Charline

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Proposée le 11/05/2013 par Alexthegreat

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Rien ne vaut une sortie à la piscine après une dure journée de boulot! J'ai pris depuis peu cette habitude pour décompresser et évacuer le stress accumulé par mes journées de travail comme cadre commercial. A 30 ans passés c'est le seul plaisir qu'il me reste. Je suis célibataire et aucune fille ne semble plus s'intéresser à moi et ce depuis longtemps. Ça me navre et je m'y suis résigné. A la piscine au moins je me défoule et cela me permet de reluquer les filles en maillot de bain avec le secret espoir qu'un jour l'une d'entre elles accroche mon regard.

Ce n'est pourtant pas une de ces filles sexy qui accrocha mon regard ce jour là. C'est une toute jeune fille : Charline, qui vint me saluer alors que je récupérais agrippé à l'échelle du bassin. Charline est la fille de mes voisins. J'avais le souvenir d'une gamine très banale. Brune aux yeux clairs, épaisses lunettes et appareil dentaire très disgracieux. Je l'avais rencontré il y a quelques années au moment où j'ai emménagé puis l'ai perdue de vue. Sauf que là, au dessus de moi, en maillot deux pièces, se tenait une belle jeune femme aux formes généreuses. Je ne l'ai pas reconnue de suite. Sans ses lunettes et ses vêtements amples elle paraissait très différente de mes souvenirs. Elle avait vraiment beaucoup changé et en bien.
Je l'ai saluée en retour, lui ai demandé comment elle allait et tout un tas de banalités que l'on se dit dans ces cas là.

Nous nous sommes revus plusieurs fois. Au fil des jours nous nous sommes rapprochés a tel point que maintenant je vais même jusqu'à la raccompagner chez elle.
Elle est à chaque plus entreprenante. Elle me chahute, s'agrippe à mon cou dans le grand bain, elle ne se rend pas compte de l'effet qu'elle a sur moi. Sa beauté me chavire.
Je culpabilise terriblement, malgré ses dix-huit ans, elle est encore très jeune. Et j'ai l'impression d'être un vieux pervers.
Charline est l'exemple type de ces lolitas à la fois prudes et dévergondées. Une petite fille dans un corps de femme. Qui n'a jamais été ému par ces adolescentes si peu farouches qui ne rendent pas compte qu'elles font tourner la tête des garçons mais aussi des hommes murs ?

C'est Charline qui fit le premier pas ce jour là. Elle avait pris l'habitude de faire quelques longueurs avec moi et d'essayer de me rattraper à la course. Arrivé en premier au bout du bassin je l'ai attendue pour la chambrer un peu. Il y avait beaucoup de monde dans l'eau. Pour ne gêner personne elle s'est alors agrippée à moi ses bras autour de mon cou son corps collé au mien. Contrairement à elle, j'avais pieds à cet endroit. Nos visages étaient très proches l'un de l'autre et sans hésiter elle m'a embrassé sur la bouche. Je n'ai pas pu résister. J'ai enroulé mes bras autour de sa taille et ai commencé à la caresser. Nous sommes restés plusieurs minutes comme ça.

Passé ce moment très agréable, je mes suis senti gêné. Tout le monde nous regardait et j'étais inquiet de ce qu'ils penseraient alors.
Au sortir de l'eau, j'ai alors essayé de fuir. Mais Charline m'a suivit et me pris la main.
- T'en vas pas ! je voulais pas te brusquer Je veux sortir avec toi. Est-ce que tu veux bien ? Me dit-elle pleine d'assurance.
Je souris à sa réaction à la fois ingénue et condescendante. Je ne savais pas quoi dire. Bien sur que je le voulais. Mais les codes sociaux m'interdisent d'avoir une relation avec une fille si jeune.

Notre amitié s'en est trouvée affectée. Les séances de natation suivantes étaient beaucoup plus froides. Juste bonjour, au revoir et voilà.
Cette ambiance ne me satisfaisant pas. Je suis donc allé la trouver et lui est dit les sentiments de j'avais pour elle, en insistant bien sur le fait que nous n'irions pas plus loin.
- Tu as gagnée. C'est vrai, je meurs d'envie de sortir avec toi. Mais s'il te plait ne me chauffe plus, je n'arriverais pas à tenir très longtemps.
Charline bien que déçue acquiesça.
Contre toute attente, nos relations s'améliorèrent. Je l'accompagnais toujours à la piscine et elle passait même me voir chez moi lorsqu'elle s'ennuyait. On discutait tranquilles à l'abri des regards, sans autre motivation.
Plusieurs mois sont passés ainsi. J'adorais sa compagnie. Mais nous avions de plus en plus de mal à cacher nos sentiments l'un pour l'autre.
Notre séance vidéo du vendredi soir était devenue notre moment à nous. Elle passait la soirée chez moi et nous regardions des films blottis l'un contre l'autre.
Le plus marrant c'est que ses parents partis à leur club de tennis ces soirs là m'avaient donné leur bénédiction. Ils me prenaient pour le grand frère idéal.

Bien sur, cela ne pouvait pas durer. Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai lutté pour ne pas lui sauter dessus. J'avais envie d'elle de plus en plus chaque jour.
Nous avons fini par craquer. C'est arrivé un vendredi soir de printemps. Les beaux jours arrivaient tout juste. Elle était habillée d'un short par-dessus ses leggings et d'un petit haut très moulant. Elle devenait vraiment une très belle femme. Elle ne faisait pas son âge, on lui aurait donné 25 ans sans problèmes.
Serrés l'un contre l'autre, j'ai posé mes mains sur ces magnifiques jambes la caressant avec soin. J'y allais doucement je ne savais pas comment elle réagirait. Elle me laissa faire.
En confiance, je passai mon bras autour de ses épaules et entrepris de l'embrasser dans le cou.

- Arrêtes ! Mais qu'est ce que tu fais ?? Me dit-elle en souriant.
Refroidi par cette réponse je stoppais immédiatement mes caresses.
A son tour, elle s'appuya le dos sur moi de telle sorte que je la prenne dans mes bras.
C'en était trop !!
- Excuse-moi, mais je peux plus résister ! J'ai envie de toi !
Je la retournais alors et l'embrassai fougueusement.
Enfin !!! J'en mourais d'envie.

- Arrête ! Tu oublies ce que tu m'as dit sur ce que diront les autres et tout ça ?
- Je sais ! Seulement là je ne peux plus tenir. Je t'aime ! Je t'aime depuis le premier jour. Je suis fou de toi ! Répondis-je.
Elle sourit.
- Désolé, mais ta présence me torture ! C'est trop je tiens plus.
- Je suis contente me répondit-elle. Moi aussi j'adore être avec toi. Toi au moins tu ne me traites pas comme une gamine.
- C'est peut-être parce que tu n'en es pas une, regardes toi, t'es une femme, une très belle femme en plus.
Sur ces confidences nous nous embrassâmes encore et encore.

Il ne fallut pas longtemps pour franchir l'étape suivante. Chacun d'entre nous retira les vêtements de l'autre. Puis je la pris dans mes bras et la porta dans ma chambre. Je savais qu'elle flirtait et qu'elle avait un copain officiel. A peine l'avais-je posée sur le lit qu'elle m'avoua que cette relation ne l'intéressait plus.
- Quentin est un beau mec, mais c'est un gamin ! me dit-elle, il ne veut pas me donner ce que je veux.
Clairement, elle voulait faire l'amour et trouvait que j'étais le parfait initiateur pour cela.
Elle me dévoila ses charmes dans une petite danse sexy. Je défie n'importe quel mec de ne pas bander à ce moment. Elle le remarqua. Elle ne quittait pas des yeux la bosse de mon caleçon. Elle mourait d'envie de voir ce qu'il y avait dessous.
- Tu sais que ma mère te trouves super sexy ? m'annonça-t'elle subitement. Elle dit souvent à mon père qu'elle te prendrait bien pour son quatre heures pour l'énerver et ça marche à chaque fois ! dit-elle en souriant.
Ces révélations me troublèrent encore plus. Bien sur, la mère de Charline est une belle femme et dans d'autres circonstances j'aurais été heureux d'être son amant. Mais nous avions de bons rapports et je me demandais bien si à ces yeux je paraîtrais toujours aussi populaire en me voyait peloter sa fille.

- J'en ai assez ! Me murmura-t-elle en m'embrassant le torse. Toutes mes copines l'on fait sauf moi !
- Et ton petit copain ? Lui demandais-je.
- Ce con de Quentin est trop timide pour me le demander. Et puis c'est un puceau ! Moi je veux faire ça avec un homme, un vrai.

À ce moment-là ma petite voix intérieure m'ordonna de partir en courant. Elle était déterminée et en plus plaçait la barre très haut. Je n'ai pas eu tant d'expériences que cela et je ne crois pas être tellement mieux qu'un puceau.
Pour autant, je me gardais bien de lui dire. Au contraire, j'en étais encore plus excité et choisis de ne pas écouter ma petite voix.

Je n'oublierais jamais cette soirée. Je m'abandonnais au désir. Je l'ai saisie par les hanches, lui ai écarté les cuisses. Après avoir délivré ma bîte bien dure du caleçon qui commençait à devenir trop étroit, je la plaçais sur son petit minou.
Elle m'encouragea encore plus.
- Oh oui, mets-la moi bien profond ! J'en ai tellement envie !
Mon état d'excitation était tel que je ces mots crus sortis de sa bouche de petite fille bien sage ne me choquèrent pas.
La pénétration fût plus difficile que prévue. La douleur était vive. Après avoir abusé d'hésitations jouant avec mon engin à le faire glisser sur son pubis, Je l'enfournai d'un coup. A peine eut elle récupéré de la douleur que je pilonnais déjà frénétiquement son petit trou. Je ne me rendis pas compte à cet instant qu'elle s'était subitement tue, indication que sa souffrance avait pris le pas sur le plaisir

C'est après m'être déchargé en elle que je repris mes esprits. Je compris que je venais de déflorer une gamine de dix-huit ans et que cette expérience l'avait quelque peu... chamboulée. Elle détala sans demander son reste. Surpris par sa réaction je commençais à me demander si je n'avais pas fait une grosse connerie.
Quel abruti !!
Je suis vraiment un gros crétin. Je suis fou amoureux de cette fille et me suis conduit comme une ordure. J'aurais du prendre mon temps, la laisser venir. J'étais bouleversé et pris de remords.
Je n'ai pas dormi de la nuit. Je m'attendais même à voir débarquer ses parents d'un moment à l'autre ou pire encore, les flics. Certes elle n'est plus mineure, certes elle est consentante. Mais j'avais perdu de vue qu'elle était encore vierge, j'aurais peut-être du me contrôler davantage. J'étais honteux de ce que je venais de faire. Plus que tout, l'idée de lui avoir fait du mal me minait. J'étais vraiment très mal.

C'est Charline elle-même, qui me libéra de cette ambiance pesante. Dès le lendemain matin elle se présenta à moi. Toute penaude elle venait s'excuser de s'être sauvée comme ça.
Mes nerfs ont lâchés, j'ai fondu en larmes. Je ne savais plus quoi dire. J'étais passé par tous les états.
Je me suis excusé à mon tour d'avoir forcé les choses. Je m'en voulais énormément de lui avoir fait du mal. Je lui ai répété que je l'aimais plus que tout et que je n'étais pas digne de l'honneur qu'elle m'avait fait en m'offrant sa vertu. Nous avons fini dans les bras l'un de l'autre.


Cette première expérience malheureuse nous a rapprochés encore plus. Mes sentiments envers Charline étaient de plus en plus forts. En fait, c'est simple, je ne pensais plus qu'à elle.
Je lui offrais des cadeaux et de petites attentions. Puis un jour...
Elle est arrivée chez moi rayonnante. Un bustier terriblement sexy un pantalon bien moulant et des chaussures à talons. Elle venait de fêter son dix-neuvième anniversaire et s'était fait offrir ces nouvelles fringues.
- Je voulais te montrer ça. Ça te plait ? Me dit-elle en tournant sur elle-même.
Elle était vraiment magnifique. Son décolleté naissant, son petit cul et ces talons qui lui affinaient la silhouette...
Ma petite lolita chaudasse devenait une femme superbe. Et cela déclencha immédiatement la tempête dans mon caleçon.
- Attends tu n'as pas tout vu ! m'annonça-t-elle.

C'est alors qu'elle retira son bustier puis fit glisser son pantalon sur ses chevilles.
Sous ses vêtements, elle portait un ensemble de lingerie string et soutien-gorge en dentelle absolument étourdissant.
Je lui suppliai d'arrêter. Elle me torturait et je ne voulais pas répéter l'expérience de la dernière fois.
- J'ai acheté ça toute seule sans le dire à ma mère rien que pour toi, me dit-elle très fière. Je sais que je n'ai pas été à la hauteur l'autre soir, me dit-elle en attrapant ma main, mais je veux une autre chance.
Elle me conduisit jusqu'à ma chambre où elle me déshabilla.
Je ne pus résister. Elle me rendait fou. Je l'ai d'abord caressée longuement, timidement. Je l'ai embrassé dans le cou, les épaules et suis descendu sur ses petits seins. Le goût sucré de ses seins ! Mon Dieu, je ne l'oublierais jamais...
Je l'aie pénétré tout en douceur. Cette fois j'ai pu m'introduire sans difficultés dans sa chatte bien mouillée.
Ce fût l'extase !!
J'ai joui deux fois de suite sans problèmes tellement elle m'excitait. Jamais une fille ne m'avait fait cela.

Nos soirées vidéos sont devenues des soirées baise. J'eus le grand honneur de l'initier au sexe. D'abord passive et silencieuse, je l'ai progressivement invitée à se lâcher. Au bout de quelques séances elle se détendit et commença même à pousser de petits cris. Elle atteint l'orgasme dès notre rapport suivant. A la fin, nous ne parlions presque plus. Elle arrivait, se déshabillait et nous faisions l'amour.

En à peine un mois, Charline s'était transformée. Elle était maintenant rompue aux techniques du sexe. Elle allait de plus en plus loin à chaque fois et faisait preuve d'un certain talent dans le domaine. Nous avons essayé plusieurs positions dont certaines que je n'avais jamais pratiqué. Mais ce qui me faisait vraiment décoller c'est lorsqu'elle prenait mon engin en bouche. Je sentais ses petites lèvres fines aller et venir doucement. Le pied total !!

Elle m'a définitivement envoûté. Mais par certains cotés je crains qu'elle ne m'échappe un peu. Son jeune âge, son appétit sexuel me font presque peur. Pour le moment j'arrive encore à tenir la distance et à la satisfaire. Mais un jour c'est sûr je ne lui suffirais plus. Elle me fera certainement souffrir.

En attendant, je suis heureux et vis pleinement cette expérience : Charline, je t'aime pour toujours !