Douceurs Orientales 2

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Proposée le 28/08/2013 par KKo

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Je me retournai, et alors je faillis tomber dans les pommes : La plus belle femme que je n'avais vu était face à moi. Ses cheveux étaient châtains (étrange, pour une afghane), légèrement ondulés, et brillants. Son visage était à couper le souffle. Ses yeux étaient tendres, doux, et délicats. Ses lèvres étaient légèrement pulpeuses. Je m'imaginais les embrasser doucement, tendrement, et cette pensée me donna la nausée. Sa silhouette était légère, et ses cheveux tombaient en cascade sur ses épaules à chacun de ses mouvements. Elle sentait si bon... Une douce odeur fruitée, relaxante, apaisante. Ses mains étaient fines, délicates et délicieusement chaudes. Sa peau était bronzée, et douce comme de la soie. Sa voix était magnifique. Cristalline, apaisante, à la fois enfantine et mature. Choqué, je lui demanda, balbutiant :

- Q.. Qui... Qui est tu ? Où suis-je ? Que s'est-il passé ? Comment se fait-il que tu parles français ?

- Toutes ses questions ? S'étonna-elle en riant. Elle riait d'une manière si attendrissante...

- J'étais dans la montagne le jour de la bataille, repris-elle. J'ai entendu des coups de feux, et j'ai deviné que les talibans se faisaient attaquer. Cette montagne était leur repaire. Alors, j'ai attendu que la bataille cesse, et je suis descendue de la montagne pour regagner mon village. Et je suis tombée en plein sur le champ de bataille. Des cadavres gisaient de partout. C'est alors que je t'ai vu allongé au sol. Je me suis accroupie, et j'ai vu que tu respirais encore. Alors, je t'ai ramené ici. Nous sommes loin du champ de bataille. Ici, il n'y a presque personne. Tu es en sécurité à présent. Je m'appelle Nadia, me dit-elle en souriant. J'ai appris le français à Kaboul.

- Et moi je m'appelle Jean. Merci de m'avoir sauvé. Je ne sais pas comment te remercier. Sans toi, je serais mort comme les autres...

Elle se pencha, et je sentis ses doux cheveux caresser mon visage. Elle mit son index sur mes lèvres et me dit :

- Chuuut. Tu n'as pas besoin de me remercier. Repose-toi maintenant.

Quand je me réveillai, j'avais retrouvé des forces. J'ouvris les yeux, et je vis Nadia, allongée à côté de moi. Elle était si belle... Je crois que j'étais amoureux... Je caressai son corps du bout des doigts. Elle ne bougea pas. J'insistai un peu plus, et là elle se réveilla. Elle ouvrit doucement les yeux, et me dit à voix basse :

- Salut Jean... Bien dormi ?

- Oui, merci, répondis-je.

- Tu as encore mal à l'épaule ? Me demanda-t'elle alors.

- Oui, avouai-je.

- Viens, je vais te soulager, me répondit-elle.

Elle me fit un massage divin. Ses doigts étaient merveilleux. Tandis que je sentais ses mains aller et venir sur mon corps, je sentis mon sexe se dresser. J'eus finalement une érection monstrueuse, et évidemment en caleçon, elle finit par s'en apercevoir... Un petit sourire se dessina sur son visage. Je transpirai. Je gémissais.

- Oooooh, voyez-vous ça, on dirait que le petit soldat reprend des forces, s'amusa-t'elle.

Elle caressa mon sexe dressé à travers le caleçon, me massait doucement les couilles. Ça me rendait dingue.

- Tu peux me toucher aussi, tu sais, me dit-elle. Je ne vais pas te mordre !

Elle prit ma main valide et la posa sur ses cuisses. Je les caressais doucement, quand soudain, un élan d'adrénaline me prit. Je l'attrapai d'un bras, et la posai à califourchon sur mon ventre. Surprise par tant de brusquerie, elle ne dit cependant rien. Entraîné dans mon élan, je retirai à la hâte son t-shirt et son soutien gorge d'un coup, laissant jaillir une paire de seins épanouis. Je gobai un sein, et elle poussa un long râle de plaisir. Je la déshabillai complètement, retirant sa culotte humide avec les dents. En sentant mon souffle sur son entre-jambes, elle devint folle. J'allais lui donner de vifs coups de langue, quand soudain elle me prit la tête, et me dit :

- Attends, petit coquin, viens un peu par là.

Je me redressai, et elle m'embrassa fougueusement. Nos langues se mêlaient. Je crut que mon sexe allait exploser. Elle retira ses lèvres des miennes, caressant doucement mon pénis, et me regarda dans les yeux d'un air aguicheur, se mordant les lèvres. Je compris alors ce quelle voulait, et je me mis debout, en la faisant se lever d'une main. Une fois debout, elle m'embrassa de nouveau, et elle descendit doucement. Elle embrassa mon cou, mon torse, et se retrouva à genoux par terre. La voir ainsi me rendait fou de désir. Je n'en pouvais plus.

- Suce-moi Nadia... S'il-te-plaît... Je n'en peux plus, lâchais-je entre deux soupirs.

Elle me regarda d'un air provocateur. D'un coup, elle baissa mon caleçon, et mon sexe explosa à la surface. Elle le reçut en plein visage, et eut un bref mouvement de recul. Elle le regarda avec envie, et me branla comme jamais. Doucement, car elle savait que j'étais au bord de l'explosion. J'étais au paradis. Elle me lécha alors le sexe avec la langue, de bas en haut, et enfourna mes couilles dans sa bouche, ce qui m'arracha un cri de plaisir. Alors, elle goba mon sexe entier dans sa bouche,et me suçait comme un déesse. Ses va-et-vient et me procuraient un bien fou. Soudain, je la forçai à s'allonger sur le lit et j'écartais ses cuisses si douces. Elle me dit alors :

- Attention, je suis vierge. Vas-y très doucement, me dit-elle en m'embrassant.

- Détends-toi, lui dis-je. Laisse toi faire.

Je pris alors son abricot rasé et bronzé et lécha doucement son clitoris. Elle haletait, prenant ma tête dans ses mains, me caressant doucement les cheveux. Je léchai aussi son petit trou du cul serré, qui se rétracta à mon contact.

- Ahhhhhh ouiiiii Jean. C'est bon, soupira-elle.

Délicatement, je glissai deux doigts dans sa fente débordante de cyprine. Je caressai son vagin humide, tandis qu'elle gémissait de plus belle. Alors, quand je sentis qu'elle était prête, je pris ma hampe d'une main, et je frottai mon pénis sur son vagin, faisant des va-et-vient. Elle ne gémissait plus, elle criait. Je mis ensuite ma hampe sur ses lèvres, et la pénétra d'un coup. A ma grande surprise, le vagin s'ouvrit d'un coup, sans même saigner. Je lui demandais alors :

- Tu n'as pas eu mal ?

- Non, me répondis-elle. Continue, c'est merveilleux.

J'entamai un doux va-et-vient, et sentir sa chatte humide et douce sur ma hampe me rendait dingue. Je me sentais bien, comme si mon épée avait trouvé un étui pour calmer ses ardeurs. J'allais de plus en plus vite. Je sentais qu'elle venait :

- Oh oui ! Oh ouiiiii ! Continue ! Mmmmmm.

Je la baisai maintenant à une vitesse incroyable. Mes couilles claquaient contre ses fesses. Soudain, je sentais que ça venait :

- Oh je viens Nadia ! Je viens ! Ohhhhh

- Lâche tout dans ma chatte ! Je t'aime Jean ! Je veux porter tes enfants !

Je me retins aussi longtemps que je pus. Elle eut une multitude d'orgasmes. Nous jouîmes en même temps, et je lâchai sept long jets de sperme dans sa chatte humide, tandis qu'un jet de cyprine surprenant jaillit hors de sa chatte et atterrit sur mon ventre. Malgré cela, je n'arrivais toujours pas à débander. La voir ainsi remplie de mon sperme, et trempée de partout me rendait encore plus excité. Elle prit ma hampe dans sa bouche, pour m'achever. Elle me suçait amoureusement, tendrement.

- Je viens encore Nadia ! Ohhhhhhhhhh Mon Dieu !

Quatre longs jets de semence jaillirent à nouveau. Jamais je n'avais autant éjaculé. Nadia me rendait fou. Après cela, elle me branla jusqu'à ce que je débande, et nous nous endormons nu, au milieu de la grotte, épuisé par tant de plaisir.