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Proposée le 28/07/2013 par Camelia.
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Sa main passa dans mes cheveux comme une caresse. Délicatement, il termina son cheminement vers la bretelle de mon épaule qu'il baissa sans résistance. Il plongea alors sa bouche vers mon cou. Je frissonnais plus de dégoût que de plaisir face au toucher de cette peau rocailleuse et de ses lèvres abîmées par l'age certain de son propriétaire. Sentant ma résistance et mon cou qui se baissait par réflexe il me regarda.
- Tous ces cadeaux se paient ma p'tite. Alors laisse toi faire.
Mon corps entier se crispa sous cet ordre que je jugeai dégradant. Mais qu'attendais-je au juste?
C'était il y a quelques jours même quelques mois; Cet homme que je rencontrai dans ce parc. Un vieux qui cherchait quelqu'un pour parler je me suis dis. Quelle erreur, aussitôt mon numéro donné de manière naïve il faut le dire fut une erreur quand il me dit qu'il pouvait être très généreux si j'étais très tendre. Je riais nerveusement. Le lendemain et les jours suivant il m'appela. Jeune étudiante sans vraiment d'argent, les semaines passèrent, puis les mois et enfin encore une énième facture et un énième coup de téléphone. Après tout, il est si vieux que je ne risque rien. L'idée faisait son chemin et l'appât d'un argent facile aussi. J'étais alors la maîtresse d'un homme marié, qui de toute manière ne laisserait pas sa femme pour moi et je le savais et l'acceptai. Mais les soupçons de sa femme et une mutation nous empêchaient de nous voir. Nous empêchaient.. de toute manière il n'y avait que lui que ça empêchait, pendant que moi je cherchais de quoi subvenir à ma vie par de petits boulots et aux trajets qui me menaient à cet homme que j'aimais et dont je ne resterai qu'un amusement. Alors ce vieux, Jean, 80 ans au moins.. qu'est ce qu'il m'aurait fait à par quelques caresse contre de fortes sommes d'argent. Qu'est ce qu'étaient de petites caresses après tout'
Me voilà alors sur le pallier de sa porte, en petite robe légère et talon. Une jeune femme de 24 ans. Ni vraiment très belle ni vraiment moche. Ni grosse ni maigre. des hanche, une poitrine généreuse et de la taille. Les cheveux long d'un châtain dorés, de grands yeux noirs.
La porte s'ouvrit sur un homme avec de l'embonpoint, des cheveux parsemés et blancs, un nez plutôt rond et une évidemment des plis sur le visage, sur ses main, sur son corps que j'imaginais alors. Je ne savais plus quoi faire, je voulais partir mais pourtant je restais. Je m'assis à son invitation dans son salon à la décoration baroque ornée de milliers de livres. Appartement cossu en plein Paris. Me voilà rassurée sur un point, l'argent n'étais pas son souci. Il ne voulait que la chair fraîche d'une jeune femme, profiter une dernière fois avant son grand voyage. Je comprenais la chose. Il est vrai qu'un homme de son âge n'avait guère de chance de se retrouver avec la jeunesse dans ses mains à moins qu'il en paie le prix. J'étais sa Marie Duplessis, Sa Marguerite Gautier, Sa Dame aux camélias à ce moment précis. Un cadeau. Un collier. Un autre. Des bas blanc. Un autre. Un porte-jarretelles assorti et il vint prendre son remerciement. Crispée comme j'étais. Il chemina ses mains sur mon corps. Il me dit que j'étais belle. Il continua jusqu'à faire glisser le haut de ma robe et me mettre en soutien-gorge. Il s'arrêta devant se spectacle. Goûta ma peau. Ses mains expertes sur mon corps descendaient jusqu'à mon intimité qui s'humidifiait malgré moi. Il leva doucement le bas de ma robe jusqu'à frôler ma culotte tout en prenant dans sa main un de mes seins trop gros pour lui, le serra avant de le libérer de son carcan fait de dentelle. Il y approcha sa bouche pour y introduire mon téton pendant que ma tête s'échappait vers l'arrière. Il frôla encore mon petit bouton de son autre main avant de serrer mon seins fortement, avec tellement de force qu'un cri s'arracha de ma gorge. Il me regarda. Il me sourit. Il me dit d'y penser et que je pouvais partir pour cette fois. Je remis en place ce qu'il y avait à mettre et m'apprêtait à partir quand il me dit.
- Vous pouvez devenir riche pour pas grand chose voyez ma grande... pensez-y.
Je pris mes affaire. Entre les bas, 5 billets de 200 euro.
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