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Proposée le 15/04/2013 par pitchoun62
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Après quelques années de mariage, 4 enfants, à la maison une certaine routine s'était installée dans notre couple. Nous avions un couple d'amis dont la femme une jolie brunette Pascaline venait chez nous passer ses soirées lorsque son mari travaillait le soir ou la nuit. Nous discutions de tout et de rien, refaisions le monde. Mais cette petite brune à petite poitrine au décolleté provocant commençait à m'exciter au plus haut point.
J'en discutais dans le lit avec mon épouse lui demandant si l'idée de faire l'amour à trois ne la tenterait pas. Elle ne dit pas oui, mais pas non. J'entrepris alors un travail de séduction auprès de Pascaline. Elle en vint un soir à nous raconter avoir déjà eu une expérience lesbienne avec une amie durant le déplacement pendant 3 mois de son mari.
Mon travail de séduction avançait bien plus vite que je ne le pensais. Pascaline m'attendait le matin à sa fenêtre quand je partais travailler et me laissait entrevoir au travers de sa nuisette de mignons petits seins. Moi je lui disais que Joelle et moi étions amoureux d elle.
Un soir, je décidais de franchir le pas. Alors que nous prenions l'apéritif chez elle, en l'absence de son homme, nous nous trouvions dans son canapé, elle était assise à ma droite et ma femme à ma gauche. je pris leurs mains à toutes les deux et les posais sur ma braguette. Aucune des deux ne chercha à la retirer. J'ouvris alors ma braguette et sortis ma verge. Bien que visiblement gênées, elles se laissèrent faire? Je pris leur deux visages et les approchais l'un de l'autre. Ma femme fut la première à poser sa bouche sur la bouche de Pascaline. il s'ensuivit un baiser langoureux sans que leurs mains ne quittent ma verge. J'en profitais pour caresser la poitrine de mon épouse et poser ma main sur les petits seins de Pascaline qui se laissa faire sans aucune difficulté...
Je profitais de leur caresse Dieu que c'était agréable de sentir deux mains différentes toucher ma verge. Je caressais les seins de ma femme et de Pascaline. J'avais ouvert le chemisier de Joelle et baissé son soutien-gorge, j'avais relevé le tee shirt de Pascaline et baissé, elle ne portait pas de soutien gorge. Mes mains ne savaient plus où se poser. Je pris la main libre de Joëlle et la posa sur un sein de Pascaline. Je fis de même pour notre amie. leurs tétons étaient dressés et leurs seins bien fermes. elles n'avaient pas du tout la même poitrine.
L'heure passant et le mari de Pascaline devant rentrer, nous en restâmes là pour le soir mais nous étions tous trois hyper excités. Philippe rentra et nous fîmes comme si de rien n'était. A notre retour chez nous Joelle et moi avons fait l'amour comme aux plus beaux jours de notre rencontre. Bien sur, nous avons reparlé de ce qui c'était produit. Nous avons décidé d'aller plus loin dans cette aventure.
Quelques jours plus tard, Philippe de nouveau en patrouille de nuit, Pascaline est venue nous rejoindre à la maison.
Après avoir pris l'apéritif ensemble, nous avons évoqué avec elle l'hypothèse de pousser plus loin notre aventure.
Elle a répondu favorablement à notre demande.
Ma femme l'a alors prise par la main, me disant qu'elles allaient prendre une douche en commun qu'ensuite elles iraient dans la chambre, que je devais me doucher et qu'ensuite je les rejoindrai à leur demande et pas avant. Elles montèrent toutes les deux ma blonde aux seins lourds et la petite brune aux petits seins pour se doucher. cela dura un certain temps. Quand je les entendis quitter la salle de bain, je montais à mon tour me doucher. Puis je redescendis me mettre devant la télé attendant le signal. il ne tarda pas. Joëlle, m'appela. je montais aussi calmement que possible les escaliers même si je n'avais qu'une envie, grimper 4 à 4 les marches qui me séparaient de ce duo féminin. j'ouvrai la porte de la chambre. les enfants étaient couchés dans la chambre d'â coté. Dans notre lit, une merveille. Deux femmes, l'une blonde aux seins imposant, à la toison taillée, l'autre brune avec de petits seins menus mais de jolis tétons et une chatte superbement touffue. Elles étaient main dans la main, le fauteuil avait été placé de telle façon que je puisse admirer le décors. Les consignes étaient strictes ne pas intervenir, m'asseoir et les laisser jouer ensemble avant. Ce que je fis non sans remord.
Les consignes étaient strictes: ne pas intervenir, m'asseoir et les laisser jouer ensemble avant. Ce que je fis non sans remords.
Joëlle, et Pascaline commencèrent doucement par se caresser évitant toutes les deux leur poitrine et leur sexe. Elles se caressaient les épaules, le visage, le ventre, les jambes. pascaline la première attaqua les hostilités en effleurant les seins de Joëlle. je n'en perdais pas une miette. Les deux femmes avaient les tétons tendus et moi j'étais excité comme un fou. Pascaline précisa sa caresse sur le sein de Joëlle. Elle se laissait faire continuant de lui caresser les épaules et ne touchant aucune zone érogène, mais je connais ma femme, elle commençait à prendre son plaisir. Doucement elle effleura l'entre-jambes de Pascaline sa main s'enfouissant dans sa toison brune, pascaline gémit doucement. Elle lâcha le sein de Joëlle et me regarda. Mon peignoir toujours fermé laissait entrevoir mon érection. Pendant que la main de Joëlle se cantonnait dans sa toison, Pascaline me souriait et c'était terrible. je sortis ma verge du peignoir et cela ne fit qu'envenimer les choses, de voir ma verge, excita d'avantage Pascaline. Elle se jeta sur Joëlle, l'embrassant à pleine bouche...
Là, les deux femmes, Mes deux femmes ne purent se retenir. Joëlle retourna Pascaline sur le dos et enfouit sa tête entre ses seins, la léchant, la suçant avec amour et avec amour, elle lui titilla les mamelons, embrassant ces doux petits seins, puis elle descendit sa bouche le long du ventre de Pascaline, et là, je vous promets que la réalité dépasse tous les films X que vous avez pu voir. Je vis alors Joëlle, la tête entre les jambes de Pascaline, et j'entendais Pascaline haleter. Moi, je ne pouvais m'empêcher de me caresser. Joëlle s'en donnait à cœur joie, à ce moment j'étais le plus comblé des hommes même si je ne pouvais participer. Ma femme "broutait" une autre femme, pour la première fois de sa vie et je vous jure qu'elle aimait ça. Pascaline avec des tressautements, elle tenait la tête de Joëlle plaquée sur son pubis, mais je doute que Joëlle voulait la lâcher. Après quelques minutes d'un plaisir non feint, Joëlle se retira, remonta embrasser Pascaline à pleine bouche, lui mettant la langue dans la bouche et tout ça sous mon regard de mâle en rut. j'avais la verge prête à exploser. Joëlle demanda à Pascaline si je pouvais les rejoindre, j'étais déjà debout et là...
Surprise, Pascaline lui dit non, sans me regarder... Elle entama alors de caresser à son tour les seins de Joëlle qui me regardait d'un regard coquin comme seule vous mesdames savez le faire, la main de pascaline courait sur toute la surface du corps de Joëlle, jusqu'à descendre sur son pubis. Là, je pus constater que non seulement, elle la masturbait, mais qu'en plus, elle lui avait introduit un doigt... Joëlle avait le regard plein de plaisir... je sentais qu'elle allait jouir, je le voyais à son visage. Joëlle a cette particularité, quand elle jouit elle verse quelques larmes, et elle devient électrique, la moindre caresse déclenche en elle une décharge. Pascaline descendit à son tour sa bouche le long du ventre de Joelle, s'arrêtant à son nombril pendant que sa main s'agitait entre les cuisses de ma femme. Celle-ci respirait de plus en plus vite. Moi j'étais comme un idiot, debout, le peignoir ouvert ne cachant rien de mon excitation, me masturbant comme un damné..
Mes deux femmes se donnaient un plaisir réel et réciproque. Pascaline doigtait du mieux possible Joëlle tout en lui léchant le minou. Joëlle comme je l'avais prévu a joui, devenant une véritable pile électrique, faisant rire Pascaline car le moindre de ses effleurement faisait sursauter ma femme. Elles se mirent sur le dos toute les deux en me regardant langoureusement. Là, la phrase que j'attendais depuis si longtemps maintenant arriva. Les deux femmes me demandèrent de les rejoindre. En moins de temps qu il ne m'en faut pour l'écrire, le peignoir était au sol et moi je me retrouvais nu entourant de mes bras les deux femmes que je trouvais les plus sexy. Pour ne pas vexer Joëlle, je commençais par l'embrasser alors que Pascaline me caressait les fesses. Je caressais la poitrine de ma femme puis n'y tenant plus je me tournais vers Pascaline. Je lui prenais la bouche, lui mordillais les lèvres, pénétrais ma langue dans sa bouche. mes mains quittèrent les seins de Joëlle pour se ruer comme un sauvage sur la petite poitrine de Pascaline. Des petits seins bien fermes, avec des mamelons terriblement érigés. Joëlle commençait alors à s'occuper de ma verge. Elle me fit mettre sur le dos entre elle et Pascaline. Là, j'eus le droit à des caresses des deux femmes. Puis Joelle attira Pascaline vers ma verge. Je n'attendais que ce moment. Joelle me léchait la verge sur sa longueur, pascaline hésitante la regardait faire et moi je contemplais ce spectacle sachant que bientôt une autre bouche allait m'engloutir. C'est ce qu elle ne tarda pas à faire, sa langue rejoignit celle de Joëlle, je la vois encore remontant doucement le long de ma tige. Puis elle ouvrit la bouche à hauteur du gland et doucement fit pénétrer ma verge entre ses lèvres. Joelle quitta mon sexe et vint m'embrasser à pleine bouche, m'empêchant d'admirer le spectacle de ma verge avalée par une autre bouche, mais jouissant du plaisir d'avoir deux femmes à moi. Pascaline se hâtait doucement, montant et descendant, sa main s'était rendue propriétaire de mes bourses les malaxant doucement. Joelle ne lâchait pas ma langue, me mordillant aspirant. Elle faisait sans le savoir, les mêmes mouvement sur ma langue que le faisait Pascaline sur ma verge. J'étais à ce moment le plus comblé des hommes. J'avais deux superbes femmes qui me faisaient l'amour, l'une blonde aux gros seins, l'autre brune à la petite poitrine, mais surtout toutes les deux terriblement jolies et terriblement excitées...
Joëlle lâcha ma bouche est redescendit vers ma verge. Elle prit la place de Pascaline et Pascaline vint m'embrasser. Sa bouche avait l'odeur de Joëlle. Je caressais leurs deux minous,
Je prévins Joëlle que le plaisir montait. Elle prit Pascaline par la tête et l'approcha de ma verge. A deux elle se mire à me lécher avidement. Pascaline pris possession de mon anus comme si cela était naturel. Elle introduisit un doigt bien humidifié. La réaction ne se fit pas attendre. Je posais la main sur les deux chevelures et elles m'engloutirent chacune leur tour. Je jouis dans la bouche de Pascaline en premier et Joëlle se chargea de tout nettoyer. Elle s'embrassèrent à pleine bouche. Mon plaisir si intense fut il n'était pas complet: j'aurai aimé les pénétrer.
Elles vinrent s'allonger à mes côtés. Elles continuèrent à me caresser et à se caresser. Plus rien ne semblait nous retenir. je descendis lécher le sexe de pascaline, lui introduisant à mon tour un doigt dans l'anus ce qui la fit sursauter. Joëlle la lâcha pour regarder ce que j'étais en train de faire. Elle lui dit alors qu'elle était vraiment coquine. Elle ôta ma main et son doigt pris ma place. Moi je doigtais Pascaline tout en embrassant Joelle.
Doucement ma verge reprenait de la vigueur Pascaline et Joëlle s'allongèrent chacune à coté de moi, nous nous caressions doucement et tendrement. Je tournais ma tête pour embrasser ma femme puis de l'autre coté pour embrasser Pascaline. Chacune me caressait le torse, la verge, les testicules moi j'avais une main sur chacune explorant leurs seins et leurs minous.
C'est Pascaline la première qui reprit les hostilités. Elle me chevaucha afin d'avoir plus facilement accès au corps de ma femme.
Joëlle prit ma verge en main et demanda à Pascaline de se relever afin de s'empaler sur moi. Pascaline obéit sans difficulté. Joëlle introduisit alors ma verge dans la chatte de Pascaline. Celle ci se rabaissa doucement. J'y étais, ma verge était totalement enserrée dans le minou de Pascaline. Joëlle qui avait lâché ma queue se redressa et embrassa Pascaline à pleine bouche. A son tour, elle m'enjamba pour se retrouver face à son amante. J'avais ainsi une vue splendide sur les fesses de ma femme et ma queue était dans un fourreau si soyeux que je n'osais pas bouger.
Pascaline et Joëlle donnaient libre cours à leur amour découvert et Pascaline bien assise sur ma queue ne se décidait pas à monter ou descendre. Je tentais des mouvements du bas ventre mais sans grand résultat j'avais deux femme sur moi.
Joëlle dit alors:
- Pascaline il va falloir soulager Jean-Paul.
Joëlle se redressa et se recula pour me poser son minou sur le visage. Dans le même temps Pascaline commença à se soulever. Elle se souleva si fort que ma verge sortit de sa chatte. Mais là nul besoin de la main de Joëlle pour la replacer elle s'en occupa elle même, je le sentis à la taille de la main et doucement elle entreprit de monter et descendre sur ma hampe.
Pendant ce temps j'introduisais ma langue dans la chatte de Joëlle la tenant par la taille pour lui interdire toute fuite.
Je sentais un doux picotement dans mes reins et ma verge se tendre. J'aurai aimé être un excellent amant et pouvoir tenir longtemps sans éjaculer, mais je sentais le plaisir monter. Je repoussai Joëlle et j'avertis Pascaline afin qu'elle se retire car j'allais jouir. Nous n'avions pas mis de préservatif (et je le reconnais maintenant nous avions pris de grands risques).
J'entendis alors la voix de Pascaline qui dit :
- Est-ce que tu autorises qu'il jouisse en moi.
elle posait cette question à Joëlle.
Joëlle lui dit:
- Mais il est à nous deux alors profites-en.
Pascaline m'entoura les testicules de l'une de ses mains, je ne vis pas laquelle car Joëlle avait reprit sa position. Et Pascaline reprit ses allées et venues sur ma queue. Le plaisir arrivait et je contractai mon ventre.
Joëlle dit:
- Vas-y ma chérie il arrive.
Pascaline me serra les testicules et accéléra encore.
Je jouis dans son ventre en essayant de pousser un cri de plaisir étouffé par le minou de Joëlle.
Pascaline continua à bouger en me malaxant les testicules.
Joëlle se retira et se remit sur le coté. Pascaline se releva, ma verge était pleine de sperme. Joëlle prit un chiffon sous l'oreiller pour m'essuyer la queue. Pascaline se glissa entre moi et Joëlle
Elle dit alors :
- A nous ma chérie maintenant.
elle m'abandonna totalement pour ne plus s'occuper que de Joëlle. Elle lui lécha les seins et en même temps commença à la doigter
Moi j étais vidé au propre et au figuré.
La suite bientôt...