Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Proposée le 13/08/2013 par Tech
ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
Marguerite et Hélène ont toutes les deux 21 ans, et se connaissent depuis le collège. Je les ai rencontrées en cours, il y environ trois ans, et nous avions rapidement sympathisé : nous sortions très souvent ensemble, le fait que je suis un homme ne les gênant pas (les remarques dans la rue sous-entendant que nous formions un ménage à trois les font sourire, encore maintenant).
Marguerite est plutôt grande (elle mesure presque ma taille), élancée, et a de jolies formes très régulières : des seins de bonne taille, toujours mis en valeur par de beaux soutien-gorge visibles depuis ses décolletés, et des petites fesses qu'elle préfère cacher sous des jeans peu moulants. Hélène est plus petite, mais ses formes sont beaucoup plus pulpeuses. S'habillant de façon plutôt excentrique, on peut souvent deviner des dessous en dentelle colorée, soutenant une belle poitrine. Elles ont tout les deux leur lots de petits amis, mais les études que nous poursuivions à l'époque les accaparaient complètement, et elles n'ont pas cherché de nouveaux "boyfriend".
Nous avions passé beaucoup de moments ensemble, sans qu'une quelconque tension sexuelle ne vienne modifier nos relations, malgré leur côté peu farouche. J'avais même dormi avec Marguerite après une soirée bien arrosée, sans que rien ne passe. Mais plus récemment, des couples se formant parmi nos amis communs, nos relations changèrent. En voici le récit...
En une chaude après-midi, nous avions décidé de se retrouver chez moi pour regarder un film d'épouvante. Depuis que nous nous connaissions, nous avions l'habitude d'aller au cinéma, ou de se retrouver chez les uns ou les autres, toujours pour découvrir de nouveaux films ou de nouvelles séries. Le film se révélant rapidement décevant, autant dans son intrigue que dans l'horreur qu'il était censé nous inspirer, nous commençâmes une conversation légère. Après avoir abordé divers sujets, le célibat, les couples de nos amis et le sexe s'invitèrent dans la conversation. Nous avons fini par débattre du meilleur moyen d'atteindre l'orgasme, explications imagées à l'appui. Lorsque j'expliquais à Hélène comment je m'y prenais pour caresser une femme, je sentis le regard pénétrant de Marguerite posé sur moi. Je tournais mon regard vers elle, ce qui la fit rougir immédiatement. Je ne me formalisais pas de cette réaction, et la conversation continua.
Peu après, Hélène proposa de jouer à un jeu vidéo. Malheureusement, je ne disposais que d'une manette, ce qui nous obligeait à jouer chacun notre tour. Après avoir montré rapidement à Hélène comment jouer, je lui laissais la place, et m'appuyais sur mon bureau à côté d'elle pour la regarder jouer. Marguerite nous rejoint alors, et s'accroupit par terre à côté du fauteuil dans lequel était assise Hélène (ma télé était posé au sol, nous nous asseyions souvent directement sur la moquette).
Au cours de la partie, Hélène étant concentrée, j'en profitais pour décrire l'univers du jeu et les meilleures stratégies à utiliser à Marguerite. Cette dernière se rapprocha donc naturellement pour se retrouver à mes pieds, sa tête au niveau de mon entrejambe. La vue de son visage levé vers moi, ses grands yeux ouverts, et surtout son décolleté me laissant voir un soutien-gorge blanc et rouge en dentelle étaient loin d'être désagréables. Pour ne pas laisser paraître le trouble qui s'emparait de moi, je me reconcentrai sur le jeu de Hélène. Je sentis alors le bras de Marguerite se poser sur mes genoux, et commencer à remonter peu à peu. Lorsque son bras arriva à ma ceinture, je la regardais avec étonnement. Elle me fit un clin d'œil et tourna son regard avec éloquence vers Hélène, toujours en train de jouer. Je compris qu'elle voulait garder une certain discrétion. Je commençais alors à reculer peu à peu, en restant appuyé sur mon bureau. Marguerite en profita pour placer sa main directement sur mon entrejambe, et commença à me caresser délicatement, par dessus mon jean. Je constatais alors que la discussion que nous tenions peu de temps auparavant n'allait pas rester uniquement théorique...
Ses caresses furent efficaces : une bosse ne tarda pas à se former dans mon pantalon. Elle insista, augmentant mon plaisir. Elle se leva alors, et toujours tournée vers Hélène (toujours en train de jouer), entrepris de déboucler ma ceinture. Elle y parvint, et me la retira entièrement. N'y tenant plus, je déboutonnais mon jean : si Hélène s'était retournée, je n'aurai eu qu'à rabattre mon t-shirt dessus. La main de Marguerite se glissa alors entre mon jean et mon boxer, et les caresses reprirent. Je bandais dur, et mon sexe finit par pointer le bout de son nez en dehors de mon boxer. Marguerite fit glisser ce dernier et libéra mon sexe entièrement, en commença à me branler. À ce moment, je ressentais trop de plaisir pour penser au fait que Hélène pouvait se retourner à tout moment. Heureusement, elle résolut le problème d'une autre manière :
"Pourquoi ne pas le sucer ?", nous entendîmes. De toute évidence, Hélène avait remarqué notre petit manège. Marguerite visiblement n'attendait que ça : elle se tourna vers moi, et après m'avoir retiré mon jean et mon boxer, avala ma queue. Elle suçait divinement bien, tournant sa langue autour de mon sexe et l'aspirant délicatement. J'arrivais rapidement au bord de l'orgasme, mais voulant faire durer le plaisir, je la relevais et l'embrassais. Elle se laissa faire, et m'enleva mon t-shirt. Je fis de même avec elle, et put admirer sa poitrine, encore serrée dans son soutien-gorge. Hélène se retourna alors, et s'approcha, pendant que j'embrassais Marguerite dans le cou, puis sur la poitrine. Elle commença à enlever son pantalon à Marguerite, qui se retrouva rapidement en sous-vêtements face à moi. J'allais alors m'installer dans un fauteuil, en indiquant à Marguerite de me rejoindre. Elle s'assit à califourchon sur moi, et se caressa à travers le tissu de sa culotte assortie à son soutien-gorge avec mon sexe. Tout en continuant, elle me glissa dans l'oreille : "Montre moi comment tu fais l'amour, j'en ai envie depuis tout à l'heure".
Je lui retirai alors son soutien-gorge, qui laissa apparaître deux petits seins fermes et bien accrochés. Lorsque j'entrepris de les caresser, des légers gémissements envahirent la pièce. Je profitais que ses tétons commencent à pointer pour les suçoter. Lorsque je relevais la tête, je constatais que Hélène avait décidé de participer à sa manière : son short et un string violet gisait à ses pieds, et sa main caressait une chatte partiellement épilée. Ses gémissements se lièrent alors à ceux de Marguerite. Cette vue acheva de m'exciter : j'écartais la culotte de Marguerite et présentais mon sexe toujours raide à l'entrée de son intimité. Marguerite eut un long soupir et fit un large mouvement de bassin. Lorsque mon gland eut parcouru ses lèvres, je constatais qu'il était recouvert d'une grande quantité de cyprine. Visiblement, elle n'avait pas besoin d'autre préparation, et n'attendait que moi...
Je lui saisis alors les fesses et la fit lentement descendre. Elle prit elle-même mon sexe à la main pour le laisser se glisser en elle. Une fois enfoncé jusqu'à la garde, je commençais à imprimer un lent mouvement de va-et-vient. Ses gémissements s'accentuaient, et elle se caressait les seins dont les tétons pointaient très nettement. N'y tenant plus, je la soulevais par le bassin pour la déposer sur mon bureau, à côté de Hélène. Elle s'y allongea avec volupté et écarta largement les cuisses, m'offrant une vue imprenable sur l'ensemble de son corps. Je me laissais alors aller, et entrepris de la pénétrer plus violemment. Elle tendit la main à Hélène, qui s'en saisit, et commença alors à crier sans retenue. L'excitation de Hélène semblait augmenter également : elle avait cessé de se caresser, et faisait à présent pénétrer trois doigts dans son vagin. Le fauteuil sous elle commençait à être inondé de mouille.
"T'arrêtes pas, je vais jouir !", cria alors Marguerite. J'arrivais à l'orgasme également. Sentir son vagin se resserrer par spasmes autour de ma queue m'amena à l'éjaculation. Je giclais au fond d'elle, alors que ses cris retentissaient dans la pièce. J'étais complètement vidé, et m'allongeait à même la moquette au sol. Marguerite se laissa glisser jusqu'à moi. Hélène nous rejoignit rapidement, et ajouta : "Vivement que nous ayons une autre de ces discussions. Car la prochaine fois, je participerai activement aux travaux pratiques..."