l'extase de soeur claire

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Proposée le 3/04/2008 par sugar

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Sœur Claire se rendait au confessionnal car elle avait péché. On voyait poindre le bout de ses seins au travers de son ample robe noire tandis que ses reins et son bassin dessinait une délicieuse courbe rappelant celles des toits du Taj-Mahal. Elle avait succombé au plaisir, seule dans sa cellule, la nuit précédente : alors qu'elle sortait de la douche, un feu diabolique s'empara d'elle, un feu si ardent qu'elle ne put résister à l'envie de se caresser follement.

Alors qu'elle se séchait la peau à l'aide d'une serviette, de coupables pensées envahirent son imagination. Elle se remémora la fois où, alors qu'elle n'était encore qu'une innocente fillette de douze ans, elle avait surpris dans une pièce reculée de son collège privé pour filles, son professeur de gym, une robuste femme dans la quarantaine, la tête enfouie entre les jambes d'une élève de quinze ans. Au début, chaste et pure comme elle l'est toujours, elle ne compris pas ce qui se passait, et elle ne trouva rien de mieux à faire que de s'enfuir et de ne parler à personne des choses secrètes auxquelles elle avait assisté. Mais aujourd'hui, du haut de ses vingt-quatre ans, elle se rendit compte de l'interdit que la femme mûre bravait avec la jeune fille, interdit non seulement par la loi mais surtout par la morale, cette sainte-loi dictée aux hommes par notre dieu unique.

Cependant cette vision ne la dégouta pas, bien au contraire. Elle se remémora l'expression de contemplation céleste illuminant le visage de la jeune fille en proie aux caresses prodiguées par le professeur, ses yeux mi-clos, ses mains crispées sur la chevelure de son amante, et ses petits râles qu'elle ne pouvait empêcher de sortir de sa bouche légèrement entrouverte. Cette vision mis sœur Claire dans un état épouvantable d'excitation et une chaleur ardente envahie son entre-jambes. Cette entre-jambes semblait réclamer de l'intérêt, du toucher, des caresses; choses qu'il ne connaissait plus depuis l'entrée dans les ordres de sa propriétaire. Elle avait voulu empêcher la tentation de croitre en essayant de lire quelques versets du Nouveau Testament, mais la seule vision du corps entièrement nu du Christ en prise aux coups de fouets des légionnaires romains raviva la flamme de son désir. Elle avait tendu la main, dans un état second, à la recherche d'un adjuvant. Seul le crucifix s'était présenté à ses doigts, la condamnant à une furieuse béatitude coupable...

Au moment où la jeune femme pénétrait dans le confessionnal, elle sentait, non sans une certaine gêne, le fruit de son plaisir couler entre ses cuisses. Elle tâta le liquide avec hésitation, et fit glisser ses doigts jusqu'à son fruit défendu. Elle sentit alors une certaine tiédeur, et sœur Claire ne put retenir un court gémissement. Elle resta quelque temps bouche-bée, puis elle dû redescendre de son jardin des délices lorsque Père Francisco prononça ces mots à travers la fine grille du confessionnal :
«- Ma sœur, que vous arrive-t-il ?»
Claire, prise en faute, telle Eve mangeant le Fruit du Savoir, éclata en sanglots.
«-Pardonnez moi mon Père, j'ai pêché, j'ai cédé à la tentation.»

Alors qu'elle racontait ses fautes, le Père Francisco, qui officiai dans l'église voisine du couvent dans lequel Claire vivait depuis plus de trente ans, se sentit défaillir. Jamais sa foie n'avait été mise à si rude épreuve. Violemment, il écarta la grille le séparant de la pécheresse et fit passer l'objet de tous les désirs dans l'espace ainsi libéré. Prise au dépourvu, Sœur Claire se laissa tomber à genoux pour se retrouver face au plus Luciférien des membres du saint homme. Et d'une manière presque naturelle, elle s'empara du fier bout de chair, puis l'apporta jusqu'à ses fines lèvres entrouvertes et commença de lents va et viens le long du fruit si défendu (mais tellement désiré) pour une jeune fille de son rang.

L'homme d'église s'anima alors d'un souffle court et rapide entrecoupé de faibles gémissements. Sentant venir la jouissance, le prêtre fit un pas en arrière, privant la jeune nonne de son nouveau hochet. Sœur Claire, mue par une nouvelle force qui lui était encore inconnue, arracha la soutane du curé à travers la cloison. Avant que celui ci n'ait pu esquisser un mouvement, il était rejoint par la novice en mal de sensations. Avec un ton à la fois innocent et malicieux, elle dit:
- Mon Père, je ne comprends pas ce qu'il me prend, je ne sais même pas si cela est mauvais ou pas, mais j'ai une terrible envie de vous sentir profondément en mon sein.
- Il est encore trop tôt, répondit le prélat.

Sur ces mots il invita la jeune fille à s'assoir tout en lui écartant ses longues et fines jambes. Il plongea alors sa tête au plus prés de la fleur en bouton et commença par appliquer de larges coups de langue tout au long du sillon qui ne cessé d'enfler sous ces douces attaques. Une fois que le fuit s'entrouvrit, le prêtre se mit à effleurer d'un geste vif et rapide le petit bouton, siège de tous les plaisirs. La jeune fille ne put retenir très longtemps l'expression de bonheur que lui procurai les caresses intimes du vieil homme en soutane, et elle lâcha alors de courts râles qui montèrent se perdre au plus haut des cieux.

Prise de honte rien qu'à l'idée d'avoir put être entendue par une quelconque bigote se recueillant au milieu de la nef de l'église, sœur Claire pris la tête de son prodigueur de plaisir entre ses deux mains, la redressant ainsi afin de déposer un baiser amer sur ses lèvres charnues. Seulement le père Francisco ne comptait pas en finir là. Il se redressa, saisi le frêle corps de la fille par la taille et le souleva légèrement au dessus du sol avant de lui plaquer le dos contre la cloison de bois du confessionnal. Il immisça alors son bassin entre les cuisses de la jeune fille qui emprisonna aussitôt le bassin du clerc entre ses légères jambes tandis que ses bras vinrent se rejoindre derrière la nuque de l'homme. Alors ce dernier força la porte interdite de la religieuse à l'aide de son phallus, cette porte qui demeuré jusqu'à ce jour inviolé. Après que l'hymen eu craqué, il donna de grands coups secs et lents qui arrachèrent un cri de douleur plus que de plaisir à la bonne sœur. Puis le religieux accéléra ses mouvements du bassin qui se firent de plus en plus rapides et de plus en plus intenses. Sa respiration se fit aussi de plus en plus rapide et de plus en plus bruyante jusqu'à un ultime râle étouffé. Sœur Claire senti alors que le sexe du prêtre explosai et déversai sa semence au plus profond d'elle. Après cela le père Francisco remit sa soutane en place et sorti du confessionnal d'un pas pressé, laissant la jeune fille jupe relevée sur le sol et en pleure. Elle pleurait car elle ne comprenait pas vraiment ce qui venait de lui arriver.

Avait-elle éprouvé du bonheur, ce que l'on appel communément orgasme? Elle se souvenait surtout de la douleur qu'elle eut éprouvée lorsque l'homme rentra en elle, cependant il s'agissait d'une douleur particulière, et non la même que celle que l'on ressent lorsque l'on se brûle ou lorsque se cogne; cette douleur là était à la fois déchirante et source de plaisir, violente et douce. Au milieu de cette confusion une seule chose était claire dans l'esprit de la jeune fille : ce qu'ils venaient de commettre était un pécher, un crime envers leurs saints métiers et donc par la même occasion un crime envers Dieu et sa loi.