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Proposée le 3/09/2013 par CAVAL
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Résumé : Marc a découvert qu'il était bisexuel dans les bras de son colocataire et ceux de la sœur de celui-ci.
3) Ma voisine
Mes études m'envoyèrent dans une fac en région parisienne, alors que mon amant et ma maîtresse restaient en province. J'emménageai donc à proximité de Paris dans un placard à balais. A côté, la chambre que nous occupions avec Olivier était une suite royale. Là il n'y avait qu'une seule pièce qui faisait office de chambre, de bureau et de cuisine. Pour les toilettes et la douche, elles étaient communes pour l'étage où il y avait deux autres logements comme le mien. Malheureusement, mes finances ne me permettaient pas d'obtenir mieux.
Cependant, ayant mon propre appartement, je pouvais y vivre à poil sans que personne ne puisse rien à y redire, d'autant plus que mon seul vis-à-vis était un mur sans fenêtre. Je devais seulement revêtir un vêtement pour aller de la salle de bain à ma chambre, au risque de croiser un voisin ou une voisine sur le palier.
Justement, sur le palier il y avait un homme qui travaillait toute la journée et ne rentrait que le soir. Dans le second appartement logeait une jeune fille, étudiante tout comme moi, mais dans une autre école que la mienne. Elle était rousse, des taches de rousseurs parsemaient son visage et elle avait toujours un sourire aux lèvres lorsque je la croisais. Je la trouvais mignonne. Apparemment elle n'avait pas de mecs lui tournant autour. Je pense que son air sévère avec des tenues toujours très strictes et sombres, ses cheveux tirés en arrière, faisait qu'elle attirait peu la convoitise. Jamais je ne vis venir un garçon chez elle et elle ne découchait pas non plus. Lorsqu'elle n'était pas à son appartement, c'est qu'elle était en cours. Je ne peux pas dire que je sympathisais avec elle, c'était juste « bonjour » ou « bonsoir » lorsqu'on se rencontrait dans les escaliers. Nous avions seulement échangé nos prénoms ; elle s'appelait Alice.
Un jour que je déambulais à poil dans ma minuscule chambre, on frappa à la porte. Je pestai contre cet intrus et n'ayant pas le temps de me rhabiller, je nouai simplement une serviette autour de ma taille avant d'ouvrir. Je me trouvai face à ma charmante voisine :
- Oh, excusez-moi, me dit-elle en voyant la tenue dans laquelle j'étais, je vous dérange.
- Non, pas du tout, comme il fait chaud, je me mets à l'aise. Je ne m'attendais pas à ce que vous frappiez chez moi.
Alice ne paraissait pas gênée par la situation, pourtant si je n'étais pas nu, je n'en étais pas loin et ma serviette ne cachait pas grand-chose, si ce n'est mon sexe. De plus, elle ne pouvait pas ignorer, que dessous je ne portais rien.
Elle était venue me voir, car il lui manquait je ne sais plus quel élément pour le repas qu'elle se préparait. J'allais donc chercher dans ma cuisine ce qu'elle me demandait et en revenant, involontairement, ma serviette se dénoua et tomba à mes pieds. Elle me regarda, sans détourner le regard. Sa jolie figure avec ses taches de rousseur s'illumina d'un magnifique sourire et elle me dit :
- Ne vous inquiétez pas, j'en ai déjà vu d'autre. Je fais des études d'art. Parmi les cours il y a les cours de dessin avec des modèles... ils sont nus, les hommes comme les femmes. Donc, de vous voir là, cela ne me choque pas.
- Ferais-je un bon modèle ? lui demandais-je en entrant dans son jeu sans même essayer de voiler ma nudité.
- Je pense, me dit-elle toujours en me regardant franchement et pas seulement dans les yeux. Vous n'avez jamais posé ?
- Non, jamais, ce ne m'était jamais venu à l'esprit.
- Ce que je vous propose, c'est de venir manger avec moi ce soir, puis si vous le voulez je ferais quelques croquis de vous... Enfin, si ça vous dit, je ne veux pas abuser de vous.
- Cela me va, lui répondis-je, mais à condition que nous nous tutoyons.
- D'accord, mais c'est en tout bien tout honneur, vous êtes le modèle, moi l'artiste, rien de plus.
- Naturellement, répondis-je.
Pourtant je me disais bien que les artistes allaient parfois bien plus loin avec leurs modèles que de simples séances de pose. Ainsi le célèbre Michel-Ange, qui était homosexuel, éprouvait de l'amour pour un jeune gentilhomme romain, Tommaso. Il fit son portrait pour qu'il cède à ses avances. De même, la jeune femme qui exposa son sexe largement ouvert devant Courbet, pour L'origine du monde était, selon certains critiques, la maîtresse du peintre.
Deux heures plus tard je frappai à la porte d'Alice. J'avais revêtu un pantalon léger et un polo, me disant que plus vite je serais nu, plus ce sera simple lorsque je devrais me déshabiller devant elle. Car c'était une sorte de défi pour moi : être capable de me mettre nu devant cette fille, sans qu'elle le soit et sans qu'il n'y ait rien de sexuel entre nous, puisque tel étaient ses désirs, même si les miens étaient moins purs.
Elle avait revêtu une robe d'été rouge avec de fines bretelles sur les épaules nues. Elle était sublime ainsi. En plus elle avait défait ses cheveux qui généralement étaient sagement attachés. Cela lui donnait à la fois une attitude de sauvageonne et également un air avenant que je ne lui connaissais pas. A sa vue, je sentis dans mon pantalon une certaine raideur. La beauté de la fille et l'idée de me dénuder suffisaient à m'exciter :
« Çà commence mal, me dis-je, si je suis déjà en érection, qu'est-ce que cela va être tout à l'heure quand je vais devoir me déshabiller. Les modèles des cours de dessins, dans quelle situation se trouvent-ils : leurs sexes sont-ils au repos ou en pleine érection ? Si j'en juge par la plupart des œuvres, les hommes nus sont toujours représentés sans la moindre excitation... Sauf peut-être chez Picasso. Mais je n'ai pas une culture artistique assez poussée pour pouvoir l'affirmer. »
Le repas fut simple, mais excellant. Les discussions entre Alice et moi, restaient anodines. Ce n'est qu'une fois un petit dessert avalé, qu'elle me dit :
- Tu es toujours d'accord pour poser pour moi.
- Bien sûr.
Sans attendre je quittai mon polo, je faisais glisser mon pantalon avec mon caleçon au sol et me retournai vers elle. J'étais nu mais heureusement sans aucune érection. Elle me regarda interloquée et même interdite. Son air était si étonné que je lui demandai :
- Il y a quelque chose qui ne va pas ?
- C'est que... je ne voulais que faire ton portrait... Je n'avais pas l'intention de te dessiner dans le plus simple appareil.
- Oh, je suis confus. Je vais me rhabiller.
- Non, non, surtout pas. Ton audace m'a surprise et je n'aurais pas osé te demander de te déshabiller... Mais maintenant que tu es nu, je vais te dessiner tel quel.
Elle me fit prendre une première pose, puis une seconde quelques minutes plus tard. Je ne ressentais aucune gêne à me trouver totalement nu devant elle qui me croquait. La pudeur n'existait pas dans cette relation entre l'artiste et son modèle. Lorsque j'avais vu le film La Belle Noiseuse, dans lequel Emmanuelle Béart posait nue, je n'avais ressenti aucun sentiment sexuel pour cette très belle femme, tout juste de l'érotisme, car c'est la réalisation de l'œuvre d'art et le travail de l'artiste qui est mis en relief.
Dans la troisième pose qu'Alice me fit prendre, je me trouvai face à elle et lorsqu'elle se pencha pour chercher un crayon, je vis le haut de sa robe s'ouvrir, laissant voir la rondeur de sa poitrine : elle ne portait pas de soutien-gorge et ses seins étaient si fermes que je ne m'en étais pas aperçu jusqu'à cet instant. Cette vision fut comme une fulgurance en moi et sans que je ne puisse rien faire, mon sexe commença à gonfler.
Etant nu et face à elle, je n'avais aucun moyen de dissimuler l'excitation qui me gagnait.
- Oh ! s'exclama-t-elle. As-tu vu quelque chose d'intéressant ?
- Je suis désolé, tentai-je de répondre, c'est la première fois que je pose nu et je...
- Ne t'inquiète pas, cela arrive même à des hommes qui ont l'habitude. C'est peu fréquent dans les cours de peinture, mais cela permet parfois de faire des croquis qui sortent de l'ordinaire.
- Lorsque tu dessines des hommes ou des femmes, tu représentes les sexes aussi. J'ai un peu de mal à concevoir la chose.
- En tant qu'élève, on n'est pas vraiment là pour dessiner des sexes qu'on prend des modèles humains nus, mais plutôt pour le galbe d'une cuisse, pour la rondeur d'une poitrine, pour le muscle saillant sous la peau... La représentation du sexe est souvent secondaire. C'est le mouvement du corps qui importe.
- C'est David, je crois qui dessinait tous ses personnages nus avant de les peindre habillés, afin de bien saisir les mouvements naturels du corps.
- C'est cela. Encore que chez lui, je comprends fort bien qu'il dessine le corps de Napoléon par exemple, mais pourquoi donc faire apparaître un sexe, qu'il n'a sans doute jamais vu et qui n'apportera rien au tableau final.
- Tous autant que vous êtes, étudiants et étudiantes, étudiez-vous la représentation du sexe... Enfin, je veux dire celui de l'homme, c'est le plus apparent ?
- C'est nécessaire. Cette représentation n'intervient souvent que lorsqu'on réalise une œuvre aboutie, rarement lorsqu'on enchaîne les poses de dix minutes en dix minutes. En cours, même avec des modèles vivants nus, c'est de la technique, un peu comme le musicien qui fait des gammes.
Elle garda le silence quelques instants et continua d'une petite voix en me regardant droit dans les yeux :
- Souvent, nous représentons les sexes, non comme ils sont dans la réalité, mais comme ils sont dans les peintures classiques : des petits sexes gréco-romains. J'aimerais pour une fois, représenter réellement ce que je vois. Je t'en prie, laisse-toi aller, que ton sexe soit en pleine érection, tu ne risques pas de me choquer, bien au contraire. D'ailleurs, je m'approche pour pouvoir le dessiner dans ses moindres détails. Pour une fois que je peux le faire sans attirer l'attention de mes camarades.
Elle vint à moins d'un mètre de moi et posa un regard franc sur ma tige qui n'en finissait pas de prendre du volume. Je la laissai ainsi dessiner ma verge en éprouvant un plaisir inconnu, celui de l'exhibitionnisme.
Je n'étais pas au bout de mes découvertes sur moi-même. Je m'étais cru homosexuel, alors qu'en fait j'étais bisexuel ; je me croyais pudique, alors que dans ma vraie nature j'étais exhibitionniste. Ce que j'avais constaté avec Olivier et Fleur se confirmait avec cette charmante fille rousse : cela me plaisait qu'elle regarde mon sexe en érection sous toutes ses coutures, qu'elle le dessine, l'observe avec une attention si soutenue que j'avais l'impression qu'elle le caressait.
C'était vraiment une caresse qu'elle me prodiguait, une caresse des yeux, non des mains, mais amplement jouissive.
Cependant, au bout de dix bonnes minutes, l'érection retomba peu à peu. Mon artiste reprit place à une distance plus respectable et continua à me dessiner.
- Viens voir ce que j'ai déjà fait, me demanda-t-elle après encore quelques poses.
Je m'approchai d'Alice, sans sentir le besoin ni la nécessité de me rhabiller ou de me couvrir. Elle me montra les croquis qu'elle avait faits. Certains représentaient mon corps en entier, d'autres ma face uniquement ou encore une partie de mon anatomie. Parmi le lot se trouvaient trois dessins particulièrement travaillés de ma verge en érection dans ses moindres détails.
Alors qu'Alice me présentait ces dernières études, je sentis sa main se poser sur mon sexe qui n'en demandait pas tant pour reprendre de la consistance. Je la laissai faire quelques instants désirant ne pas briser ce moment d'extase. C'est alors que je vis à nouveau ses deux beaux globes libres dans l'échancrure de sa robe. Je voulus faire glisser les fines bretelles de celle-ci sur ses épaules, mais elle arrêta mon geste. Je craignis à cet instant que tout soit fini, que son attouchement sur ma verge n'était qu'un égarement.
Heureusement, je me trompais, car en l'espace d'un éclair, elle quitta sa robe en la passant par-dessus sa tête. Elle ne portait plus qu'un string de dentelle. Sa poitrine était menue néanmoins très ferme, sa taille fine et son corps bien proportionné. Je remarquai tout de suite que la peau de son corps, blanche comme le lait était, tout comme son visage, parsemée de taches de rousseur.
Je dirigeai mes mains vers ses seins. Lorsque je les pris en main, elle frissonna, mais me laissa faire. Je cajolais ces deux mamelons tantôt avec la bouche, tantôt avec les doigts. Je parcourais leurs circonférences, lentement, me rapprochant par degré de leurs pointes. Elle me regardait faire et lorsque je croisais son regard j'y lisais de la satisfaction, puis du plaisir. Enfin vint le moment où j'atteignis l'aréole et la tétine érigées que j'agaçais alors que ma partenaire soupirait.
Elle me dirigea vers le canapé qui lui servait de lit et m'y fit asseoir. Elle se coucha sur le ventre et plaça sa tête au niveau de mon entre jambe. Elle prit mon membre, qui avait déjà atteint une taille honorable.
Alice semblait bien connaitre son affaire et je la laissai prendre l'initiative. Elle lécha mon abdomen puis descendit promener sa bouche sur mes cuisses avant d'atteindre le pénis et le scrotum. Sa langue commença à sucer le bout de ma queue, se glissant dans la fente du méat, donnant de petits coups sur le frein puis s'enroulant autour de ma verge. Une fois en bouche, ma queue entrait et ressortait de ce fourreau.
Dans un premier temps je restai passif, puis je pratiquai des attouchements sur les parties accessibles de son corps. Ne pouvant plus atteindre ses seins, je caressai son dos, puis descendis jusqu'à son fessier qu'une simple bande de tissu coupait en deux sans le dissimuler, puisqu'elle n'avait pas ôté son string.
Mais je savais que si elle continuait, la belle Alice me ferait atteindre le point de non retour et je ne voulais pas jouir comme cela. Sa bouche était divine, mais c'est d'une autre manière que je voulais jouir en elle.
Je retournai donc la situation plaçant ma tête entre ses jambes. Le dernier rempart à sa nudité intégrale ne fit pas long feu : je lui ôtai son string en découvrant avec ravissement sa chatte rouquine. Je l'avoue, j'ai un faible pour la pilosité naturelle des femmes rousses et je maudis celles qui ont éradiqué leurs beaux poils aux couleurs si chaleureuses. Je m'attardai sur la toison de ma partenaire en la regardant, en la parcourant avec mes doigts. Elle me souriait, sorte d'autorisation et d'invitation à venir visiter son intimité. Sous la légère pression que j'exerçai sur l'intérieur de ses cuisses, elle ouvrit largement les jambes et me laissa envisager sa conque.
J'admirais cet écrin rose au milieu des poils roux.
« Pour une fille qui voulait une soirée en tout bien tout honneur, me dis-je, j'étais loin d'en espérer autant. »
Je commençai par lui lécher l'intérieur des cuises pour m'approcher peu à peu de sa vulve. Celle-ci, déjà excitée, exhalait de douces et capiteuses odeurs caractéristiques entre sueur, parfum et sécessions vaginales. Cette fragrance m'excita au plus haut point, aussi j'agaçai et fouillai avec la bouche et la langue toute la région vaginale.
Dans un premier temps, j'entrepris d'ouvrir ses grandes lèvres à l'aide de mes doigts le plus délicatement possible. Ensuite mes lèvres et ma langue vinrent caresser l'intérieur des grandes lèvres et des petites. Je me délectai de cette chatte qui réagissait aux moindres de mes attouchements. Bientôt tout s'offrit à moi : les petites lèvres qui palpitaient telles les ailes d'un papillon, le clitoris qui sortait de son capuchon et s'allongeait comme un minuscule phallus. Je mordillai délicatement, j'embrassai avec passion, je léchai avec délectation ce sexe. J'aspirai cette intimité féminine et j'excitai délicatement son clitoris.
Alice grognait de satisfaction alors que je stimulais les zones les plus érogènes : ma langue fouillait tous les plis des grandes et des petites lèvres, puis l'entrée du vagin que je pénétrais par moments. Pour exciter un peu plus ma partenaire qui semblait au bord de l'extase et qui se laissait faire, j'introduisis un doigt dans ce con béant. La réaction ne se fit pas attendre. Elle poussa un petit cri et elle expulsa un liquide blanchâtre. Je fus surpris par la soudaineté de cette réaction, mais je me remis à la tâche en lapant les sécrétions émises. Pourtant, Alice n'avait pas encore eu d'orgasme.
Je m'apprêtais à continuer mes douces caresses buccales lorsque Alice me repoussa violemment. Je pensais que tout était perdu et que ce moment d'égarement prenait fin avant d'atteindre une réelle jouissance, avant de savourer pleinement ce corps attirant.
Finalement je me trompais, car le visage de ma belle partenaire, ses cheveux éparses tout autour d'elle, comme la crinière d'un lion, formant un halo aux couleurs chatoyantes, certaines mèches collées sur son front en sueur, vint se coller à mon sexe turgescent. Elle le tenait en main, le regarda fixement durant un bref instant avant de le prendre en bouche sans hésitation.
« Veut-elle que je jouisse dans sa bouche ? », me demandais-je.
Me laissant aller, je goûtais pleinement à la fellation qu'elle me prodiguait. Pourtant, cette délicieuse caresse fut de courte durée et, ne réalisant pas tout ce qu'elle faisait et ce qu'elle me faisait, je me retrouvai avec un préservatif déroulé sur ma queue. Alice se coucha devant moi, les jambes largement écartée, ouvrant sans pudeur et sans gêne son sexe pour que je vienne la pénétrer. Je suis entré dans son con chaud et humide, délicatement, sans brutalité, mais avec la ferme intention d'investir ce doux vagin au plus profond que je puisse aller. Au premier assaut, elle poussa un petit cri d'effroi lorsque j'atteignis le tréfonds de son divin puits d'amour. Je ressortis presque totalement, pour revenir une nouvelle fois et aller un peu plus loin. Sous les pressions de mon sexe, son vagin se distendait, devenait plus long et je pus bientôt enfourner totalement mon bâton dans ma belle maîtresse.
Je pus ainsi faire aller et venir ma verge dans le fourreau accueillant tandis que la jeune fille geignait délicieusement, la tête reversée en arrière, les yeux cols, la poitrine haletante et les seins sautant en tous sens sous mes coups de boutoir.
Elle était si belle dans la jouissance.
J'en voulais toujours plus ; je sortis de l'antre, plaçai ma maîtresse, qui n'était pas en état de protester, pour la prendre en levrette. Là encore, je ramonai son con de la plus divine des manières. Je sentis ses muscles se raidir et elle partit dans un orgasme énorme. Ne pouvant plus tenir, je l'accompagnai en éjaculant dans ma capote à l'intérieur de son vagin. Je n'en sortis que quelques minutes après. Alice était assommée par la violence de son orgasme et moi-même, j'étais anéanti. Nous nous sommes assoupis ainsi, l'un contre l'autre.
Lorsque je me réveillai dans la nuit, Alice avait les yeux grands ouverts, sa belle chevelure rousse s'étalait sur l'oreiller. Elle m'apparaissait admirable dans sa nudité.
- J'ai envie de toi, lui dis-je.
- Non, rentre chez toi.
- Qu'est-ce qui ne va pas. Tu n'as pas aimé ?
- Non, non, cela a été divin, mais je préfère en rester là pour aujourd'hui.
- Ce n'est pas possible, tu ne peux pas me jeter comme un kleenex.
- Ne t'inquiète pas, nous partagerons de nouveaux instants tout aussi enfiévrés tous les deux. Tu me serviras encore de modèle.
- Seulement de modèle ?
- Non pas seulement, nous joindrons l'utile à l'agréable. Je ne pourrais d'ailleurs me passer de toi maintenant que j'ai goûté à ta queue...
Je me retirai donc sagement, regrettant pourtant de ne pouvoir partager une nouvelle étreinte avant le lever du jour. Ses paroles m'avaient rassuré sur la pérennité de notre relation, et j'étais déjà impatient d'une prochaine nuit passée entre ses draps, dans ses bras et dans son corps.
Je me posais aussi cette question qui était déjà très présente lors de mes rapports avec Fleur :
« Je suis peut-être bisexuel, mais j'ai l'impression de devenir de plus en plus attiré par les femmes. Qu'est devenu l'homosexuel que j'étais ? Pourrais-je encore être attiré par un homme et avoir avec lui une relation sexuelle ? »
Par ailleurs, je constatais que le seul homme avec qui j'avais couché était Olivier, aucun autre ne m'avait pris dans ses bras.
Deux jours plus tard, Alice me proposa de passer chez elle après le repas. Je toquai à sa porte vers 20 heures 30. Elle avait revêtu une sorte de kimono bleu très court et sous lequel elle était certainement nue.
- Soit gentil, me dit-elle, déshabille-toi, je veux faire encore quelques croquis de ton corps et de ton sexe.
Je fis comme elle me le demandait et pris les positions souhaitées.
Comme elle désirait que mon sexe soit dans une érection parfaite, elle vint me branler sans manière. Pour elle je devenais un modèle complaisant et de plus en plus un homme objet. Cette situation n'était pas pour me déplaire.
Tout en travaillant elle parlait :
- Lors des cours de dessins j'ai pensé à toi. Nous avions deux modèles masculins. Le premier doit avoir une vingtaine d'années, grand et athlétique. Le second à au moins la soixantaine, un peu bedonnant, certainement un retraité qui a trouvé ce travail pour arrondir sa pension. Le problème c'est que le jeune avait une queue ridicule et le second une queue assez grosse. L'inverse aurait été mieux. J'ai eu beaucoup de mal à me concentrer sur autre-chose que sur leur sexe que j'avais vraiment envie de dessiner. Enfin, surtout la queue du second, épaisse, longue, avec de grosses couilles qui pendaient dessous ; ce sexe avait quelque chose de particulièrement élégant.
- Ma verge n'a donc pas cette élégance ?
- Ce n'est pas cela. Toi, tu es jeune et tu es bien membré... Tu serais un modèle parfait. Il n'y a pas que ton sexe qui est beau : tout ton corps est admirable. Et ce qu'il y a de bien avec toi, c'est que tu n'hésites pas à bander, ce qui me permet de faire une étude approfondie de ton membre.
- Mais, Alice, ma chérie, ne suis-je pour toi qu'une queue à dessiner ou éprouves-tu pour moi d'autres sentiments que peut avoir un artiste pour son modèle.
- Ne t'ai-je pas bien récompensé lors de notre nuit d'amour.
- Je n'aime pas trop tes paroles. As-tu fait l'amour avec moi que par intérêt, pour pouvoir continuer à me dessiner ?
- Qu'est-ce que tu vas penser là. J'aime te dessiner, j'aime ton corps, j'ai aimé faire l'amour avec toi. Maintenant tu me demandes si je t'aime. C'est une question grave. Je ne te connais pas encore suffisamment, mon inclination pour toi, est certaine, mais je ne peux pas me prononcer sur l'amour que je pourrais avoir pour toi... Bon, je crois que nous avons assez discuté et j'ai assez travaillé.
Elle déposa ses dessins, ses crayons et vint se lover tout contre moi pour se livrer à mes caresses. Elle était effectivement totalement nue sous son kimono. Nous fîmes une nouvelle fois l'amour avec autant de passion que la première fois.
Entre deux étreintes elle me demanda :
- Voudrais-tu que je rase ma chatte pour que tu accèdes plus facilement à mon intimité. Je sais que beaucoup de filles fond.
- Non surtout pas, se serait sacrilège de couper un seul poil de cette divine chatte rousse, c'est un ravissement absolu. Je n'ai rien à t'interdire, c'est ton corps et tu es la seule à décider ce que tu veux en faire. Mais je crois que si tu le faisais, je ne te révérais plus.
- Bien mon amour, je n'en ferais rien puisque je te plais ainsi.
Deux semaines plus tard elle me dit qu'elle avait un cadeau pour moi. Sur un chevalet, dans un coin de sa toute petite chambre, était posé un tableau, recouvert d'un drap. Elle me fit asseoir sur son lit et alla retirer le drap.
Je fus saisi : la toile représentait un couple nu s'enlaçant. Or, l'homme n'était autre que moi. Dans cette œuvre je soupesais les seins de la femme, tandis que la main de celle-ci caressait ma verge gonflée. Alice s'était servie de ses croquis pour réaliser cette toile, notamment les études de mon sexe en érection.
- Tu aimes ?
- Beaucoup, c'est très réaliste. Mais qui est la fille ? Pourquoi n'as-tu pas fait un autoportrait de toi ?
- C'est une fille qui a posé en cours de dessin. Si j'avais eu un grand miroir, peut-être aurais-je fait un autoportrait, mais là je n'ai pas osé. Je n'ai pas envie de me représenter nue et que tout le monde me voit ainsi.
- Tu ne veux pas que les autres puissent voir ton corps alors que tu dessines et tu peints les corps d'hommes et de femmes que tout le monde pourra voir.
- C'est le rôle du modèle de se dénuder devant l'artiste et c'est la fonction de l'artiste de montrer ses toiles aux plus grand monde. Crains-tu d'être reconnu dans la rue si une personne s'attache à regarder avec attention mon tableau.
- Il est incontestable que je suis très ressemblant, il n'y a rien à dire. Mais je ne crois pas qu'on me dise un jour dans la rue ou dans un vernissage : « C'est vous qui êtes nu sur le tableau d'Alice ». Et même si cela était, je n'ai pas à en avoir honte et même pourrais-je en tirer une grande satisfaction. Je n'ai que faire de l'avis des autres.
- Ce que je voulais c'est de te représenter dans ta virilité alors que tu donnes du plaisir à une personne du sexe féminin. Et je suis bien placée pour savoir que tu es capable d'en donner beaucoup.
Je me jetai sur ma belle artiste que je pris avec beaucoup moins de douceur qu'habituellement. Mais je constatais que son plaisir n'en était pas moins grand. Aussi je continuai à la ramoner pendant plusieurs minutes en plaçant son corps dans diverses positions pour visiter les moindres parcelles de son vagin toujours aussi bien lubrifié. Une jouissance commune et simultanée nous a saisis dans ces fougueuses étreintes.
- Excuse moi, lui dis-je après que nous ayons joui tous les deux, d'avoir été un peu brutal. Ton œuvre m'a échauffé les sens.
- Oui, ce fut cavalier, mais super aussi. Tu es un sacré étalon.
- Tu me dis ça comme on pourrait dire à une fille qu'elle est bonne.
Je regrettai tout de suite d'avoir dit ses paroles, pensant qu'Alice risquait de mal les prendre. Je tentai de me récupérer :
- Mais c'est avec plaisir que j'accepte ce compliment. Sinon cela voudrait dire que tu te fais chier avec moi.
- Je t'aime Marc, aujourd'hui je le sais, j'en suis certaine. Je t'aime.
A suivre
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