec encore un bon maintien, de grosses fesses rondes assez fermes, de belles jambes, mais du ventre, des hanches larges et des kilos en trop.
J'adorais le sexe et surtout la sodomie.
Mais, depuis 4 ans, mon mari ayant des problèmes de prostate, nos relations sexuelles sont devenu presque inexistantes. Ma libido s'est envolée en même temps.
Au mois de juin, je décide de prendre le taureau par les cornes, et je décide d'en parler à un médecin.
Ne voulant aller voir mon médecin traitant, je suis allée voir un autre praticien dans le village à coté, que je ne connaissais pas.
Rendez vous le mardi à 11h. Il me reçoit, il a une cinquantaine, plutôt sportif, 1m85. Je suis très gênée au début, mais, je lui raconte quand-même, que je n'ai plus de libido et que j'attends de lui qu'il me la rende s'il le peut.
Il me fait parler de ma vie sexuelle, dit qu'il va voir, demande de me déshabiller et de me décontracter car j'ai air stressée.
J'enlève ma robe, quand j'entends : « on enlève tout. »
Je suis entièrement nue, je pique un phare, le médecin, il s'appelle Pat, s'approche de moi, me dit que j'ai un très beau fessier, me pose sa main dessus et me pousse vers la table en me demandant de m'allonger dessus, puis il met mes pieds dans les étriers pour un examen gynécologique.
J'ai maintenant les jambes grandes ouvertes devant lui.
Il commence par mes seins, a ma grande surprise, il me les pelote, faisant rouler mes tétons qui se sont mis a pointer.
Verdict : "Tout va bien de se coté là."
J'étais abasourdie et scotchée sur la table ne pouvant dire un mot.
Alors, il a commencé à me caresser les cuisses, le ventre, les flans, il était doux et je commençais à mouiller malgré moi.
J'avais honte et peur qu'il le voit.
Il a pris mon sexe, a écarté les grandes lèvres, ouvrant ma chatte et Pat a commencé a caressé l'intérieur avec un doigt, pendant que l'autre main était entrain de jouer avec mon clitoris, tirant dessus, le caressant. Puis, il ma caressé toute la chatte, la pénétrant, la tripotant.
Je sentais que je mouillais de plus en plus et je n'ai pas pu empêcher un râle de sortir de ma bouche.
« Détends-toi, laisses-toi aller et prends ton plaisir, tu mouilles comme une salope. », a-t'il dit d'un ton sec.
Alors, Pat a rentré 2 puis 3 doigts dans mon vagin et m'a sucé le clitoris
Ce salaud était entrain de me faire jouir et d'un coup, j'ai eu un orgasme très fort, très long, comme je n'en avais plus eu depuis des années.
Après 1 minutes ou 2, je reprend mes esprits, il a toujours ses doigts dans ma chatte et là je m'aperçois que Pat a le pantalon baissé, la queue bien raide. Elle est plus grosse et large que celle de mon mari, à vue de nez : 20*4
- Tu la veux ? Je te demande si tu la veux?
- Oui.
- Plus fort.
- Oui.
- Tu es une grosse salope et tu aimes la bite ? J'entends pas.
- Oui.
- Tu en voudrais des grosses queues dans ta chatte ?
- Oui, oui, mais rentre.
- Tu en auras, ma chérie, tu en auras.
Sur le moment je n'ai pas réalisé ce qu'il disait, maintenant si
Il m'écarte avec ses 2 mains mon vagin au maximum et rentre sa bite a fond au fond de celui-ci.
Il va et vient doucement, tourne sa queue pour agrandir mon trou.
"Tu as un bon trou de grosse pute, tu me fais prendre mon pied, tu as un vagin fait pour recevoir de la bite, je vais te défoncer, tu vas devenir ma grosse pute obéissante. Dis-le."
J'étais prête a dire ce qu'il voulait pourvu, qu'il continue à me donner tu plaisir
"Oui, je serais ta grosse pute obéissante."
alors, il m'a littéralement défoncé la chatte pendant une dizaine de minutes, sans un mot, sans avoir d'orgasme, il me faisait un bien fou.
Puis, d'un coup, il ma traité de sale pute et a éjaculé bien enfoncé dans mon vagin, vu ses râles, il appréciais.
Au bout d'1 minute, il a sorti sa queue de ma chatte et me l'a donnée à sucer pour que je le nettoie, en plus il a planté ses doigts dans mon vagin pour récupérer son sperme et me les a fait sucer.
Il m'a relevée, m'a embrassée tout en me pelotant les seins et m'a dit :
- Tout fonctionne très bien chez toi, tu as un corps qui fait bander, un clitoris bien développé et sensible, une grosse chatte bien ouverte, faite pour en prendre, il faut juste qu'on s'occupe bien de toi.
- Oui docteur.
- Appelle moi Pat, je vais te soigner comme tu le mérites, rhabilles toi, j'ai des patients derrière toi.
Je me rhabille, tout en me faisant peloter les fesses.
- Avec le beau cul que tu as, tu dois faire un malheur, tu aimes la sodomie.
- Oui, mais cela fait un moment que je ne l'ai pas fait.
- Chérie, tu me fais rebander, je t'attends demain à 15h pour le reste de la thérapie, ordonnance: Jupe courte, pas de culotte, ni soutien gorge et je te fais cadeau de la visite.
Il m'a poussée vers la sortie.
Dehors j'ai repris mes esprits, je n'en revenais pas, j'ai pensé "quel salaud", il m'a vraiment traitée comme une pute, mais, j'avais aimé qu'on me traite comme ça, vu comment ce salaud m'avait faite jouir et mouiller comme jamais.
Si ma tête me disait d'arrêter là, ma chatte me disait de revenir le lendemain.
Si mon mari savait comme j'ai été une pute pendant 20mn à 58 ans, il ne le croirait pas.
Bien sur, j'y suis retournée le lendemain, je vous le raconterais si mon histoire vous a plu.