Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Proposée le 12/06/2013 par Eola
ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
Un jour de travail comme tous les autres, ou presque, une cliente pas comme les autres passa le palier du magasin. Nos regards se croisaient, je ne pourrais jamais oublier ses yeux gris clair entourés d'une couronne plus foncée, ses yeux en amande, ses yeux qui me transperçaient avec force. Cette femme rousse à la peau si claire si elle n'avait pas eu ces taches de rousseur sur tout le visage, sur sa poitrine et sur ses bras. Quand elle me remarqua, son visage s'illumina. Ma femme, mon soleil, venait d'entrer.
Depuis que nous sommes ensemble c'est la première fois qu'elle passait me chercher à mon travail. Elle s'était faite tellement belle, qu'une douzaine d'images et d'idées m'étaient passées par la tête.
Comme tous gentleman qui se respecte, je lui présentai mon bras, et nous partons donc pour rentrer dans notre « chez nous ». Arrivés chez nous, une douce odeur provenait de la cuisine et dans la salle à manger une table dressée avec deux, chandelles et une rose rouge nous attendaient, elle avait passé sa journée à préparer cette soirée qui s'annonçait particulièrement riche en rebondissements.
Elle commença par m'emmener dans le dressing pour que nous enfilions des tenus adaptées à l'occasion. Smoking pour monsieur et robe de cocktail pour madame. Pour m'éviter de profiter de ce moment pour sauter le dîner, elle me fît me changer à trois mètres d'elle et interdît tous contact physique entre nous jusqu'à ce que nous arrivions à table.
Pour l'apéritif, elle avait prévu un champagne rosé accompagné de toasts au saumon, pour le plat de résistance, magret de canard grillé avec ses pommes de terre sautées à la graisse de foie gras, une bouteille de Merlot, et sa jambe glissée sur la mienne. Et pour le dessert, elle avait commandé au pâtissier, en bas de chez nous, de petits entremets chocolat et gingembre qu'elle agrémenta d'une bouteille de Gewurztraminer.
Après avoir bien mangé et bien bu, je la pris dans mes bras pour l'emmener dans notre chambre. Elle prît dans sa table de nuit un joint qu'elle commença à fumer tranquillement allongée avant de se coucher. Dès lors qu'elle me passa le joint, elle se colla à moi en m'embrassant sur la bouche, puis la joue, puis le cou. Elle me chevaucha et commença à retirer ma chemise pendant que je fumais. Quand je lui rendis le joint, elle resta à cheval sur moi, ce qui me donna envie de piquer une tête dans son décolleté pendant que mes mains se chargeaient de sa robe. Après avoir défait sa robe, je me mis à l'embrasser dans le cou, ce qu'elle prit pour une réclamation du joint et me fît fumer un coup, puis une soufflette qui dérapa vers des embrassades acharnées et passionnelles.
Le joint terminé, ma femme se rua sur moi à m'embrasser, mes mains se baladant sur son corps et les siennes s'attaquant à mon pantalon. Nous sommes tous deux en sous-vêtements, ce qu'elle ne mît pas longtemps à retirer de ses formes particulièrement excitantes ainsi que de mes hanches.
Elle et moi étant déjà bien excités et pas très patients, elle commença par s'installer sur moi et à se pencher en arrière, et pour ma part je me redressai pour lui embrasser, lécher et mordiller le bout de ses seins et sa poitrine en général. Nos respirations bruyantes se synchronisaient, notre plaisir commun s'en trouva décuplé et à force de va-et-vient, sa jouissance monta et elle se mît à pousser de petit cris, ce qui fît monter la mienne.
Son corps trempé de sueur tomba sur le mien, quand nos regards se croisèrent, ils déclenchèrent un rire commun, elle m'embrassa un court instant avant de partir farfouiller dans sa table de nuit d'où elle sortit deux paires de menottes qu'elle s'empressa d'attacher au montant du lit et à mes poignets. Elle m'embrassa et sortit de la chambre en tenue d'Eve, tout en me laissant attaché au lit en tenue d'Adam.
Quand elle rentra dans la chambre, dix minutes plus tard, elle portait un corset raillé noir et blanc en vertical, de la dentelle noire sur la poitrine et un petit nœud rose entre les seins, un petit tanga en dentelle noire, des bas également surmonté de dentelle noire accompagné de leurs porte-jarretelles, des escarpins noirs laqué et pour finir un rouge à lèvre rouge sang parfaitement appliqué sur ses lèvres pulpeuses. Elle avança vers moi en me regardant d'une manière qui me dit tout ce qu'elle me réservait.
La voyant s'approcher de moi avec entrain, je me redressai. Arrivant au pied du lit, elle continua sa route jusqu'à moi, à genoux telle une tigresse en chasse, et en ne cessant de me regarder dans les yeux. Elle se stoppa qu'à deux petit centimètres de mon visage, nos lèvres se joignirent une fois de plus avant qu'elle ne monte tout en faisant glisser ma tête dans son décolleté où j'en profitai pour placer quelque baisers et sans s'arrêter elle me fît descendre jusqu'à sa partie intime.
Elle toujours habillée et moi toujours nu sans compter ces deux merveilleux bracelets que ma chère et tendre m'avait mis. Nous étions bien partis pour continuer notre folle nuit.
Arrivé à son entre-jambes, cette dentelle collée à mon visage que j'embrassai sans retenue jusqu'à ce qu'elle lui colla à la peau. Etant sur le point de me noyer, je lui arrachai sa dentelle avec les dents, mes mains étant indisponibles.
Les morceaux de son dessous gisaient sur les bords du lit, pendant que j'embrassai avec vigueur, ce qu'il y avait autrefois dessous. Cette peau lisse sous mes lèvres, s'ouvrit au passage de ma langue, qui se mit à jouer avec ce petit bouton.
Pendant que ma langue jouait, mon regard monta pour admirer celle à qui je prodiguai un plaisir certain en vue de sa réaction. Elle était si excité et en voulait encore plus, son bassin se tortillait autour de ma langue. L'une de ses mains était agrippée à mes cheveux et l'autre avait découvert l'un de ses seins pour en titiller le bout du bout des doigts. Son magnifique visage était cependant hors de mon champ de vision, caché par son bras et son corps de déesse.
Quand elle descendit, sa respiration avait couru un marathon et pourtant elle ne s'arrêta pas là et continua à descendre. Elle s'installa à genoux au-dessus de ma jambe et y colla sa partie intime tout en me regardant dans les yeux avec un grand sourire. Elle fît glisser sa poitrine à moitié dévêtue sur une partie sensible de mon anatomie.
Ses lèvres venaient se rapprocher de cette partie pour y déposer un baiser qui la fît sursauter, à ce réflexe un grand sourire apparut sur son visage. A ce moment seulement, elle l'empoigna de sa main droite tandis qu'avec l'autre, elle enfonça ses ongles dans mon torse. Elle commença à faire glisser sa main le long et l'embrassa à l'extrémité. De temps en temps, quand elle sentait que j'approchais du point de non-retour, elle stoppa ses aller-retour pour profiter de moi aussi longtemps qu'elle le pourrait, jusqu'à ce qu'elle décida d'avancer en me faisant exploser dans sa bouche.
Après avoir avalé en me regardant dans les yeux, elle remonta et m'embrassa à pleine bouche un long moment, avant de détacher mes menottes. Une fois libéré de mes entraves, je la pris dans mes bras pour la renverser et prendre sa place. Une fois sur elle, je lui détachai son corset en retirant les lacets de chaque côté simultanément, à ce moment précis, je me sentais comme un enfant sur le point d'ouvrir un Kinder surprise en deux et de découvrir la surprise.
Cette surprise à la peau si douce, sur laquelle je sautai pour jouer avec. Cette surprise où je mis une main sur la hanche et l'autre sur le côté de la tête et l'embrassa, ses jambes qui se croisaient dans mon dos et m'empêcha de m'enfuir.
Malgré son étreinte, je me dégageai et allai prendre une douche pour me rafraîchir. Ne pouvant pas attendre plus de cinq minutes, elle me rejoignît. Elle arriva derrière moi, se colla à moi, mît une main sous l'emplacement de ma ceinture et l'autre sur mon torse où elle planta une fois de plus ses ongles. Mon torse déjà bien marqué et ensanglanté ne s'en porta que plus mal quand elle fît glisser avec force ses ongles.
C'est dans ce genre de moment que l'on remarque que le plaisir et la douleur sont extrêmement proches, car à ce moment je ne ressentais aucune douleur mais en revanche une jouissance m'envahissait, complétée pas sa main plus basse qui m'avait empoigné et avait commencé à me donner du plaisir et tous cela en m'embrassant et me mordant le cou.
Elle lâcha prise, me retourna et prît mon visage entre ses mains. Elle me regarda dans les yeux, l'air interrogatif et en voyant mon regard plein de malice, son expression de visage changea et vint rejoindre la mienne. Elle se mît à m'embrasser, avec une fougue qu'elle n'avait encore jamais eu auparavant. Elle m'embrassa, elle me mordit à m'en faire saigner la lèvre.
L'eau de la douche coulait sur nos corps nus. Je posai mes mains sur ses fesses, elle fît grimper ses jambes sur mes hanches, ses mains passaient de sur mes joues à derrière ma tête, tout en continuant à s'embrasser. Dès lors que je commençai à rapprocher son bassin du miens, elle arrêta de m'embrasser, laissa tomber sa tête en arrière et gémît. Quand elle redressa la tête, elle vint coller son front contre le mien, nos mâchoires descendues, nos respirations violentaient ce moment si tendre.
Peu avant que j'arrête de la faire venir à moi, elle se remît à m'embrasser avant de descendre de mes hanches, de me lâcher. Elle se tourna, leva les bras, posa les avant-bras sur la paroi de la douche, écarta les jambes, se cambra, tourna la tête et me regarda d'une manière qui me disais « je t'attends ». Ses cheveux roux, entièrement mouillés comme son visage et son corps, se finissaient sous ses omoplates par de magnifiques pointes blondes.
L'eau qui coulait le long de son corps m'attirait, je pris ses hanches entre mes mains, me collai à elle, fît glisser mes mains sur son corps, l'une descendît à son entre-jambes et l'autre monta sur son sein, ma tête vînt se coller à la sienne, je dégageai une mèche de cheveux derrière son oreille. Je me mis à l'embrasser du bas du cou jusqu'à son oreille, je me mis à lui mordiller le lobe de l'oreille et elle pencha la tête de l'autre côté. Son oreille sous mes dents se mît à saigner, son sang se répandît sur mes lèvres. Je desserrai les dents, elle tourna la tête et m'embrassa, son sang se transféra sur ses lèvres.
Avant de finir notre affaire, nous sortîmes de la douche et retournâmes dans la chambre entourés dans une gigantesque serviette de bain, l'eau coulait de nos cheveux, de nos bras, de nos jambes, et de nos corps en général pour atterrir sur le sol tout le long de notre chemin, nous tombâmes sur le tapis devant notre lit, elle allongée sur le tapis, moi au-dessus d'elle, je retirai la serviette de mon dos pour lui essuyer le cou, les seins, le ventre et plus bas encore. Je la regardai dans son plus simple appareil, et je commençais à poser des baisers sur sa hanche avant de remonter le long de son ventre, entre ses seins, son cou et pour finir sur ses lèvres.
Elle me retourna pour finir au-dessus de moi, elle m'embrassa sur la bouche pour commencer puis descendît sur mon cou avant de me mordre. Elle continua à m'embrasser jusqu'à ce qu'on s'endorme enlacés.
A mon réveil nous étions encore sur le tapis devant notre lit, le soleil passait sur les contours des volets, nous étions l'un à côté de l'autre. Elle qui continuait à dormir, moi qui la pris dans mes bras et l'allongea sur notre lit. Quand je la déposai sur le lit, elle se réveilla, prît mon visage, m'embrassa et me fît passer au-dessus d'elle pour que je me retrouve allongé sous elle. Elle se retourna, elle était désormais dos à moi, son dos commençait à se tordre, ses hanches se tortillaient sur mon bassin, elle me regardait comme la veille dans la douche. C'est à ce moment-là que j'ai compris qu'elle s'était réveillée avant moi.
Après avoir compris son petit manège, je me dégageai en la faisant tomber sur le lit. Je me mis à genoux au pied du lit, attrapai ses chevilles, la tirai à moi, pris ses hanches entre mes mains, cognai son bassin contre le mien, une de ses jambe se replia derrière moi tandis que l'autre se tendît sur mon torse, elle bomba la poitrine, ses mains attrapaient la couette où elles le pouvaient. L'une de mes mains empoigna sa cheville contre mon torse et l'autre parcourait son corps de sa hanche à sa bouche en passant par son sein, son mamelon et son cou.
Arrivé à sa bouche, mes doigts caressaient ses lèvres, elles s'entrouvrirent et laissaient entrer un doigt qu'elle se mît à sucer, elle arrêta pour crier. A force de cogner son bassin, ses cris ne pouvaient plus être retenus, elle se mît à mordre sa propre main pour arrêter de crier, elle n'arriva pas à tenir, elle agrippa ses cheveux d'une main, tendît l'autre bras et le projeta contre le matelas.
Quand elle arriva au sommet du plaisir, j'arrêtai tout mouvement de bassin, ce qui ne lui fît pas spécialement plaisir. Elle relâcha l'étreinte qu'elle faisait avec ses jambes autour de ma taille, elle se redressa, me poussa par terre, se leva, se pencha en avant avec une jambe tendue comme si elle se reposait sur celle-ci, une main sur la hanche et l'autre qui vînt se poser sous mon menton pour me récupérer. En m'entrainant avec sa main, nos regards se croisaient de nouveau, elle me fît m'asseoir sur le lit.
Assis sur le lit, je me mis en tailleur, quand elle le remarqua un sourire presque mauvais apparu sur son visage. Elle s'installa sur mes jambes, passa les siennes derrière mon dos, fît de même avec ses bras, je commençais à l'embrasser dans le cou, pendant qu'elle commença à agiter son bassin, mes lèvres se déplaçaient sur sa peau douce, elles longeaient son bras, firent demi-tour, firent une pause sur sa clavicule, descendirent sur son sein, mes mains, l'une était posée sur le creux de ses reins pour ressentir toutes ses montées de plaisir, l'autre était installée entre ses omoplates pour savoir quand elles arriveraient.
Au bout d'un certain temps, elle retira ses jambes de derrière mon dos, me poussa pour que je me retrouve allongé sous elle, se retourna, s'allongea sur le dos sur moi, je pliai mes jambes et posai mes pieds sur le lit pour plus de stabilité. Elle était complètement détendue et ne demandait qu'à subir ce que je lui affligerai, mon bassin se souleva et ma main droite glissa jusqu'à son entre-jambes que mon majeur ouvrit, il s'infiltrait dans cette fente déjà bien humide, ma main gauche se glissa jusqu'au sommet de son sein droit, en passant sous le gauche, son mamelon que je pinçais entre les phalanges, mes lèvres étaient juste sous son oreille, ma main droite remonta jusqu'à sa bouche, mon doit humide caressa ses lèvres, ma main gauche descendît à son tour à son entre-jambes et y plaça deux doigts.
Mon bassin toujours levé avait avancé jusqu'à pouvoir se coller à ses fesses. Le plaisir l'attaquait par tous les côtés, sa respiration avait accéléré, son dos se courba comme pour dire à mon bassin d'avancer toujours plus loin, sa tête se pencha pour être mordu, ses cuisses se serraient et glissaient l'une contre l'autre pour que je continue et amplifie mes mouvements dans son entre-jambes, elle ouvrit la bouche et laissa entrer mes doigts pour les sucer comme une glace italienne, ses yeux qui étaient fermé jusqu'alors s'ouvrirent, tout comme sa bouche. Un cri qui venait du plus profond de son corps sortit mais il venait de si loin, qu'à chacun des assauts de mon bassin il sauta.
C'est alors que son dos revînt se coller à mon torse, son cri s'était terminé, j'arrêtais mes assauts. Nos deux corps se détendissent, nous étions exténués. Tout en reprenant sa respiration, elle me demanda si autrefois les gens faisaient l'amour comme nous venions de le faire?