Séverine

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Proposée le 4/08/2013 par Marc Paul

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Voila bien longtemps que je ne n'avais pas publié d'histoire sur ce site et ceci pour une raison toute simple c'est que je suis en couple avec Séverine depuis bientôt deux ans. Cette vie de couple très classique me laissait peu de temps pour écrire des histoires inventées et encore moins de temps et d'envie d'avoir des aventures extra-conjugales.
Séverine était venue habiter chez moi quand nous nous étions mis ensemble et Marie-Claude était toujours notre voisine. Elles avaient fait connaissance rapidement et Marie-Claude avait tout de suite adopté ma compagne. Bien que je n'ai pas caché à Séverine ma vie dissolue d'avant notre rencontre, je ne lui avais pas parlé de mes relations passées avec ma coquine de voisine. Et pour cette raison toute simple, je ne lui avais pas parlé non plus du site des histoires érotiques sur lequel j'avais raconté mes aventures réelles ainsi que des récits imaginaires. Car il ne faisait aucun doute, qu'elle aurait reconnu dans mes histoires réelles, non seulement notre voisine, mais aussi ma sœur Corinne et Michèle que nous voyions de temps en temps.
Nous avions décidé d'un commun accord avec ma compagne d'être libres l'un envers l'autre, de ne pas avoir d'exclusivité mais de ne rien nous cacher de nos aventures. Malgré cette liberté que nous nous étions accordée mutuellement, Séverine ne m'avoua qu'une ou deux aventures durant ces deux années et pour ma part, je n'en ai eu qu'une seule. Séverine suffisait amplement à me combler.
Très récemment, Séverine me demanda :
- Marco, Est-ce que tu as déjà couché avec un garçon ? Tu ne m'en as jamais parlé.
- Je ne t'en ai pas parlé parce que ça n'est jamais arrivé. Et toi, tu as déjà couché avec une fille ?
- Ouais, mais il y a plus de dix ans. J'ai même vécu avec une fille pendant deux ans.
- Ah, tiens. Tu ne m'avais jamais dit que tu aimais aussi les filles...
- Ne m'en veux pas de t'avoir caché cela. J'avais un peu oublié. En fait c'est l'actualité qui m'y a fait repenser. J'avais eu, comme beaucoup de filles, quelques relations homosexuelles avec des nanas quand j'étais ado. Mais vers vingt-cinq ans, je sortais d'une histoire compliquée avec un mec, un vrai salaud qui m'avait tellement fait souffrir que je me suis tournée vers les filles. Mais au bout de deux ans, j'ai rencontré un autre garçon et je n'ai plus baisé avec des filles depuis. Tu vois, je ne suis pas une vraie lesbienne... Je préfère quand même les mecs même si avec une fille c'est pas mal quand-même.
- Tu sais, ça ne me gênerait pas du tout que tu ais des aventures avec des filles. Nous avons décidé de ne pas nous imposer l'exclusivité et homme ou femme, ça ne change rien.
- Tu es un amour... En fait je n'en ai pas vraiment envie... sauf peut-être avec... non tu vas penser que je suis folle...
- Dis-moi, tu sais bien que rien ne peux me choquer...nous sommes libres...Avec quelle nana aurait tu envies de coucher ? Ta copine que tu vois toutes les semaines à la salle de gym ?
- Murielle, nooon, t'es fou. Elle est sympa et plutôt jolie mais elle est totalement hétéro. Elle a pris un air horrifié quand je lui ai dit que j'avais baisé avec des filles un jour que nous bavardions. Non, ce n'est pas Mumu mais,... tu ne vas pas me croire tellement c'est dingue..., celle qui me fait de l'effet... c'est... Marie-Claude !
- Marie-Claude !!! Notre voisine !!!
- Ben oui, tu vois, c'est bizarre. J'essaierai bien de la draguer un peu mais je ne voudrais pas la choquer. Tu comprends, je l'aime bien, elle est sympa et je crois que tu l'apprécies aussi. Ça m'ennuierait de perdre son amitié pour une histoire de cul.
Inconsciemment, je lâchai :
- Je ne crois pas que les histoires de cul lui déplaisent...
Devant l'expression ébahie de Séverine, je me rendis compte que j'en avais trop dit. Séverine me demanda :
- Comment peux-tu savoir que Marie-Claude serait partante pour une aventure entre filles.
J'étais vraiment très ennuyé de mon imprudence. Je ne voyais pas comment me sortir de ce mauvais pas dans lequel je m'étais fourré... Je réfléchis quelques secondes, le cerveau bouillonnant, avant de décider qu'il valait mieux tout raconter à Séverine. Je lui racontais donc tout dans le détail, lui parlant de nos petites parties de jambes en l'air avec ma voisine, lui dévoilant même temps que j'avais raconté toutes mes histoires sur ce site. Et lui dévoilant aussi que notre voisine, peu de temps avant notre rencontre, avait fait la connaissance de Michèle, mon amie bisexuelle, et qu'elle avait découvert, en sa compagnie, les plaisirs entre filles.
Séverine resta quelques secondes silencieuse quand je cessais de parler avant de s'exclamer :
- Je n'en reviens pas. Tu baisais avec Marie-Claude avant qu'on se connaisse. Et depuis, vous avez continué de coucher ensemble ?
- Non, pas une fois. Sinon je t'en aurais parlé. Même le mois dernier quand tu es partie à Lyon pour ton boulot, je lui ai proposé mais elle a refusé. Ça la gênait vis-à-vis de toi. Et, comme son principal argument était « Marc, tu te vois dire à Séverine quand elle rentrera : Tiens, au fait, j'ai baisé la voisine pendant que tu n'étais pas là... », je dois admettre qu'elle m'a convaincu.
- C'est vraiment délicat de sa part. C'est vrai que ça aurait pu nous mettre dans une situation bizarre. Elle ne pouvait pas deviner que, moi aussi, j'aimerais bien la baiser aussi. Mais tu m'as bien dit que tu avais raconté tes aventures sur un site d'histoires de cul, j'aimerais bien les lire si tu es d'accord.
- Pas de problème. Maintenant que tu sais tout, ce n'est pas un souci. Si je ne t'en avais jamais parlé c'est principalement à cause de Marie-Claude.
Séverine s'installa dans le canapé, sa tablette à la main et commença à lire les récits que j'avais publié. De temps en temps, elle me demandait des précisions, des détails. Quand elle eut terminé de lire les histoires vécues, elle s'arrêta et me regarda en souriant :
- Tu es quand même un gros cochon. Quand je pense qu'après t'être fait dépuceler par Soizic, tu as baisé Anne, sa sœur, la mère de ton copain et qu'enfin tu t'es tapé Gaëlle, la fille de Anne, la nièce de Soizic. C'est incroyable. Et quand je lis ce que tu as fait subir à Lise ! Remarque, je ne suis pas d'accord avec le commentaire à propos de cette histoire. Tu ne l'as pas forcée, c'est elle qui a bien voulu baiser avec toi. Et Marie-Claude...je ne la pensais vraiment pas aussi coquine. Tu m'as bien dit qu'elle avait couché avec Michèle ? Pourquoi tu ne l'as pas raconté ?
- Tout simplement parce que je n'étais pas là. C'est Michèle qui m'a dit qu'elles avaient baisées ensemble après qu'elles se soient croisées chez moi. Et puis j'ai fait ta connaissance juste après... A propos, ne va surtout pas dire à Corinne ou à Michèle que j'ai raconté ce qui s'est passé entre elles ou entre Michèle et moi. Elles ne sont ni l'une ni l'autre au courant.
- Pas de souci, je tiendrai ma langue. Et les vidéos que tu as faites avec Lise et Marie-Claude, j'aimerais bien les voir si tu les as encore.
J'allais chercher le DVD dans un carton à la cave et Séverine le regarda en entier. Après le dernier film, elle soupira :
- Putain, c'est un super porno. Je me sens chaude comme de la braise.
Joignant le geste à la parole, Séverine entreprit d'ouvrir mon pantalon et commença à me faire une pipe merveilleuse dont elle a le secret. Pendant que sa langue parcourait habillement mon gland, elle se caressait de sa main libre. Au bout de quelques minutes, elle me fit allonger sur le canapé et quittant rapidement sa culotte, sans prendre le temps de se déshabiller plus que cela, elle m'enfourcha et s'enfonça sur mon dard gonflé et raide comme une barre d'acier. Séverine commença à bouger son bassin d'avant en arrière. Immobile, me contentant de masser ses seins ronds et fermes à travers son haut, je sentais avec délice mon pieu coulisser dans son con brûlant et inondé. Séverine continuait de se caresser le clitoris de plus belle et elle se fit jouir rapidement. Prise de tremblement, elle rejeta sa tête en arrière et elle jouit brutalement en poussant un cri bref et aigu, pendant que son cul s'agitait. Elle s'effondra sur moi et elle m'embrassa en reprenant ses esprits. Puis elle termina de se déshabiller avant de me quitter mon tee-shirt. Elle se mit ensuite à genou sur le canapé. Appuyant ses coudes sur le dossier, elle se cambra en écartant ses cuisses fines, pointant vers moi son joli petit cul tout rond en me disant d'une voix rauque, cassée par le plaisir :
- Encule-moi, mon amour.
Je ne résistai pas à une telle exigence, je passais mon doigt dans sa fente inondée pour lubrifier son œillet. Puis après deux ou trois allers et retours dans son con, j'appuyais mon gland bien lubrifié sur son petit trou. Séverine s'empala toute seule sur ma queue en poussant un râle de plaisir. Je la saisis par les hanches pour la défoncer lentement pendant qu'elle reprenait sa propre masturbation. Séverine adorait la sodomie et ce jour-ci, elle m'encouragea d'une voix rauque, cassée par le plaisir qui remontait en elle :
- Oh, oui... défonce-moi fort.... Baise-moi, j'aime ça. Fourre-moi le cul...
Elle ne fut pas longue à être saisie à nouveau par un orgasme encore plus fort que le précédent qu'elle manifesta par un long cri venu du fond de sa gorge. J'arrivais au bout de ma résistance, et je me saisis de ses seins, pinçant fortement les tétons dardés entre mes doigts pendant que je me vidais dans son cul en la défonçant à grands coups de reins.
Pendant les jours qui suivirent, Séverine fut entièrement préoccupée à trouver le moyen de séduire notre voisine. Elle échafaudait des plans aussi compliqués qu'improbables destinés à amener Marie-Claude à accepter de baiser avec nous. Car elle avait décidé que nous baiserions tous les trois ensemble. C'était la constante de tous ses scénarios qu'elle abandonnait aussitôt qu'elle les imaginait.
Cela prit fin assez rapidement et Séverine ne m'en parla plus. Je supposais qu'elle avait abandonné l'idée de séduire notre voisine.
Quelques semaines plus tard, un vendredi, en rentrant du travail, je trouvais ma compagne et Marie-Claude en train de papoter dans notre salon.
Les deux filles étaient assises côte à côte dans notre canapé et bavardaient en sirotant un thé. Je me penchais vers elles pour faire une bise à notre voisine et pour embrasser Séverine. Celle-ci, à ma grande surprise, me retint en nouant ses bras autour de ma nuque et me roula une pelle magistrale sous le regard amusé de Marie-Claude. Elle me libéra et j'allais prendre place dans un fauteuil en face d'elle avec un jus d'orange. Elles continuèrent leur discussion sans vraiment m'accorder de l'attention. Séverine parlait de ses collègues de travail et des difficultés qu'elle avait avec les inscriptions pour la prochaine rentrée scolaire (Elle travaille dans les services administratifs d'une université). Je décidais de ne pas me mêler à leur conversation et je me plongeais dans la lecture d'un magazine.
Un long moment de silence qui remplaça le ronronnement de leur discussion me tira de ma lecture et me fit lever les yeux. J'avais devant moi un spectacle époustouflant. Marie-Claude et Séverine s'embrassaient à pleine bouche. Ma voisine avait sa robe légère remontée, une jambe posée sur celle de Séverine dont la main caressait son pubis.
Alors qu'elles faisaient une petite pause dans leur étreinte, Marie-Claude ouvrit les yeux et me vit en train de les regarder. D'un petit signe de tête, elle alerta Séverine qui se tourna vers moi :
- Eh bien, mon chéri, tu profites du spectacle. Tu n'as pas honte de nous mater ? Dit-elle en riant.
- Pas plus que vous de vous bécoter ! Mais je dois avouer que le spectacle est très excitant et puis comme vous semblez tellement occupées que je suis bien obligé de me contenter de ça ! Répliquais-je sur le même ton.
Séverine et Marie-Claude se concertèrent à voix basse pendant un court instant avant de se lever. Elles se mirent debout devant moi et s'enlacèrent pour s'embrasser à nouveau. Séverine avait relevé la robe de Marie-Claude et glissé sa jambe entre celles de notre voisine. Celle-ci s'excitait par de petits mouvements de bassin, frottant sa chatte sur la cuisse de Séverine. Ma compagne, lâchant la bouche de Marie-Claude, la fit pivoter face à moi. Elle actionna le zip de la robe et en dégagea les épaules. La robe tomba sur les chevilles de Marie-Claude. Séverine fit alors glisser les bretelles du soutien-gorge blanc sur les bras de Marie-Claude et le dégrafa. Elle passa ses bras sous les aisselles de Marie-Claude et lui malaxa la poitrine en déposant des petits baisers sur sa nuque.
Les deux filles s'approchèrent de moi et s'agenouillèrent. Séverine ouvrit mon pantalon et fourra sa main dans mon boxer. Elle en ressortit ma queue dure et gonflée et la dirigea vers le visage de Marie-Claude qui commença à me sucer.
Séverine s'éclipsa pendant que ma voisine reprenait ses bonnes habitudes à savoir de me sucer tout en glissant sa main libre dans sa culotte pour se caresser. Séverine revint rapidement. Elle était nue et tenait son sextoy préféré. Un gros vibromasseur rose qui non seulement vibrait mais en plus, se tortillait et qui possédait une petite protubérance qui lui permettait de se stimuler le clito. Elle fit glisser la culotte de Marie-Claude sur ses cuisses et enfonça le vibromasseur dans son con sans aucune autre forme de préparation. Après s'être fait caresser par Séverine et se branler tout en me suçant, il est certain que le con de Marie-Claude ne demandait pas de lubrification supplémentaire. Sans lâcher ma queue, elle poussa un gémissement sourd quand Séverine mit le vibro en marche. Par-dessus ses reins, je voyais Séverine qui enfonçait son doigt mouillé de salive dans le cul de Marie-Claude.
Le résultat ne se fit pas attendre longtemps car Marie-Claude commença à gémir de plus en plus fort. Elle lâcha bientôt mon chibre pour pouvoir respirer plus librement et ses gémissements jusqu'alors étouffés par mon dard se transformèrent en longs râles graves et rauques. Elle fut alors prise de tremblements, s'appuya sur mes cuisses, se cambra pour offrir son con et son cul aux caresses de ma compagne. Elle jouit en poussant un long cri rauque qui se termina dans les aigus. Elle glissa sur le côté pour récupérer de son orgasme pendant que ma compagne se jetait sur ma queue dressée et disponible. Elle me pompa comme une furie avec pour conséquence de recevoir quelques bonnes giclées de sperme dans sa bouche. Aussitôt, elle embrassa Marie-Claude, partageant mon jus avec elle.
Séverine ne laissa aucun répit à notre voisine. Sitôt après, elle chevaucha sa tête, posant sa chatte sur la bouche de Marie-Claude pour se faire sucer. Je ne résistais pas au plaisir de me faire sucer par ma compagne dans le but de redonner une vigueur toute neuve à ma bite qui commençait à se dégonfler. Quelques coups de langue habiles lui redonnèrent prestement une belle rigidité. J'entrainais alors Séverine sur le fauteuil, la retournant contre moi, et la faisant glisser sur ma queue dressée.
Marie-Claude qui avait complètement repris ses esprits, reprit son ouvrage entre les cuisses écartées de ma compagne. Excitée comme elle l'était Séverine succomba brusquement aux effets conjugués de mon chibre qui coulissait dans son con détrempé et de la langue de Marie-Claude sur sa fente largement ouverte. Elle cria son plaisir au risque d'ameuter tout le voisinage.
En prenant un peu de repos, Séverine et Marie-Claude m'expliquèrent comment les choses s'étaient passées entre elles.
Incapable d'imaginer un plan pour séduire notre voisine, ma compagne avait décidé de tenter le tout pour le tout. A l'occasion d'une de leurs fréquentes rencontres autour d'un thé et de petits gâteaux, Séverine avait conduit la conversation sur le sujet des écrits érotiques. Pour cela, elle avait mis en évidence l'un des best-sellers de l'année passée en évidence sur la table du salon. Et puis, tout de go, elle demanda à Marie-Claude si elle savait que je publiais des récits érotiques sur internet. Marie-Claude prit la parole en étouffant de rire :
- Je ne savais pas où me mettre. Bien sûr que je savais que tu écrivais des histoires de cul, et que dans l'une d'elle, tu racontais notre première rencontre. Et je me doutais bien que si Séverine les avait lu, elle ne pouvait pas manquer de me reconnaître bien que tu ais changé les noms. Les descriptions que tu fais des personnages réels sont vraies et il est évident que j'étais la Marie-Claude de ton histoire.
- Elle était rouge comme une pivoine. Dit Séverine contente de son effet.
Elle poursuivit en rassurant Marie-Claude qu'elle était totalement au courant de nos relations passées, en la remerciant d'avoir refusé de les reprendre en son absence et en commençant son entreprise de charme. Marie-Claude succomba à Séverine et elles conclurent leur récit en disant en cœur :
- Et après, on a baisé toutes les deux comme des bêtes.
Ce à quoi Marie-Claude ajouta sur le ton de la confidence :
- Et puis, je n'étais pas fâchée de baiser avec toi de nouveau. Je dois bien avouer que ces deux années m'ont paru longues sur le plan « cul ». Entre des amants un peu fatigués et des branlettes le soir devant ma télé, c'était pas vraiment le top...
Cela s'était passé pendant une semaine où j'étais en déplacement pour mon boulot et elles décidèrent d'attendre le bon moment pour me faire la surprise.
Après un petit dîner, nous avons recommencé nos ébats dans la chambre d'amis. La soirée se termina très tard dans la nuit quand Marie-Claude, épuisée de jouissance,fût la première à demander grâce.
Depuis ce jour, Marie-Claude a repris l'habitude de traverser le palier totalement nue pour venir nous rejoindre plusieurs fois par mois. La principale différence, maintenant, c'est que c'est Séverine aussi peu vêtue que notre voisine qui lui ouvre et les deux filles s'embrassent longuement devant notre porte.