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Proposée le 26/05/2013 par minikiller
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« Courage, juste une nuit à passer, et ça va pas être si chiant que ça... ».
François détailla l'intérieur du wagon. Un lit superposé d'un côté, quelque chose qui pourrait ressembler à un canapé de l'autre, et au-dessus le porte-bagage. Le tout dans une pièce de 2 m sur 3. Pas très pratique pour les claustrophobes... C'était 8h de trajet qu'il fallait subir, pour se rendre de Paris à Barcelone, en train.
Deux semaines à Barcelone, avec ses potes. C'était un voyage prévu depuis des mois. Ils passeraient leur temps à visiter, à profiter des boites, à draguer... Pour profiter un maximum de ce voyage, ils avaient accumulé des stocks d'alcools, de la bière à la vodka, et en passant par la tequila. Il y avait aussi à fumer, mais Français n'était pas particulièrement fan d'herbe.
Du haut de ses 17 ans, et en première S, François faisait parti de la catégorie "beaux gosses populaires" du lycée. Il était grand, possédait une certaine musculature, sans être bodybuildé. Il avait un visage agréable à regarder, des cheveux aussi noirs que ses yeux, et qui étaient comme toujours ébouriffés, lui donnant un certain style rebelle. Quant aux habits, il avait toujours une certaine classe, quoiqu'il mettait. Mais de manière générale, il préférait être en chemise ou tee-shirt avec jean, tandis que ses amis préféraient les bermudas. François se savait beau, mais, malgré un léger brin d'arrogance, il restait simple, gentil, et, dans la mesure du possible humble. C'est probablement cette personnalité qui faisait de lui un personnage agréable, ayant du succès.
Depuis toujours, il était arrivé à garder un équilibre entre travail et fête. Il savait quand est-ce qu'il fallait rester sérieux, et quand est-ce qu'il fallait se laisser aller. Et pendant ce voyage, il avait justement l'intention de se laisser aller.
Sur le plan sexuel, François avait déjà eu quelques aventures, pendant des soirées, mais rien de sérieux. Il maîtriser parfaitement l'art de convaincre quand il s'agissait de demander à fille de lui dévoiler son intimité. Il n'avait pas eu encore de relation sexuelle à proprement dite, pas plus loin que des préliminaires, mais savait faire des choses assez plaisantes, qui lui avaient values une certaine réputation. Il portait d'ailleurs le surnom de « Goldfinger », et ne savait toujours pas qui de Capucine ou de Marine avait inventé ce nom. Mais les rumeurs sur ses compétences avaient tourné, et curieusement, il s'en foutait complètement. Ça ne le gênait pas particulièrement, et il ne s'en enorgueillissait pas non plus.
Il était parti en premier, ses potes le rejoindraient deux jours plus tard, à cause des examens rattrapages qu'ils devaient passer, c'est pour ça qu'il voyageait seul. Et, quelle mauvaise surprise l'attendait dans son wagon ? Sa prof de français, Mme Rivière.
Il n'avait rien de spécial contre Mme Rivière, au contraire, il l'appréciait beaucoup, sur le plan physique comme moral. Elle était d'autant plus jeune que jolie, pour une prof. Elle devait avoir entre 25 et 27 ans. Mince, grande, ou en tout cas, ses talons la rendaient grande, avec des cheveux mi-longs qui pouvaient passer du brun au blond, du lisse au bouclé, en l'espace d'une nuit. Sa passion devait être de s'occuper de ses cheveux surement. François s'était déjà demandé quelle était leur couleur d'origine, mais n'avait jamais osé lui poser la question. Aujourd'hui, c'était des cheveux noirs, en queue de chevale. Son visage, bien qu'il gardait des traces d'une acné ravageuse qui était passée, était agréable à regarder.
Probablement grâce à sa jeunesse, elle entretenait avec ses élèves une relation presque amicale, réussissant à nouer des liens avec eux pendant les cours, tout en leur enseignant sa matière. Mais la rencontrer ici, dans ces conditions... Ce n'était pas vraiment l'idéal. François voulait s'éloigner de tout ce qui pouvait ne serait-ce qu'évoquer le lycée. Et on était en plein dedans.
Il se retrouvait seul avec elle. C'était... gênant. Pourtant, elle, n'avait pas l'air embarrassée du tout. Elle voulait faire la conversation, et lui posait des questions en rafale :
- Alors, premier voyage en solo ?
- Ouais.
- Première fois en Espagne ?
- Oui
- T'as des projets de visite déjà ?
- Euh, je sais pas trop en fait.
François n'était pas d'humeur. Il n'était vraiment pas à l'aise, et la situation ne lui convenait pas vraiment. Il prétexta vouloir dormir. Mais le sommeil ne venait pas. Après 1h à se tourner et se retourner, il abandonna, rouvrit les yeux, et constata que Mme Rivière lisait sur le canapé.
- Pas sommeil ? demanda-t-elle sans lever les yeux de son bouquin
- Pas vraiment, admit-il en souriant. Sa mauvaise humeur s'était dissipée.
- Prêt à discuter, ou tu fais toujours la gueule ?
- Ça va mieux, répondit-il en s'asseyant en tailleur sur son lit
Finalement, ils bavardèrent. Peu à peu, la langue de François se délia, et il se mit à lui parler comme il parlerait à une amie. Ils parlaient de tout et de rien, du voyage qui les attendait, des cours, de la vie quotidienne...
Au bout d'un moment, François se rendit compte qu'il se sentait bien. Vraiment bien. Et, sans vraiment réfléchir, d'instinct, il se leva, se dirigea vers son sac, prit deux bières et en tendit une à Mme Rivière.
- François ! s'exclama-t-elle, choquée.
- Madame, ne me dites pas que vous ne buvez pas, répondit-il avec un sourire en coin.
Les mots lui venaient tous seuls à la bouche.
- Ce... ce... ce n'est pas ça, mais... enfin, c'est pas...
- Prenez la et buvez un coup, c'est pas comme si je vous avait proposé un joint
Elle la prit. François fut surpris par la facilité avec laquelle il l'avait convaincue. Ils continuèrent à parler, longtemps. Après trois canettes de bière, François se rendit compte que Mme Rivière n'était plus vraiment sobre. « Elle tient pas très bien l'alcool » constata-t'il intérieurement avec un sourire.
- Dis moi, François, dit-elle soudain, d'où vient ce surnom de... Goldfinger ?
- Pardon, fit-il, surpris.
- J'ai souvent entendu Margaux, ou Valentine t'appeler comme ça. D'où ça vient ? C'est une référence à James Bond ? demanda-t-elle avec un petit rire.
- Euh, non pas vraiment, c'est un surnom, juste comme ça.
- Oui, mais d'où ça vient ? Chaque... chose à une origine. C'est important de connaitre cette origine pour pouvoir la comprendre.
- Philosopher après trois canettes de bière, ça vous va pas madame, plaisanta-t-il. Euh, pour revenir au sujet du surnom, c'est euh...
Lui aussi avait bu trois canettes de bière. Il n'avait pas l'esprit assez clair pour trouver un mensonge crédible, et la prof ne voulait pas vraiment lâcher l'affaire.
- Disons que je l'ai acquis grâce à... euh, certaines qualités que je dispose...
- Quelles genres de qualité ?
Il s'enfonçait.
- Eh bien il s'avère que, euh je suis un très bon, euh... masseur.
Lui-même n'était pas convaincu.
- Masseur, vraiment ?, fit-elle, surprise.
- Oui.
- Dans ce cas là... Masse moi.
- Pardon.
- Fais moi part de tes grands dons de masseur.
- Euh... c'est que... enfin, vous êtes ma prof et...
- Roh, oublie ça un peu. Ne t'inquiète pas, je te donne l'autorisation.
Français se retrouvait coincé. Il n'arrivait pas à réfléchir sur comment se sortir de cette situation. « Après tout, j'ai juste à la masser non ? ». Il s'assit à sa droite, sur le canapé.
- Très bien... donnez moi votre main et fermez les yeux.
Elle s'exécuta. Par réflexe, François commença comme à son habitude, lorsqu'en soirée il voulait aller plus loin avec une fille. Les filles aimaient bien ça, alors il le fit sans trop réfléchir.
Il prit la main droite de la prof entre les siennes, faisant en sorte de communiquer sa chaleur. Puis il posa la main sur sa main droite, paume tournée vers le ciel, et fit des cercles avec son doigt de sa main gauche dessus. Tout en continuant à faire des cercles, il remontait le long de son bras, et redescendait. De sa main droite, il tâta le pouls de sa prof. Ensuite, il arrêta avec les cercles, et fit simplement des allers-retours, toujours en caressant son bras avec le doigt, de la main à l'épaule, et en rythme avec le pouls qu'il sentait dans sa main droite. Il se pencha ensuite à son oreille, et chuchota :
- Ne pensez à rien. Concentrez-vous sur le chatouillis que vous ressentez sur le bras. Dites vous qu'il contrôle les battements de votre cœur. Si j'accélère, votre cœur s'accélère, si je ralentis, votre cœur ralentis...
Il accéléra progressivement le rythme de ses allers-retours et sentit que le rythme cardiaque suivait. Il sourit : ça marchait. Il regarda sa prof : elle semblait paisible, et concentrée. Il regarda son chemisier blanc, et sa jupe noire. Il contempla ses longs bras, et ses cuisses qui étaient découvertes à un peu plus de la moitié. Il sentit du désir monter pour elle. Il sentit son sexe de dresser. Alors, sans trop réfléchir, il continua son massage, comme s'il s'agissait d'une de ses amies à qui il prodiguait ses talents.
Il posa le bras droit de la prof sur le côté, mais en continuant les allers-retours, de façon à libérer sa propre main droite. Prudemment, il posa sa main sur sa cuisse droite. La prof n'eut aucune réaction. Alors, peu à peu, il entama les mêmes allers-retours que pour son bras, du genou à la jupe. Il faisait en sorte de remonter un petit peu sa jupe à chaque fois qu'il la touchait. Il sentit alors un frisson qui la parcouru, suivit d'un très léger soupir. Encouragé, il continua ses caresses vers l'intérieur de la cuisse. Il osait un peu plus loin à chaque fois.
Le rythme de respiration de la prof augmentait. Il interrompit les caresses sur le bras, et posa doucement ses lèvres sur sa main. Il remonta son bras avec des baisers, jusqu'aux épaules, tout en continuant à caresser ses cuisses. Il frôla alors le tissu de sa culotte. Il la sentit légèrement humidifiée.
La prof avait toujours les yeux fermés, était toujours concentrée sur son plaisir. François avait le sexe gonflé de désir. Le fantasme parfait : un élève ayant accès à l'intimité de sa prof. De la main gauche, il déboutonna trois boutons de son chemisier et le fit glisser le long de ses épaules, découvrant ses seins, renfermés dans un soutien-gorge noir. Ils n'étaient pas très gros, mais elle n'était pas plate non plus. Exactement le type de François. Il fit glisser le soutien-gorge de manière à les découvrir. De magnifiques tétons, qui pointaient grâce au plaisir, était au sommet des deux montagnes de graisses que constituaient sa poitrine. C'était magique. François n'en pouvait plus. Il se précipita sur son sein droit, embrassant, léchant, mordillant le téton. Mme Rivière gémit.
François arrêta de lui caresser la cuisse, releva sa jupe, et passa sa main sous sa culotte. Il rencontra un vagin humidifié par le plaisir, et y introduit le doigt dedans. Un autre gémissement retentit. Il explora la cavité, fit vibrer sa main, caressa le clitoris, encouragé par les gémissements répétés de sa prof, qui plaça sa main droite sur celle François, et sa main gauche sur sa tête, tandis qu'il dévorait ses seins.
Enfin, Mme Rivière fut secouée d'un spasme, émit un gémissement bien plus fort que les précédents, et laissa échapper un grand flot de cyprine. Alors, François s'arrêta, retira sa main, et, lentement, repris sa place sur son lit. Il avait peur de la réaction qui allait suivre.
Mme Rivière reprenait son souffle. Elle avait ouvert les yeux, et regardait François. Elle ne cherchait pas à cacher son corps.
- François, souffla-t-elle.
- Je suis déso...
Elle se précipita sur lui, et l'embrassa.
- Merci, fit-elle.
Il fut trop surpris pour réagir. Elle le fit s'allonger, et retira son pantalon ainsi que son boxer, découvrant son puissant sexe, qui était encore à moitié en érection. Alors, sous les yeux estomaqués de son élève, elle le goba. Elle entama une fellation rapide, tout en caressant ses bourses. François n'en croyait pas ses yeux. On l'avait déjà branlé, pris entre les seins, mais jamais en bouche. Très rapidement, il vint au point culminant du plaisir, et laissa échapper un gémissement tandis qu'il laissait échapper sa semence. La prof, surprise, recula, et pris un jet en plein visage, et un autre sur la poitrine.
Comme il était allongé, François ne s'en aperçut pas, mais il sentit qu'elle finissait de nettoyer son sexe avec sa langue. Peu à peu, il se redressa, et vu le sperme sur le corps de sa prof, ce qui l'excita un peu. Ils se rhabillèrent. Elle se lava le visage, lui la main. Tout cela, sans un mot. Puis, ils se regardèrent.
-Et maintenant ?