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Proposée le 26/06/2013 par minikiller
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Sophia était une fille très spéciale. Tout d'abord, sur le plan physique, elle était plus que désirable. Fine, avec de longues jambes, elle avait de longs cheveux noirs, bien entretenus. Sa peau, blanche, était lisse, surtout au niveau du visage. Aucune trace de boutons, ou de tâche de naissance gênante. Des yeux noirs, un nez fin, et un sourire charmeur. Mais sa perfection se percevait surtout au niveau de ses formes : des seins fermes, qui ne pendaient pas, qui ne s'écartaient pas, qui étaient parfaits, et des fesses bien dessinées, formant presque un cœur, qui attiraient le regard de tout homme, ou femme, qui posait le regard sur elle.
Sophia se savait belle, elle connaissait son charme, la fougue qu'elle pouvait provoquer chez les hommes. Et ça ne la gênait pas, ça ne l'intimidait pas, bien au contraire, elle aimait ça. Le désir qu'éprouvaient les hommes pour elle lui permettait de les manipuler, de les contrôler. Elle ne les utilisait pas. Elle pouvait le faire, et ne le faisait que pour assurer un éventuel besoin, mais sinon, il lui suffisait d'éprouver cette sensation de soumission de l'autre pour qu'elle soit satisfaite. Elle n'était pas nymphomane, loin de là. Enfin, elle aimait le sexe, bien sûr, mais pour elle, sa principale utilité était d'assouvir son désir, sa recherche perpétuelle du contrôle. Ainsi, elle aimait la surprise. De manière générale, elle ne draguait pas dans les bars, ne chauffait pas des hommes en boîte de nuit, mais les traquait en plein jour, en public, aux yeux de tous le monde, lorsqu'ils s'y attendaient le moins.
Ainsi, elle était là, assise dans le métro, en direction de son boulot. Habillée très provocante, comme à son habitude : une mini-jupe noire et un tee-shirt blanc très décolleté. Pas de sous-vêtements, elle en mettait de temps en temps, mais pas souvent.
Il n'y avait pas énormément de monde dans la rame. Sophia rêvassait un peu. Un adolescent en fasse d'elle ne cessait de la fixer. Elle s'en rendit compte rapidement, et la situation la fit sourire. Alors, elle le regarda droit dans les yeux, mordilla sa lèvre inférieure, et lui fit un petit clin d'œil accompagné d'un sourire charmeur. Elle décroisa ses jambes, remonta le pan de sa jupe, et la souleva légèrement. Le jeune homme en face devait avoir une vue directe sur sa vulve. Ses yeux s'agrandirent de surprise, et il était bouche bée. Voilà ! C'est ça qu'elle aimait, qu'elle savourait. Cette sensation de pouvoir, juste en soulevant un petit bout de tissu. Elle posa son doigt sur son sexe, chatouilla un peu les lèvres, et les ouvrit avec deux doigts pour en offrir la vue à son voisin. Elle perçut même la bosse qui se formait sur son jean. Les gens autour ne se rendaient même pas compte de ce qui se passait, c'était entre elle et lui.
Le métro s'arrêta là ou Sophia devait sortir, et elle partit, laissant l'adolescent, le regard vide et la bouche toujours béate. Elle savait qu'il n'allait maintenant penser qu'à elle pendant toute sa journée, se demandant s'il allait la recroiser un jour. Elle savait que, rentré chez lui, il allait se précipiter dans sa chambre, la fermer à clé, prendre un paquet de mouchoirs, et se masturber en pensant à elle. Il savait que son image resterait gravée à jamais dans sa mémoire, qu'elle le marquerait pour la vie.
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- Bonjour, vous désirez ? demanda Sophia.
- Un café simplement pour moi, répondit le premier homme.
- Et pour vous monsieur, dit-elle en se tournant vers le deuxième.
- Pareil, s'il vous plait.
- Très bien, je vous apporte ça tout de suite.
Elle repartit derrière le bar, en quête de deux tasses pour préparer les boissons. Lorsqu'elles furent prêtes, elle les posa sur un plateau, et repartit vers la tables ou les deux hommes attendaient. En distribuant les cafés, elle se pencha exagérément vers chacun d'eux, mettant en valeurs sous leurs yeux sa poitrine qui penchait vers l'avant, essayant de sortir de son décolleté. Par la même occasion, d'autres clients en profitaient surement pour mater son cul. Les deux hommes la regardaient d'un air ahuris, ce qui l'amusa, et lui fit plaisir. Aussi, c'était son attitude quotidienne en vers les clients masculins, sauf pour les couples : elle ne voulait pas être irrespectueuse aussi ouvertement en vers leur copine. Sinon, elle n'hésitait pas à mettre en valeur ses formes, faisant profiter aux hommes la vue de sa poitrine, d'un chemisier un peu trop ouvert, d'un sein qui parfois malencontreusement s'échappait. Les pourboires élevés en étaient conséquents.
Aujourd'hui, en regardant son tee-shirt blanc, elle eut une idée qui sortait de l'ordinaire. Sans réfléchir, elle fonça vers Marcus, qui apportait une carafe d'eau à une table. Faisant mine de ne pas l'avoir vu, elle le percuta violemment. La collision n'éclaboussa aucun client, Dieu merci, mais son tee-shirt s'en retrouva complètement trempé. Marcus se confondit en excuse, mais elle sourit, le rassura, et alla en direction du bar pour chercher une serpillière. Sur le chemin, elle examina son état. Son tee-shirt était devenu presque totalement transparent. Avec le froid de l'eau, ses tétons pointaient, et n'étaient que trop visibles. Satisfaite, elle retourna dans le restaurant. Tout le monde la regardait. Marcus ne pouvait détacher ses yeux de sa poitrine, les gens n'avaient d'yeux que pour elle. Finalement, il lui proposa de s'occuper lui-même de nettoyer, et lui dit d'aller se sécher dans les toilettes. Elle accepta, sachant qu'elle ne pouvait rien faire de spécial après tout.
Alors qu'elle allait entrer dans les toilettes des filles, elle se rendit compte qu'un des hommes à qui elle avait servi un café allait dans celles des garçons. Poussée par son instinct, et l'excitation des derniers événements, elle changea de direction, et le suivit. Lorsqu'elle ferma la porte, il se retourna et se rendit compte de sa présence.
« Euh... je me suis trompé de côté ? »
Elle mit son doigt sur sa bouche, pour lui signaler de faire silence. Elle lui prit la main et l'entraîna dans une des toilettes. Elle ferma la porte à clé, et embrassa l'homme. Il eut le même air ahuri que précédemment, mais encore plus poussé. Elle enleva son tee-shirt, laissant respirer ses seins mouillés, et s'agenouilla en écartant les jambes. Elle défit la ceinture, et déboutonna le pantalon de l'homme, et le descendit. Elle leva la tête et se délecta de plaisir en voyant l'air indécis de l'homme. Mais comme il ne faisait rien pour l'en empêcher, elle baissa son caleçon, faisant sortir son sexe, déjà en érection. Elle embrassa le bout de la berge, puis le goba d'un seul coup. En quelques allers-retours l'homme se mit à gémir, pencher sa tête en arrière, et presser celle de Sophia vers son sexe. Quelques allers-retours de plus, et il libéra sa semence d'un un gémissement satisfait. Sophia, qui avait sentit le coup arriver, fit en sorte que le sperme s'étale sur sa poitrine. Elle joua encore un peu en mettant le sexe de l'homme entre ses seins. Enfin, elle nettoya avec la langue la goutte qui restait au bout de son sexe, se leva, et remis son tee-shirt tel quel, sans essuyer sa poitrine. Elle sentit le sperme s'étaler sur elle. Elle sortit, laissant l'homme encore la verge à l'air, qui semblait encore incrédule par rapport à ce qui venait de lui arriver. Elle passa juste un peu d'eau sur le sperme en haut de sa poitrine, et sortit, reprendre son boulot.