Je suis bisexuel : 2- Frère et soeur

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Proposée le 25/08/2013 par CAVAL

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Résumé : Après une première expérience sans lendemain avec une fille, Marc connait ses premières émotions homosexuelles avec son colocataire, Olivier.


2) Frère et sœur


Durant toute l'année je vécus ma première expérience homosexuelle avec un bonheur parfait. Je n'éprouvais aucune honte à avoir ces rapports avec un garçon. Je ne me posais aucune question sur le côté moral ou immoral de cette sexualité dans laquelle j'éprouvais une pleine satisfaction. N'ayant pas été élevé dans une famille croyante, le côté de l'interdit religieux ne me touchait pas. Et personnellement, comme j'y trouvais beaucoup de jouissance, je ne voyais pas pourquoi j'aurais dû m'en priver.
Lorsqu'Olivier me faisait une fellation, je ressentais les mêmes sensations que lorsque ma première partenaire m'en avait fait une. Une bouche, que ce soit celle d'une femme ou d'un homme, peut produire les mêmes effets.
Lorsqu'il voulut me sodomiser, j'eus tout de même beaucoup plus d'appréhension. Pourtant, je me laissai une nouvelle fois persuader en me disant qu'il fallait bien que je goûte à toutes les pratiques des gays. Et bien m'en prit, car mon partenaire me fit connaître une jouissance exceptionnelle. Il me demanda de me mettre sur le ventre, les fesses relevées par des coussins et me prépara divinement, lubrifiant le conduit, y introduisant un, puis deux doigts, dilatant au mieux les muscles. Ses gestes étaient habiles et terriblement excitants. Je ne ferai pas ici un traité d'une sodomie réussie, mais je peux affirmer que si je ressentis des douleurs lors de l'introduction de son phallus en moi, ce sont des vagues de jouissance qui m'ont submergé par la suite.
Je voulus rendre la pareille à mon initiateur, mais je ne savais comment m'y prendre. C'est donc lui qui m'enseigna toutes les pratiques pour donner du plaisir par l'anus. Or depuis, lorsque je sodomise une personne (que ce soit un homme ou une femme) je connais parfaitement la technique pour les amener à la jouissance en évitant au maximum la douleur. Je ne crois pas que mes partenaires s'en soient plaints, bien au contraire.


Le bac en poche, Olivier me proposa d'aller avec lui dans la propriété de ses parents dans le sud de la France :
- Là au moins on pourra être nu au soleil tout de temps, du matin au soir, nuit et jour, sans avoir à se soucier de s'habiller pour sortir.
- Mais tes parents ?
- Ils ne seront pas là avant le mois d'août. Et puis tu sais, ils sont naturistes, ils trouveraient tout à fait normal que je vienne avec un ami et que celui-ci soit nu sur le bord de la piscine.
- Peut-être, mais pour moi cela me mettrait très mal à l'aise de me trouver nu devant ton père et ta mère. Et je serais également extrêmement gêné de les voir nus. En plus, il faudrait dissimuler nos rapports.
- Oh tu sais, ils savent que je suis homosexuel.
- Et ils n'ont rien dit.
- Non, ils veulent me laisser libre de ma sexualité.

Une fois arrivés dans la superbe maison, les bagages déposés, nous nous sommes tout de suite mis à poil pour faire un plongeon dans la piscine. Je découvris alors le plaisir de nager sans maillot, ce que je ne connaissais pas encore. Je ressentis une sorte de liberté. Et celle-ci persista lorsque sortant de l'eau nous pouvions rester nus au soleil, revenir dans la maison sans nous vêtir, prendre notre repas sur la terrasse sans aucun vêtement. Nous vivions intégralement nus avec mon ami. Je fus même surpris par la facilité avec laquelle je me suis habitué à vivre ainsi.

Olivier étant également mon amant, nous faisions l'amour librement et comme nous l'entendions. Cependant, nous limitions nos ébats à trois moments de la journée : le matin au réveil, durant nos siestes crapuleuses et à la nuit tombée avant un sommeil réparateur dans les bras l'un de l'autre. Les caresses, les branlettes et les fellations étaient des pratiques des matinées et des après-midi. Les sodomies, nous les réservions aux chaudes soirées. Ensuite, s'il nous restait encore quelques ardeurs, nous poursuivions avant de sombrer dans les bras de Morphée. Le reste de la journée, le plaisir était celui des yeux, avec quelques effleurements, quelques baisers, mais rien de plus. Nous voulions garder un maximum de vigueur et ne pas dilapider notre énergie à tors et à travers. Pour tout cela, nous n'avions fixé aucune règle, elles s'étaient mises en place d'elles-mêmes.


Le troisième jour notre scénario était bien rodé et rien n'aurait pu nous faire dévier des plaisirs que nous nous donnions mutuellement. Après la sieste où nous avions avalé avec délectation nos spermes dans un 69 endiablé, je somnolais dans une chaise longue, à l'ombre, près de la piscine. Soudain je me réveillai et découvris à quelques mètres de moi une fille qui me regardait sans vergogne. Elle était intégralement nue et absolument sublime : brune, les yeux verts, un joli petit minois qui arborait un beau sourire.
- Salut, je suis Fleur, la sœur d'Olivier.
- Bonjour, ai-je répondu la gorge serrée, moi c'est Marc... un copain de ton frère.
- Ou plutôt un amant, n'est-ce pas. Il a toujours l'art et la manière de trouver de beaux sodomites. A croire que les beaux mecs sont tous homos.
Je ne réagis pas à son pic, mais me dis qu'un corps sublime comme le sien aurait pu me faire redevenir hétéro. Je remarquai tout d'abord ses seins ronds assez amples, mais au maintien parfait et aux larges aréoles. Son ventre était plat, la taille fine avec un piercing au nombril. Elle avait une chatte aux poils noirs et très fournie, car aucunement épilée, mais qui était du plus bel effet. Sa peau légèrement brune ne portait aucune marque de maillot, ce qui dénotait son goût pour la nudité la plus totale.
Je n'arrivais pas à détacher mon regard de son corps et elle ne manqua pas de s'en apercevoir :
- Hé bien pour un homo, tu mates bien le corps des filles. Tu ne sembles pas y être indifférent en plus.
Je constatai alors, avec embarras, que mon sexe se déployait contre ma volonté.
- Excuse-moi... Je.
- Pas de problème, cela ne me gêne pas du tout, c'est même assez flatteur pour moi. Tu sais, ici, il y en a un autre qui souvent bande en me regardant : c'est mon frère. Il a beau dire qu'il est homo, parfois j'ai des doutes. Pourtant, jamais il n'oserait me toucher, je suis sa sœur et l'inceste est proscrit, même pour des païens comme nous.
- Je vois que vous avez fait connaissance, lança Olivier en nous rejoignant. Il avait effectivement lui aussi le membre dressé sans aucune gêne avec sa sœur, ni avec moi.
Je me sentais très troublé de me trouver nu devant cette fille qui l'était également. Pourtant, je ne fis rien pour voiler mon sexe. Jusqu'alors je n'avais dévoilé ainsi mon corps entièrement dénudé qu'avec mon copain, jamais avec une fille. Surtout que celle-ci d'une part regardait ostensiblement mon sexe et d'autre part semblait se pavaner et s'exhiber sur le bord de la piscine me mettant au supplice : elle écartait largement les jambes laissant voir parmi ses poils pubiens une vulve charnue.

Pour accentuer le côté sensuel de son anatomie, elle s'étira ce qui fit ressortir encore plus ses seins, se couvrit en crème solaire en malaxant toutes les parcelles de son corps des chevilles au cou... Elle passa ses mains entre ses jambes, glissa ses doigts parmi les boucles de sa chatte jusqu'à atteindre la vulve. Celle-ci me parut surdimensionnée, comme si ses lèvres vaginales sortaient naturellement en dehors de la fente, comme le provoquent certaines Africaines pour plaire aux hommes par des étirements manuelles. Lorsque que se fut fait, elle s'allongea sur le dos au soleil.

Je profitai d'un instant où je me trouvai seul avec Olivier pour lui dire :
- Tu m'avais dit qu'il n'y aurait personne.
- Non, je t'ai dit que mes parents ne seraient pas là avant le mois d'août, je n'ai pas parlé de ma sœur. Mais en plus j'ignorais qu'elle viendrait si tôt dans la saison. Tu ne vas tout de même pas te rhabiller parce qu'elle est là.
- Mais si je bande et elle va le voir.
- C'est déjà fait, je te fais remarquer. Dès que tu l'as vue, ton sexe a commencé à ce tendre. Est-ce qu'il t'a semblé que ça l'a dérangée ?
- Non, effectivement.
- En plus, il faut te faire une raison. Elle fera tout ce qui est dans ses pouvoirs pour que tu bandes devant elle. Alors, oublie les bons principes naturistes avec elle, sinon tu vas souffrir. Tu vois elle est nue comme toi et moi, si tu mets le moindre vêtement, elle pourrait t'en vouloir et finalement ce sera toi le plus gêné, car tu seras le seul à être habillé.
- Je me demande si je suis bien homo finalement.
- Quelle importance. Je ne te veux pas en exclusivité. Si tu veux baiser avec ma sœur, je n'y vois aucune objection, à partir du moment où elle est d'accord bien sûr. Je ne te propose pas de la violer. Mais, la connaissant, si tu as envie de partager son lit cette nuit, je crois qu'il n'y a aucun problème.

Je m'étais donc rallongé sur le bord de la piscine en essayant de penser à autre chose qu'au corps sublime de la jeune fille qui n'était qu'à quelques mètres de moi. Jusqu'au moment où j'entendis sa voix comme dans un rêve qui me demandait :
- Tu ne voudrais pas me mettre de la crème sur le dos.
Elle venait de se mettre à plat ventre et profitait de la situation pour que j'enduise de lotion les parties de son corps qu'elle ne pouvait pas atteindre. Cependant, ce qu'elle désirait véritablement, c'est que je touche son épiderme, que mes doigts la parcours comme de toutes premières caresses. Pourtant, la timidité de ne permettait pas d'agir aussi pleinement qu'elle l'aurait certainement voulu.
Fébrilement, je pris le tube et lui enduisis les épaules, je descendis dans le dos jusqu'aux lombaires. Je ne savais pas comment faire ayant le choix entre effleurer cette peau déjà brunie par le soleil ou d'incruster plus profondément mes doigts dans la chair à la manière d'un masseur. Je passais les mains sur les cuisses pour finir par les mollets.
- Et les fesses, me dit-elle. Tu veux qu'elles soient cramées par le soleil'
- Non, non.
Je ne savais pas où me mettre, alors que j'étalais la crème sur son postérieur divinement potelé. Je faisais très attention à ce que le bout de mon sexe dressé ne vienne pas en contact avec sa peau. Je regardais bien aussi ce que je faisais, ne voulant pas que mes mains aillent effleurer des parties plus intime, car Fleur avait écarté largement les jambes et sa vulve étaient parfaitement apparentes ainsi que les grandes lèvres qui en sortaient. Je crois qu'elle aurait aimé que je vienne poser, là aussi, un peu de crème. Je ne le fis pas, non parce que je n'en avais pas envie, mais par respect ou par timidité.
Ce qui me bloqua également, c'est le regard égrillard de mon copain. Olivier me regardait m'occuper de sa sœur en bandant comme s'il regardait un couple hétéro classique.
« Est-il, me dis-je, lui-même si homosexuel qu'il le dit ? »
Ayant fini mon ouvrage, Fleur me gratifia d'un grand sourire et d'un :
- Merci.
Ses yeux se posèrent sur mon sexe. J'étais en complète érection. Olivier avait raison lorsqu'il m'avait prévenu qu'elle ferait tout pour que je bande devant elle. Alors, par défit, je me couchais sur le dos, le sexe triomphant dirigé vers le ciel.


Je restais donc nu et à vrai dire le problème de l'érection se solutionna de lui-même. Au bout d'un moment ma queue se dégonfla et retomba sur mon ventre. Rester tendu des heures durant est quasiment impossible sans solliciter manuellement son sexe, avec le temps l'intensité diminue même si parfois elle reprend de plus belle.
Nos activités étaient le bronzage, des plongeons pour nous rafraîchir. La présence de Fleur ne changea rien à nos habitudes, car c'est également nus que nous nous déplacions dans la maison, que nous mangions...
Ce que je ne pensais pas concevable avec une fille se déroulait donc presque naturellement, comme si cette situation était normale.

Au moment d'aller se coucher, Fleur m'attira vers sa chambre sous le regard amusé d'Olivier qui ne fit rien pour me retenir.
Je me trouvai couché sur le lit, elle à califourchon au-dessus de moi, sa chatte fournie sur mon torse. J'admirais ce corps qui était tout près de moi, presque contre moi.
- J'ai bien aimé ton petit massage tout à l'heure. J'aurais aimé que tu sois un peu plus téméraire. Pourtant, mon petit doigt me dit que tu n'es pas seulement homo et que les femmes t'attirent également. Montre-moi que j'ai raison.
Je pris alors ses seins entre mes mains et les caressai tout d'abord délicatement, en faisant des mouvements circulaires allant de leur base à leur pointe. Certaines lectures m'avaient instruit sur les caresses à employer pour contenter une femme. Puis je laissais une main sur l'un des tétons, tendis que je couvrais l'autre de baisers et de coups de langue ; enfin j'inversai. Fleur ne semblait pas insensible à mes caresses, car elle respirait bruyamment et ronronnait comme un chat tout en me regardant faire.
Puis je descendis le long de son ventre, baisai le nombril orné d'un petit bijou de couleur bleue avant d'arriver à son buisson sauvage. Je constatai avec ravissement qu'il ne s'agissait nullement d'une forêt vierge inextricable, mais plutôt d'un jardin bien entretenu et qui sentait délicieusement la banane. C'est la première fois que je voyais un sexe de femme en réel. Pour l'instant, seules les photos des magazines avaient pu me donner une idée de ce à quoi cela pouvait ressembler. D'ailleurs, ma partenaire poussa ma tête pour que je sois au plus près de ses muqueuses. J'avais sous mes yeux les grandes lèvres qui s'ouvraient d'elles-mêmes, derrière, les roses petites lèvres légèrement humides et partout ailleurs des poils bruns. J'y plongeais la langue avec délices.
- Pas si vite, nous avons tout notre temps, fait doucement.
Je suivis ses instructions ne demandant qu'à apprendre. J'avais vu quelques films pornos, où des mecs avec des membres énormes pilonnaient des actrices siliconées donnant l'impression de jouir sans discontinuer. Cependant je savais bien qu'il y avait un véritable gouffre entre ces images et la réalité. L'amour, le véritable, celui que peut se donner un homme et une femme dans le respect l'un de l'autre et dans la recherche d'un plaisir partagé, n'a rien à voir avec ces tournages.

Ma langue se fit donc plus légère, moins pressée, découvrant par la même occasion tous les trésors de la contrée qui m'était ouverte. J'avais droit à un véritable cours magistral d'anatomie féminine, d'autant plus que Fleur ouvrait complaisamment et largement les jambes.
- Enfonce un doigt, vas-y, fais des aller-et-venues dans mon con.
J'enfonçai donc mon index entre les grandes et les petites lèvres tout en branlant doucement le clitoris avec le pouce. Fleur poussait des petits cris de plaisir, mais elle ne voulait sans doute pas partir trop vite, aussi elle changea de position. Elle me remit se le dos, disposa son vagin au-dessus de mon visage tendis qu'elle recouvrait mon corps du sien pour atteindre ma verge qui arborait une magnifique érection. Dans cette position en 69, elle commença à en léchouiller le gland, à lécher la tige avant de l'engloutir en bouche, me procurant cette délicieuse caresse buccale. Moi, je continuai à lui fouiller le con avec un doigt et la langue.
Le moment me parut absolument céleste. Je ne touchais plus terre et ne contrôlais plus mes sens.
Par un effet thaumaturge, nous avons atteint un orgasme au même instant : mon visage était souillé des sécessions qu'elle avait éjectées et moi j'avais déversé sur son visage et sur sa bouche une belle quantité de sperme.

Elle arborait un sourire radieux malgré le foutre qui maculait son visage :
- C'est bien ce que je pensais, le joli petit sodomite aime aussi les femmes. On remet ça ?
Je ne demandais que ça même si à ce moment mon sexe n'était pas au mieux de sa forme. Mais Fleur mit tout en œuvre, avec ses mains et sa bouche, pour qu'il retrouve toute sa vigueur. Pendant ce temps, je lui caressais la vulve toute gluante de mouille en passant par derrière ses fesses. Ainsi, je retrouvai bientôt un dynamisme phallique acceptable. Elle recouvrit mon sexe d'une capote, sans que je sache d'où elle venait et se plaça à quatre pattes pour que je la prenne :
- Ne te trompe pas de chemin, j'ai un cul comme mon frère, mais le mien est trop délicat. Il serait préférable que tu visites mon autre trou, profites-en pendant que tu as une fille sous la main.
J'enfonçais donc mon sexe dans son vagin. Ayant l'habitude d'un anus étroit et parfois d'une introduction difficile, je fus surpris par la facilité d'entrée.
C'était un peu comme une défloration pour moi : mon sexe entrait pour la première fois dans un puits féminin humide, chaud et palpitant.
Je m'y trouvai parfaitement bien et commençai des vas-et-viens, tout d'abord assez lents, puis de plus en plus rapides. J'avais sous les yeux la croupe de ma partenaire et je ne pus résister à lui enfoncer un doigt dans le cul après l'avoir lubrifié avec sa propre mouille.
Comme nous avions déjà joui une première fois cette étreinte dura assez longtemps. Nous l'avons même interrompue pour adopter deux autres positions. Tous d'abord, sans sortir de ma partenaire, nous avons glissé sur le flanc, nos corps se trouvant alors en contact étroit, son dos contre mon ventre. Je trouvais cette posture à la fois très douce, très tendre, mais également très sensuelle me permettant d'aller au plus profond de son doux sexe lubrifié et de lui caresser les seins, le ventre et même le clitoris.
Puis, Fleur voulut reprendre la direction des opérations, elle se dégagea, me mit sur le dos et vint me chevaucher en faisant glisser en elle, ma queue turgescente. La vision de ce corps féminin en action, s'empalant sur moi, ses seins ballottant, sa tête rejetée en arrière, tout cela était détonant. Je pris ses seins dans mes mains comme pour les immobiliser. C'est dans cette posture que je vis Fleur submergée par un second orgasme. Je l'accompagnais dans la jouissance dans les secondes qui suivirent.
Nous étions étendus sur le lit, restant inertes pendant plusieurs minutes :
- Merci Fleur, ce fut un moment divin. En fait je ne sais plus bien si je suis gay ou hétéro ?
- Tu es peut-être bi. Il est tant que tu ailles rejoindre Olivier, il va s'impatienter le pauvre.

Je trouvais Olivier la queue dressée en train de se branler devant un numéro de la revue naturiste H&E.
Il me montra une page où on reconnaissait nettement Fleur dans le plus simple appareil avec deux autres filles qui se donnaient la main.
- Elle est belle ma sœur, n'est-ce pas ? Et je suis certain qu'elle est bonne.
- Oui, elle m'a totalement vidé. Mon vieux, je ne pourrais pas te donner grand-chose après la séance de baise qu'elle m'a offerte. Je ne sais plus dans quel clan je suis après ça.
- Bah, tu es bisexuel, voilà tout. Tu sais je le comprends tout à fait même si pour l'instant, pour ma part je ne suis plus intéressé par les filles. Encore que, tu vois, je suis encore capable de bander en voyant ma sœur, cette fille qui m'est inaccessible. Aller, ne te pose pas trop de questions, il est important de vivre l'instant présent, de prendre tout ce qui est bon avec naturel et sérénité... Laisse-moi te sodomisé.
Je lui offris mon cul, seule pratique que je pouvais encore assumer. Il réussit tout de même à me faire bander une nouvelle fois, mais je n'ai pas éjaculé.
A noter que nous n'avons jamais employé le terme « enculer » lui préférant celui plus classe de « sodomiser » que je trouve surtout moins ordurier.

*

Le reste du séjour fut absolument merveilleux. Je partageais mes nuits entre les bras d'Olivier et ceux de sa sœur. Oui je vivais en véritable bisexuel. Tantôt avec l'une, tantôt avec l'autre sans véritable préférence. Je prenais autant de plaisir à explorer un corps féminin ou un corps masculin ; je recevais avec autant de contentement les caresses et les baisers d'où ils venaient ; la vue et les attouchements de l'un ou l'autre de mes partenaires avaient la capacité de m'exciter et de faire dresser mon sexe ; j'aimais pareillement introduire ma queue dans le vagin de Fleur que dans le cul d'Olivier.
Avec Fleur, je pouvais découvrir un corps souple, doux, à la peau soyeuse et fraîche, parfois au goût sucré, parfois au goût salé ; je me délectais de son jus intime durant des moments torrides mais également emplis d'une tendresse souveraine.
Avec Olivier, je trouvais plus de virilité dans nos rapports ; ce corps pareil au mien m'attirait toujours autant. Cela me fascinait que cette personne, qui avait le même sexe que moi, puisse éprouver de l'attirance à me voir nu, puis faire l'amour avec lui, puis jouir intensément entre mes bras. De son foutre je me faisais un régal lorsqu'il éjaculait dans ma bouche. Il n'était jamais sans visiter les parties les plus intimes de mon corps, ma verge, mes testicules, mon anus. Il y avait en ses gestes de la fermeté, mais qui immanquablement m'excitait énormément. Son corps n'était ni celui de ces hommes aux « plaquettes de chocolat », ni celui de certains homosexuels efféminés. Son sexe érigé me faisait toujours frémir de contentement et de désir. J'aimais par-dessus tout lorsqu'il me sodomisait. Malgré la longueur et la grosseur de son pieu, il m'a toujours entraîné, dans cette étreinte, vers des pays merveilleux.

Fleur voulut que je la sodomise elle aussi. Chez elle ce n'était peut-être pas un désir à assouvir, mais plutôt la curiosité de connaître cette pratique qui unissait son frère et son amant quotidiennement. En tout état de cause, la demande n'est jamais venue de moi. C'est là que je pus constater les effets des habiles conseils de mon amant. Je réussis à faire jouir cette fille magistralement alors que ses préférences étaient plus vaginales qu'anales.
- Je me disais bien, me confia-t-elle, que les homosexuels étaient surement beaucoup plus doués pour donner du plaisir en prenant par derrière. C'est peut-être parce qu'ils connaissent la douleur qu'on peut parfois ressentir si le sodomisateur n'est pas attentif au plaisir du ou de sa partenaire. Un homme qui n'a jamais été pénétré, n'a aucune notion de ce que nous devons endurer, nous les femmes... Tandis que vous, les PD, vous savez tout cela. Tu n'es pas le premier à déflorer mon anus, mais je dois dire que jamais auparavant, avec mes amants hétéros, je n'ai pu ressentir de plaisir par cet orifice.

Fleur était une fille très ouverte sexuellement et quelque peu perverse. Encore que la notion de perversité est toute relative et chacun l'entendra comme il voudra, à l'aune de la morale et de ses pensées propres. Ainsi nous demanda-t-elle un jour de pouvoir être la spectatrice de nos ébats gays :
- J'adorerais voir deux hommes baiser ensemble, je trouve l'idée sublime. Cela doit-être terriblement érotique, très sensuelle.
Nous accédâmes à ses souhaits et elle nous regarda pendant de longues minutes où nous ne cachions rien de nos pratiques quotidiennes, que ce soit des fellations totales (en avalant le sperme), des sodomies, des branlettes, etc. J'eus l'impression que sa présence, discrète, nous stimulait. A un moment, jetant un coup d'œil vers notre spectatrice, je constatai qu'elle se branlait énergiquement tout en ne perdant pas une miette des ébats de son frère et de son amant.

Du coup, Olivier voulut assister à une séance où je faisais l'amour à sa sœur. Ou plus exactement, où nous faisions l'amour, Fleur et moi. Car Fleur était particulièrement active dans nos joutes sensuelles et sexuelles. La position d'exhibitionniste ne fut pas pour me déplaire. Moi, pour qui, quelques jours auparavant, se mettre nu devant une nana me posait problème ; j'étais devenu la proie (consentante) d'une voyeuse et d'un voyeur. Mais ce que j'offrais ainsi à mes deux amis, je ne l'aurais jamais fait pour d'autres. J'aimais Olivier et j'aimais Fleur ; me donner en spectacle avec eux et pour eux était pour moi une démonstration d'amour intense, tout comme je leur faisais don de mon corps et qu'ils me faisaient don du leur.

Pour commencer notre spectacle devant Olivier, il y eut moult préliminaires où Fleur et moi découvrions une nouvelle fois nos corps, moi allant vers sa conque délicieuse, faisant un passage sur l'ouverture de son petit cul adorable, suçant ses nichons exquis ; elle agaçant mon anus, mes tétons et s'attardant sur toutes les parties de mon sexe, ma tige dressée, mon gland délicat, mes bourses en mouvements sous le coup de l'excitation. Elle me fit jouir une première fois sur sa poitrine et avec ma queue étala le foutre répandu.
- Olivier, viens me nettoyer s'il te plait.
Je m'attendais à ce qu'il prenne un linge pour éponger mon foutre. A ma plus grande surprise, c'est avec la bouche qu'il vint recueillir le sperme que j'avais déversé sur la poitrine de sa sœur. Il léchait comme un chat son écuelle de lait, n'hésitant pas à venir recueillir une goutte sur la pointe érigée de l'un de ces tétons magnifiques.
Puis, elle s'allongea sur le dos, les jambes largement écartées, impudique et belle à la fois. Par un seul regard elle demanda à Olivier de me sucer pour redonner à mon sexe toute la vaillance nécessaire pour poursuivre ces jeux magnifiques.
Il ne se fit pas prier.

Lorsque ce fut fait, je m'introduisis dans le vagin accueillant de Fleur, la prenant vigoureusement. L'excitation était telle que j'étais incapable de me contrôler et j'abandonnais toute douceur ou tendresse, pourtant elle couinait le plaisir. Puis je la retournais pour la prendre en levrette.
C'est alors que, tout en la ramonant joyeusement, je sentis, au niveau de mes fesses, une queue s'aventurer vers ma rosette et bientôt s'y enfoncer. Olivier était en train de me sodomiser alors que mon propre sexe fouillait les entrailles de Fleur. Celle-ci ne semblait s'apercevoir de rien et prenait un maximum de plaisir. Mais qu'en était-il de moi. J'étais au bord de l'apothéose, je ressentais une jouissance encore inconnue difficilement descriptible : je jouissais par mon sexe dans ce doux et accueillant con et je jouissais par le cul investit par le sexe massif de mon amant.
Je ne pensais plus à rien, je prenais mon pied, bannissant tous les interdits qui auraient pu exister.

Je ne sais ce que peut ressentir une femme qui se donne à deux hommes pour une double pénétration, mais parfois elles témoignent en disant qu'elles avaient eu l'impression d'être remplies jusqu'aux entrailles, d'être déchirées, distordues, écartelées, d'être devenu un « réceptacle », une « femme-trous », un objet. Je pense que je n'étais pas loin de cet état. Le plaisir ressentit était bien plus grand que d'habitude, avec de la douleur en aval, car l'introduction s'était faite à sec, mais après, le bonheur ressentit fut absolu.
J'aurais pu me demander : « Qu'est-ce que je fais là ? ». Pas du tout en fait, je pense avoir crié, Olivier se lâchant complètement : c'était sauvage et bestial. Pour dire la vérité, je suis certain d'avoir vécu ce moment, mais je ne me rappelle plus de tous les détails. En tout cas ce fut un sentiment de plénitude, d'accomplissement.
J'ai explosé dans le ventre de Fleur, dans la foulée elle fut prise d'un orgasme colossal, puis c'est Olivier qui explosa en moi en râlant.
Moi ?
Je jouissais à nouveau, mon corps était secoué de spasmes et je crois que je gueulais de plaisir. Me retirant de Fleur, elle constata alors la situation dans laquelle nous étions son frère et moi. Elle ne s'en offusqua pas, au contraire, elle vint laper le sperme de son frère qui coulait de mon anus.

Nous nous sommes endormis ainsi les uns mêlés aux autres.

Je me dis plus tard que les interdits de l'inceste chez le frère et la sœur étaient assez libres. Bien sûr, Fleur et Olivier n'avaient pas fait directement l'amour ensemble, mais ils avaient tout de même fait l'amour, conjointement à une même personne. Olivier avait récupéré mon sperme sur la poitrine de sa sœur en titillant ses beaux nichons, Fleur avait avalé le foutre de son frère à l'orée de mon anus et ensuite, lors que nous nous sommes endormis, nos trois corps étaient très proches. Au réveil, je sentis une douce main sur ma queue alanguie, n'y avait-il pas une autre sur le sexe d'Olivier ? J'en suis intimement persuadé.
Mais je décidais que cette question ne me regardait pas, elle concernait la seule conscience de mon amant et ma maîtresse.


Oui, je me sentais parfaitement bisexuel, car j'aimais autant l'un que l'autre, tant du point de vue des sentiments que du plaisir sexuel qu'ils me procuraient tous les deux.
Malheureusement le mois d'août arriva, et avec lui les parents de mes deux amoureux. Je décidais donc de quitter le magnifique terrain de jeu. Je savais que je ne reverrais peut être jamais ni Olivier, ni Fleur. En effet, mes études m'envoyèrent dans une fac en région parisienne, alors que tout deux repartaient en province.

A suivre

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