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Proposée le 29/04/2013 par CAVAL
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Résumé : Audrey, secrétaire, s'est fait abuser par son patron. Il lui a imposé de venir travailler sans sous-vêtement, de se raser le sexe, avant de la baiser selon son bon vouloir. Audrey poursuit sa confession sous la forme d'une lettre de démission.
Troisième partie
Il m'a fallu une petite année pour mettre à exécution ma vengeance et chambouler tous vos jolis projets dans votre vie et dans celle de votre famille.
La première personne à laquelle je me suis attaquée, pour vous atteindre, c'est votre fils, Antoine. Vous vouliez en faire un homme respectable, qui prendrait votre suite à la tête de l'entreprise. « Il fera certainement un très bon patron », vous disiez-vous. Vous vouliez le marier à une jeune fille de bonne famille qui apporterait une dote sous la forme d'une autre entreprise, histoire d'étendre votre hégémonie capitaliste. Et c'est là que les choses ne vont pas se passer comme vous l'espériez.
Je n'ai eu aucune peine à le rencontrer et à user de mes charmes pour le séduire. Afin de le mettre dans mon lit, je lui ai dit qu'il connaitrait avec moi les véritables plaisirs de l'amour. La tentation était imparable, d'autant plus qu'il était puceau et bien trop timide pour aller se faire déniaiser par une pute. Malgré tout, comme tout homme, attiré par le sexe féminin, il m'a suivie aveuglément. Le père me baisait et j'allais baiser le fils. Antoine n'est peut-être pas un Adonis du haut de ses 18 ans, mais il est loin d'être laid et à poil il a un certain charme avec une queue d'un beau calibre avec la vigueur due à son âge.
Sa timidité, j'ai pu la percevoir par moi-même très rapidement. Le fait qu'il soit puceau, il me l'a vite avoué. J'ai donc dû le déniaiser. Dire que vous vouliez le donner à une fille aussi nigaude que lui au niveau sexuel et que leur vie à ce niveau aurait été un désastre. Pour commencer je l'ai sucé et en l'espace d'une minute, à peine, il a éjaculé dans ma bouche sans crier gare. Il était tout confus, je l'ai rassuré en lui disant que c'était normal la première fois et qu'il allait rapidement rebander.
En attendant, je lui ai proposé de s'occuper de moi. Il semblait fasciné par mes « lolos » comme il disait, alors je lui ai dit de les caresser, de les embrasser et même de les sucer comme un petit enfant. Puis, j'ai fait descendre son visage vers mon sexe en lui prodiguant une belle leçon d'anatomie. Il était en extase devant mon sexe glabre, mes lèvres vaginales que j'ai écartées pour qu'il puisse voir mes muqueuses roses, j'ai sorti mon bouton érectile de son capuchon. Je lui ai fait toucher, puis embrasser et lécher. Rapidement, son sexe s'est dressé à nouveau et je l'ai guidé en moi. Il n'a pas éjaculé aussi rapidement que la première fois et j'ai même réussi, en me tripotant le clitoris pendant qu'il me prenait, à l'accompagner dans la jouissance.
A présent votre fils connait tout ce qu'il faut savoir pour faire jouir une femme. Il pourrait facilement vous donner des leçons. Au bout de deux mois, à raison de deux ou trois fois pas semaine, il est devenu un artiste en la matière et est capable de me procurer des instants de jouissances très agréables et quelques orgasmes. Il sait les caresses qui font fondre les femmes, comment leur mignarder et leur embrasser les seins jusqu'à ce qu'ils durcissent, que les pointes jaillissent ; comment s'occuper du clitoris, comment le découvrir s'il se cache, comment ouvrir délicatement une fente timide, rechercher avec succès le mystérieux point G, comment introduire son sexe dans un vagin tout en douceur, ce mouvoir en lui pour donner un maximum de plaisir, quelles positions adopter pour que la jouissance soit partagée... et même, comment sodomiser avec douceur le cul délicat et timide d'une fille.
Je lui ai également appris à contrôler son éjaculation, pour la retarder. A présent, il progressera avec le temps, au contact de femmes d'expérience. Il pourra également faire profiter, à de jeunes filles vierges, de son expérience. Car tous mes enseignements avaient plusieurs buts : déjà qu'il prenne beaucoup de plaisir dans les jeux de l'amour. Puis, qu'il soit capable de faire jouir une femme en lui faisant l'amour, en faisant l'amour avec elle et en la respectant tout en la prenant. Enfin, je voulais qu'il renonce à l'union que vous envisagiez avec une trop pudibonde épouse.
Mes cours sont finis et c'est avec d'autres femmes qu'il s'aguerrira. Déjà, une amie à moi, Flore, qui en connait un rayon en la matière, a pris ma place. Elle a son âge, mais depuis l'âge de 14 ans, elle a vu passer bien des amants et des queues. Elle dit qu'elle ne compte plus, mais à ma connaissance, dans ceux qui sont restés plus d'une nuit dans son lit, il n'y en a pas moins d'une trentaine. J'en oublie certainement quelques-uns. Elle en avait parfois plusieurs en même temps, pour des durées variables allant d'une semaine à un trimestre.
Elle aime le sexe tant avec les hommes qu'avec les femmes. J'ai été pendant quelque temps l'une de ses maîtresses et j'en garde de très bons souvenirs. Dans nos rapports lesbiens, nous faisions, parfois, participer un homme. Elle aimait beaucoup les trios : deux hommes une femme ou deux femmes un homme. Je me rappelle le jour où elle m'a proposé de partager un sublime mec noir comme l'ébène. La réputation des noirs à la grosse queue n'est pas usurpée. Cette soirée de baise avec ce black infatigable à la verge au diamètre phénoménale et à la longueur hors norme, allant de l'une à l'autre, astiquant l'une en s'enfournant dans l'autre et vis-et-versa a été formidable. Il est parti au petit matin, nous laissant pantelantes et épuisées, mais repues de sexe jusqu'à l'overdose... ou une surdose dont on ne meurt pas et qui fait qu'on en demande toujours plus.
J'ai demandé à Flore de se joindre à nous pour une séance de baise à trois avec Antoine. Je savais pour elle ça ne poserait aucun problème. Lorsque j'ai proposé à votre fils cette expérience, il était un peu hésitant encore encré dans l'éducation judéo-chrétienne que vous lui avez inculquée. Pourtant, une fois de plus j'ai réussi à le convaincre. Avec deux filles dans son lit, Antoine a découvert de nouveaux horizons et s'est rapidement dit qu'il était hors de question qu'il vive avec une fille coincée comme celle que vous vouliez lui donner. Et justement, Flore a correspondu parfaitement à ses attentes et c'est avec elle qu'il compte de mettre en couple.
Ce qui tombe bien, c'est que Flore désire se ranger, troquer sa réputation de « salope » qui lui pèse, en prenant un compagnon fixe, mais sans pour autant abandonner l'existence libertine qu'elle aime mener. Alexandre, une fois déniaisé par mes bons soins, était le candidat parfait. Il fallait simplement l'initier aux délices de la débauche ; ce fut un élève brillant et votre fils est maintenant un libertin confirmé, aimant prendre d'autres femmes et acceptant que sa chérie se fasse prendre par d'autres que lui. Aux dernières nouvelles il aime les visitent dans les clubs échangistes de la région, sans craindre d'y rencontrer certaines de vos connaissances.
Le premier acte de ma vengeance était pleinement réussi et dès ce week-end, votre fils vous lancera à la figure sa façon de penser et brisera les beaux espoirs que vous mettiez en lui. Pour autant, je n'en avais pas fini dans mon projet de vengeance.
Votre fille fut la seconde personne que je voulus pervertir. Surtout lorsque son frère, Antoine, me dit que vous comptiez la marier au maquis Jean-Hubert de Monthelon, le fils du comte du même nom. Une famille on ne peut plus catho où la promise se doit d'arriver vierge à l'autel lors de la cérémonie du mariage (avec certificat médical l'attestant... même dans la famille royale d'Angleterre, cette pratique est d'un autre temps : William et Kate n'ont pas fait que se regarder dans le blanc des yeux avant leur union). La tentation était trop grande de jouer aux liaisons dangereuses avec cette jeune fille de 16 ans. Oui, elle est mineure, mais elle a la majorité sexuelle et je vous mets au défit d'utiliser cet aveu contre moi. Sa mère a été mise au courant de mes agissements sur sa fille ; dans un premier temps elle l'a mal pris, puis elle s'est faite une raison et a accepté de taire l'affaire et de lâcher la bride de sa fille. Oui, votre épouse est dans la confidence. J'ai eu son accord pour entretenir une relation saphique avec Marie-Madelaine, puisque vous l'avez prénommée ainsi ; j'ai du mal à saisir qu'on puisse donner à sa fille, dont on veut faire un modèle de vertu, le nom d'une prostituée... même si elle est devenue sainte par la suite. Elle a certainement couché avec Jésus, elle lui a peut-être même donné un fils, mais il n'en demeure pas moins que c'était une putain.
Pour approcher facilement votre fille, je me suis inscrite dans le même club sportif qu'elle. J'ai sympathisé avec elle. L'approche a ensuite été délicate. Il ne fallait pas que j'effarouche la prude jeune fille qui n'avait jamais vu un corps nu d'homme ou de femme ; allant jusqu'à détourner le regard si le sien nu (et il l'était peu souvent) se reflétait dans un miroir. Dans un premier temps je l'ai incitée à quitter ses joggings amples pour revêtir des body serrés, qui mettaient en valeur ses formes. Car votre fille est fort jolie et son corps, s'il n'est pas encore celui d'une femme, n'a plus rien de celui d'une enfant. Elle a un petit cul bien ferme tout en rondeur, un ventre plat, des petits nichons qui sont pleins de promesses et qui donneront d'ici peu une belle et ample poitrine, des hanches bien formées.
Après le body, la seconde étape a été la douche. Dans la salle de sport, la plupart des filles, après l'effort se mettent à poil et prennent leur douche collectivement, les unes à côté des autres, puis vont à leurs casiers dans le plus simple appareil et ce n'est que là qu'elles s'habillent sans gêne ni pudeur. Certaines restent ainsi nues à discuter avec leurs copines en s'enduisant le corps de crème ou en se séchant. Marie-Madeleine était bien trop pudique pour se donner en spectacle ainsi, même si nous n'étions qu'entre filles ; elle prenait toujours sa douche dans un coin, derrière un paravent, disparaissait avec son body et réapparaissait enroulée dans sa serviette, puis enfilait ses sous-vêtements en faisant moult circonvolutions pour les mettre sans quitter la serviette. Enfin, elle s'habillait prestement. Quant à la culotte et au soutien-gorge, parlons en : c'était plus le style petit bateau que la ligne Aubade et les leçons qui vont avec... Vous savez, les images de l'écran de veille de votre ordinateur.
Donc, un jour que j'étais seule avec elle dans les douches, je l'ai rejointe dans son coin discret. Lorsqu'elle m'a vue, nous étions toutes les deux à poil, elle a tenté de cacher sa nudité en portant un bras sur ses seins et une main sur son pubis.
- Pourquoi, lui ai-je demandé, te caches-tu ainsi ?
- Je n'aime pas montrer mon corps.
- Pourquoi es-tu si pudique. Allez retire tes mains, montre moi. Tu vois, moi je suis nue, je n'ai pas honte. Il n'y que nous deux. Fais-moi confiance Marie-Madelaine.
J'ai pris ses poignets et doucement je les ai écartés de son corps. Elle a piqué un fard, pourtant, elle n'a pas osé résister à mes gestes qui la mettaient ainsi nue.
- Tu es très belle Marie-Madeleine, tu as tort de vouloir te cacher ainsi. Ici il n'y a que des filles. Que crains-tu. On est toutes faites pareille : deux nichons, les tiens sont d'une rondeur exquise, et une touffe de poils au bas du ventre, tes poils aux couleurs automnales sont magnifiques, c'est bien plus beau qu'une fille au sexe glabre.
- Pourtant, toi, tu n'as pas de poil ?
- Par la volonté d'un amant. Mais je m'en serais bien passé.
Je n'allais pas lui dire que l'amant en question, ou plutôt le maquereau, c'était vous, son propre père.
- En plus, ai-je continué, tu ne montres rien ainsi, c'est comme si tu portais un maillot.
Cette fois-ci et les fois suivantes, nous avons pris notre douche nues et ensemble. Petit à petit votre fille a pris conscience de sa féminité et de sa beauté. Elle devenait de moins en moins timide, jusqu'à prendre sa douche en commun avec les autres filles sans se cacher, ni se dissimuler, ne se retournant pas pour se savonner. Puis, elle est restée nue aussi, avant de se rhabiller... Finalement elle a fait comme toutes les autres qui acceptaient leur nudité sans complexe et naturellement.
En l'accompagnant dans ces étapes qui provoquaient chez elle de véritables bouleversements, je devins sa confidente. J'abordais avec elle des sujets dont elle ne parlait ni à ses copines, ni à ses parents. La seule difficulté pour moi, c'était de pouvoir la rencontrer en toute discrétion et surtout sans que vous puissiez savoir que je la connaissais. Si vous aviez eu le moindre doute que je puisse coucher avec votre fils ou côtoyer votre fille, mon plan de vengeance aurait été éventé et voué à l'échec. Car, pervertir Antoine était une bonne chose, mais grandement insuffisante à mon avis.
Etant très proche de Marie-Madeleine, je réussis à la faire venir chez moi, non dans la chambre que vous louiez pour moi, mais dans le domicile que j'avais précieusement gardé. Elle était comme une jeune pouliche que je venais de débourrer ; il me restait à la dresser en faisant attention pour qu'elle ne soit pas trop rétive. Pour avancer pas à pas, je me hasardais parfois à lui poser des questions indiscrètes qui la mettaient dans l'embarras. Ainsi elle m'avoua quelle n'avait pas de petit copain, que jamais elle n'avait embrassé un garçon et encore moins fait l'amour. Elle me parla également de ce fameux projet de mariage avec le marquis. Je marquais une feinte surprise.
Un jour je lui dis :
- Tu portes des sous-vêtements infâmes. Tu n'es plus une petite fille, tu es une femme à présent. Il te faut porter des choses qui mettent en valeur ta féminité.
- Oh, je n'oserais jamais aller dans un magasin de lingerie et acheter des sous-vêtements en dentelle comme ceux que tu as.
- Tiens, tu n'as qu'à essayer les miens. Ca sera peut-être un peu grand au niveau de la poitrine mais ça te donnera une idée.
J'ai préparé plusieurs ensembles Aubade qui iraient, j'en étais persuadée, à ravir à Marie-Madeleine. Il a fallu que j'insiste pour qu'elle accepte de me faire un petit défilé.
La première tenue était assez sage avec l'ensemble de la leçon n° 102 « Le rendre insomniaque pour l'éternité » où le corps de la jeune fille était mis en valeur bien que dissimulé sons une culotte et un soutien-gorge très raffinés. La seconde était composée de la leçon n° 5 « Feindre l'indifférence » avec une culotte qui mettait bien en valeur son petit cul avec une sorte de ficelle nouée derrière et la leçon n° 6 « S'il résiste, pratiquez l'hypnose » avec un soutien-gorge à balconnet tout en dentelle avec la même petite ficelle sur le devant.
Elle n'a pas voulu se changer devant moi et donc se changeait dans la salle de bain avant d'apparaitre avec chaque parure. Pour la troisième et dernière tenue j'avais sorti la leçon n° 22 « Le toucher droit au cœur » avec un string dessinant parfaitement la raie des fesses, orné d'un cœur en dentelle et la leçon n° 47 « jouer sur la corde sensible » avec un soutien gorge presque transparent, le tissu de fine dentelle ne dépassant pas le bord supérieur de l'aréole des petites tétons bruns. Lorsque je l'ai vu si belle, presque nue sous la fine dentelle, les pointes de ses seins dressés sous l'étoffe des balconnets trop amples pour elle, sa toison rousse se dessinant nettement et formant un coussin dans la culotte, je ne pus résister à la faire venir à moi. Nous nous sommes retrouvés sur le canapé en nous lovant l'une contre l'autre, mon ventre contre le sien, mes seins rentrant en contact avec ses petits globes.
Je l'ai embrassée avec fougue, mais aussi avec une tendresse et une douceur qui l'ont désarmé. Elle a reçu mon baiser sans reculer et au second elle a accepté que ma langue vienne à la rencontre de la sienne ; au troisième baiser, c'est elle qui a pris l'initiative de mêler nos langues, d'échanger nos salives. Je me suis enhardie et ma main est passée sur la dentelle de son soutien gorge et j'en ai dégagé les rondeurs et les pointes de ses seins que j'ai titillées. Je l'ai serrée contre moi l'empêchant de se dégager ou de se refuser à moi. J'ai senti ses seins se durcirent rapidement sous mes caresses. Tendis qu'une de mes mains continuait à les cajoler, l'autre est descendue le long de son ventre et j'ai forcé l'entrée du string. Sa chatte était toute humide. J'ai ressorti la main pour entrer dans le cache sexe par le bas, entre les jambes. J'ai écarté la ficelle et par en dessous mes doigts sont arrivés sur ses lèvres intimes. Cet attouchement l'a littéralement électrisée. Elle était incapable de me résister : elle était à moi.
Je lui ai ôté son string et j'ai écarté ses cuisses afin de trouver son clitoris au milieu de la toison pubienne aux si belles teintes mordorées. J'ai trouvé un véritable petit membre s'érigeant parmi ses chaires et j'ai commencé à le triturer alors que ma compagne ne pouvait tenir en place.
- Viens, lui dis-je.
Comme si ma demande était un ordre qui ne pouvait souffrir le moindre refus, elle m'a suivie dans ma chambre. Je me suis déshabillée rapidement pour être nue. Marie-Madelaine me regardait comme si elle ne m'avait jamais vue, alors que sous la douche de la salle de sport elle n'avait pu ignorer mon corps. Elle ne portait plus que le soutien-gorge duquel sortaient les pointes érigées et brunes de ses deux globes d'adolescente. Elle était très belle ainsi offerte. Je me suis mise à caresser son corps en m'attardant tout particulièrement sur les zones les plus sensibles : le haut de ses cuisses en lissant ses poils pubiens, léchant sa fente qui s'ouvrait délicatement, me donnant accès à ses muqueuses rosées, ses lèvres vaginales, l'entrée de son vagin, son clitoris ; j'ai malaxé ses fesses et l'entrée de son anus, ce qui lui a provoqué un doux frisson. Marie-Madelaine était totalement abandonnée à la luxure. J'ai introduit un doigt inquisiteur dans son puits secret, ce qui l'a tétanisée un instant, avant de se détendre. Je suis revenue à ses beaux nichons que j'ai libérés de la dernière entrave de tissus.
Quand je suis revenue dans son entre-jambes, j'ai introduit deux doigts dans son vagin ce qui a déclenché un orgasme chez ma compagne. Elle était magnifique dans cette jouissance. J'ai profité de cet abandon pour m'occuper de son anus en exerçant avec deux doigts un va-et- vient profond. J'ai réussi une nouvelle fois à la faire jouir avec cette pénétration. Je l'ai faite jouir de telle façon qu'elle s'en rappellera jusqu'à l'heure de sa mort.
Plus tard, elle m'a demandé si elle pouvait essayer de me rendre la pareille.
- Si tu en as envie.
- Guide-moi, car je ne sais comment faire.
- Ne t'inquiète pas.
Je me suis allongée et ai fait venir Marie-Madeleine contre moi. Elle a commencé à sucer mon clitoris et faire de ma chatte son domaine. Elle est arrivée à me faire mouiller. Marie-Madelaine manquait d'assurance, aussi j'ai dû me branler pour arriver à la jouissance. Elle m'a regardée faire, les yeux exorbités. Elle m'a avoué par la suite qu'il lui arrivait parfois de se branler, mais avec un tel sentiment de honte qu'elle n'y trouvait aucun contentement. Lorsque j'ai joui à mon tour, un jet puissant de cyprine est sorti de mon vagin qui a inondé le visage de ma partenaire. Je me suis penchée sur elle et j'ai léché les traces de ma mouille sur sa face. Puis, l'embrassant très tendrement, j'ai partagé avec elle mes sécrétions vaginales.
Depuis ce moment-là, nous avons de nombreuses fois fait l'amour ensemble et Marie-Madelaine a progressé rapidement dans l'art de faire jouir une femme. Je l'ai guidée dans les premiers temps, en lui servant de modèle vivant, mais aussi en lui montrant, sur elle-même, comment elle devait s'y prendre pour se branler et parvenir à y trouver du plaisir sans culpabiliser.
Cependant, lorsque je la pénétrais avec mes doigts, je prenais toujours garde à ne pas toucher à son hymen. Elle devait le perdre, mais je ne voulais pas que ce soit moi qui brise la membrane que certains trouvent si précieuses. Aussi j'ai proposé à mon sex-friend de s'occuper de cette mission.
- Fred, je veux que d'une part tu la baises et que tu lui prennes sa virginité.
- Pas de problème, j'adore déflorer les cons inviolés.
- Tu devras également lui procurer un maximum de plaisir. Je veux que tu la fasses jouir.
- Tu ne veux pas qu'elle soit lesbienne ?
- Surtout pas, je veux qu'elle soit bisexuelle, qu'elle aime autant faire l'amour avec des femmes qu'avec des hommes. Avec toi, elle doit découvrir qu'on peut aussi prendre du plaisir avec un homme.
Marie-Madeleine me faisait à présent complètement confiance, aussi lorsque je lui ai proposée de faire l'amour avec Fred, elle a accepté sans trop rechigner.
- Seulement, me dit-elle, je souhaite que tu restes présente. J'aurais trop peur d'être seule avec lui.
Je ne me suis pas fait pas prier. J'allais pouvoir observer ce couple baiser devant moi. J'aimais beaucoup le corps vigoureux de mon sex-friend et j'allais pouvoir le voir sous un autre angle. J'aimais aussi beaucoup voir ma charmante petite amie jouir. Jusqu'à maintenant je l'avais vu prendre du plaisir sous les actions conjuguées de mes mains et de ma bouche, mais là, elle allait jouir avec un sexe de mâle.
Le spectacle a été magnifique. Fred a caressé une Marie-Madeleine intimidée. Je lui tenais la main pour la rassurer, pour qu'elle se laisse faire. Mais bientôt, lorsque son partenaire s'est mis nu, le sexe tendu, le gland décalotté, la jeune fille a paru très intéressée et attirée par ce sucre d'orge qui bandait pour elle. Je me suis faite un plaisir de la guider sans la brusquer :
- Prends ce beau membre en main. Tu sais il grossit pour toi. Branle-le doucement, oui, comme cela.
Après elle l'a léché, l'a pris en bouche. Je me dis qu'elle avait sans doute visionné des films pornos ou consulter quelques sites du même genre, sinon elle aurait été incapable de se comporter de si belle manière. J'étais fière de mon élève qui montrait de si bonnes dispositions. Fred semblait beaucoup apprécier que cette jeune fille de 17 ans sache si bien s'occuper de son sexe. Il l'a couchée sur le lit, lui a écarté les jambes pour venir goûter à son sexe humide dont la fente s'ouvrait déjà d'un désir brulant et impatient. Marie-Madeleine savait qu'elle était l'impétrante de cette soirée et qu'elle deviendrait une femme à part entière, libérée de ce signe distinctif qui fait d'une vestale ou d'une pucelle, une femme initiée aux plus exquis transports.
Enfin, Fred a mis un préservatif et a présenté son sexe devant celui de Marie-Madeleine. Après une ou deux seconde comme pour bien viser la cible, il est entré délicatement. Elle a poussé un petit cri. Il s'est retiré. Le préservatif était maculé de quelques gouttes de sang ; j'ai introduit quelques doigts dans le vagin : l'hymen était déchiré. J'ai nettoyé la vulve d'où s'échappait un liquide visqueux et rougeâtre, mélange de cyprine et de sang. Fred a changé de préservatif.
A présent les jeux pouvaient commencer.
Mon sex-friend a honoré on ne peut mieux votre petite Marie-Madeleine qui s'est offerte à lui sans retenue. J'ai vu ces deux corps nus sur le lit se mouvoir, s'encastrer l'un dans l'autre, le sexe de Fred plongeant dans celui de Marie-Madeleine, elle venant s'abreuver à la verge tendue de désir, Fred cherchant la source au milieu de la forêt d'automne, mais à la chaleur d'un été caniculaire. Le spectacle était si intense que je n'ai pas été longue à remonter ma jupe, baisser mon string et commencer à me branler. J'ai quitté la main de la jeune immolée dans ce brasier de plaisir et je me suis assise sur un large fauteuil, les jambes écartées. Je me suis servie de mes deux mains, la droite titillant mon clitoris, la gauche courant le long de la fente. En exerçant une légère pression, j'ai constaté que mon vagin était bien mouillé. Enfin j'ai glissé deux doigts dans mon con en feu, que je les ai agités dans mon tréfonds.
J'étais bien, je me délectais de ma masturbation dans ma position de voyeuse. Moi qui n'avais jamais eu l'idée de me branler devant un film porno, je le faisais devant ce joli couple, celui de mes amis, fille et garçon. Dans mon vagin, j'ai évité le point G pour ne pas jouir trop vite. Je sais précisément où il se trouve, avec vous, cher patron, je n'hésite pas à le stimuler pour vous faire croire que vous me faites jouir, alors que c'est moi qui me procure cette jouissance. Ici, je ne voulais pas partir trop vite, je voulais suivre l'étreinte que j'avais devant les yeux en respectant les degrés d'intensité.
Marie-Madeleine a joui une première fois. Fred lui a laissé reprendre son souffle, puis la déplaçant, il l'a prise en levrette. Elle n'a pas été longue à avoir un nouvel orgasme. Son partenaire avait toujours la verge parfaitement dressée et n'avait toujours pas éjaculé. Alors il l'a prise dans la posture du grand V, debout sur le bord du lit, son sexe à hauteur de la vulve épanouie et ruisselante. Marie-Madeleine avait les jambes largement ouvertes, Fred les maintenait en tenant ses chevilles. Son con était prêt à recevoir le vit comme une offrande. J'avais la vision de ces grandes lèvres luisantes de cyprine et gonflées d'excitation. Une fois dans ce sexe, l'étalon a commencé ses mouvements de va-et-vient. La pénétration était profonde et les parois du vagin étaient bien stimulées. Les coups de boutoir de Fred ne pouvaient être qu'agréables, je le savais pour les avoir reçus avec délectation : il sait si bien avec son gland vernir frapper tantôt à gauche, tantôt à droite, et vers le haut, puis le bas.
Moi, mes deux doigts dans le vagin m'ont procurée une douce sensation, mais c'est de mon clitoris qu'est parvenue la jouissance qui m'a assaillie. J'ai calmé le jeu, avant de repartir jusqu'au moment où je me suis laissé aller et où j'ai joui intensément. Mon clitoris, c'est mon bien le plus précieux, celui du commencement de tout. Selon moi c'est un phénix parce qu'il a la forme d'un oiseau, ensuite par sa capacité à prendre feux, à s'enflammer et me transporter au septième ciel et enfin parce qu'il est capable de renaitre de ses cendres un nombre incroyable de fois d'affilé.
- Je ne pensais pas, m'avoua Marie-Madeleine après le départ de Fred, qu'on puisse jouir ainsi avec un homme.
- Tu as aimé ?
- Oh oui, c'était... sublime.
- Maintenant tu es une femme, ton hymen est brisé, tu es une femme libre.
- Je ne sais pas.
- Comment cela ?
- Oui, je ne sais pas où j'en suis. Tu m'as fait connaitre le plaisir entre femme, puis le plaisir avec un homme. Je ne saurais choisir entre les deux.
- Mais qui te demande de choisir ? Qui t'empêche de baiser avec des femmes et avec des hommes ? Comme moi. J'aime faire l'amour avec toi, mais j'aime aussi faire l'amour avec des hommes. Fred fait partie de mes amants, si non je ne me serais pas permise de te l'offrir. Avec lui j'étais certaine que tu prendrais du plaisir.
Marie-Madeleine était tombée dans mes filets, tout comme son frère. L'un comme l'autre, je voulais les pervertir pour vous faire souffrir. Mais mon désir était de les transformer pour leur bien et non qu'ils soient condamnés par la faute de votre comportement.
Je me disais que ma vengeance était ainsi complète. Pourtant, je fus prise à mon propre piège.
A suivre
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