One body. Two bodies. Body-Body. 1/2

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Proposée le 30/04/2013 par Coquin

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LUC

Nous suivons la foule vers la sortie. Ils semblent enthousiastes. Nous, à moitié! Pale copie de ce que nous avons en France, Lido, Crazy-Horse. Seul le dernier tableau valait le déplacement. Nous n'aurions pas du écouter des connaissances de passage, Américains en quête de sensations.
Cela fait dix jours qu'Armelle et moi sommes dans ce pays. Vacances, voyage de "Pacs", au choix. Je connais l'expression "voyage de noces" mais qu'elle est celle pour les "Pacsés"?
Je connais Armelle depuis un an. Elle travaille dans le même service que moi, en fait, je suis son responsable. Nous avons sympathisé car nous sommes du même coin, vers Montpellier, et mutés à Paris. Je sors d'un divorce, heureusement sans enfants, et comme j'ai décidé de vraiment tourner la page, j'ai demandé ma mutation chez moi. Vu mon âge, 41 ans, mon ancienneté et ma notation je suis classé premier de la liste.
Armelle est bien plus jeune, 24ans, très jolie et dégourdie. On peut dire que c'est elle qui m'a dragué. Jamais je n'aurais osé, vu la différence d'âge mais aussi du fait qu'elle est sous mes ordres. Mais comment ne pas se laisser séduire par ses arguments et son audace. Depuis six mois nous sommes ensemble. Enfin, pas vraiment, chacun dans son appart mais très souvent nous passons la nuit ensemble. Malheureusement pas le weekend car elle retourne chez elle. La nostalgie du pays.
Ce qui a commencé comme du plaisir partagé, s'est transformé en douce tendresse. Elle me surprend toujours par sa fougue et ne cesse de me susurrer des mots que tout homme rêve d'entendre. Elle me place sur un piédestal. Aussi, je n'ai pas vraiment été surpris lorsqu'elle m'a proposé que nous nous Pacsions. Son argument principal étant qu'elle ne voulait pas me quitter et que comme elle n'avait aucune chance d'avoir sa mutation, le Pacs pouvait aider à ce que nous ne soyons pas séparés.
J'ai bien-sur accepté et, ce qu'elle ne sait pas, j'ai usé de mon influence au syndicat pour pousser à la roue. En principe, c'est bouclé mais je ne veux rien lui dire sans le papier officiel.
J'aime bien Armelle. Non, j'aime Armelle. Nous avons beaucoup de points communs, et je ne parle pas du sexe. Un enchantement. Le rayon de soleil dans ma vie. Une bombe, toujours partante, ne cachant pas son gout pour la chose.
En attendant, c'est farniente, plage, piscine, massages et, baise, baise, baise. Une bombe je vous dis.

Maintenant nous sommes dans la capitale depuis trois jours et sortons donc de ce spectacle.
Donc comme je le disais, seul le dernier tableau sortait de l'ordinaire. Une femme lave du linge à la rivière. Un bruit et en se retournant, elle constate qu'un guerrier en costume traditionnel avec masque de guerre, la regarde. Elle prend peur, cherche à s'enfuir, mais c'est en réalité trois guerriers qui la cernent et la bloquent. Une épée coupe un nœud et sa robe tombe. Elle est nue et cherche à se cacher avec ses mains. Pas de paroles, mais une musique qui change de rythme et d'instrument, en fait office. Un xylophone lance un ordre, la femme laisse tomber ses bras. Le reste à l'avenant. Petit à petit elle doit découvrir le sexe des guerriers, les caresser, les branler. Pour ne pas choquer les spectateurs occidentaux, la grande majorité du public, la femme abandonne progressivement son rôle de victime pour coopérer activement et avec bonne volonté. Du sexe, oui. Mais une scène de viol, même suggérée, non. Cela se termine en apothéose ou elle se retrouve prise par les trois hommes avec moult mouvements et bruits de cymbale.
En rentrant à l'hôtel le concierge n'est pas surpris de notre appréciation mitigée du spectacle.
- C'est classique. C'est fait pour les Américains. Vous les Français connaissez déjà. Avez-vous essayé nos massages traditionnels'
Armelle répond.
- Oui, une fois la première semaine. Dans notre hôtel.
- Et alors'
- Pas mal
- Pas mal' Le Bodybody! Ah bon!
- Nous n'avons pas essayé le bodybody. Je ne veux pas aller dans ces boites où on choisit sa masseuse comme sur une foire aux bestiaux.
- Je vous comprends, mais il existe de nombreux instituts de petite taille, plus sympathiques. Tenez, je connais un salon avec deux masseuses seulement, deux sœurs. C'est le mari qui s'en occupe. Petite entreprise familiale dans une maison traditionnelle. Hygiène parfaite et ils parlent un peu Français.
Voila comment le lendemain un taxi nous dépose devant cet institut. C'est le mari qui nous ouvre. Pas un mot de Français, mais une femme baragouine un peu. En tout cas c'est très cosy, très douillet, vraiment très intime et les deux masseuses sont charmantes. Heureusement, comme au Macdo le programme est accompagné de photos qui expliquent bien plus que nos échanges laborieux. Je constate en passant que les deux femmes sont aussi très mignonnes dévêtues. Notre choix fait, et après avoir bien fait comprendre que nous ne voulions pas être séparés, elles nous entraînent dans la pièce de soin.
Heureusement que la lumière est tamisée car ce n'est pas évident de se déshabiller entièrement devant des inconnues. Pour elles c'est plus facile, j'imagine que c'est leur quotidien.

C'est un pur bonheur, de relaxation et de sensualité. Les corps huilés brillent sous la lumière des bougies. Armelle et moi ne pouvons retenir de petits soupirs de plaisir. Sentir ces corps nus se frotter au notre, deviner par la douce pression exercée si c'est un sein, un ventre, un pubis qui masse, quel délice. Nous sommes tous les deux sur le ventre, visage tourné vers l'autre, regardant la masseuse évoluer sur le corps de l'autre. Est-ce qu'une femme est aussi sensible qu'un homme à ce genre d'attouchements' Est-ce que Armelle apprécie autant que moi ce massage? Elle tend la main. Nous sommes assez près pour que je puisse la saisir. Ce contact et son sourire contribuent à mon bonheur.
Les masseuses nous demandent de nous retourner. Le sourire de ma compagne s'élargit. Ses yeux voient ce que maintenant je ne peux plus cacher. Je suis en érection. Oh, pas encore le sexe tendu et gonflé par le désir. Non, juste un début d'érection. La chair qui a perdu sa souplesse et qui place naturellement la verge plaquée sur le pubis, bien alignée dans l'axe des deux bourses. Pourtant jusqu'à maintenant aucune caresse précise, aucune sollicitation sexuelle par ma masseuse. Juste le frottement de son corps.
Elle reprend ses massages des pieds et des jambes. Ses mains expertes trouvent et dénouent des muscles dont nous n'avons même pas consciences. Progressivement elle monte, évitant soigneusement ma verge qui ne semble pas l'émouvoir. Pressions sur l'abdomen, massage de la poitrine, le cou, le menton, la tête. Elle verse encore cette huile parfumée qui enivre. Maintenant elle rampe sur moi et utilise son corps pour étaler le produit. Il n'est plus nécessaire d'imaginer. Maintenant je vois comment elle agit. Sa poitrine passe à quelques centimètres de mon visage. Ses fesses se frottent à mon pubis, remontant lentement jusqu'à m'offrir la vision délicieuse de sa chatte.
Comme un ballet bien orchestré, ma compagne à droit au même traitement. Une question m'effleure. A-t-elle déjà vu un minou de femme d'aussi près, au moins dans la réalité? Comme si elle avait entendu ma question muette, elle tourne son visage et nous échangeons un regard complice. Je vois aussi que ses yeux descendent et qu'à nouveau son sourire s'élargit. Evidemment maintenant j'ai une trique d'enfer. Quel homme résisterait à cette association d'attouchements, même si aucune zone érogène n'est touchée, avec la vision sublime de ces corps nus qui ondulent.
Ma masseuse m'abandonne un instant pour aller parler à l'oreille de ma compagne. Elles chuchotent et malgré le silence de la pièce je n'arrive pas à entendre. Enfin elle revient. J'interroge mon épouse du regard mais elle ne fait que me sourire et me tendre la main. Mais il ne faut pas longtemps pour que je comprenne l'objet de la discussion car la femme change de registre. Elle me chevauche à nouveau, m'offrant le plus beau des spectacles sur ses fesses et sa féminité, pour venir prendre ma verge raide entre ses lèvres. Armelle m'offre donc le charment cadeau de cette asiatique, rêve de tout homme, qui va "terminer" son body-body de la plus charmante des façons. Je remercie ma complice, jeune "Pacsée", dans un "Merci" prononcé silencieusement par mes lèvres, avant de me laisser emporter par le plaisir de cette fellation profonde.
Je transmets par ma main, à ma voisine, tout le plaisir ressenti grâce à la bouche, les lèvres, la langue de la magicienne qui me suce. Je sens que les lèvres déroulent un préservatif qui vient enserrer mon gland puis lentement comprimer la hampe que je sens maintenant raide, dure, tendue pour l'ultime jouissance. Ma baiseuse bouge et vient maintenant chevaucher la queue protégée. Elle me fait face et de la main guide mon bâton d'occidental dans le fourreau que j'imagine, espère, fantasme, étroit et vierge. Etroit c'est vrai. Je me délecte de cette impression de "viol consenti" dans cet espace étroit, qui m'emprisonne et m'apporte une sensation de force mâle. Vierge, surement pas, de la façon dont la femme s'embroche sur ma queue jusqu'à ce que ses fesses viennent au contact de mes bourses.
Elle va se baiser sur mon pieu et me faire jouir, cracher ma semence, vider mes couilles ou se préparent déjà un feu d'artifice. Mais, non, elle reste immobile. Qu'attend-elle? Elle se penche vers moi. Elle est maintenant allongée, ma bite enfournée au plus profond de son vagin. Elle ne bouge toujours pas. Pourtant.... Oui, il me semble.... Mais oui, ma verge est massée..... Comme palpée de l'intérieur....
Je comprends. J'avais entendu dire que certaines femmes, asiatiques plus particulièrement, étaient capables de contracter et contrôler les muscles de leur vagin et ainsi de masser la verge de leur amant. Les légendes sont parfois vraies et au combien agréables. Ma queue est doucement pressée puis relâchée, encore et encore. Suprême délice qui se passe à l'intérieur, bien loin du brutal et vulgaire va-et-vient.
- Tu veux? Mari avec femme?
Il me faut un moment pour comprendre que c'est ma masseuse qui murmure ces paroles à l'oreille. Comme je ne réagis pas, elle insiste.
- Pas cher.
Et elle m'annonce une somme en dollar.
Pas cher, pas cher. C'est vite dit. La somme est coquette et surtout je ne comprends rien. Mari? Femme? Quel mari? Quelle femme?
Elle insiste.
- Mari, moi. Femme, toi.
Avec un accent à couper au couteau, mais je comprends. Son mari avec ma compagne. Elle me propose son mari pour aller avec Armelle. Elle est malade! Armelle avec un homme, et quoi encore!
Mais comme pour insister, je sens ses massages internes amplifier. C'est bon. Cadeau d'Armelle. Armelle qui me regarde. Qui assiste à mon plaisir. Qui m'a offert cette femme. Don d'amour. Et moi, égoïste qui refuse.... Le vagin me pompe. Je gémis de plaisir. Je tourne mon visage vers ma douce, à coté, attentive, généreuse....
- Oui, d'accord. Je susurre à l'oreille de ma tentatrice.
Alors ma baiseuse se redresse et fait un signe à l'autre femme qui aussitôt franchit la porte pour revenir avec le mari, l'homme qui nous a accueillit. En un instant elle le déshabille, faisant apparaître le corps d'un homme jeune en pleine possession de la force de son âge. Muscles saillants, silhouette fine et nerveuse, épaules étroites, ceinture abdominale à faire envie aux fans de la muscul. Il est maintenant assez près pour que son sexe qui repose sur les bourses soit nettement visible mais aussitôt une main s'en empare pour le flatter et le caresser. C'est la femme qui se charge de cette besogne, s'appliquant à le faire durcir. Pendant ce temps l'homme ne quitte pas des yeux ma compagne sur la table, dans une position telle qu'elle ne cache rien de son anatomie.
Nous nous regardons. Son regard montre l'incompréhension, cherchant la raison de la présence de cet homme. Je l'apaise d'un sourire. Après tout si cela ne lui plait pas, il suffira de refuser.
La femme maintenant suce la verge qu'elle a déjà bien attisée. Bonne ouvrière elle s'applique. J'imagine que c'est la sœur de ma baiseuse si j'ai bien compris les explications du concierge de l'hôtel. Petite entreprise familiale. En tout cas, chaque fellation dégage un sexe de plus en plus développé, de plus en plus raide et tiré vers le ciel.
Maintenant elle l'abandonne laissant la bite humide et luisante, bien raide et droite comme si la gravité n'existait pas. Quelques pas et voila l'homme entre nos tables. Il est à portée de main.
Armelle le regarde, plutôt, la regarde. Toujours aussi interrogative elle se tourne vers moi. Moi qui suis toujours chevauché, entretenu par les massages accompagnés maintenant de mouvements du bassin. Alors je fais ce que jamais je n'aurais osé faire dans un moment normal. Mais actuellement je plane. Qu'est ce que le normal dans la condition ou nous sommes.
Oui, j'ose. Ma main qui étreint toujours celle d'Armelle, parcoure le chemin pour s'approcher de la queue offerte. Et, alors, je saisis le poignet de ma compagne pour que sa paume vienne au contact de la peau si délicate du gland et de la tige. Dans un réflexe, ses doigts se referment sur la chose, comme je lui propose la mienne quelques fois.
Effrayée, ou faussement effrayée de mon audace elle me regarde et alors que ma main entoure la sienne pour la conforter dans sa prise je fais un geste d'assentiment avec la tête. Un instant j'ai l'impression qu'elle n'attendait que mon accord pour vraiment s'approprier le sexe offert. Ses premiers gestes sont ceux de l'exploratrice qui prend la mesure de l'objet, descendant jusqu'aux couilles pour les enrober dans sa mains prédatrice.
L'homme se déplace et me cache maintenant les caresses que ma compagne lui prodige pendant qu'il se penche pour s'occuper des seins déjà gonflés par le massage avec les pointes, véritables sucettes prêtes à toutes les agaceries. Je ne vois plus que ses fesses et son dos penché sur ma compagne. Si, un peu plus, il écarte les jambes, et je vois le bout des doigts de ma voisine, preuve qu'elle continue de lui caresser la queue.
Elle gémit. Nous nous regardons encore, complices dans le vice, jeunes "Pacsés" délurés. Son regard est trouble, de cette eau que je connais bien. Celle que le plaisir lui donne.
L'homme la quitte. Le bras d'Armelle se tend pour lâcher, à regret, l'objet de sa masturbation. Il va en bout de table, s'empare des jambes de mon épouse pour les ouvrir, les soulever, s'en servant comme appui pour la faire glisser au bord et plonger son visage entre les cuisses maintenant largement écartées.
Un cri. Un instant elle est surprise de la caresse que les cuisses me cachent, mais très vite tout son corps se tend au-devant de l'homme. Sa main cherche la mienne et ses ongles me griffent lorsque la jouissance arrive. Je suis surpris de la rapidité avec laquelle son orgasme est venu. Conclusion de désirs retenus, caresses de la masseuse, spectacle de son compagnon embrochant une femme, tout doit concourir a la réalisation de ses fantasmes.
Comme si l'appel de cette première jouissance était le signe attendu, ma baiseuse abandonne ses douces pressions pour commencer un rude va-et-vient, finalement agréable retour au classicisme. Mes cris se confondent maintenant avec ceux de mon épouse que l'homme continue de lutiner entre les cuisses. Ma semence se répand en flots généreux dans le préservatif et ma masseuse à la politesse de jouir, ou simuler la jouissance pour m'accompagner.
Pendant que je reprends mon souffle, le couple d'à coté continue avec entrain. Armelle ne cesse de geindre, joignant le geste aux cris de plaisir. Son bassin est un océan en furie, ondulant en vagues et déferlantes. L'homme n'est plus seul. Sa complice joue avec ses seins, tirant les tétons entre ses doigts et les faisant rouler sans discontinuer.
Maintenant je suis libéré de ma cavalière qui s'est chargée de faire sauter le plastique disgracieux et remplis de sperme. Ma verge reprend lentement sa forme de repos, oasis encore humide entre mes cuisses. Pour mieux admirer le spectacle je m'assois au bord de la table me procurant ainsi une vue plongeante sur la chatte de ma compagne et l'homme qui la lutine.
Mais déjà il se redresse, monte sur la table et glisse ses jambes repliées sous les fesses d'Armelle. Placée ainsi, la verge, maintenant queue conquérante, est à la porte du minou de ma douce compagne. Sans l'ombre d'une hésitation, un coup de rein ravageur pousse l'engin en avant et prend possession de la grotte détrempée par les jouissances et la salive.
Elle crie. Oui elle crie. Pas de douleur, non. De plaisir. Du plaisir d'accueillir le mandrin tant attendu dans sa vulve dilatée par l'attente. Ses ongles déchirent la peau de ma main au rythme que l'homme lui imprime. Fini les caresses, les sucions de chatte, les aspirations de clitoris. Maintenant il la possède comme un homme possède une femme après six mois d'abstinence. C'est fort, violent. La table tremble sous les coups de butoir. Ma compagne glisse à chaque possession. Déjà sa tête pend dans le vide et seule sa main qui s'accroche à la mienne la retient d'aller plus loin. L'homme alors, enserre les cuisses déjà plaquées contre son torse et d'un mouvement violent ramène sa maîtresse sur la table.
Ahhhhhhh!
Ils sont soudés l'un à l'autre et pendant un instant immobiles, comme s'ils voulaient ressentir longtemps la force et la puissance de la queue terrée au plus profond du con. C'est étonnant comme le visage de l'homme a perdu ce masque d'indifférence toute asiatique et surement affiché comme preuve du professionnalisme de l'amant rémunéré. D'ailleurs je ne suis pas le seul à le remarquer car ma masseuse lui parle rapidement comme si elle était inquiète. Il répond d'un ton sec avant de reprendre ses va-et-vient, maintenant moins violents mais plus amples faisant claquer à chaque fois son ventre contre les fesses d'Armelle.
Elle aussi, affiche le masque du plaisir et son souffle s'accélère libérant de petits gémissements à chaque saillie.
Il continue à ce rythme d'enfer pendant une éternité, arrachant jouissance sur jouissance à mon amie.
Elle s'épuise et n'est plus maintenant qu'un corps désarticulé que l'homme continue de violenter. Enfin, lui aussi jouit avec de grands coup de rein et lance un cri guttural avant de s'effondrer sur le corps de ma compagne.
Plus personne ne bouge. Je suis conscient d'avoir assisté à un événement entre cet homme et ma compagne. Jamais elle n'avait jouit si fort avec moi et pourtant nos nuits sont souvent torrides. Cet homme aurait il un pouvoir particulier ou bien Armelle s'est elle révélée la partenaire parfaite et en totale harmonie avec lui? Un instant je m'inquiète mais me rassure aussitôt. Nous partons dans deux jours et ce moment ne sera plus bientôt plus qu'un souvenir.

Le reste de la journée passe tranquillement. Étrangement nous n'abordons pas le sujet de ces massages et des conséquences comme si chacun de nous ressentait le besoin d'oublier et avait conscience que la porte entrouverte sur nos plaisirs devait se refermer.
Le lendemain, au retour du petit déjeuner nous avons la surprise de trouver un énorme bouquet de fleurs dans notre chambre, accompagné d'une carte. Il nous semble reconnaître le logo de la maison de la veille mais le texte qui l'accompagne, bien que très beau nous est totalement opaque. Au dos de la carte une fleur stylisée et un papillon qui la butine sont dessinés avec grâce. Je propose à Armelle qu'elle aille faire traduire le texte par le concierge, lui conseillant aussi de ne s'adresser qu'à lui.
Elle revient un long moment plus tard et toute souriante m'explique.
- La fleur est en réalité un sexe de femme stylisé. En résumé le texte dit: hommage à la femme fleur que le papillon à butiné avec une joie intense...
Je ne sais pas si c'est la tradition dans ce pays qu'un amant rémunéré fasse de tels compliments et j'interroge ma compagne.
- Oui, oui, il parait que cela se fait....
Et elle ajoute.
- Ce matin je voudrais faire quelques achats de cadeaux. Pour gagner du temps on pourrait aller chacun de son coté et on se retrouve vers 15h à l'hôtel. Qu'est ce que tu en penses'
Cette soudaine idée d'achat séparé m'intrigue. Nous avions convenu de faire cela le dernier jour, c'est vrai, mais ensembles. Mais après tout cela va me décharger de cette corvée.
- Bien-sur, comme tu veux.
- Parfait "et elle me donne un baiser rapide", je prends juste une douche et je pars.
Alors qu'elle va dans la salle de bain, je remarque la carte abandonnée sur la table. Une idée, un soupçon me saisit. Sans rien dire je quitte la chambre et vais vers le concierge et lui présentant la carte, demande.
- Ma compagne voudrait garder un souvenir. Pourriez-vous écrire le texte en Français sur une feuille?
Il s'exécute avec un petit sourire complice. Le texte est bien différent du résumé que m'en a fait Armelle.

- Petite fleur. Je suis le papillon qui a goûté à ton nectar hier et qui garde un souvenir extraordinaire de cet instant. Je suis sur que toi aussi tu as senti nos karmas se rejoindre dans le plaisir et la jouissance. Notre destin est de renouveler cet instant pour atteindre le nirvana. Appelle-moi et viens. J'ai parlé de notre fusion corporelle avec deux amis proches qui pourront se joindre à nous et servir de tremplin à notre ascension.
Pour ma part j'ai une traduction plus occidentale de ce charabia poétique.
- Tu es un bon coup. Tu m'as fait jouir et moi aussi. Viens me voir et avec deux amis nous te baiserons.
Et ma compagne, mon Armelle est partante pour cette partie de baise. Elle est encore plus terre à terre que moi et a donc fait la même interprétation. Voila la raison de ces achats. Je suis sur qu'elle a déjà téléphoné au gars et que la douche est la préparation pour ce rendez vous sans équivoque. Je suis sidéré de son attitude, de sa dissimulation. Passer d'une séance de massages érotiques, cote à cote, dans une même communion avec son "époux" à, ce que promet le texte, une partie de baise avec trois hommes, le fossé est gigantesque.
Mais, je me fais peut être des idées.
Il n'existe qu'une seule solution pour connaitre la vérité, savoir si ma jeune compagne envisage déjà de me tromper et de quelle façon! Alors que je lui ai apporté la preuve que nous pouvions, mais ensemble, nous accorder des coups de canifs dans le contrat.
De retour dans la chambre, je repose la carte à sa place et passant la tête par la porte de la salle de bain, lance un :
- A tout à l'heure. Je pars. Rendez-vous comme convenu.
Aussitôt dans la rue je hèle un taxi pour qu'il m'emmène à l'adresse de la maison des masseuses, et là je me dissimule pour épier leur porte. Une demi-heure plus tard, ma compagne se présente, sonne et entre dans le salon. Manifestement elle est attendue. J'ai encore l'espoir que sa venue ne soit justifiée que par l'achat d'une crème, d'une potion, de conseils pour des massages personnels et m'en faire la surprise. Comment savoir. Il me faut aller voir.
A mon tour je sonne. C'est ma masseuse qui m'ouvre. Elle est surprise de ma présence mais je la rassure par un sourire que je veux rassurant. Je m'essaye pour expliquer ce que je veux.
- Femme... Moi.... Ici Je complète par des gestes et surtout continue de sourire.
Puis je montre mes yeux avec les deux doigts de la main pour les diriger ensuite dans la direction de la pièce de l'autre coté de la cloison.
- Moi.... Regarder. Dis-je avec un air de conspirateur que j'essaye de compléter par un regard de voyeur lubrique. Mais ce qui emporte la décision c'est le billet de forte coupure que je lui tends. Comme par magie, le billet disparaît et en me faisant signe de me taire.
- Venir...
Je la suis, nous passons par un passage dérobé et arrivons dans une espace sombre qui tient plus du placard que de la pièce. La porte fermée, maintenant dans le noir le plus total, je l'entends déplacer un rideau. Alors la cloison apparaît être en réalité un miroir sans tain donnant sur une chambre.
Bien sur, c'est évident. Ce type de maison doit pouvoir répondre aux souhaits de voyeurs, mari, maîtresse, amant, que sais-je encore ? Deux tabourets sont mêmes là pour le confort des espions. La femme, tout en réitérant son message de silence, s'installe en me proposant de faire comme elle.
La pièce de l'autre coté du miroir est une chambre. Je devine que les deux autres parois doivent donner sur d'autres pièces. C'est un parfait lieu d'observation. Qui sait, peut être étions nous espionnés la veille dans notre partie chaude. Peu importe.
En tout cas je sais maintenant qu'Armelle n'est pas venue faire des emplettes dans cette maison et que le propriétaire a tenu parole. Ils sont trois, trois hommes, qui pour l'instant tournent autour de leur proie, proie consentante si j'en juge par son attitude. Elle se prête volontiers à la séance de déshabillage que les hommes lui imposent. Déjà, corsage et jupe sont au sol. Le soutien-gorge suit, libérant une gorge déjà gonflée avec les tétons saillants d'excitation. La culotte ne cache pas grand-chose, soulignant plus que protégeant, la chatte et les fesses rebondies. C'est elle qui la fait glisser lentement avec un déhanchement dévastateur et le petit coup de pied qui la pousse plus loin. Un homme se baisse pour la ramasser, la sentir et la glisser dans une poche. Un autre fait de même avec le soutient gorge. Elle risque bien de rentrer sans rien dessous.
Ma compagne se comporte en vamp, vedette de cinéma qui tourne pour que chaque admirateur, chaque photographe profite et immortalise le moment.
A propos je sors mon appareil photo, vérifie que le flash est bien « off » et que la lumière est suffisante. Je saisis la première preuve de mon infortune. Les hommes pour l'instant sont fascinés par sa poitrine opulente, lourde mais ferme, bien éloignée des standards asiatiques. Ils la palpent sans complexes, certainement habitués à l'obéissance proverbiale de leurs femmes. Cela plait à Armelle qui s'avance pour faciliter leurs caresses et elle profite de la proximité des hommes pour s'attaquer à leur chemise. Rapidement les deux autres font de même et maintenant tous trois sont torse nu. Manifestement ils sont taillés sur le même gabarit, ou pratique la même activité physique qui les muscle avantageusement.
Décidément elle se comporte en salope, avide de sexe car elle pousse les hommes vers le lit pour qu'ils s'assoient. Un instant ils profitent de la vision enchanteresse de son pubis et de sa fente totalement épilée, jusqu'à ce qu'elle s'agenouille et entreprenne de s'attaquer à la première braguette.
Je mitraille la scène incongrue de cette femme, ma compagne, qui l'un après l'autre dénude les trois mâles de la pièce. La voici maintenant à genou, adoratrice, grande prêtresse de trois sexes que le spectacle inspire. Les trois, oui tout les trois sont déjà au garde à vous. Hommage rendu à la femme occidentale qui révèle ses charmes et fait preuve d'une audace folle. Elle commence par celui du propriétaire, sexe déjà tenu en main et branlé hier, juste avant qu'il la fasse grimper au rideau. C'est sans difficulté qu'elle le prend entre ses lèvres, jouant de la langue autour du gland et poussant son avantage jusqu'à gober complètement la queue maintenant bien raide.
J'aime lorsque ses lèvres rampent sur la hampe pour venir buter contre le pubis et les couilles. A notre première rencontre elle m'avait fait ce cadeau d'une gorge profonde si experte qu'elle ne pouvait nier l'avoir longuement pratiqué avant de me connaitre. Je ne pouvais que remercier les amants d'Armelle de l'avoir si bien initiée pour mon plus grand plaisir. Mais jamais je n'aurais imaginé la voir pratiquer son art sur une autre bite que la mienne. Et quand je dis une bite, je pense trois bites car successivement les trois hommes ont droit au même traitement. Pendant qu'elle en suce un, elle entretient les autres avec ses mains.
C'est ma voisine qui attire mon attention sur la trique que ce spectacle déclenche. Suis-je plus voyeur que "mari cocu"? En tout cas je bande comme un âne et maintenant je sens ma verge comprimée dans mon short. La femme à juste à tendre le bras pour que sa main confirme mon état. En experte elle tire sur le zip et en deux mouvements fait tomber mon jean et mon slip. Ma queue s'échappe avec joie, heureuse de trouver de l'espace afin de se déployer. Bien vite c'est un écrin humide qui l'accueille, le même écrin que la veille, la gorge de ma masseuse. Je me laisse aller au plaisir oubliant un instant ce qui se passe à coté. J'utilise mon appareil pour immortaliser cette bouche sur ma queue. Ma suceuse à même la gentillesse de lisser ses longs cheveux de jais pour les dégager et me laisser une vue plongeante sur son visage et ma verge qu'elle suce tout en levant les yeux vers moi. Oh, ce regard! Pas vulgaire, non, rieur, presque enfantin. Je ne saurais lui donner un âge, ces femmes paraissent soit enfants soit âgées. Pas un instant elle cherche à se cacher, au contraire. La peur de se retrouver sur le Net ne semble pas la retenir. Il faut dire qu'elle vient de me voir mitrailler ma propre "épouse" dans des positions sans équivoques.
J'ai un instant un frisson d'angoisse. Et si elle était mineure et que je sois tombé dans l'infamie de ces voyageurs qui exploitent la misère et abusent d'enfants pour assouvir leurs penchants odieux? Non, tout de même. Si son visage, isolé du reste, peut porter à confusion, le souvenir de son corps qu'elle m'a largement offert hier est celui d'une femme, pas d'une adolescente et encore moins d'une enfant.
Je peux revenir à mon plaisir et me laisser porter par lui. Elle aussi est une experte. Elle sait amener mon gland buter au fond de sa gorge et s'immobiliser un instant, en totale apnée, mon dard totalement absorbé. Lorsqu'elle le libère sa salive souligne ma verge, uniquement éclairée par la lumière de la pièce à coté. J'abandonne mon appareil et les yeux fermés me concentre sur le bien qu'elle me fait. Je l'aide et guide sa fellation en prenant sa tête dans mes mains. Comme avec Armelle je lui imprime un rythme changeant. Parfois rapide, avec juste le gland, parfois plus lent dans de profondes pénétrations. C'est ainsi que je contrôle mon plaisir. Ma compagne qui me connait bien utilise quelquefois ses doigts pour enserrer la base de ma queue et bloquer la montée de sperme.
Ma compagne? Mais oui ma compagne qui.... Revenant à la réalité j'ouvre les yeux et m'intéresse à nouveau à ce qui se passe à coté. Décidément elle a décidé de leur faire le grand jeu' C'est certain que leurs femmes ne peuvent pas rivaliser avec elle. Ma suceuse s'interrompt un instant pour regarder aussi. En souriant elle montre que la nature ne l'a pas pourvue de ce qu'il faut. Mais, à ce stade d'excitation, je veux juste qu'elle revienne sur mon dard que je sens vibrer de désir. Elle replonge et je retourne à mon statut de voyeur.
Armelle utilise ses seins, qu'elle presse l'un contre l'autre, comme délicieux fourreau dans lequel elle branle le sexe. Ses seins gonflés, blancs, laiteux qu'elle préserve du soleil, tranchent avec la peau de son amant. Sa verge disparaît totalement dans le sillon, laissant apparaître parfois le bout du gland qui émerge comme pour reprendre sa respiration.
Malgré la cloison on entend le cri que l'homme pousse lorsqu'il jouit. Sa semence jaillit, d'abord un jet qui éclabousse le cou de ma compagne, suivit d'autres moins violents mais généreux qui inondent le sillon mammaire.
Comme une vraie pute payée à la tâche Armelle se déplace et enveloppe la queue du suivant sans même prendre le temps d'enlever le sperme. La friction de la queue repousse par petits filets la crème qui maintenant suinte sur les lobes. J'espère que mes photos rendront l'ambiance d'un érotisme poussé à l'extrême.
Moi aussi je sens ma crème venir et je n'ai que le temps de repousser ma suceuse afin de ne pas cracher dans sa gorge. Elle me termine à la main, une paume servant de chapeau au volcan qui se réveille.
La tension sexuelle relâchée je reviens sur terre et toujours en regardant mon "épouse" branler ces hommes, elle attaque le troisième, je m'interroge sur la viabilité de mon couple à la lumière de ce que je vois. Je suis choqué, plus par le mensonge que par l'acte. Si elle m'avait avoué son envie de revenir je pense que je n'aurais rien dis. Au contraire j'aurais fait en sorte de participer ou pourquoi pas jouer le voyeur comme maintenant, mais en toute sincérité. Alors que là....
Mais je suis sorti de mes réflexions par la voix du propriétaire qui manifestement appelle ou lance un ordre. Ma voisine bondit, sort rapidement et quelques secondes plus tard je la vois de l'autre coté. Son mari lui parle, elle repart. Pendant ce temps les hommes bavardent laissant mon "épouse" s'assoir sur le lit. Ainsi elle me fait face et je peux voir et zoomer sur ses seins souillés par le longues traînées de sperme qu'elle ne fait même pas mine d'essuyer. La parfaite pute, patiente, en attente des ordres du client.
La femme revient avec des tasses et chacun se désaltère. Avant de sortir de la pièce, elle glisse quelques mots à l'oreille de son mari. Il n'est pas nécessaire d'être devin pour comprendre qu'elle lui a fait part de ma présence car son regard tourne dans ma direction. Il sourit et me fait un petit signe. Peut être croit-il que je suis complice et que je lui cède ma "femme" en toutes connaissances de causes. Pour lui, je suis peut être un mari complaisant que la différence d'âge rend indulgent car ne pouvant pas assurer une sexualité suffisante à sa jeune "épouse". Il parle à ses amis qui aussi regardent dans ma direction. Leurs rires et la façon dont ils parlent, montrent qu'ils apprécient la situation du "mari qui cède son épouse" à d'autres et se cache pour jouer les voyeurs. Un instant je crains qu'ils préviennent ma compagne de ma présence mais non, en tout cas ils ne parlent que leur langue. Par contre ils la font se lever, franchir les quelques pas qui la mène face au miroir, lui demande de se tourner et de s'exhiber.
A quoi pense-t-elle à cet instant' Peut-elle imaginer que ce miroir n'est qu'un trompe l'œil et que d'autres assistent à la scène? Surement car elle se prête au manège. Peut être que cela l'excite encore plus d'être le centre du monde. Décidément je me suis lié à une inconnue. Je me demande même si cela ne l'exciterait pas plus encore de savoir que c'est moi.
Les hommes jouent avec elle, la font tourner, lui donnent des claques sur les fesses, pincent ses seins. Le jeu se calme et le propriétaire reprend la main. Il la place face à la vitre, légèrement penchée, en appui sur les mains, jambes écartées. Son visage est si près que j'ai l'impression qu'elle peut me voir à travers le miroir. Je la sens en attente, impatiente de recevoir aussi des caresses comme elle vient de leurs donner. Soudain elle trésaille. Un des hommes vient de se glisser entre ses cuisses et porte sa tête à la rencontre de la chatte. C'est surement le premier contact des lèvres ou de la langue qui vient de la surprendre.
Commence alors une symphonie dont le corps d'Armelle est l'unique instrument et que des mains font vibrer et chanter. Des doigts lui sont proposés qu'elle doit lécher avant qu'ils s'aventurent dans son intimité. D'autres explorent ses seins, que des paumes cherchent à contenir. Son visage exprime son plaisir, véritable livre ou chaque page tournée parle de ce qu'on lui fait. On lui fait goûter sa propre liqueur. On lui tire les bras dans le dos, l'obligeant à utiliser sa tête comme appui, pour les placer sur ses fesses dans un geste sans équivoque afin qu'elle les écarte offrant ainsi son petit trou à l'envi.
Je devine plus que je ne vois son con et son cul écartés par des doigts possessifs. Elle apprécie et vient à leurs rencontres en fléchissant les genoux. Maintenant ses seins aussi sont plaqués sur le miroir. J'ai cette vision étrange, inconnue, de ses deux mamelles aplaties, déformées qui glissent de bas en haut. Ce contact trouble la transparence du verre en laissant des auréoles de sperme que les hommes ont répandu sur sa poitrine lors de ses "cravates de notaire".
Hypnotisé par ce spectacle je n'ai pas entendu revenir ma masseuse qui se tient à nouveau à mes cotés. Sa main reprend possession de ma verge qui bande à nouveau. J'ai l'idée saugrenue de reproduire de notre coté la scène torride d'en face. Ma voisine devine t'elle mes pensées' Toujours est-il qu'elle me place une capote en protection et que je n'ai qu'a la guider pour construire mon propre tableau. Point besoin d'enlever la robe moulante. Il suffit de la remonter pour que la belle me montre ses fesses, que naturellement elle écarte de ses mains.
Symétrie presque parfaite. Son visage est un peu plus bas que celui d'Armelle, ce qui me laisse le plaisir de suivre ma compagne dans son délire. Je brûle les étapes et embroche la masseuse d'un coup de rein rageur. Comme hier je suis serré dans son fourreau déjà humide. Serait 'elle excitée par le spectacle que sa mouille soit déjà abondante? Contrairement à hier c'est moi qui la baise. Doucement, lentement, bien profond.
Elle gémit sous mes caresses. Non, non. Ce n'est pas elle, c'est ma compagne que les caresses de ses amants font jouir. J'aime son expression lorsque la jouissance est là. J'aime l'eau de ses yeux qui se trouble. J'aime ses rictus au coin de ses lèvres. J'aime le bout rose de sa langue qui sort de sa bouche et que j'ai envie à chaque fois de saisir entre mes propres lèvres. Oui je reconnais, j'aime la femme de l'autre coté. J'aime cette femme qui m'offre le plus beau des spectacles même si elle l'ignore et même si ce sont d'autres doigts, une autre langue et même d'autres queues qui la font jouir. Salope, pute, suceuse de bite sont des expressions que tu mérites. Mais tu le fait si bien.... Que vais-je faire? Oublier... Pardonner.... Mais si tu recommences.....
Elle disparaît de mon champ de vision. Un homme est couché à terre. On lui amène ma compagne qui ne se fait pas prier pour le chevaucher. J'ai juste le temps de voir briller le latex rose avant que la bite disparaisse dans son vagin. Un autre se présente par derrière. Les mains d'Armelle lui montrent le chemin. Je suis assez prêt pour voir que l'anus est entrouvert et semble respirer. Trou noir qui aspire tout ce qui passe à sa portée. Le gland force, s'arrête un instant, surpris du cri de douleur qui salue son entrée. Son cul n'est plus vierge depuis longtemps et je l'ai toujours connu accueillant. Merci encore aux amants qui m'ont précédé pour la bonne éducation d'Armelle. Mais, du moins avec moi jamais nous n'avons dépassé le stade du doigt qui pistonne en même temps que la queue baise.
L'homme hésite. Alors elle l'encourage et elle trouve le mot juste, universel, compris de tous.
- Go, go. Yes, go.
La hampe avance maintenant. Lentement mais inexorablement je vois la queue disparaître, laissant la place aux fesses nerveuses de l'homme qui l'encule. Le troisième vient lui offrir sa bite pour se faire sucer. Le tableau est complet. C'est l'exacte reproduction de celui du cabaret quelques jours plus tôt. Avait 'elle ce fantasme depuis longtemps' Ou bien, c'est la proposition de l'homme qui lui en fournit l'occasion'
Le résultat est là, sous mes yeux. Femme prise par tous les trous! J'imaginais ce fantasme purement masculin. En plus c'est Armelle, ma compagne depuis 15 jours qui s'y colle. La garce, la salope.
Je bourre ma maîtresse comme j'aimerais prendre la pute d'en face. Mieux, mon sexe choisit l'autre chemin, le petit trou, le tout petit cul que je dois forcer un peu pour entrer. Mais alors quel délice. Une impression de première fois. Pourtant elle n'est pas si novice. Les mouvements de son bassin confirment son expérience. Moi aussi, j'encule ta femme, pensais-je, en regardant les autres en face.
Les autres qui s'activent. Plutôt mon Armelle qui s'active, se baisant et s'enculant en même temps. Fini le temps de la douleur. Elle les bouscule. Ils perdent pieds. C'est eux qui doivent se tenir à elle s'ils ne veulent pas se retrouver hors jeu. Lionne déchaînée, qui tête et qui pompe.
J'accélère. Ma maîtresse gémit doucement. Je redouble d'efforts. Elle se retient au miroir. Il est solide. Imaginez la surprise s'il lâchait et que nous basculions en plein débat. J'adore lorsqu'elle vient au devant de ma bite. Je n'encule pas une pro, mais la femme de l'homme qui encule la mienne. Je veux qu'elle puisse lui dire, s'il l'accepte, que moi aussi j'ai fais jouir la sienne et sans payer. Elle parle. Je ne comprends pas mais le langage du plaisir et de la jouissance qui vient est universel. Une crispation, un frisson, un feulement. Je m'active encore alors que l'orgasme la saisit. Je me retire, arrache le préservatif et éjacule sur ses fesses, laissant une preuve abondante de mon plaisir.
A coté, eux aussi atteignent le nirvana. Mon Armelle ne retient pas sa joie, toujours aussi extravertie. Les voisins vont prévenir la police. On torture une étrangère. La limite entre douleur et plaisir est infime. Les hommes dans notre langage universel, balance leur foutre sur ma compagne. Celui qu'elle suce lui inonde le visage. Les autres se contentent de ses fesses et de son ventre.
J'imagine que c'est terminé. Il est déjà 13h et nous avons rendez vous à 15. De plus je ne pense pas que ces hommes soient capables de remettre le couvert si vite.
Je me propulse dehors, non sans avoir remercié chaleureusement mon hôtesse et 30 mn plus tard je suis de retour dans la chambre.
Je profite de mon attente pour visionner la série de photos que j'ai prises. Certaines sont ratées, mal cadrées ou floues, mais il en reste suffisamment pour bien relater tous les épisodes de la partie.
14h30mn et la porte s'ouvre. Ma compagne est toute étonnée de me voir.
- Tu es déjà rentré?
Elle est vraiment surprise et espérait arriver avant moi.
- Oui, les cadeaux cela me gonfle et je ne sais jamais quoi choisir. Je verrai à l'aéroport. Et toi? Demandai-je en regardant le malheureux paquet qu'elle tient à la main. C'est tout'
- Oui, je n'ai rien trouvé. Trop de monde, trop chaud. Tu es là depuis longtemps'
- Depuis midi. J'en ai profité pour classer mes photos. Justement j'étais entrain de regarder celles du spectacle de l'autre soir, tu sais le dernier tableau!
Bien sur elle sait. La femme et trois hommes. Elle est en plein dedans.
Tout en me levant et me rapprochant d'elle je dis, sur un ton égrillard.
- D'ailleurs cela me donne une idée.
Et je l'enlace. Elle cherche à se dégager.
- Attend, je vais prendre une douche. Je sens mauvais, j'ai transpiré un max dans les rues.
Mais je ne la lâche pas. Et en forçant le trait.
- C'est vrai tu sens fort, mais j'aime bien.
Et glissant ma main sous sa jupe.
- Mais tu n'as pas de culotte. Coquine. Tu as du déclencher une émeute.
Et caressant sa poitrine.
- Pas de soutif, non plus! Et bien ma Chérie, je pourrais croire que tu es allée draguer un bel asiatique.
- Tu es bête. Non c'est la chaleur. Je n'avais pas mis de soutien-gorge et ma petite culotte était trempée. Je l'ai fait tomber dans les toilettes.
- C'est excitant.
Et tout en l'embrassant à pleine bouche je défais son corsage, fais tomber la robe. Aussitôt je m'agenouille l'immobilisant par mes mains sur ses fesses et frotte mon visage à sa chatte. Elle sent fort. Elle n'a surement pas pu faire une vraie toilette. L'odeur de sperme est évidente.
- Tu sens.... Je connais cette odeur..... C'est...... Je ne trouve pas, pourtant je suis sur de connaitre.. Un nouveau parfum'
Cela m'amuse de l'inquiéter. Je remonte en reniflant. Elle cherche une réplique.
- Surement mon parfum avec la sueur. Laisse-moi me doucher et je te promets des merveilles. Dit-elle avec un air coquin alors qu'elle me flatte le sexe à travers le tissu.
- Non, cette odeur m'excite. Maintenant.
Et doucement je la pousse contre la petite table qui fait office de bureau. Vaincue elle se laisse allonger, les jambes pendantes. En deux secondes je suis à poil. Ma verge me fait honneur, belle, longue, tendue, reflet de mon excitation. C'est vrai que je suis excité. J'ai encore dans ma tête le film de tout à l'heure, essayant même de retrouver des traces de leur sperme sur son corps. Je pense un instant que je tourne malade pervers, alors que je ne devrais être qu'un "mari" trompé et bafoué.
A genoux, je l'oblige à lever les jambes et les écarter pour m'offrir le paysage de sa fente et de son petit trou. Juste quelques heures avant, tout deux subissaient les assauts de ses amants d'un jour, y abandonnant leurs liqueurs crémeuses et collantes.
Encore une pensée perverse. Que m'arrive-t-il. Pourquoi fantasmer sur leurs semences' Cela devrait me répugner, pas m'exciter. Je me retiens de plonger ma langue dans son con et son cul. Je fais tomber de la salive sur sa fente, regarde les filets couler jusqu'à l'anus. Je recommence et pendant ce temps je lui donne une main à sucer. Elle s'exécute. A t'elle conscience que certains gestes ne sont que la répétition de ce qu'elle à subi. J'étale sa salive et la mienne. Je teste la souplesse des chairs et aussitôt la possède avec mes doigts. Deux dans son anus qui s'ouvre déjà. Deux, puis trois, puis quatre dans sa chatte ne gardant que le pouce pour frotter son clito. Je le connais bien le petit morceau de chair qui ne sort de sa carapace que lorsqu'on la bien sollicité.
Armelle se tortille. Je suis heureux que mon traitement réveille encore ses envies de sexe alors que la matinée à déjà été bien chargée, pour moi aussi d'ailleurs. Mais après tout c'est notre lune de miel et une lune de miel c'est fait pour...., pour......oui, vous chauffez....Allez je vous aide.... Oui, bravo. Baiser, baiser. Encore et encore...
Sa chatte est si ouverte que je pourrais la fister. Mes doigts cherchent le fameux point G, le Graal jamais trouvé, tout le moins chez ma compagne. J'adore lorsqu'elle ondule, venant à la rencontre de mes mains qui la branlent. Cela parait si naturel, si simple, pas vulgaire du tout cette envie de se faire prendre, de chercher le meilleur de son partenaire.
Je me redresse, l'abandonnant un instant, juste ce qu'il faut pour venir m'appuyer sur ses jambes qui viennent maintenant se reposer sur mes épaules. Mon dard est prêt. D'un doigt je guide le bout du gland vers son objectif. Une poussée et j'entre, dilatant le sphincter déjà préparé.
Ce moment là aussi je l'adore. Celui où l'anneau qui suit la courbe du gland se referme sur la couronne avec peut être le fol espoir que le plus dur est fait. Mais non, la hampe arrive et il lui faut se rouvrir, essayant toujours d'étrangler l'intrus. Cela semble sans fin, mais tout de même le pieu n'est pas si long. Tout se termine. Le ventre claque contre les cuisses. Les couilles se balancent. Enfin il va pouvoir souffler. Mais non, il recule, fait le chemin inverse, remonte le temps, retrouve la couronne, le gland. Ouf, enfin libre, enfin il pense revenir à son état initial de petit trou du cul. Mais à peine a-t-il le temps de reprendre sa respiration que l'intrus revient à la charge et qu'il doit s'ouvrir. C'est déjà plus facile. Plusieurs mouvements de la sorte et il commence à apprécier le traitement. D'ailleurs sa patronne, elle-même, parle avec cette voix qu'il lui connait et qui est celle du plaisir. Alors il se laisse aller.
Pendant que je l'encule, Armelle ne cesse de jouer avec ses seins. Elle sait combien j'aime la voir se caresser elle-même, roulant ses tétons gonflés, massant sa poitrine généreuse. Ah ce regard. Le même, oui, le même que celui de ce matin, derrière la glace. Moi aussi je sais la guider vers la jouissance. Pas besoin de plusieurs queues.
Son coude heurte le panier de fruit que l'hôtel offre à ses clients. J'ai juste le temps de le rattraper avant qu'il ne tombe. Ananas, Durians, Caramboles, Goyaves, Bananes. Oui, bananes. De toutes les tailles. Courbées ou droites. Celle-ci, non celle là, pratiquement droite, juste une courbure vers la tige, la peau lisse d'un jaune pas mur. L'idée me vient, souvenir d'un jeu d'adolescents bourrés et des défis idiots. Je l'attrape et l'approche de la fente de ma douce qui, entièrement concentrée sur son plaisir, a fermé ses yeux. Le contact de la peau du fruit sur son sexe la surprend et c'est avec défit que je lui confie la banane. Immédiatement elle comprend, s'en empare, et la porte à ses lèvres.
Longuement elle mime la fellation de cette queue artificielle avec ce regard brulant de salope que je connais maintenant et que mes photos ont immortalisé. D'une main elle la maintient faisant mine de la gober pendant que de l'autre, elle se caresse le minou. Mais je ne veux pas que du simulacre. J'appuie pour que la tige jaune descende vers ses lèvres, passe le passage de sa bouche et ne cesse que lorsque je sens qu'elle touche la gorge. Maintenant elle la suce et joue des lèvres et de la langue comme sur une vraie bite, plus grosse et bien plus longue que celles qu'elle s'est envoyées ce matin.
C'est moi qui lui fais cesser la fellation et diriger le bâton jaune vers sa chatte. Je cesse mes mouvements pendant qu'elle introduit la banane, toujours bien rigide. Etrange sensation de sentir ce succédané de bite frotter le long de ma verge, séparés par une paroi si fine que j'ai peur un instant qu'elle se déchire. Mais non, tout se met en place et je peux suivre sur le visage d'Armelle la progression du fruit. Arrive le moment ou seulement la tige ressort de son vagin, étrange excroissance jaune dans un océan de rose.
Deux doigts, c'est avec deux doigts qu'elle retient la banane. Et si la tige cassait' Et si la peau s'ouvrait pour libérer le fruit' Faudrait 'il le récupérer à la petite cuillère?
Pensée idiote. Occupe toi plutôt de son cul pendant qu'elle se baise avec le gode improvisé.
Nous jouons dans la même catégorie. Quelquefois nous sommes synchrones et ses deux orifices sont tout étonnés d'être libres. A d'autres moments je suis bien à fond alors qu'elle sort la banane et la regarde comme étonnée de ce qu'elle découvre.
Les fatigues du matin se ressentent. Je suis dur, turgescent, presque douloureux maintenant, et me demande si je vais jouir. Les éjaculateurs précoces devraient s'en inspirer. Souvent, encore et encore, remettre son ouvrage sur le métier. Les anciens ont raisons.
Maintenant c'est moi qui torture les tétons d'Armelle. Vengeance bien douce. Elle adore. Serait-elle sado-maso? Plus rien ne m'étonne. La banane vit un enfer. La tige éclate sous la frénésie de la baise. La jouissance arrive comme une délivrance et maintenant j'apprécie de pouvoir juter sans la contrainte de la capote. Serait-ce le dernier privilège de l'amant officiel, reconnu devant la justice, de pouvoir jouir sans entrave et inonder sa partenaire sans regrets ni culpabilité.
Elle jouit aussi. Miracle de l'amour partagé, des épidermes qui se connaissent. Elle crie. Encore. Encore. Des mots. Pas toujours compréhensibles, mais des mots en Français, pas de l'Anglais de circonstance. Au moins elle sait faire la différence.
C'est plus tard, que la question du fruit bloqué dans son vagin s'est posée. Mais la nature est bien faite et avec un peu de concentration elle la expulsé. Image surréaliste de ce fruit jaillissant lentement de ce cratère aux parois enfin refroidies.
Vous voulez connaitre la meilleure? Ce fruit nous a servi de repas avant de s'occuper enfin sérieusement de nos cadeaux.

Toute la nuit, je n'ai cessé de me questionner. Que faire de retour en France?
Dois-je la quitter? Après tout elle me trompe et avec trois hommes, alors que nous sommes liés depuis si peu.
Dois-je lui dire que je sais tout' Peut-être n'était ce qu'un moment de folie passagère?
Dois-je composer et garder le silence? Après tout cet épisode m'a aussi révélé une partie de ma personnalité que je ne connaissais pas! D'où vient cette obsession du sperme? Pourquoi suis-je plus excité que fâché de ce qui m'arrive? Cocu content'
Et si je profitais d'elle, du plaisir qu'elle m'apporte, de l'excitation de la voir faire l'amour avec d'autres hommes' Mais avec qui ?

Voila comment on passe la nuit à réfléchir, alors qu'Armelle dort du sommeil du juste. Ou est la justice?
Demain nous reprenons l'avion.

A SUIVRE