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Proposée le 7/05/2013 par Coquin
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Tout a commencé par cet appel téléphonique de ma femme Lise :
- Bonjour mon Chéri. Tu te rappelles que nous dînons chez ma sœur ce soir.
- Oui bien sur, on se retrouve chez elle vers 20h.
- Bien, sauf qu'elle vient de me téléphoner car elle a un gros problème avec son ordinateur portable et elle voudrait que tu jettes un œil avant l'arrivée des autres invités.
- Pas de problème, je serai dans le coin au plus tard à 19h. Bises.
J'aime bien ma belle-sœur Marie ainsi que son mari Jean. Ils sont très sympathiques et leur compagnie est très agréable. Autant ma femme est réservée, autant Marie est exubérante, à se demander si elles ont bien le même père. Ce que j'aime chez ma belle sœur c'est cette nonchalance et cette sensualité qu'elle montre sans retenue. Pourtant sa tenue est toujours irréprochable si ce n'est qu'elle porte rarement de soutien gorge. Je suis sure qu'elle m'a déjà surpris le regard plongeant mais jamais elle ne m'a rien dit.
Vers 19h, comme prévu, je sonne à sa porte et suis accueilli comme un sauveur.
- Ah, Lucas, merci de venir si vite. Mon portable est complètement planté et je n'arrive à rien. Tiens, le voilà. Tu m'excuses mais je te laisse car je ne suis pas en avance.
Trente minutes plus tard je rejoins Marie au salon et lui apprends la nouvelle.
- Ce n'est pas un problème de logiciel, c'est le disque dur qui doit être abîmé. J'imagine que tu as fait des sauvegardes ?
- Pas du tout. Jean va me tuer. Il me l'a rappelé au moins vingt fois mais je n'ai rien fait.
- Ma chère belle sœur, je passe ma journée à le dire à mes clients. Mais, heureusement, il existe des sociétés qui sont capables de récupérer les données. Je peux te donner les coordonnées si tu veux ?
- Mais Jean va le voir. Tu ne pourrais pas le faire toi-même ? Je pourrais alors lui dire que c'est pour une mise à jour.
- D'accord, mais de ton coté ne dis rien à ta sœur car j'ai déjà refusé ce service à ses copines.
- Entendu.
Il me fallut quelques soirées pour récupérer la plupart des fichiers de son micro, installer un nouveau disque dur et fournir en prime un disque dur externe avec toutes ses données.
Lorsque je restitue le matériel à ma belle sœur, lui expliquant ce que j'avais fait, je fus surpris par sa réaction. Elle me sauta littéralement dessus en m'embrassant et me dit :
- Lucas, tu es mon sauveur. Jamais je n'oublierai ce service. Tu peux me demander tout ce que tu veux. Tu as pu tout récupérer ? Tu n'as pas eu besoin de visionner les fichiers pour les contrôler ?
- Non, heureusement le logiciel vérifie son intégrité et c'est tout. Tu imagines si on devait tout lire, ce serait trop long et terriblement fastidieux.
- Ah, très bien. Donc cela restera notre secret et n'oublie pas que je te suis redevable.
- Oh, chère belle-sœur, ne me tente pas, dis-je en riant et en dirigeant ostensiblement mon regard vers son décolleté.
- Coquin va. Que dirait ma sœur ? Au fait je me suis mis d'accord avec Lise pour les vacances. Nous irons à Montclin en Juillet et vous en Août. Jean a prévu de refaire quelques peintures à l'étage et si j'ai bien compris tu dois te charger du bas.
- Et oui les hommes vont travailler alors que les femmes vont se faire dorer à la plage.
Sur ces paroles nous nous quittons et c'est seulement quelques jours plus tard que notre conversation me revient. Je m'apprête à faire le ménage sur mon propre ordinateur lorsque je retrouve les fichiers de Marie que j'avais stockés par sécurité. Je pense, pourquoi était-elle si fébrile ? Ma curiosité est la plus forte et je consulte la liste et le contenu des répertoires. Le plus gros est constitué d'une quinzaine de fichiers vidéo dont la date de création s'étale sur ces deux dernières années.
Qui aurait pu résister, en tout cas pas moi et c'est avec le goût du fruit défendu que je double clic sur le premier de la série.
Les premières images montrent une chambre ou un couple nu est en train de se caresser. Pas de doute c'est Marie et Jean. La suite me permet d'apprécier le corps et la souplesse de ma belle-sœur. Il faut dire que son mari est particulièrement bien monté et qu'il sait s'en servir. Cette vidéo date de deux ans.
Sans être lubrique, j'aime le sexe et plus d'une fois j'ai regardé avec ma femme des films X qui nous servaient de déclencheur à des parties de jambes en l'air assez torrides. Alors au fil des jours j'ai visionné, en cachette comme un adolescent, la totalité des vidéos. J'ai bien vu la progression des expériences du couple. Si au début ils étaient seuls, manifestement filmés par une puis deux caméras statiques, j'ai vu successivement apparaître un autre homme d'abord seul puis souvent accompagné d'une femme. Mais si, avec ces nouveaux partenaires les scènes étaient plus chaudes, cela restait trop technique et comme organisé.
Tout change dans les cinq dernières vidéos. On voit alors très bien que la caméra se déplace, faisant des gros plans, des travellings, etc. Pas de doute un caméra-man est avec eux dans la pièce. Mais en plus ce n'est pas un film brut de décoffrage, quelqu'un s'est chargé d'en faire une vidéo vraiment vivante, digne de figurer dans toute bonne vidéothèque X. En réalité, dans un film on voit que le caméra-man est une femme car un plan montre une main descendre vers le pubis et se masturber, certainement excitée par la scène qui se déroule devant elle. Une autre fois la caméra filme un plan plongeant ou on voit une main guider un sexe d'homme en érection pour le présenter à l'entrée du vagin et se faire baiser jusqu'à la jouissance. Mais dans aucun des films le visage de la caméra-man n'apparaît. Juste un indice m'intrigue : la main que l'on voit, porte une bague que j'ai déjà vue, mais où ?
Huit jours après j'ai la réponse. Aujourd'hui ma femme porte une bague qui ressemble étrangement à celle du film et quand je la questionne elle me répond que « comme d'habitude je ne fais pas attention à elle et qu'en réalité c'est une bague fantaisie qu'elle s'est achetée il y a au moins un an ». Je ne dis rien car manifestement des bijoux comme cela il y en a des quantités et cela ne suffit pour identifier Lise comme le caméra-man. D'ailleurs je ne l'imagine pas du tout dans ce rôle. Mais je veux être sur, alors je visionne à nouveau les vidéos en question et, bingo, un plan fugitif montre le visage du porteur de caméra qui se reflète dans un miroir. Pas de doute, même s'il faut regarder attentivement avec l'arrêt sur image, c'est Lise qui est là.
Voilà je suis cocu, et non seulement ma femme me trompe mais elle le fait devant ma belle sœur et mon beau frère. Je suis la risée de la famille. D'accord j'ai épousé la fille aînée du patron mais je me suis toujours bien tenu et si on m'a confié la direction de leur entreprise, tous reconnaissent que je l'ai fait prospérer. Quand je pense que j'ai résisté aux avances de ma chef du personnel qui est une beauté, célibataire de surcroît. Dieu sait combien elle me plaisait, mais j'étais heureux avec Lise et je pensais qu'elle aussi. Bon d'accord nous n'avions pas toujours les mêmes centres d'intérêts, mais au lit elle me comblait et je croyais naïvement qu'elle aussi était satisfaite. Elle adore le sexe et est toujours prête pour la bagatelle. Rien ne lui fait peur, il est déjà arrivé qu'elle me pompe avec avidité alors que son vagin et son cul étaient déformés par des godes qu'elle avait commandés par le net. J'ai même pensé aux boites échangistes, mais je n'ai pas osé.
Quel "con" je fais d'avoir pensé qu'elle réalisait ses fantasmes avec moi, même si quelque fois j'ai été étonné de son ardeur. Je me croyais irremplaçable et un bon coup. Je n'ai pas compris et voilà qu'elle me trompe comme cela. Il faut que je réagisse, mais prudence, je ne veux pas tout perdre. Après tout je n'ai rien à me reprocher.
Quelques jours plus tard j'ai décidé une stratégie et je téléphone à ma belle-sœur pour l'inviter à déjeuner, sous le sceau du secret bien-sur. Je plaisante en lui rappelant ce service que je pouvais demander... Nous voilà donc attablés dans un petit restaurant ou vraiment personne ne peut nous reconnaître. Je vois bien que tout au long du repas elle attend que je parle. Mais c'est seulement au dessert que je dis :
- Tu sais, charmante belle-sœur, qu'en faisant du rangement je suis tombé sur des vidéos de ton dépannage.
- Ah... et...
- Je n'ai pas pu m'empêcher de regarder et je dois vous féliciter pour votre sexualité. Mais une chose m'intrigue. Qui est la personne qui vous filme et qui fait les montages car vraiment c'est un pro ? Qui sait vous donner le beau rôle ?
- Ah, tu as regardé. S'il te plait n'en parle pas. Pour le film tu ne le connais pas.
- Mais ce n'est pas un homme, regarde cette photo que j'ai tirée, il s'agit d'une femme. On l'a voit se soulager devant votre prestation.
- Oui, c'est vrai, c'est une femme, mais j'ai promis le secret.
- Oh. Quelle délicatesse. Tiens regarde qui est ici. Et je sors la photo du miroir.
- Ah. Tu sais. Je vais t'expliquer. Tu as du remarquer que les premiers films n'étaient pas terribles, que c'était trop statique. Alors j'ai pensé à Lise qui avait fait un stage dans le cinéma. Elle a accepté et tu as vu la différence.
- Oh, ça oui la différence saute aux yeux, on peut même voir la réalisatrice se masturber et se faire prendre par un de tes partenaires.
- Oui, d'accord, mais c'était un accident. Le gars n'arrivait à rien avec moi, je ne devais pas l'inspirer, mais il a flashé sur Lise. Tu peux comprendre que ces situations sont éprouvantes pour celle qui ne fait que filmer ?
- Tu es gentille, mais ce qui m'étonne ce n'est pas que Lise se fasse donner du plaisir une fois, c'est qu'elle en soit resté là. Je ne la vois pas seulement spectatrice, ou alors ce n'est pas la Lise que je connais et qui adore le sexe. Rassure-toi, si je te demande cela c'est que j'aurais aimé la voir avec d'autres hommes. Comme on est entre adultes et que rien ne sortira de notre conversation, je peux t'avouer que c'est un de mes fantasmes, voir ma tendre Lise prendre du plaisir avec un ou même plusieurs hommes. Bien sur j'aimerais être présent mais sur un film cela aurait été un bon début.
- Ouf, j'ai cru un instant que tu allais jouer le mari jaloux. Désolé.
- Bien entendu cette conversation n'a pas eu lieue et en rentrant j'efface tout de mon disque dur.
Nous nous quittons comme deux complices.
Quelques jours plus tard je rappelle Marie et lui dis :
- J'ai bien réfléchi et je remarque que dans cette histoire je suis le seul à ne rien gagner. J'ai pensé à un stratagème qu'il faudrait que tu m'aides à réaliser. Je compte sur ta discrétion aussi bien avec ma femme que ton mari. Jamais, je dis bien jamais, Lise ne doit savoir.
- Je suis une tombe.
- Voilà, le mois prochain, vous serai dans la maison de campagne. Je voudrais qu'au milieu du mois tu lui téléphones pour lui dire :
"Que tu as un plan avec les moniteurs du club de sport d'à coté. Que ce sont des jeunes qui sont vigoureux et infatigables. En particulier trois sortent du lot, dont un black très bien membré. Que si elle veut, tu peux lui organiser une soirée en Août et que tu peux même t'arranger pour que ton mari soit rappelé à Paris pour deux jours. Il faut juste prévoir 100€ par personne soit 300€, en liquide bien-sur, et tu peux même ajouter que pour le liquide elle sera servie."
- Voilà la trame, bien-sur tu peux broder autour. En réalité, je connais la plupart des jeunes de ce club et j'ai déjà surpris des conversations de soirées organisées pour les bourgeoises du coin qui veulent se faire plaisir. Ce stratagème me permettrait d'assister au spectacle et de surprendre mon épouse en train de faire une partie de jambes en l'air avec des petit jeunes. Tout le monde trouverait son compte : Lise profiterait de trois jeunes bien vigoureux, je pourrais enfin assouvir mon fantasme, enfin la découverte de la femme adultère par un mari complaisant devrait pimenter notre libido pour un certain temps.
Marie saute sur ma proposition, trop contente de me rendre service et certainement avec l'idée d'aller voir dans ce fameux club.
En réalité, je m'avance un peu car je ne connais pas vraiment ces jeunes. Mais tous les ans ils sont là et je suis sur que l'idée de se faire une bourgeoise, avec l'accord du mari, sans compter l'argent récolté va me fournir pléthore de candidats.
Août
Et voilà, Marie a contacté Lise qui a accepté sa proposition. Rendez vous a été fixé seulement quelques jours après notre arrivée. C'est sans aucune difficulté que j'ai pu "inviter" des jeunes. Une photo de Lise leur a montré que ce n'était pas un boudin, bien au contraire. Je suis sur qu'ils le feraient pour rien, mais j'ai promis une gratification supplémentaire à ce que va déjà leurs donner ma femme.
Marie joue le jeu et s'arrange pour que je reçoive un appel du boulot et j'ai fait semblant de remonter à Paris pour deux jours. Mais avant j'ai équipé notre chambre de trois caméras Wifi reliées à un ordi que j'ai caché sous les bâches qui protégeaient le sol du salon, où comme prévu je refais la peinture.
Il est vingt heures. Je suis caché dans le jardin. Trois jeunes sonnent à la porte de notre villa. Ma femme les accueille et très vite les fait monter dans notre chambre. J'entre silencieusement dans le salon du rez-de-chaussée, allume l'écran et commence à enregistrer.
J'entends Lise dire :
- On m'a dis le plus grand bien de votre prestation, mais avant tout je compte sur une discrétion absolue. J'ai préparé les enveloppes sur la table de nuit, 100€ par personne si je ne me trompe.
Le jeune noir prend la parole comme nous avons convenu :
- Oui, je m'appelle Samba et vous verrez que vous ne regrettez pas votre investissement. Je suis sur que vous demanderez grâce. Les bourgeoises du coin nous appellent le trio infernal. Allez les gars, à poil.
- Au fait nous aimons faire cela avec de la musique, j'imagine que cela ne vous dérange pas ?
- Non, utilisez le lecteur derrière vous.
Il le met en route et lance le cd qu'ils ont apporté. Tous trois sont nus en une minute. Je n'ai pas osé les sélectionner sur leurs attributs car je ne me voyais pas demander "à voir". Comme j'ai juste indiqué que ma femme aimait bien "être bien pleine" tous les regards se son tournés vers le noir, Samba. C'est a lui que j'ai confié la mission de sélectionner son équipe.
La, sous le regard des caméras la vérité jaillit de l'écran. Samba, présente bien un sexe imposant. Il est au repos mais déjà il impose le respect. Ma femme n'a d'yeux que pour lui. Je sais son attirance pour l'exotisme car plus d'une fois lorsque les films X montraient la queue d'un black en érection, elle ne pouvait se retenir d'être fascinée par la chose. C'est vrai qu'il est bien monté.
Il reprend la parole :
- Voilà, satisfaite. A vous de commencer.
Ma femme, sans les quitter du regard, enlève sa robe et apparaît nue, sans sous vêtements, le pubis totalement glabre. Oh, la salope, Je comprends l'urgence de ce rendez vous chez l'esthéticienne dés qu'elle a connu le jour de cette partouze. Elle voulait être « à la mode ». Mais c'est vrai qu'en regardant le pubis de ces trois jeunes hommes, aucun ne porte le moindre poil. Ils sont totalement nus, les couilles aussi.
Elle s'avance vers eux, s'agenouille et l'un après l'autre absorbe leur pénis encore flasque jusqu'à les faire dresser fièrement. Maintenant le mandrin du black apparaît dans toute sa splendeur. Les deux autres n'ont pas à rougir mais, lui sort vraiment de l'ordinaire. Non seulement il est long mais son diamètre fait presque peur. D'une certaine façon je plains ce garçon car il doit avoir des difficultés pour trouver chaussures à son pied. Les filles de son âge doivent être trop étroites pour l'accueillir et je comprends sa recherche de femmes plus âgées et expérimentées.
Ma femme a bien travaillé. Les trois bites se dressent. Il faut bien reconnaître que ce n'est pas difficile de faire bander des jeunes hommes.
Samba, toujours comme convenu, dit.
- Je vais vous mettre ce bandeau pour continuer. Vous verrez, toutes apprécient, croyez moi. Ne soyez pas inquiète. Vous ne risquez rien. Un mot de votre part et nous arrêtons.
Ma femme, un moment réticente, finit par présenter son visage et on lui bande les yeux.
Le black la guide vers le lit et la fait s'allonger, les fesses au bord, les jambes pendantes. Alors les trois garçons commencent à s'occuper d'elle. L'un s'occupe de sa poitrine, la malaxe, la pétrit, suce ses tétons, les fait rouler entre ses doigts. L'autre parcourt sont corps en la caressant. Le troisième s'occupe de sa chatte et de son anus. La caméra est trop loin pour voir clairement mais son visage monte et descend le long du sillon. Il s'applique pour bien lubrifier l'entrée des deux conduits et pour vérifier, il introduits plusieurs doigts. Ma femme apprécie leurs caresses car elle gémit et se tortille.
Au bout de quelques minutes de ce traitement les garçons, sur un geste de Samba, se relèvent. Lui-même se couche, on lui amène ma femme pour qu'elle le chevauche, présentant la longue verge à l'entrée du vagin. Lise n'a pas besoin d'un dessin pour descendre doucement sur le pieu qui fait son chemin dans ce conduit. Je suis impressionné car je pensais qu'un mandrin de cette grosseur serait difficile à introduire. Il dépasse largement le plus gros gode que nous utilisons d'habitude. Un autre se positionne pour la sodomiser et la aussi il pénètre très facilement. Il faut dire que les deux pénis sont recouverts de latex, sécurité obligatoire, et que cela facilite le glissement. Lise à juste le temps de reprendre son souffle qu'une troisième queue se présente à sa bouche. Celle la est à nu, non protégée, une bonne fellation ne supporte pas un emballage, mais il est convenu que son propriétaire ne doit pas jouir dans la gorge de ma femme.
Voila c'est fait, elle est prise par tous ses orifices avec de bonnes, belles, bites bien vivantes. Je me demande si c'est la première fois ou si elle a déjà eu ce plaisir. Je n'ai pas pensé poser la question à sa sœur. Dommage, mais la danse commence et chacun se concentre sur son plaisir.
Je quitte mon écran pour aller ouvrir la porte de la maison ou trois autres jeunes attendent. Nous montons sans un bruit et pénétrons dans la chambre. Heureusement elle est très grande et ils vont se placer face au lit ou leurs trois amis utilisent ma femme comme une marionnette d'amour. Je reste sur le pas de la porte car je ne veux pas être pris dans le champ des caméras.
Le spectacle est surréaliste, voir trois hommes dont la verge commence à monter, excités par la scène qui se déroule devant eux et attendant leur tour. Un instant je me demande si je n'ai pas prévu trop grand pour piéger ma femme. En tout cas, pour l'instant, c'est elle qui profite de mon plan.
Si la musique était prévue pour couvrir les bruits de nos pas, en réalité la pièce retentit des grognements et autres râles des participant à l'action. Lise n'est pas en reste et même avec une sucette dans la gorge elle montre son plaisir. Parfois elle la retire pour reprendre sous souffle et alors elle encourage ses deux baiseurs : "oui, c'est bon, je vous sens bien, ma chatte et mon cul sont plein de vos jeunes verges, je suis votre bourgeoise qui a le feu au cul, allez plus fort, je vais jouir, oui...."
Pour des jeunes, je trouve qu'ils sont résistants et qu'ils tiennent bien la distance. Le premier qui jouit est l'heureux propriétaire de la bite sucée par Lise. Elle est redoutable et plus d'une fois m'a pompé jusqu'à me vider les couilles. Il ne peut plus se retenir, sort sa queue luisante de salive et éjacule sur le visage et les cheveux de ma femme. Quand je dis éjacule, je devrai dire déverse des flots de sperme.
Les deux autres ne tardent pas à le suivre, se retirent du con et du cul, enlèvent leur préservatif et crachent leur jus. Celui qui enculait en recouvre les reins et les fesses alors que l'autre bloqué par le corps de sa maîtresse dégage sa verge pour la placer dans la raie et littéralement inonder le sillon. Ah la vigueur de la jeunesse, que leurs bourses sont généreuses.
Le black se dégage de ma femme et celle-ci croyant que c'est terminé, se recroqueville, la tête près des jambes et les fesses en l'air. Pendant ce temps un des nouveaux s'allonge sur le dos juste à coté d'elle. Instinctivement elle tend le bras pour, avec douceur, faire glisser sa main sur le ventre du garçon jusqu'à rencontrer sa verge. Elle tâtonne et toute surprise rencontre un vit bien raide alors qu'elle s'attendant à trouver une verge flasque.
- Mais, dit-elle, en se redressant, il est encore dur comme si rien ne s'était passé.
- Je vous avais prévenue. Si on nous appelle le trio infernal, il y a une raison, dit Samba qui seul a le droit de parler. Venez
Il la dirige pour la positionner allongée sur le garçon, mais lui tournant le dos ce qui fait que sa queue se présente à la porte de derrière. Encore une fois la pénétration est facile, et là oà je suis je peux vois que son œillet est resté ouvert à la suite de la première sodomie. Cinq secondes plus tard le vagin est occupé et Lise n'a que le temps de dire « c'est incroyable comme vous êtes raide, on dirait que c'est la première fois. Mais je ne plains pas au cont.... ».
Elle n'a pas le temps de terminer que la troisième queue s'enfonce au fond de sa gorge. Alors tout recommence et comme les précédents ils la bourrent longuement avant de jouir, ajoutant du sperme sur le visage et le ventre de la bourgeoise.
Je ne sais pas combien de fois ma femme a joui mais cela ne semble plus s'arrêter. Elle est comme hystérique et elle tremble de tout le corps longtemps après que les queues se soient retirées.
Mais, elle ne le sait pas encore, ce n'est pas terminé. J'ai prévu de la finir en apothéose. Le black a repris de la vigueur pendant le deuxième acte. Comme ma femme est restée allongée sur le dos, les fesses au bord du lit, il lui soulève les jambes assez haut pour que sa queue soit en face du cul de Lise.
- Je suis sur que vous croyez nous avoir tous épuisés, mais non pas moi. Ce qu'il me faut pour finir c'est le cul d'une bourgeoise qui aime cela. Et ici nous savons que vous aimez vous faire prendre par derrière. Je suis sur que vous le faite régulièrement, on voit bien que l'œillet sait s'ouvrir.
- Non, non tu es trop gros. Tu vas me déchirer.
- Allons, dit il en lui claquant les fesses, je suis sur que vous avez d'envie d'essayer. Rassurez vous je serai délicat et en plus j'ai un tube de lubrifiant.
- Ah bon....
- Oh je veux plus d'enthousiasme, je veux que tu me le demandes, que tu me supplies.
Pendant ce temps deux garçons se sont rapprochés et ils entreprennent de caresser sa poitrine et son clito. Le black continue de lui donner des petites claques sur les fesses tout en frottant son gland contre l'œillet. Elle est désemparée, hésite, mais les caresses deviennent vite insupportables car ces zones sont devenues hypersensibles après toutes les sollicitations de la soirée. Elle est repartie pour le plaisir et enfin se décide.
- Oui, je veux, d'accord.
- Non, je veux que tu me le demandes vraiment, je veux entendre la bourgeoise salope qui veut de la bite.
Son excitation est au paroxysme et elle rugit.
- Oui, commence, je veux sentir ta grosse queue dans mon cul, je veux qu'elle me défonce l'anus, je veux que ton mandrin tout noir me fasse reluire, moi la bourgeoise salope qui aimes les bites. Alors ça vient, j'attends, tu as peur de ne pas être à la hauteur.
On peut dire ce que l'on veut de ma femme, mais elle a du tempérament et même, dans ces moments elle arrive à surprendre. Elle provoque Samba qui ne dit rien mais appuie son gland contre l'œillet qui résiste et il doit maintenir sa verge avec la main pour qu'elle reste bien droite. Son effort est récompensé, le gland force le passage mais Lise se mort les lèvres sous la douleur. Samba s'inquiète.
- Je vous fais mal ?
- Oui, mais rassure toi, pas assez pour que j'abandonne. La douleur se calme déjà. Continue, mais doucement.
Il reprend sa pression et doucement son mandrin disparaît. Arrivé au trois quart il s'arrête car manifestement il est au fond du conduit. On pourrait entendre une mouche voler, tout le monde est conscient de l'exploit.
- Alors, on se moque des bourgeoises ? Je suis sur que ta copine n'a jamais voulu, dit Lise pour le défier. C'est tout ce que tu sais faire, tes burnes sont sèches ?
Samba relève le défi. Son pieu avance et recule d'abord doucement puis plus vite, puis recommence. Le manège dure plusieurs minutes sans que ma femme ne réagisse. Elle semble insensible, anesthésiée. Il faut reconnaître que depuis plus d'une heure elle a jouit de nombreuse fois et chacun de ses trous a reçu la visite de deux queues.
Samba se pique au vif, sa réputation est en jeu, ses copains sont présents, il faut que cette femme reconnaisse sa supériorité. Alors il décide de passer à la vitesse supérieure. Ses va-et-vient se font plus rapides, plus amples au point que le gland ressort par moment de l'anus. Alors dans le même mouvement il le fait replonger de plus en plus facilement tellement l'œillet est dilaté. Petit à petit ce traitement fait sortir Lise de sa torpeur et elle saisit ses tétons pour les tordre. Elle marmonne des mots que nous n'entendons pas, gémit, bouge la tête de gauche à droite.
Samba a reconnu les signes et il se déchaîne. Maintenant il ne se retient plus, ses mouvements sont d'une violence extrême, cela ressemble de plus en plus à un coït animal, presque un viol. Je suis inquiet pour Lise, mais manifestement ce déchaînement lui plait car elle accompagne les coups de butoir. Une minute à ce train d'enfer et les deux partenaires arrivent au but. Samba extrait sa queue, arrache la capote et en rugissant éjacule. Encore une fois ses bourses ont produit le sperme qui est éjecté avec force. La première giclée atteint le visage alors que les autres, moins puissantes se répandent sur le ventre et sur les fesses. Lise n'est pas en reste car elle hurle son plaisir.
Le silence revient, tout le monde est figé sur place. Une minute passe. Samba donne le signe du départ. Les six garçons s'habillent rapidement, quittent la chambre sans un mot. Ma femme est immobile, comme morte.
Je retrouve les six jeunes au rez-de-chaussée, distribue les enveloppes prévues, les remercie en insistant à nouveau sur le secret de cette soirée.
Je vérifie sur l'écran que Lise ne bouge pas, couvre le matériel par les bâches de peinture, attends encore quelques minutes pour monter et entrer dans la chambre.
Le spectacle qui s'offre à mes yeux, ceux du mari qui rentre plus tôt que prévu, est insoutenable. Ma femme est allongée nue, un bandeau sur les yeux, le corps et le visage recouvert de plaques blanches. Le sperme tranche particulièrement sur le bandeau noir. Et que dire du pubis, de la vulve et des cuisses ou la semence s'est écoulée en filets crémeux. Sur le sol des préservatifs usagés donnent un aspect glauque.
Voila le tableau est posé, je suis dans mon personnage. Je retourne au bout du couloir et me précipite en courant vers la chambre.
- Lise, tu es là ? Tout va bien ? Je viens de croiser... Oh, ma Chérie, que s'est il passé ? Ce n'est pas vrai, tu as été violentée. Dis-moi, parle-moi. N'es pas peur je suis là, ils sont partis.
Ma femme met un moment pour réaliser ce qui se passe. Elle se redresse, enlève son bandeau, met un moment pour retrouver la vue et me découvre à coté d'elle. J'imagine son cerveau qui redémarre après tout cet afflux d'hormone de plaisir. Mais le retour à la réalité est brutal. Ciel mon mari!! Que fait-il là ? Comment vais-je m'en sortir ?
Je ne lui laisse pas le temps de parler. Je reprends, montrant une certaine fébrilité.
- Oh, j'ai compris, ce sont les jeunes que je viens de croiser. Oh les salauds, les ordures. Ça ne va pas se passer comme cela. J'appelle la police.
- Arrivé à ce stade elle commence à comprendre le problème et d'une voix sourde m'interrompt.
- Attends, n'appelle pas la police. Tout va se savoir et on va me montrer du doigt. Regarde je ne suis pas blessée, ils n'ont pas été violents. Le principal est qu'ils ont utilisé des préservatifs. En plus avec le bandeau je ne pourrais pas les reconnaître.
- Mais moi je sais qui ils sont. Les six que j'ai croisé et qui tenaient des propos surprenants travaillent au club d'à coté.
- Ce n'est pas eux, ils n'étaient que trois. Et même ton témoignage ne serait pas valable.
- Mais on ne peut pas rester sans rien faire. Regarde dans quel état tu es. Si cela se trouve, ils ont déjà fait ce genre de méfaits. Ne pas les dénoncer est criminel pour les futures victimes.
Et en sortant le téléphone, je commence à composer un numéro et je dis.
- Ne bouge pas pour les constatations. Je vais demander que ce soit une femme qui vienne.
Alors, je jubile en voyant mon épouse essayer de trouver une solution.
- Non, ne fais pas cela. Je n'ai pas été violée, j'étais consentante. Un coup de folie.
Je reste un instant silencieux, comme si j'avais besoin de temps pour comprendre ce qu'elle venait de dire.
- Alors c'était toi que les six jeunes appelaient la bourgeoise salope qui se fait prendre par tous les trous. Toi que le black se vantait d'avoir enculée et pistonnée pendant dix minutes et que tu étais la première femme qu'il prenait par ce chemin. A voir la quantité de sperme que tu as sur le corps tu en as profité. Jamais je n'aurais pensé cela de toi. Il te faut six queues pour être satisfaite et moi qui croyais te suffire sexuellement.
- Attends, Lucas ce n'est pas ce que tu crois.
- Oh Arrête, je crois ce que je vois. Six gars, sept préservatifs sur le sol, du sperme partout et même tu as le culot de t'afficher avec le cul encore ouvert par le fameux mandrin du black. J'en ai trop vu.
Et je quitte la chambre pour m'installer dans la chambre voisine. Le lendemain, j'attends que Lise parte en ville pour aller démonter les caméras et ranger le matériel.
Nous passons la fin de la semaine sans que je lui adresse la parole. Le soir, seul dans la chambre d'amis, je procède au montage d'un film à partir des enregistrements de la partouze. J'ai du mal à rester indifférent et je suis en permanence le sexe en érection. Si elle savait dans quel état cela me met de la voir se faire baiser par les gars. Il faut même que je me soulage régulièrement avec la main.
De son coté, à chaque occasion, elle m'explique qu'elle m'aime, que je sais la satisfaire en amour, que je dois l'excuser pour ce coup de folie etc etc.
Que c'est agréable de voir mon épouse essayer tous les jeux de la séduction pour se faire pardonner. Elle se promène presque nue dans la maison ou bien alors avec des dessous affriolants, trouvant toujours une excuse pour se pencher et me présenter son derrière. Et toujours elle veut que je lui pardonne, d'ailleurs elle comprendrait si je faisais aussi un écart avec des femmes, etc.
Son petit jeu m'amuse mais, pour l'instant c'est elle qui a profité de mon piège. Je n'ai pas l'intention de me priver de sexe plus longtemps et je m'arrange pour nous réconcilier.
Après une douche, il fait une chaleur étouffante et je viens de terminer la peinture du salon, je m'installe nu dans sur une chaise longue dans notre jardin. Lise, toujours prévenante me propose un rafraîchissement pendant qu'elle finira de ranger le matériel. J'accepte, elle me sert et je vois bien qu'elle me tourne autour. Comme je ne réagis pas elle finit par rentrer pour ranger.
Cela ne dure pas longtemps et lorsque je l'entends revenir je fais semblant de somnoler. Elle me regarde, appelle doucement « Chéri » pour vérifier que je suis assoupi. Je ne réagis pas, alors en un instant elle est nue, s'agenouille devant moi, saisit délicatement ma verge entre ses doigts et la glisse dans la bouche. J'essaye de résister le plus longtemps possible, je suis sensé dormir, mais ma verge se déploie et je bande. Tout doucement de la langue et de ses lèvres elle me suce en essayant de retarder mon réveil. Je grogne et pousse mon ventre en avant comme plongé dans un rêve. Elle continue et tout doucement m'amène à la jouissance. J'éjacule dans sa bouche et au même moment ouvre les yeux pour la découvrir dans cette position comme soumise et m'implorant du regard. Nous restons un instant dans cette position et comme je ne fais pas un geste pour me retirer elle me laisse doucement débander dans sa bouche. Je reste silencieux mais ne la chasse pas. Alors elle s'enhardit et tout en restant à genou devant moi implore mon pardon.
- Chéri, j'ai si honte. Je ne comprends pas comment cela a pu arriver, peut être m'ont ils droguée. Je reconnais que je n'ai pas résisté, certainement que le produit joue sur la volonté et déclenche des pulsions sexuelles. Mon seul tort a été de les laisser m'aborder sur la plage et de me laisser prendre au jeu de ces trois garçons, car ils n'étaient que trois. Je ne comprends pas que toi tu as vue six jeunes. Je me suis sentie flattée par leur intérêt.
J'admire le scénario que ma femme a imaginé pour expliquer sa conduite.
- Arrête je t'en prie, même si ton histoire de drogue est vraie, cela ne peut que faciliter la réalisation de tes propres fantasmes et manifestement ton fantasme était de te taper six jeunes mâles bien montés et je ne parle pas de l'exploit du black qui se vantait de t'avoir enculée avec son énorme queue.
- Oh, mon Chéri, tu as peut être raison. Après tout quelle femme n'a jamais eu ce type de fantasmes ? Et je le répète, ils n'étaient que trois.
- D'accord je ne vais pas discuter du nombre, le résultat parle de lui-même.
- S'il te plait, je ne te demande pas de me pardonner mais je voudrais réparer le mal que je t'ai fait. C'est avec toi que j'aurais du réaliser mes fantasmes. Demande-moi tout ce que tu veux. Je serai ta chose, tu pourras faire de moi tout ce que tu veux. Toi aussi tu as certainement des fantasmes. Réalises les avec moi ou fait moi participer. Je serai ta salope si tu le souhaites.
- Entendu, faisons un essai pendant ces vacances. On verra après. Mais tu devras m'obéir à la lettre et en plus le faire avec le sourire.
- Tout ce que tu veux et elle se précipite dans mes bras.
- Alors commençons tout de suite. Tu vas commencer par aller t'habiller. Attention je veux du sexy, pas de soutient gorge, pas de culotte. Puis tu vas aller à Bordeaux. Trouve un sexshop, je crois que le plus grand est dans la vieille ville et tu achètes :
Des godes de très grosse taille, plus gros que ceux que nous avons à Paris. Débrouilles toi pour que l'on puisse les fixer avec une ceinture et que tu puisses les conserver en toi.
Des plugs, très gros aussi.
Des boules de geisha et des œufs vibrants.
De la lingerie, la plus sexy possible. Imagine ce qu'une pute porte pour faire le tapin, c'est ce que je veux.
Aussi des menottes, des bandeaux, tu aimes les bandeaux hein, Et s'ils ont des accessoires sado-maso, prends-en. Ce n'est pas difficile tu fais comme pour toi.
- Ah, j'imagine que tu vas attirer l'attention avec une commande de cette importance. Je veux que tu proposes au patron de baiser avec lui, pour avoir une remise. S'il accepte, tu fais des photos, prends l'appareil. Je veux que tu me racontes tout au retour.
Elle part et pendant ce temps je regarde sur internet si des boites existent dans le coin. Les plus proches sont à Bordeaux, c'est trop loin. Alors j'appelle Samba, nous bavardons de la soirée et il me demande si je suis content en ajoutant que ce n'est pas la peine de le demander à Lise car ses cris avaient parlés pour elle. Je lui confirme que tout était super et que justement je cherchais un endroit pour continuer. Il m'indique alors, un parking en bordure de forêt qui est fréquenté par toute une population en quête de sexe. Il m'assure que c'est sans danger, que ce sont des gens du coin et que d'ailleurs plus d'une fois il avait participé.
La nuit tombe et Lise n'est pas rentée. Inquiet je l'appelle et elle me rassure en disant « j'arrive, je t'expliquerai ». En effet une heure plus tard elle se gare et rentre dans la maison les bras chargés de paquets. Elle semble exténuée aussi j'ai pitié d'elle et lui propose de prendre un verre tout en me racontant sa mission.
Elle a bien trouvé le magasin en question. Les paquets contiennent tout ce que j'ai commandé. Lorsqu'elle a demandé une remise en échange de son corps, le patron a accepté mais, ne pouvant pas s'absenter, il lui propose de revenir prendre ses paquets après la fermeture, ce qui explique l'heure tardive. En réalité le patron n'était pas seul, sa femme l'attendait également. Il lui a donc fallu satisfaire l'homme et la femme et elle ajoute que la punition était sévère car ils avaient bien 60 ans et plutôt enveloppés. Quand je demande les photos elle me tend un DVD en disant que tout avait été filmé par des caméras. Le temps d'aller chercher mon ordinateur et je le visionne. En effet, ils sont presque repoussants mais je constate que, Lise en brave soldat, a fait front. Elle a obtenu une remise de 20%.
Je la félicite et lui indique que ce n'est que le début.
- Tout ce que tu veux mon amour, je suis ta salope, ta chienne.
Pendant tout le reste des vacances nos journées ont étés organisées autour du sexe. J'ai fait subir les pires outrages à Lise qui jamais ne m'a fait de reproches. Mais en réalité je sais que pour elle c'était extraordinaire. Je la connaissais attirée par le sexe mais je crois que pas une seule de mes exigences ne lui a déplu. Sa vraie nature m'est apparue alors que je vivais avec elle depuis cinq ans. Alors moi aussi j'en ai bien profité.
Je ne vous parle pas de la baise classique avec moi car ce n'est que broutilles et pourtant elle a été une amante uniquement au service de mon plaisir. Non j'ai demandé beaucoup plus, c'est une liste à la Prévert.
Elle devait porter de façon quasi permanent un objet dans le vagin et un autre dans l'anus.
Si nous sortions en public, jamais de soutient gorge ni slip, mais boules de geisha et œufs vibrants.
Quelquefois à la maison je l'attachais sur le lit pendant des heures, le vagin et le cul occupés par de gros gode, et la bouche toujours occupée par un petit sexe en forme de tétine qu'elle ne devait pas enlever. De temps en temps j'utilisais sa bouche comme un vagin, la baisant si profondément qu'elle en avait les larmes aux yeux, bien sur en lui faisant avaler mon sperme. Je profitais aussi de son anus que je bourrais avec toute la vigueur possible. Et bien, même après un tel traitement je pouvais constater en retirant le gode de son vagin qu'elle avait pris du plaisir. C'est à se demander si la punition n'est pas pour elle une source inépuisable de jouissance.
Une fois je l'ai emmenée dans le bois pour des rencontres. J'avais exigé qu'elle se promène nue avec juste un collier noir duquel pendant une laisse, un plug bijou dans le cul et des boules de geisha dans le sexe. C'était un charmant spectacle. Elle devait avancer provocante et je suivais, par sécurité, cent mètre derrière. Bien sur elle était accostée par des couples ou des hommes seuls. Elle devait leur donner un papier sur lequel j'avais écrit.
"Si vous voulez de moi, je serai à prendre (devant ou derrière), gratuitement, ce soir, à partir de ... heures, près de la source Manon. Venez couvert. Si une femme veut participer elle doit s'équiper d'un gode-ceinture. Vous êtes le ... sur ma liste. Offre valable pour une seule personne."
J'avais préparé 10 papiers avec des heures s'étalant de 21h à 23h. Et bien, nous avons refusé du monde. Ce petit bois est vraiment fréquenté et les gens du coin manquent manifestement de distractions.
Vers 20h30 nous arrivons sur place et déjà certains attendent. Assez étrangement il y a une majorité de couples. Lise est déjà nue. Je lui attache les poignets aux branches d'un arbre de façon qu'elle présente ses fesses. Les liens sont assez souples pour qu'elle puisse se pencher, se cambrer et bien écarter les jambes. Le seul souhait qu'elle avait formulé était, de venir avec du lubrifiant de façon que je puisse lui mettre si c'était nécessaire.
Alors, pendant plus d'une heure Lise a été le jouet de ces hommes et de ces femmes qui l'ont possédée soit par le vagin soit par le cul. Tous les hommes, sur ma demande ont éjaculé sur son dos et ses fesses. Les femmes ont étés les plus acharnées et toutes ont choisi de la baiser par le cul. Le numéro 10 vient de partir, tous pensent que c'est terminé mais je dis.
- Je demande au numéro onze de s'avancer.
Alors, sortant de l'ombre, Samba se présente, le sexe déjà en érection. Les spectateurs ont les yeux fixés sur l'engin, et ne peuvent s'empêcher de faire des remarques. Lise les entend mais ne peut tourner la tête suffisamment pour voir. Je m'avance vers elle et en lui parlant à l'oreille j'étale copieusement du lubrifiant sur son œillet : « C'est mon cadeau ». Et je reste à ses cotés.
Samba promène son gland autour de l'œillet pour l'enduire d'huile, alors que Lise se cambre pour faciliter l'introduction. Cette fois je lui ai demandé de la pénétrer directement à fond et c'est ce qu'il fait d'une seule poussée. Les cris du public couvrent le gémissement de ma femme qui, dans un souffle, demande : « Samba c'est toi » Il ne répond pas car tout de suite il la pistonne à grand coups de reins, se servant de ses mains sur les hanches de Lise pour venir se plaquer contre elle.
Ma bouche est tout près de l'oreille de ma femme et je lui murmure « alors tu aimes que cette queue te fouille le ventre. Pas de drogue ce soir, tu te fais enculer par un énorme gourdin et tu aimes. Allons dis que tu aimes te faire prendre par toutes ces bites et que même les femmes te donnent du plaisir ». J'ai du mal à la suivre dans ses mouvements car Samba là fait se balancer sous ses coups de boutoir. Mais je l'entends me répondre « oui, j'aime cela, je sens sa queue si grosse et pourtant elle me fait du bien, je jouis ». Samba aussi éjacule son torrent de sperme qu'il arrive à faire monter jusqu'à la nuque.
C'est fini. Je m'attends à ce que les gens partent, mais spontanément ils applaudissent. Nous sommes seuls, avant de la détacher je ramasse du sperme collé à son dos pour en étaler sur sa poitrine. Et je dis en souriant « on dit que c'est bon pour les seins ».
Voila un an s'est écoulé depuis ces aventures. Mais finalement je n'ai pas supporté d'avoir une femme qui aime tant le sexe et qui accepte de se donner à d'autres dans des conditions presque dégradantes. Je sais, je ne sais pas ce que je veux, mais cela a été plus fort que moi. Lise n'a pas insisté et nous avons divorcé à l'amiable. Notre divorce n'a pas remis en cause mon statut dans l'entreprise familiale et nous sommes restés, sinon bons amis, au moins en bonne relation.
J'ai répondu aux avances de ma chef du personnel. Oui c'est vrai qu'il ne faut pas mélanger sexe et travail, mais ce n'est pas si mal aussi de pouvoir se faire tailler une pipe dans son bureau. Non je ne suis pas un patron qui exige ce genre de relations de ses employées, mais je me dois d'assurer le bien être de certaines et si pour cela il faut en passer par là, lors je suis prêt à me sacrifier.
Plaisanteries mises à part, cela fait six mois que nous nous fréquentons et tout va bien. Alexa est une bonne vivante, sans complexe qui profite de la vie comme elle vient. Nous sommes extrêmement prudents et pour l'instant chacun vit chez soi et nous nous retrouvons que pour sortir et évidemment pour le sexe. Elle ne m'a pas caché que sa vie sexuelle était déjà bien remplie avant de me rencontrer. Evidemment elle sait que je suis divorcé et je ne lui ai raconté que le minimum. Nous nous entendons très bien sexuellement. Un jour ou nous avions fait la fête et étions rentrés très tard, je suis resté coucher chez elle.
Pendant une heure elle m'a laissé seule dans l'appartement et, vous me connaissez, j'ai un peu regardé dans ses affaires personnelles. Dans la table de nuit j'ai trouvé quelques sextoys et accessoires qui peuvent aider une femme à se faire plaisir sans la présence d'un amant. Sous ces objets, une enveloppe assez épaisse, non cachetée, que je m'empresse de regarder en prenant bien soin de pouvoir tout remettre en place. Il s'agit de photos plutôt osées où Alexa est le modèle principal. C'est à ne pas douter des souvenirs de ses anciens amants. Rien que de plus normal pour une femme libérée. Cependant une photo, d'un format différent sort du lot. On voit ma belle maîtresse souriante manifestement prise en sandwich par deux hommes qui sourient également. Au dos on peut lire : Pierre et François, club 21, 01/01/2006. Je ne suis pas choqué de ce que je vois, au moins je connais un peu plus son passé.
Les semaines passent et petit à petit j'essaye d'aborder le sujet des boites spécialisées. Un soir, après l'amour nous avons alors une franche conversation et elle ne ma cache pas qu'elle a déjà fréquenté un club de ce type pendant quelques mois avec son amant de l'époque. Alors je lui fais part de ma curiosité et tout naturellement me propose de me servir de guide.
C'est la troisième fois que nous venons dans ce club et il faut bien reconnaître que nous avons étés voyeurs plutôt qu'acteurs mais à chaque fois notre excitation est totale.
Nous venons d'arriver et plusieurs couples sont rassemblés autour de la piste de danse. La patronne fait une annonce :
- Aujourd'hui c'est l'anniversaire de notre amie. Apparaît alors sur la piste une femme totalement nue si ce n'est qu'un masque recouvre son visage, et suivant la tradition elle a le droit de choisir les partenaires parmi l'assemblée .Que la fête commence.
La femme fait quelques pas, semble hésiter, puis se dirige vers nous et nous prend par la main pour nous entraîner au milieu de la piste. Nous n'osons pas refuser.
La femme se penche alors vers l'animatrice et lui parle à l'oreille.
- Excellent choix. Maintenant elle souhaiterait que ses deux élus se dénudent l'un l'autre.
Nous voilà pris au piège. J'interroge Alexa du regard mais elle semble plus à l'aise que moi. Heureusement la lumière baisse et une musique langoureuse commence. Ma maîtresse prend les choses en mains. Elle virevolte autour de moi, détachant un bouton par ci, décrochant ma ceinture par là. En un instant je me retrouve en slip. Alors elle s'agenouille, le visage mis en valeur par un spot qui la suit. Toujours en ondulant elle descend mon dernier rempart et révèle à tous mon sexe frémissant. Elle se relève et toujours en ondulant se frotte à moi.
C'est à moi. Finalement c'est avec plaisir que j'effeuille ma partenaire, fier de pouvoir montrer à tous son corps de rêve. Je ne peux pas cacher mon excitation car mon sexe s'est transformé en mandrin pointant vers le ciel. Nous entamons une danse érotique ou je me place tantôt devant tantôt derrière ma cavalière. Chaque fois je prends soin de placer mon gland soit à l'entrée du vagin, soit à l'entrée de son anus. Nous sommes alors rejoint par la femme au masque qui se place face à Alexa, entreprend de lui caresser les seins, puis la quitte pour venir se plaquer contre moi en saisissant mon sexe à pleine main.
La lumière s'éteint et l'animatrice dit :
- Laissons-les faire connaissance. Bonne soirée à tous. Et que la force soit avec ce charmant couple.
Le masque nous prend par la main et nous conduit dans une pièce réservée aux échanges. Elle fait allonger Alexa et se place sur elle en 69. Tout cela semble naturel et je suis surpris de la facilité avec laquelle ma maîtresse s'occupe de caresser sa cavalière qui lui rend bien. Je ne savais pas son penchant pour les femmes mais après tout je la connais si peu. Je décide de participer en m'occupant de l'anus du masque. Ma langue rencontre celle d'Alexa, nous échangeons nos salives et nous nous occupons si bien que petit à petit nous amenons notre partenaire au plaisir.
Le masque toujours sans parler dirige Alexa pour qu'elle me prenne dans sa bouche. Attentive elle la regarde, n'hésitant pas à me caresser les boules, jusqu'à ce que je jouisse dans sa gorge. Alors seulement on entend le son de sa voix.
- La crème de mon ex est toujours aussi bonne, non'
Le ciel me tombe sur la tête. C'est Lise... La boucle est bouclée.