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Proposée le 22/06/2013 par novier
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Patricia était allongée dans son lit ce dimanche soir. Son mari Jean-Marc lui faisait l'amour en position du missionnaire. Il était plus de 23 heures et c'était leur rendez-vous amoureux dominical qui avait généralement lieu tous les 15 jours. Amoureux n'était peut-être pas le mot approprié, il faudrait plutôt parlé de devoir conjugal. En effet, dans leur couple, une routine sexuelle certaine s'était installée, au grand désespoir de Patricia.
Elle l'avait épousé lorsqu'elle avait 23 ans et elle était encore vierge pour sa nuit de noce. Elle habitait un petit village de campagne et avait grandi dans une famille catholique dans laquelle on ne rigolait pas avec la moralité. Patricia était la fille aînée et sa mère lui avait très peu parlé de sexualité, préférant surtout la mettre en garde contre les garçons. Elle en avait un peu discuté avec ses amies, mais on parlait beaucoup moins de ces choses à cette époque. Elle avait beaucoup craint son premier rapport sexuel, mais son époux avait été doux et délicat. Bien sûr, la rupture de son hymen avait été un peu douloureuse, mais Jean-Marc l'avait longuement caressée pour la détendre. Elle n'avait pas joui mais en gardait encore aujourd'hui un souvenir attendri. Elle avait eu trois filles dont deux étaient déjà mariées. La cadette, Laurence, venait de commencer des études universitaires et rentrait à la maison uniquement les week-ends.
Jean-Marc n'avait même pas enlevé la chemise de nuit de sa femme. Il l'avait relevée à hauteur des seins de son épouse et lui avait retiré sa petite culotte en coton blanc. Avant de rejoindre Patricia, il avait commencé à regarder un film érotique à la TV. C'était devenu une habitude. Sa fille partait toujours juste après le repas du soir pour regagner la ville où elle louait une chambre laissant ses parents seuls pour la semaine dans leur grande maison. Le film rose était nécessaire pour l'exciter et l'aider à bander. Jean-Marc était jardinier, très manuel mais complètement dépassé par la technologie. Il ne savait pas utiliser un ordinateur, à son grand désespoir car en parlant avec des amis, il avait compris que sur internet il aurait pu voir des images ou des films beaucoup plus hard que ces films du dimanche soir. Seul devant la télévision, dès les premières images sensuelles, il passait sa main droite dans le bas de son pyjama et commençait à se masturber.
Patricia était au courant du petit manège de son mari. Au début, elle avait été un peu vexée qu'il regarde ces films avant leurs rapports sexuels. Elle aurait préféré s'occuper elle-même de son pénis, de le masturber mais il n'y avait plus de préliminaires depuis longtemps. Elle s'amusait donc à l'observer discrètement devant la TV en train de se branler depuis la cuisine. Elle baissait sa culotte et se caressait, jouant avec ses lèvres et rapidement se doigtant. Puis elle titillait son clitoris. Elle ne restait pas longtemps car elle ne savait jamais quand son époux se lèverait pour la rejoindre dans la chambre. Ses quelques caresses lui permettaient de lubrifier un peu son vagin et permettre une pénétration plus aisée. A presque 50 ans, elle ne mouillait plus comme une jeune fille ! Elle regagna son lit et Jean-Marc arriva juste après elle. Il s'était bien branlé devant les jolis seins des actrices du film et son sexe était assez dur pour pénétrer sa femme. Sans un mot, il lui écarta les jambes, prit sa queue à pleine main et la dirigea vers le sexe de son épouse. Il entra en elle et commença des mouvements de va-et-vient. Patricia aimait sentir le pénis de son homme en elle, les frottements à l'intérieur de son vagin. Elle aurait aimé que ce moment dure mais malheureusement si son mari avait de la peine à avoir une bonne érection, il n'avait pas de problème pour éjaculer. Au contraire, il avait toujours joui rapidement laissant encore une fois Patricia frustrée. Si seulement il avait continuer leurs ébats par des caresses manuelles ou buccales, mais il se retira, alla au toilettes uriner puis revint se coucher en souhaitant bonne nuit à son épouse. Elle avait pris l'habitude de prendre une douche après leurs rapports et à l'aide de ses doigts et de la pression de l'eau, elle arrivait ainsi à se donner du plaisir.
Ses rapports sexuels étaient donc limités à ce coït dominical tous les 15 jours sauf lorsque Patricia était indisposée. Lorsqu'elle avait ses règles, son mari ne la touchait pas et la pénétration avait lieu le dimanche suivant. Patricia était insatisfaite sexuellement mais sinon Jean-Marc était un très gentil époux et un papa poule avec leurs trois filles. Elle ne l'avait jamais trompé et ne voulait pas le quitter. Elle ne connaissait pas les raisons du manque de libido de son homme. Elle avait plusieurs fois essayé d'en parler avec lui calmement mais il ne se livrait pas. Chez leurs amis, c'était toujours la femme qui délaissait le sexe en prenant de l'âge, mais pas chez eux. Elle supposait que Jean-Marc avait peut-être un problème de prostate, car elle était certaine qu'il était fidèle.
Un évènement familial se produisit un week-end et influença la vie sexuelle de Patricia. Sa fille Laurence était rentrée à la maison le vendredi soir. Elle avait depuis plusieurs mois un petit copain Manuel qui faisait également des études mais pas dans la même ville qu'elle. Ils se voyaient donc uniquement les fins de semaine. Après que Laurence eût présenté son amoureux à ses parents, Patricia les avaient laissés dormir ensemble à la maison. Elle en avait fait de même pour ses deux premières filles. Elle préférait qu'elles aient une sexualité épanouie, stable et des rapports protégées. Elle avait d'ailleurs emmené ses trois adolescentes chez son gynécologue pour qu'il réponde à leurs questions et plus tard qu'il leur prescrive la pilule.
Le dimanche matin après le petit déjeuner, Laurence approcha sa mère toute gênée. Elle lui avoua qu'elle avait dû changer les draps de son lit, car il y avait eu un petit incident la nuit passée. Patricia regarda sa fille perplexe sans rien dire. Laurence finit par lâcher toute rouge que le drap était tâché de sperme. La mère croyait que Manuel utilisait des préservatifs pour se protéger du sida. La fille lui expliqua que c'était le cas jusqu'au week-end dernier, mais qu'ils avaient refait un test HIV cette semaine et comme le résultat était négatif pour tous les deux et que leur relation était stable, ils n'avaient pour la première fois pas mis de capote. Elle raconta à sa maman qu'à la fin du rapport sexuel, lorsque Manuel s'était retiré, une grande quantité de sperme était ressortie de son vagin et était tombée sur le drap. Patricia eut un petit sourire, elle réconforta sa fille malheureuse et gênée en lui disant que ça n'était pas grave, qu'elle ferait une lessive le lendemain. Elle lui chuchota à l'oreille alors que son mari entrait dans la cuisine qu'elle déposerait à l'avenir au pied de son lit un grand linge qu'ils pourraient placer sur les draps et un paquet de mouchoir pour éviter ce genre de problème.
Le lendemain, avant de faire la lessive, Patricia eut la curiosité d'ouvrir le drap souillé. La tâche avait séchée mais elle fut surprise par la grosseur de la tâche. Elle se dit que le copain de sa fille devait envoyer une quantité de sperme incroyable lorsqu'il déchargeait. Cette pensée lui trotta dans la tête toute la semaine et dans la nuit du jeudi, alors que son mari dormait profondément à ses côtés, elle se caressa en pensant à Manuel faisant l'amour à sa fille. Cette nuit là, elle mouilla abondamment. Le vendredi matin, elle se demandait ce qui lui arrivait et comment elle pouvait avoir ce genre de pensées lubriques. Elle savait que ces trois filles étaient sexuellement actives, la première avait déjà eu un enfant. C'était la première fois qu'elle y pensait d'un point de vue non pas maternel mais comme une femme excitée. L'après-midi lui vint une idée encore plus salace. Il lui arrivait de garder son petit-fils à la maison. Le mari de sa première fille était informaticien et avait installé une petite caméra dans la chambre où dormait son fils reliée à l'ordinateur de sa belle-mère pour que Patricia puisse le contrôler depuis le rez-de-chaussée de la maison. Le bébé avait grandi et la caméra ne servait plus. Patricia l'avait conservée pour ses prochains petits-enfants. Elle décida de l'installer discrètement entre deux livres dans la petite bibliothèque de la chambre de sa dernière fille. Elle était assez douée et n'eut aucune difficultés à faire les branchements nécesssaires. Elle vérifia dans la chambre que la caméra n'était pas visible et que sur son PC, elle avait une bonne vision sur le lit. Elle contrôla ensuite que la caméra enregistrait bien les images. Tout fonctionnait à merveille !
Le vendredi soir, Laurence puis Manuel arrivèrent à la maison et y passèrent le week-end. Patricia alla retirer la caméra dans la chambre de sa fille le samedi matin, mais elle n'osa pas ouvrir son PC. Laurence la remercia avec un clin d'oeil pour le linge et lui dit qu'ils avaient fait attention. Le dimanche soir, Patricia eut droit au rapport sexuel avec son mari avec toujours le même rituel. Toutefois, sous la douche, elle ne se masturba pas, elle préféra remettre ça au lendemain matin lorsqu'elle serait seule et qu'elle visionnerait son petit film.
Ce lundi matin, Patricia s'installa toute fébrile devant son ordinateur. Elle l'alluma et constata avec soulagement que des images avaient bien été enregistrées. Elle commença le visionnement du film : rien d'intéressant jusque vers minuit. A ce moment, sa fille était de dos assise à son bureau, elle semblait lire un document et est seule dans la pièce. Patricia se souvenait que Manuel avait pris une douche assez tard. Il n'y avait pas de salle de bain au premier étage et il se nettoyait donc au rez-de-chaussée puis il avait l'habitude de remonter uniquement avec un linge autour de la taille. Lorsqu'il arriva dans la chambre, il se colla au dos de la chaise où était assise Laurence. Il se pencha et l'embrassa tendrement dans le cou. Il ne s'agissait pas d'un seul baiser mais de plusieurs. Puis on vit ses mains passer devant son amie, Patricia devina alors qu'il était en train de caresser les seins de sa fille. Elle remarqua alors la main gauche de sa fille tirer sur le linge et le faire tomber. Patricia avait maintenant une superbe vue sur les fesses de Manuel. Il était grand, mince et avait vraiment un joli petit cul ! Laurence était toujours assise, sa main était maintenant remontée à l'entrejambe de son copain et semblait tirer sur son pénis. Patricia avait les yeux qui brillaient, elle découvrait que sa fille n'était pas coincée et était plutôt directe dans ses approches sexuelles. Laurence se leva, son ami lui enleva son t-shirt. Elle avait déjà enlevé son soutien-gorge et se retrouvait uniquement avec son petit shorty. Ils s'embrassèrent longuement et amoureusement, leurs mains parcouraient mutuellement leur dos puis leurs fesses.
Patricia était toute émoustillée, l'excitation l'emportait sur le côté malsain de voir sa fille aimer ce garçon. Elle avait la main dans sa culotte et se caressait la fente. Les images continuaient de défiler sur son écran. Manuel s'agenouilla devant sa copine. Il fit descendre tout doucement le sous-vêtement en continuant à la regarder droit dans les yeux. Il lui écarta les jambes et approcha sa bouche vers le sexe de Laurence. Patricia aurait aimé avoir une autre caméra de côté pour mieux voir ce qu'il fabriquait. Elle avait eu le temps de constater que sa fille s'était presque intégralement épilée le pubis. Manuel resta de longues minutes dans cette position à lui lécher le minou. De temps en temps, il s'aidait de ses doigts pour donner encore plus de plaisir à son amoureuse. Laurence avait l'air d'apprécier, elle tenait la tête de son amant et semblait la lui coller encore plus fortement sur son sexe. Patricia était scotchée devant son écran, elle avait sa culotte sur les mollets et deux de ses doigts étaient maintenant à l'intérieur de sa grotte déjà toute humide. Au mouvement de hanches de sa fille puis au rictus de son visage, il lui semblait qu'elle avait joui.
Manuel ne voulait pas en rester là, il amena Laurence sur le lit et la positionna sur les genoux le dos penché en avant. Le coquin voulait la prendre en levrette. Patricia avait une vue parfaite de profil sur la scène. Elle pouvait constater que l'ami de sa fille avait une belle queue, longue mais qui lui semblait être plus fine que celle de son mari. Il était déjà en elle mais prenait un malin plaisir à rentrer son pénis puis le ressortir complètement de la chatte de Laurence. Puis il continua ses mouvements de pénétration au début lentement puis de plus en plus rapidement et surtout profondément. On pouvait voir ses testicules frapper les fesses de son amie, alors que les petits seins de la fille balançaient dans tous les sens.
Patricia eut un grand sourire lorsqu'elle remarqua le linge qu'elle avait déposé était déplié et placé sur le lit. A l'image, Manuel continuait ses coups de boutoir. Patricia doutait qu'il pourrait tenir ce rythme encore longtemps et effectivement elle le vit d'un coup se pencher et se coller à Laurence parfaitement emboîté en elle. Il lui prit les deux seins à pleines mains et sembla les serrer fortement. Il appuya de tout son poids sur sa copine et les deux s'écroulèrent sur le lit. Il donna encore deux à-coups et les muscles de ses fesses se contractèrent. Ils restèrent tous les deux immobiles de longues minutes. Patricia devina qu'il venait d'éjaculer. Elle était fiévreuse devant son écran, ses deux doigts étaient gluants de cyprine. Elle n'eut qu'à effleurer son clitoris pour jouir d'une manière si intense qu'elle cria. Elle reprit peu à peu ses esprits et vit alors sa fille et son copain allongés nus sur le lit serrés côte à côte. Laurence avait la tête posée sur l'épaule de son ami. Cette image transpirait l'amour qui les unissait.
Patricia avait pris un plaisir fou à visionner ce film mais elle était décidée à ne pas en rester là...