La femme du voisin - 1

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Proposée le 18/09/2013 par Jul75

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Il devait être un peu plus de dix-neuf heures quand, à pieds, je bifurquais à droite sur un trottoir non éclairé par un lampadaire qui tout de même se situait à quelques mètres devant, et c'est quand je passais sous ce dernier qu'un voisin m'interpella avec un naturel "Bonsoir". Il tenait sa cigarette dans la main droite, près de sa bouche, en ayant celle de gauche sur le biceps du bras de cette première. Je fis écho du mot qu'il venait de me dire. Il me demanda si cela m'importunerait de lui donner un coup de main, mon air sceptique fruit de ma fatigue toujours présente en fin de journée, l'encouragea à m'en dire plus ; comme ils faisaient, lui et sa femme, certains aménagements, "un meuble semblait nécessiter un deuxième homme", a-t-il dit.
Le salon, fort bien éclairé - faisant contraste avec l'obscurité qui m'avait accompagnée jusqu'à chez moi - lui donnait un certain charme innocent, une beauté que je ne trouvais que dans ceux des personnes âgées, n'avait pas l'air perturbée par un quelconque aménagement. Entre ce moment et celui où j'allais penser qu'il était à déplacer dans une autre pièce, le voisin m'invita à m'asseoir en me disant qu'il allait chercher sa femme, et en cet instant précis tout me sembla comme naturellement convenu alors que je restai debout au milieu de la pièce où un léger parfum flottait quand, sur le parquet, derrière moi, se firent entendre les pas de monsieur accompagnés de ceux d'une paire de claquettes, probablement celles de sa femme.
Je n'avais pas tout de suite saisi dans quoi j'étais, quelle scène - peut être la plus inattendue de ma vie - je vivais, quand je m'étais, tout en continuant à voir, sans regarder, ce qui ornaient le salon, retourner pour, sur le couple voisin, posait les yeux. Mon cerveau envoyait à mon esprit cette idée selon laquelle tout était normal, que j'attendais toujours de voir ce meuble à déplacer, tandis que mes yeux scrutaient la femme du voisin, et il me fallut quelques secondes pour réaliser, et ce grâce aux mots que venaient de prononcer son mari, comme s'ils avaient été le catalyseur d'un élément nouveau, totalement soudain et inimaginable, que mon cerveau traita dans la seconde, mettant à jour tout de suite mon esprit en lui envoyant les dernières informations aussitôt que la dernière syllabe s'échappait de la bouche de mon voisin.
- J'aimerais que vous baisiez ma femme. Avait-il dit.
Ses cheveux bien coiffés qui lui arrivaient jusque sur les épaules, débordaient légèrement sur ses omoplates et la base de son cou, étaient blonds, et lui allaient à ravir avec ses yeux bleus foncés, me semblant en réalité noirs avec la forte lumière de la pièce. Ses sourcils comme son nez étaient fins, collant parfaitement sur son visage soyeux, comme s'ils n'avaient été fait que pour ce visage, et portait un rouge à lèvres clair se confondant avec la couleur naturelle de ses lèvres luisantes sur lesquelles elle avait probablement repassées sa langue, ou celle de son mari (ce qui ne freina pas mon envie naissante). Elle avait une robe - avec comme motifs des espèces de fleurs mais dont la tige, particulièrement longue, lui filait partout autour, comme si elle voulait l'étreindre - qui lui arrivait jusqu'au dessus des genoux. Ses mollets, un peu "enveloppés" la mettant tout de même bien en valeur, servaient, comme chez tout les êtres humains, de bases à ses cuisses que je devinais superbes et, comme elle était une once de profil, ses fesses bombées qui, avec sa robe dessinant bien son dos plat, formait une courbe soudaine, séduisante et régulière, avec au-dessus une ceinture en tissu incrustée à son vêtement.
Je n'étais pas sûr d'avoir bien entendu et m'excusais bêtement, lui disant ne pas avoir compris. Sa femme s'avançait vers moi, et comme son mari, faisant de même, mais sur le côté, comme si tout deux voulaient m'empêcher de m'en aller en prenant tout l'espace de la pièce, je reculais doucement de sorte à me trouver, sans que je ne le sache, près du canapé. Elle était en face de moi, son sourire, non celui qu'une femme amoureuse adresse à celui qu'elle aime, était plein de cette calme bestialité sensuelle. Il répéta ce qu'il avait dit quelques secondes auparavant mais dans un autre vocabulaire, me disant qu'il aimerait me voire "faire l'amour" à sa femme. Cette dernière, alors qu'il me disait ces mots comme s'il me les déposait dans l'oreille, porta ses mains à ses épaules et ôta sa robe de part et d'autre, qui glissa jusqu'à ses hanches - le tissu semblant profiter de ce moment pour l'a caressée entièrement. Ses seins, que j'avais - non étrangement, mais tout simplement parce que la scène avait été plus rapide que celle de la compréhension de mon cerveau - oubliés, m'apparaissaient particulièrement charnues, ne voulant que se libérer de ce bout de tissu rouge qui lui servait de soutien-gorge, et les rendant terriblement sexy, tout comme mon sexe que je commençais à sentir à l'étroit dans mon boxer.
Alors que le mari prit de plein grès place sur un fauteuil solitaire situé près d'un coin de la pièce, sa femme me poussa tendrement (le bout de chacun de ses dix doigts de ses mains me semblant si légères rencontrait mon torse) à m'asseoir au bout du canapé dont j'ignore encore la couleur ; et même si on voulait absolument me la faire dire je qualifierai ce meuble de rouge tant la couleur de son soutien-gorge m'apparaissait comme étant celle de tout ce qui nous entourait.
Elle avait un genoux sur le canapé (le tibia plaqué sur le cuir froid) et l'autre jambe toujours au sol, ses mains, au niveau de mes épaules, côtoyant la même matière que son tibia aplatissait. Sa poitrine toujours prisonnière pendait en face de mon visage, mon regard étant tombé entre ses deux seins ne m'avait pas fait voir le mari arrivé et défaire le soutien-gorge qui finissait sur ma chemise.
- Sois pas timide ! M'avait murmure la femme en me baisant l'oreille.
Elle passa ses mains sous ses seins pour les relever et m'en mettre un près de la bouche, comme s'il avait été un plat, et dont je pris le téton entre mes deux lèvres, elle lâcha un faible cri et elle commença à ses masser l'autre sein tandis que je continuai à lui lécher ce téton merveilleux auquel je pourrais rester suspendu pour toujours. Je me décidais à poser une main sur sa hanche et remontait jusqu'à une de ses aisselles, puis je fis de même avec mon autre main ; sa silhouette étant maintenant un peu plus connue de mes mains, je savais où les faire glisser pour créer en elle des frissons. Elle était à présent au dessus de moi, ses deux genoux sur le canapé, moi la tenant par les hanches, un mamelon dans la bouche, ses mains dans mes cheveux. Elle gémissait faiblement quand je la sentais ramener son entre-jambe sur la bosse s'étant formée sur mon pantalon, et je me sentais de plus en plus dur quand elle commençait à s'y frotter. Je la voulais maintenant la voir, me la toucher avec sa chaude peau, mais me rappelant son mari à quelques pas je choisissais de continuer à lui lécher les seins et, discrètement, alors que mes mains étaient remontées lui caresser le dos, je les fis revenir sur ses fesses qu'un tanga cachait. Je gardais mes mains là-dessus sans les bouger, seuls mes doigts oscillant de quelques centimètres en jouissaient. J'imaginais, comme je sentais mes mains “quasiment courbées”, des fesses magnifiquement rebondies prêtes à accueillir amoureusement n'importe quoi et j'en profitais pour y glisser deux doigts (pas très loin) pour voir quel effet il y avait quand on y s'y fourrait. La sensation fut tellement agréable que le plaisir aurait pu être double pour celui qui avait la chance de la prendre en levrette : une première secousse d'amour quand sa verge traverserait ces fesses, et une seconde plus forte quand le membre se serait logé dans un des trous. Malheureusement l'épouse ne sembla pas apprécier mon petit jeu, elle se redressa (en continuant néanmoins à danser au dessus de mon chibre emprisonné) pour me redresser moi aussi (j'avais été comme son pantin jusque là, je pensai) et me dévêtir de ma veste en offrant encore ses seins, je les lui massais et embrasser follement quand elle se décida à arrêter d'ouvrir ma chemise (trois boutons avait été faits). Elle mit un doigt sur ma bouche et ramena sa bouche sur mon cou qu'elle embrassa délicatement, et l'autre main s'en allait rejoindre mon sexe qu'elle caressait à travers mon pantalon, en inspectant bien la forme comme si elle avait voulu me branler à travers le jean, et je lui fis part d'un involontaire, doux et bas “Oui” dans le creux de son oreille. Elle ouvrit un bouton et je sentis sa main glisser sous mon boxer... Elle était tellement chaude que mon sexe ne put s'empêcher de bondir dans sa main, comme si elle l'y avait commandé.
- Pourvu qu'elle soit douce, me susurra-t-elle sensuellement
Elle s'agenouilla sur le sol et posa ses deux mains sur cette bosse cachant mon sexe, dont l'importance moi-même surprenait. Elle regarda un instant son mari, lequel n'eut qu'un sourire pour elle, sourire qu'elle eut ensuite pour moi quand elle se retourna vers moi. C'est en me fixant que ses mains tirèrent mon jean que je gardais encore sur moi, au dessus de mes chausses, tandis qu'elle ramenait sa tête jusqu'à mon boxer - elle, entre mes jambes -, cachant toujours ma verge, en parcourant du bout des doigts mes jambes, me donnant un frisson. Elle est là, juste en face, la bouche bientôt au dessus de mon sexe gonflé, les mains sur mes cuisses, ses énormes seins aux tétons que j'avais humidifiés frôlant le cuir.
Elle enroula sa main autour de mon sexe, le mariant avec le tissu du boxer, et me branla un moment en regardant émerveillée ma verge à son comble... J'avais des spasmes permanents, elle sentait bien ma queue prête à exploser entre sa main mais continuait à s'amuser en la tordant, comme si elle n'en avait jamais vu de sa vie...
- Elle est douce, ai-je dis bêtement.
Elle regarda son mari à nouveau, je fis de même, qui n'eut, encore une fois, qu'un sourire et dit :
- Suce la, chérie !
Elle gardait une main à la base de mon sexe, sur mes boules qu'elle caressait tout en douceur, tout en se servant de l'autre pour ramener le boxer et se figurait mon sexe, long, gros et dur, posé sur mon ventre. Elle le prit dans la main et continua de tirer mon boxer jusqu'à mes genoux, ces derniers se resserrant elle se balança sur la droite en allant poser son premier genou sur le canapé. Elle était comme à quatre pattes quant elle ramena sa bouche au dessus mon pénis qu'elle avait relevé, bien droit vers le haut. Son tanga était rouge aussi, ses fesses faites pour être prises par les mains, et je sentais ses seins me caresser les jambes, quand sa bouche goba mon chibre. Ses lèvres descendirent jusqu'en bas, mon sexe alla jusqu'au fond. Elle toussa en recrachant mon sexe, qu'elle avait recouvert de salive. Elle le reprit amoureusement dans la bouche et sa langue tournait autour du gland tandis que d'une main elle me pressait délicatement les boules. J'avais envie de tout lâcher au fond de sa bouche, mais son mari en face, toujours à fixer sa femme me sucer, m'empêcher d'avoir une pareille pensée. Mais je finis par m'en moquer, car sa femme commençait à me branler tout en continuant à aller et à venir sur ma bite. Je passe une main par en-dessous pour lui toucher les seins, et de l'autre je retourne me figurer la forme de son super cul, alors que je la sens accélérer la cadence ; je l'entends gémir doucement en tentant de prendre mon sexe toujours plus loin dans sa bouche, et moi lui pinçant le téton de façon plus osée, me fichant de la présence de son homme. Ma main caressa son derrière jusqu'à le connaître par cœur puis alla se poser sur son sexe, chaud et moite était son tanga, et ainsi devait être son intimité.
Elle libéra mon sexe de sa bouche et le fit comme s'allonger sur sa main tandis que le plat de sa langue en longea le dos, à plusieurs reprises. Je me sentais venir. Sa langue parfois ne commençait pas son parcours depuis la base de mon sexe, mais au niveau des boules. Quand elle me sentit sur le point d'exploser, comme elle voyait mon membre sursauter et se gonfler frénétiquement dans sa main, elle prit le gland sa bouche et se mit à la téter tout en me branlant... Je lui remplis la bouche d'une bouillante semence. Elle continua, comme voulant me vider entièrement, jusqu'à la fanaison de mon chibre.
Elle se redressa et fit s'écouler tout ce qu'elle avait dans la bouche dans le creux de sa main. J'avais son opulente poitrine, entièrement nue cette fois, bien dans mon champ de vision pendant quelques secondes. Elle se leva et quitta la chambre en regardant, toute souriante, son mari, tout aussi heureux qu'elle. Une petite marque sur son tanga, sur son intimité, me confirmait qu'elle avait légèrement mouillé, et quand elle se retourna pour définitivement quitter la pièce elle nous offrit, à moi et à son mari bien sûr, la vision d'un cul parfait.
- J'espère que ça vous a plu, me lança-t-il. Elle n'est pas très habituée, mais vous accepteriez d'en faire une petite, hmm, salope ?

L'horloge de la salle à manger affichait 22h45 quand je rentrais chez moi.