Massage pas sage. 2/2 Suite et fin

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Proposée le 9/04/2013 par Coquin

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Résumé
Agnès est ostéopathe. Elle reçoit un jour un client qui la séduit et elle lui cède. Une femme et d'autres se joignent à eux les jours suivants. Pour Agnès, que son mari représentant, délaisse, c'est le renouveau d'une sexualité qui s'est atrophiée avec le temps. Elle à la cinquantaine et ses séducteurs sont plus jeunes. Ils l'entraînent pour une soirée masquée dans un club échangiste. Là, elle reconnait son mari, grâce à une cicatrice, qui se fait sodomiser par un autre homme. Mieux, après cette scène son mari qui ne l'a pas reconnue lui fait l'amour... Lire le premier chapitre.



Une journée s'est passée après cette soirée mémorable. Jean-Louis est rentré à la maison, au jour et heure prévue.
Bien sur je n'ai pas abordé le sujet du club, trop heureuse qu'il ne m'ait pas reconnue. Cela parait incroyable qu'il ait baisé sa femme sans s'en apercevoir. Mais après tout, je ne l'avais reconnu que grâce à sa cicatrice. Moi, je n'ai pas de marques si caractéristiques et de toute façon je n'aurais pas du être là bas et encore moins juste à coté de lui.
Le lendemain, samedi, nous nous préparons pour aller chez des amis. Je suis dans la chambre en train de me passer de la crème sur le corps lorsque Jean-Louis sort de la salle de bain dans le plus simple appareil. Un pied à terre, l'autre sur une chaise, ma chatte est en pleine lumière et je vois ses yeux m'examiner.
- Tu t'es fait épiler? Cela te va bien.
Et montrant son bas ventre légèrement broussailleux.
- Il faut que moi aussi je fasse le ménage.
Je saute sur l'occasion et répond :
- Je te donnerai de ma crème si tu veux. Au fait tu sais ce qui m'est arrivé Mercredi?
- Comment veux-tu que je sache!
- Attends tu vas voir. Tu connais la nouvelle maison d'hôte qui s'est ouverte sur la route? Oui et bien j'ai reçu un de leurs clients qui avait un problème.
Et je raconte mon histoire, de string et du sexe qui en sortait pendant que le propriétaire me passait la main aux fesses. Bien sur, je ne raconte pas la suite.
Il rit de la mésaventure arrangée à ma sauce.
- Et qu'est ce que tu as fait'
Il me questionne tout en souriant aux anges. Je fais la fille fâchée que l'on se moque d'elle.
- Mais je l'ai branlé et sucé pendant qu'il me doigtait.
- Allons, Agnès, ne te fâche pas. Alors, comment tu t'es sortie de ce guêpier ?
Ce qui me met en colère, ce ne sont pas ses rires, mais le fait que pas un instant, il n'envisage que je puisse succomber. Voila la preuve qu'il me considère comme l'épouse qui reste au foyer, sagement, attendant le retour de son mari. Décidément il faut que je reprenne les choses en mains et les plans échafaudés dans la chaleur de l'action au club, abandonnés à la lumière du jour, ces plans je vais les peaufiner et les appliquer. Attends mon petit il n'est pas bon de sous-estimer sa femme!
En attendant je lui donne la version sage. Claque sur les mains de l'intrus, serviette pour cacher le sexe tendu et paroles de désapprobation. Ce à quoi le monsieur s'excuse et me raconte l'histoire que j'ai imaginée pour mon mari.
• Qu'il m'a trouvée belle. (Et oui, Chéri, d'autres trouvent ta femme belle et désirable)
• Que mes massages sont des caresses, etc.
• Qu'on lui a donné mes coordonnées à la maison d'hôte et donc qu'il avait pensé que j'étais libertine. En effet, cette nouvelle maison est spécialisée dans l'accueil des couples libertins.
• Qu'il fréquentait aussi un club dans la banlieue de Montpellier. Que justement il allait se rendre à une soirée masquée. Que je devrais m'y rendre avec eux. Que j'aurais du succès avec le corps que j'avais (Et vlan pour le mari devenu aveugle et qui ne voit plus la richesse dans sa maison).
Pendant toute mon histoire, j'ai vu Jean-Louis passer de la surprise, à l'intérêt et finir par l'inquiétude lorsque j'ai parlé du club. Comme je ne voulais pas le faire se poser des questions sur cette soirée, je l'ai tout de suite rassuré.
- Bien sur j'ai refusé. Mais, j'ai quand même bien apprécié ses compliments. C'est si rare. (Et revlan). Tu connais ce club toi? Et la maison d'hôtes'
Petit silence.
- Et bien, tu m'en diras tant. Non je ne savais pas pour la maison d'hôtes. Le club? Oui, j'en ai entendu parler. C'est spécial....
J'attaque à nouveau, en m'approchant de lui et le prenant dans mes bras.
- Tu vois mon Chéri, tu as bien failli retrouver une femme dévergondée. Heureusement que je suis sage, hein'
Il ne répond pas, d'ailleurs je n'attends pas de réponse. Je dis.
- Sage, sage. Pas vraiment. Tout cela m'a émoustillée. Pas toi?
Et ma main s'empare de son sexe mou. Je minaude pendant que je m'agenouille en faisant mine de parler à sa verge.
- Oh, regardez comme elle est sage! Elle est fatiguée! La pauvre! Attends, je vais....
Le reste est incompréhensible. Ma bouche l'absorbe. On ne peut pas dire que mon histoire l'ai excité. Mais bien vite mes caresses lui apportent une vigueur de bon aloi. Oh, ce n'est pas le bâton bien dur qu'il m'a présenté au club. La preuve que le cerveau se laisse aveugler par les fantasmes. Je préfère presque que la verge soit juste tendue car je peux ainsi la prendre toute entière dans ma gorge. Je l'inonde de salive créant une piscine ou il plonge. Ses bourses aussi sont gobées et rendues gluantes de ma sécrétion. Mes mains sur les fesses me servent d'appui pour le gober en entier, amenant mes lèvres au raz de ses couilles. Les va-et-vient créent une écume qui s'échappe de mes lèvres et je tisse des filets entre le gland et mes lèvres, que je récupère de la langue.
Je veux me montrer sous un jour différent, le forcer à voir en moi une nouvelle conquête et non pas une épouse déjà vieillissante. Le bruit lui-même participe à la scène. Un gargouillis que ma gorge produit sous l'effet de la queue qui entre et sort. J'affiche même mon désir de jouir. D'une main je caresse un sein et tire sur le téton comme il sait que j'aime, alors que l'autre est entre mes cuisses, animée d'un mouvement qui ne peut dissimuler la stimulation de mon clito.
Je sens la salive s'échapper de mes lèvres, couler sur le menton et tomber sur le sol ou ma poitrine. Provocante, à la limite de la salope ou de la nympho, mes yeux ne quittent pas les siens. Je devine les pensées se bousculer dans son cerveau. En tout cas sa verge parle pour lui, elle gonfle doucement et j'ai de plus en plus de mal à la gober entière.
Je l'abandonne, me dresse devant lui, surement hirsute et la bave aux lèvres. Je vais m'allonger sur le lit, mais la tête au dehors, légèrement pendante.
- Viens, approche.
Il fait quelques pas, mais semble indécis sur l'attitude à prendre. Ce n'est pas surprenant, jamais je n'ai fait cela. C'est juste une découverte récente au club et j'avais trouvé cette position d'un érotisme terrible.
J'attrape sa verge et ouvre la bouche comme une invite. Il lui suffit de placer ses jambes de part et d'autre de mon visage et en fléchissant les genoux, la queue encore souple entre facilement. L'angle est parfait, la légère courbure du sexe contribue à l'introduction.
Mes mains reprennent le chemin de mes zones sensibles. Il est aux premières loges pour me voir rouler les tétons entre les doigts et malgré son sexe dans ma bouche je pousse des grognements de plaisir, en forçant dans la gamme. Je sursaute lorsque je caresse mon clito, écartant les cuisses et soulevant mes reins pour faciliter le contact.
Sous ses yeux je me tortille, simulant, à peine, le plaisir.
Et oui, mon petit, ta femme en veut encore. Elle aime le sexe. C'est ce qu'il comprend et maintenant ne retient plus ses coups. Ses couilles butent sur mes narines et pendant qu'il m'écrase dans cette position il s'essaye à un mouvement tournant, provoquant des frottements dans ma glotte. Je salive toujours autant et ce jus est extrait à chaque fois qu'il se retire, coulant sur mes joues et sur mes yeux. Je dois avoir le visage souillé d'écume et de traces blanchâtres.
J'abandonne un sein et m'essuie le visage d'une main que j'utilise maintenant pour palper ses bourses poilues. Il stoppe ses vas et viens pour me laisser les caresser. Pendant que la paume les frotte, les doigts sont près de l'anus. C'est le moment. Caresse jamais effectuée, je titille la corolle d'un doigt, faisant le tour de la tache sombre que j'ai à seulement quelques centimètres des yeux. Trou noir à peine protégé par quelques poils et largement découvert entre les fesses écartées par la position et la flexion.
Je pousse à peine et déjà la première phalange entre, le reste suit, l'index est dans son trou. Il frissonne pendant que je l'astique. Je libère les bourses et je peux alors engager un compagnon. L'index est avec le majeur. Le cul s'est ouvert facilement et de mes doigts courbés je caresse sa prostate. La réaction est immédiate, la verge bondit et il pousse un cri. Il reprend ses mouvements de baise de ma gorge, poussant toujours plus fort pour gagner un millimètre mais aussi pour s'enculer un peu plus sur mes doigts.
Il m'écrase et m'étouffe. Sa queue maintenant raide et gonflée frotte au fond de ma gorge et ses couilles s'aplatissent sur mes narines. Je n'arrive plus à respirer. Je manque d'air mais c'est une sensation étrange. Je plane. Mes doigts l'enculent en peu plus. Je me branle avec frénésie.
Un cri de bête annonce sa jouissance. Je suis inondée de son sperme. Je ne peux plus tenir. Je tousse, m'étrangle. Il se retire un peu. L'air arrive enfin à mes poumons. Mélange de salive et de sperme que je régurgite dans des spasmes.
Moi aussi l'orgasme arrive. Mon jus inonde mon con. Je ne peux que grommeler ma joie. Des geysers sortent de ma bouche. Il se retire totalement.

Il s'effondre à mon coté. Je rampe pour reposer ma tête sur le lit, reposant enfin mes vertèbres cervicales soumises à rude épreuve pendant cette scène de folie. Nous reprenons notre souffle.
- Waouh. Tu m'as gâté ma Chérie. Tu devrais te faire draguer plus souvent. C'est dantesque.
Avoue-t-il au bout d'un moment.
- Mais Monsieur, c'est parce que mon mari me néglige que je suis si chaude.
Et voila pour la réplique de la femme délaissée. Si après cela il ne comprend pas le message, c'est à désespérer.

Le miroir de la salle de bain me montre l'étendue des dégâts. Mon visage est couvert d'un mélange gluant, des cheveux au menton, coulures et écumes diverses mélangeant salive et sperme. Visage de pute souillée par des amants qui auraient éjaculés sur elle. Vision érotique pendant l'action, mais vision glauque après. Qu'elle femme ne s'est pas étonnée de ce qu'elle est capable de faire avec son amant, alors que la baise terminée la raison reprends ses droits.

Aucune remarque après. Tout semble naturel. Délicieuse soirée chez nos amis. Dimanche calme, comme après la tempête ou chacun doit reprendre pieds' Juste une remarque, le soir, au moment où il éteint la lumière après la lecture traditionnelle du couple établit.
- Tu m'emmèneras voir le club à Montpellier?
Dis-je dans un souffle à peine audible. Juste comme un souhait pas réellement destiné à être entendu.
Mais il répond, aussi doucement.
- Tu es sure de le vouloir? C'est surement très spécial. Cela pourrait être choquant.
- Mon Chéri, j'ai envie d'être choquée. J'ai l'âge pour cela n'est ce pas'
Il ne répond pas. J'imagine que l'idée fait son chemin. Et je rajoute une couche.
- Au fait, je n'ai pas retrouvé nos gadgets. Tu ne sais pas ou ils sont' Je me demande s'ils n'ont pas été égarés lors du déménagement.
- Aucune idée. Tu es sure qu'ils sont égarés'
- Oui j'ai cherché partout.
Voila encore de quoi alimenter ses réflexions.
« Pourquoi ma femme cherche-t'elle les sextoys' La réponse est évidente. Elle en a besoin pour se satisfaire. Elle vient de me dire que je la délaisse. C'est vrai d'ailleurs. Je me demande si le garçon qu'elle a massé ne lui a pas fait tourner la tête. »
Je prie, j'espère que toutes ces allusions et la séance que nous venons de vivre, vont déclencher un sursaut d'orgueil et qu'il va s'occuper plus de moi, pas comme une épouse abandonnée, mais comme une maîtresse à reconquérir. Sinon, tant pis pour lui, je sais maintenant comment et ou trouver des amants. D'ailleurs j'ai gardé contact avec Clémentine qui me semble être une accompagnatrice des plus fiable.

J'ai un début de réponse la semaine suivante ou contrairement à d'ordinaire, il m'appelle plus souvent. Plus attentif à moi. Proposant même des liaisons internet, car je lui manque!!!!! Il faut l'entendre!!! Un soir il aborde même le sujet du client au sexe triomphant.
- Pas de client entreprenant aujourd'hui? Non' Dommage tu aurais pu me montrer ton excitation comme l'autre jour.
- Coquin. Même si cela avait été vrai, tu es à 400km, alors.
- Mais on peut jouer un peu. Regarde.
Et il se lève, montrant qu'il est nu.
- Fais comme moi, enlève tout.
Une nouveauté. Jamais il ne m'a proposé un tel jeu. Moi non plus d'ailleurs. Un geste et ma nuisette est enlevée.
- Que tu es belle!
Alors là je suis scotchée par sa déclaration. Voila une phrase que je n'ai plus entendue depuis des lustres. Quel beau compliment et surtout quelle promesse pour l'avenir. Il continue.
- Reste debout que je puisse te voir. Moi je fais pareil. Maintenant, ferme les yeux... Bien... Imagine.... Ton client se retourne et tu découvres son sexe tendu qui sort du slip..... Tu te souviens'
- Oui.
- A ce moment tu ne réagis pas. Lui, encouragé par ton manque de réaction fait glisser son slip. Et.... Tu le vois enlever son slip?
Il m'est facile de répondre, d'autant que, comme j'ai vraiment vécu cette scène, il m'est facile de la revivre.
- Oui.
- Et que vois-tu'
J'ouvre les yeux, juste le temps d'apercevoir mon mari en train de se branler doucement.
- Non, non, ferme les yeux. Que vois-tu, dans ton imagination. Décris-moi ce que tu vois, ce que tu ressens.
- Le... Son sexe est grand, long, fin... Les bourses sont lisses, gonflées... Pas de poil... Elle frémit... On la croirait vivante...
- Tu sens ses mains qui viennent vers toi? Qui se glissent sous ta blouse? Tu n'as rien d'autre. Elles caressent ta peau, ta poitrine, ton entre cuisse. Tu sens ce désir qui monte?
Ce petit jeu me trouble. Surtout, il est si près de la réalité, comme si Jean-Louis avait été présent. Dans un murmure, je réponds.
- Oui... Oui... Mes seins... Mes tétons, il roule mes tétons entre ses doigts... Oh! Il entre un doigt dans ma fente......
- Caresse toi... Comme il te fait... Oui, comme cela... Ta chatte... Ton clito... C'est beau. Tu es belle.
Je le fait. Bien sur je me suis déjà caressée et masturbée de nombreuses fois, surtout pendant l'absence de mon mari, mais je ne l'ai jamais fait devant lui. J'aime sa demande. Nous avançons dans une nouvelle sexualité. J'ai du plaisir à le faire. J'écarte les cuisses pour faire entrer un, puis deux doigts dans ma chatte pendant que ma paume flatte mon bouton. C'est bon. Encore plus bon de savoir qu'il me regarde. Il me regarde enfin. Ses yeux se sont dessillés. Il me voit autrement. Il reparle.
- Il te caresse, et toi que fais tu' Rien' Tu attends' Il te donne du plaisir et toi tu ne fais rien'
- Mais si... Moi je... Je... Sa verge m'attire... Je me penche... Je la prends dans ma bouche... Je la suce... Je le pompe... Ses bourses... Je lèche ses bourses... Il aime...Crie encore... Sa verge gonfle... Elle m'étouffe... Il va... Il vient... Il jouit... Moi aussi......Son sperme m'inonde... Il m'oblige à le boire... Mon dieu......
Mes paroles m'excitent. Plus je décris, plus je sens que mon plaisir monte, monte. Enfin il est là. Je sens ma mouille sur mes doigts. Sans réfléchir je suce ma propre liqueur.
Un cri.
- Regarde... Vite... Regarde.
Jean-Louis m'appelle. J'émerge de ma vision et sur l'écran de mon ordi, je vois la queue de mon mari gicler son sperme en flots généreux.

Super, c'était super. D'autant que mon amant des ondes me dit avant de couper la liaison.
- J'ai réfléchi pour nos gadgets. Les déménageurs ont du les piquer. Le carton a du s'ouvrir et j'avais regroupé ces objets avec des cassettes et des bouquins. Maintenant c'est trop tard pour réclamer.
Inquiète je lui demande.
- Des cassettes, mais rien de perso j'espère. « Car je me souviens qu'à une époque on avait filmé nos ébats. »
- Non, non, rassure-toi. Notre vidéo doit être dans ma table de nuit. Je l'ai encore vue l'autre jour. Pour les gadgets, commande par Internet, c'est plus discret. Enfin si tu en as envie.
C'est un « Merci » coquin qui clôt notre liaison.

Rien à signaler le weekend suivant, si ce n'est qu'il est revenu un jour plus tôt que d'habitude. Sans prévenir. Pour faire la surprise, comme il a dit. Avec des fleurs, s'il vous plait. On avance. La preuve il débarque à l'improviste. Pour quelle raison ? La jalousie. Très bien, la jalousie est un bon début. C'est bien mieux que l'indifférence. A oui, aussi. Très fougueux mon petit mari pendant ces jours là.

C'est la semaine d'après qu'il me demande.
- Tu veux toujours aller au club de Montpellier.
- Oui... Enfin, je crois.
- Chérie il faut savoir. C'est oui ou c'est non'
- Pourquoi?
- Répond d'abord.
- Oui. Mais juste pour regarder et on ne se quitte pas.
- J'ai appris qu'ils organisent une soirée "couples", en particulier pour accueillir les nouveaux.
- Ah!
- Vendredi soir.
- Ce vendredi?
- Et oui, toujours partante?
- Oui.
- Alors je serai de retour Vendredi matin. Prépare-toi Chérie.

Pour la deuxième fois de ma vie j'entre dans un club libertin. L'homme qui m'accompagne, mon mari, Jean-Louis, est il familier du lieu' En tout cas personne ne fait de remarques lorsque nous répondons "première fois" à la question posée par l'hôtesse. Elle nous explique les grandes règles qui régissent la maison, insistant beaucoup sur le coté convivial et volontaire. Comme nous indiquons que c'est surtout pour une première visite sans réel projet de participation, elle nous rassure et encourage.
- Mais bien sur. Vous avez raison. Prenez votre temps. Vous ne serez pas importuné car si on vous aborde il vous suffira de refuser. La personne comprendra. Par contre si vous allez ailleurs qu'au bar, dans les parties plus privées, la tradition est de se mettre dans le ton, pour conserver l'ambiance et ne pas perturber les personnes actives.
- Dans le ton' Qu'est ce que vous entendez par là?
- Ne pas rester habillé alors que tous les autres sont nus. En sous-vêtements par exemple.
Je jette un regard, que je veux de biche aux abois, à mon mari. Surtout ne pas paraître trop audacieuse. Tout doit venir de lui. C'est donc lui qui répond.
- Mais bien sur, nous comprenons.
Et nous voila au bar. Ce soir ce ne sont que des couples, pas de femmes en chasse, pas d'hommes esseulés, mais cela n'empêche pas quelques personnes d'attaquer les préliminaires sur la piste. Quelques fois on vient m'inviter, mais bien-sur je refuse poliment. Je ne suis pas mécontente de montrer à mon mari que, si lui m'a négligée, d'autres seraient partants. Je dois reconnaître que lui aussi est invité. Mais comme on dit au tennis « avantage Madame ».
Après un moment, Jean-Louis me demande à l'oreille.
- Tu n'as pas envie d'aller voir ce qui se passe en privé ?
Je continue dans le rôle de la femme dépassée par les événements.
- Tu n'y pense pas. Il faudrait se promener en petite culotte. Et j'ajoute. Et en plus, je n'ai pas mis de soutien-gorge !
- C'est bête d'être venue jusque là pour abandonner. C'est bien toi qui voulais voir, non ? « Et il joue au vil flatteur ». Regarde comme on t'invite. Regarde les femmes autour de nous, tu es bien plus belle. Je suis sur que ta poitrine ferait des envieuses. « Et suprême argument ». En plus nous ne connaissons personne.
Visage de circonstance. Biche apeurée mais curieuse avec un petit sourire qui confirme le.
- Oui, d'accord, mais on ne se quitte pas.

Le slip que je porte ne cache pas grand-chose. Mon subconscient peut être me l'avait fait choisir. En fine dentelle noire, plus ajourée vers le pubis et les fesses qu'ailleurs. Mon mari le remarque bien sur et sourit. Lui parait plus sage dans son boxer. Commence alors une longue promenade, main dans la main, ou ne passons de pièce en pièce. Partout les couples jouent. Parfois seuls, parfois à quatre. Toujours cette diversité qui m'avait frappée la dernière fois.
Je cherche le bon endroit, le bon moment. J'ai une idée derrière la tête. Enfin dans une chambre, une femme est entourée de deux hommes alors qu'une autre les regarde. Pendant qu'ils l'embrassent elle tient chaque sexe dans sa main les branlant doucement. Ils la caressent. Quatre mains explorent son corps, se glissent dans sa toison finement taillée, palpent ses fesses.
C'est le bon endroit. Avec un peu de chance nous allons assister à ce que je veux montrer à Jean-Louis. La seconde femme va les rejoindre non pas pour participer mais pour organiser. Elle fait allonger un des hommes et lui place un préservatif, pour ensuite amener son amie et la faire s'enfiler sur le sexe protégé. La belle chevauche son cavalier sur un rythme de trot.
La température monte dans la pièce. D'un geste voulu maladroit, ma main touche le ventre de mon mari qui tressaille au contact. Son sexe forme une bosse que le boxer serré ne peut cacher. Je le flatte sans quitter des yeux le lit ou le couple s'agite puis s'interrompt sous la pression du second homme qui va lécher l'anus de la cavalière. Il s'applique longuement puis se redresse et va réaliser la scène prévue. Nous ne sommes pas bien placés mais lorsqu'il s'immobilise on sait que sa queue est maintenant dans le cul de la femme.
Bingo. Voila ce que je voulais montrer à mon mari, lui faire comprendre de manière indirecte que je peux être attirée par autre chose qu'un jeu à deux.
Je sens qu'il se déplace. Oh non, nous n'allons pas partir maintenant ! Je suis rassurée, en réalité il s'est juste glissé derrière moi, son corps contre mon corps, et ses lèvres qui m'embrassent dans le cou, remontant lascivement vers l'oreille. Il me chuchote.
- C'est chaud. Ça me fait de l'effet. Tu sens ?
Bien sur que je le sens, son bâton bien droit qui se cale entre mes fesses.
- Et toi ? Tu les trouves comment ?
Continue t'il en glissant une main dans ma culotte et pousse un doigt inquisiteur dans ma chatte.
- Oh, la coquine. Elle est toute émoustillée.
C'est une évidence, je mouille. Ce spectacle me rend folle. C'est presque aussi fort que si j'étais à la place de la femme, aussi fort que lorsque les deux garçons m'ont possédée à mon cabinet. Je tortille du cul, lentement pour masser la verge et lancer un signal fort. Il comprend. Je sens maintenant sa queue qui passe entre mes cuisses et comme sa main qui accompagne repousse le fin tissu, le bout arrive entre mes lèvres d'amour. Je me penche légèrement et il entre sans effort, dans ce chemin connu de lui depuis si longtemps, mon fourreau qui dégouline.
Pendant tout ce temps, nous ne quittons pas des yeux les deux hommes qui possèdent la femme sur le lit, et qui essayent de coordonner leurs efforts pour la faire jouir. Mon mari cherche aussi à me ramoner mais la position est instable et j'ai une fâcheuse tendance à perdre l'équilibre et expulser la verge qui me fait du bien. Jean-Louis m'attrape les bras avec ses mains me procurant un appui plus stable. Légèrement penchée en avant, l'intromission est plus aisée et il peut maintenant donner le meilleur de lui-même.
Les trois amants sont trop concentrés sur leur plaisir pour nous regarder, mais ce n'est plus le cas de la femme seule. Elle s'approche de nous, tourne autour, comme pour juger notre couple. Sa présence provoque mon mari qui s'active encore plus vigoureusement. Je me sens prisonnière, le haut du corps penché en avant et mes bras tirés en arrière pour me maintenir. Assez étrangement c'est la première fois que nous expérimentons cette posture. D'habitude l'appui d'un mur, d'un arbre, d'une table suffit à notre bonheur. Enfin je parle d'avant, d'un temps ou nous étions plus actifs.
Elle s'arrête juste en face de moi et sans que je puisse réagir elle me donne un léger baiser. Elle sourit devant ma surprise. Toujours en souriant elle promène ses mains, partant des épaules, dessinant mes seins, flattant mes hanches et se glissant entre mes cuisses. Le pieu qui s'active dans ma vulve semble encore plus fort, plus possessif et me secoue avec délice. Les doigts frottent doucement mon clito et au mouvement de son épaule je vois qu'elle avance encore plus loin pour surement toucher le sexe marital. Elle se baisse un peu et je l'imagine emprisonner les bourses car Jean-Louis pousse un râle et stoppe ses mouvements.
D'autres cris la détournent de nous. Ses amis sont entrain de jouir à grands renforts de coups de reins, les derniers, ceux qui accompagnent l'arrivée du sperme se précipitant par des jets libérateurs. Elle redevient la spectatrice du trio et retourne caresser la poitrine de l'homme chevauché. Son mari ou son amant partagé avec une autre.
Quelques va-et-vient et mon plaisir est là. Long orgasme accompagné par les mouvements de la bite qui coulisse maintenant dans un fourreau soyeux et détrempé par mon jus. Mon jus qui accueille son correspondant mâle. Chaud, violent, en quantité, le sperme dénonce l'excitation de mon mari à ce spectacle torride en présence d'une épouse complaisante.

Dans la voiture, sur le chemin du retour, alors que je sentais ma culotte humide et tachée entrer dans ma raie et ma chatte, il me semble entendre mon mari parler.
- Tu disais'
- Oh, juste que c'était bien. C'était bien, non'
- Oui, Chéri. Bien. Très bien même. Merci pour cette soirée.
Dis-je en caressant avec douceur son cou et sa joue.
Je suis assez fière de moi. La soirée a dépassé toutes mes espérances. A l'origine c'était juste pour montrer à Jean-Louis qu'il ne fallait plus me laisser sur un piédestal, que moi aussi je pouvais être attirée par d'autres choses que la simple séance de baise à deux. Le fait qu'il m'a baisée au club et surtout que cette femme vienne nous titiller, a placé la barre bien plus haut.
Et pendant que de la joue ma main passe sur sa poitrine et essaye de se glisser dans le pantalon.
- Mais, la soirée n'est pas finie? Si?
- Arrête Chérie tu vas nous faire avoir un accident.
- Tu as raison, ne prenons pas de risque. Arrêtes toi dans la garrigue.
Et je ris.
C'est ainsi que nous avons encore baisé, dans la nature.

Le lendemain nous sommes réveillés par un livreur de colis. Encore ensommeillée je pose le paquet sur la table pour aller prendre une douche. La cuisine embaume l'odeur de café lorsque je reviens.
- Qu'est ce que c'était. Demande Jean-Louis une énorme tartine de confiture au bord des lèvres. La baise cela creuse.
- Un livreur.
- Et'
- Je ne sais pas, j'ai posé le colis sur la table. Je verrai tout à l'heure.
- C'est en voyant mon mari sucer ses doigts collant de confiture que j'ai eut un éclair.
- Ça y est. Je sais ce qu'il y a dans le colis.
- A bon et c'est...
- Va le chercher, tu verras bien.
Intrigué il le ramène sur la table de la cuisine. Il l'ouvre et éclate de rire. Ce sont tous les sextoys que j'ai commandé. J'ai commandé différentes choses. Chacune est un message subliminal pour mon mari. Nous avons déjà fait un long chemin, mais je veux encore aller plus loin. Le risque, c'est qu'il se doute de quelque chose et ne croit plus que la seule vue de la queue d'un client ait déclenché cette envie de sexe. Nous verrons bien. J'ai d'ailleurs une surprise pour lui.
Il sorte un à un les objets, faisant mine de chercher leur usage. Deux plugs de taille différente avec une belle pierre incrustée. Des œufs vibrants. Des pinces à seins avec un bijou qui pend. Plusieurs godes. Vibrants bien sur mais aussi fixe comme ceux que l'on scotche au sol pour se baiser dessus et, crème sur le gâteau, un gode ceinture dont chaque extrémité est pourvue d'un gland. Pour celui-ci je fais mine de ne pas comprendre sa présence, car c'est un gode évocateur pour la sodomie masculine.
- Ils ont du se tromper ou je n'ai pas "cliqué" au bon endroit.
C'est vrai que tout cet attirail sur la table du petit déjeuner fait anachronique et après l'instant de rire et de mise en boite du genre.
- Et bien Chérie, il y a tout ce qu'il faut pour me remplacer.
Mais avant qu'il continue, je précise.
- Seulement lorsque tu es en déplacement. Ce sont juste des jouets jamais ils ne remplaceront...
Et laissant la phrase en suspend, je m'approche de lui, m'assied sur ses genoux et passe une main baladeuse sur sa verge tombante. Mais ma caresse le laisse de marbre, expression trop imagée pour le petit bout de chair flasque qui résiste. Il semble soucieux.
- Tu sais Agnès.
Oh s'il m'appelle par mon prénom c'est mauvais signe.
- Oui, Chéri.
- Tu sais je me pose des questions. Bien sur je suis très heureux de notre nouvelle vie sexuelle mais j'ai du mal à croire que la simple vue d'une queue, aussi belle soit elle, accompagnée d'une tentative de caresses et de compliments sur ta beauté, soit la vraie cause de ton appétence pour le sexe. Surtout que nous innovons, plutôt tu innoves beaucoup. Encore une fois je ne me plains pas du résultat, au contraire, mais la cause semble peu plausible.
Voila le moment tant redouté, mais j'ai déjà préparé une version édulcorée.
- C'est vrai, je t'ai menti. Plutôt je ne t'ai pas tout dis. L'homme qui bande sur ma table de massage et qui passe ses mains sous ma blouse, c'est vrai. Mais je n'ai pas crié, ni réagit violemment.
- Alors tu t'es laissé faire.
- Mais non. Je me suis juste reculée pour m'éloigner de ses mains. C'est la femme qui.
- La femme, quelle femme?
- Il était accompagné par une femme, son amie sans doute. Enfin c'est que je pensais à leur arrivée.
- Alors cette femme...
- Et bien comme elle a vue que je n'acceptais pas les caresses, elle est venue vers lui et s'en est occupé.
- Occupé? Mais comment' Soit plus claire, je ne comprends rien.
- Ecoute ne fais pas l'idiot, tu comprends très bien.
- Non, pas du tout. Elle l'a aidé et ils sont partis'
Maintenant il sourit. Il comprend que je le l'ai pas trompé avec l'homme. Cela devient une scène érotique comme une autre.
- Mais non. Elle a enlevé le string du gars puis l'a sucé. Moi je me suis rapprochée pour mieux voir. Une sucette d'enfer. Elle salive beaucoup. "Je passe au présent". Une vrai pro de la fellation. Elle réussit à le prendre entièrement et le rouge de ses lèvres brille au raz des bourses. Une de ses mains palpe les couilles et je vois le gars soulever le bassin pour lui offrir son anus. Elle doit y glisser un doigt car aussitôt sa main s'active avec un mouvement de vas et viens. Elle offre son autre main à la bouche de l'homme qui la lèche. La salive coule tout au long de la queue créant des coulées sur les bourses. Elle tire des filets entre le gland et ses lèvres qu'elle attrape avec sa langue dans un geste d'un érotisme torride.
Il m'interrompt.
- Je comprends mieux que tu...
Je reprends.
- Maintenant elle enlève sa petite culotte et grimpe sur la table pour venir s'embrocher sur la bite du gars. Sa jupe un peu ample me cache la scène mais ils se déchainent tout les deux. Elle monte et descend. J'entends le choc des fesses sur les cuisses. C'est sexuel, fort, torride.
Il m'interrompt encore.
- Et toi tu fais quoi?
Jusqu'à maintenant je regardais ailleurs, comme lorsqu'on avoue une faute et que l'on n'ose pas affronter le regard de l'autre. Alors je le fixe dans les yeux.
- Moi? Oh moi! Je suis excitée. Je suis si près que je pourrais les toucher d'un simple mouvement. Mais je résiste. Je résiste. C'est dur. Alors je me caresse et je fléchis les jambes pour que mes doigts me possèdent et je me branle, branle jusqu'à jouir. Eux aussi jouissent.
A mon récit, le sexe de mon mari s'est érigé comme un mat. Je me lève et tirant sur l'élastique du pyjama je libère le mandrin. Maintenant c'est moi qui le suce. Je reproduis la scène que je viens de décrire, mélange de vécu et d'imaginaire. J'insiste sur la salive. Maintenant tout doit prendre la bonne place dans son esprit. Moi aussi je le regarde dans les yeux pendant que ma langue récupère la salive. Seule différence au texte inventé. Je n'ai pas les lèvres rouges. Je ne suis pas encore maquillée et d'ailleurs il faudra que j'achète un rouge à lèvres rouge brillant. Mon idée est excellente, du rouge brillant tranchant sur le rose de la peau du sexe. Je l'astique un long moment puis je me redresse et vient m'empaler sur sa bite en m'asseyant sur lui, face à lui. Pendant que je me baise sur sa belle queue bien raide de mon histoire et bien lubrifiée de ma salive il m'embrasse à pleine bouche et prend un malin plaisir à appuyer sur mes épaules pour que je retombe lourdement sur lui amplifiant encore la force de mes mouvements.
Il jouit. Je sens sa semence chaude se répandre dans ma vulve. Une semence généreuse, la première du matin. Quel plaisir!
Alors que je me suis effondrée, ma tête dans son cou et que nous reprenons notre souffle, il reprend, comme si il était impatient de connaitre la fin de mon histoire.
- Et après qu'avez-vous fait'
- Comme c'était mes derniers patients je les ai invités à prendre un verre à la maison.
- Ah, bon, chez nous. Et vous avez... à nouveau'
- C'est moi que tu traite d'obsédée du sexe mais c'est toi qui imagine toujours des choses! Non, nous avons parlé. D'eux, de moi, de toi.
- De moi?
- Mais oui, que tu me délaissais depuis quelques temps. Tu ne peux pas le nier. Peut être que je suis aussi fautive et que j'aurais du te solliciter plus. Toujours est-il qu'ils m'ont proposée de me joindre à eux, pour le club et même de recommencer. Devant mon refus ils m'ont raconté toutes leurs aventures, ensemble ou séparément. Dément. A coté nous sommes des enfants de cœur.
- Et'
- Et! Rien! Depuis je reste en contact avec Clémentine, c'est la femme et nous bavardons souvent. Ils habitent dans les Cévennes.
- A bon et vous parlez de quoi?
- De secrets de femmes, mon Chéri. Des confidences, des conseils.
- Des conseils'
Je fais semblant d'hésiter.
- Oui, elle me conseille. Tu sais elle est bien plus jeune, la trentaine, mais tu ne peux pas savoir tout ce qu'elle connait.
Il me presse dans ses bras et conclut.
- Si je comprends bien, c'est à elle que je dois ce traitement de faveur, tes caresses audacieuses. C'est une amie précieuse, non'

Encore un weekend passé à nous retrouver. Promenades, restaurant, lit. Tout pour un couple heureux. Mais lundi arrive et Jean-Louis repart sur les routes.
Heureusement sa remarque "c'est une amie précieuse" me donne une idée. Je contacte Clémentine qui, gentiment, accepte ma proposition.
Lors d'un contact vidéo, j'informe mon mari que nous sommes invités par Clémentine et son copain, Natan, pour le weekend suivant. J'admire son contrôle de soi. Je m'attendais à des remarques, mais non, c'est comme si cette invitation était naturelle. Pourtant il ne peut ignorer l'enjeu de ce rendez vous. Mais le commerçant et négociateur qu'il est, lui donne la force de se contrôler.

Il a été convenu que nous arriverions chez eux le samedi matin pour pouvoir consacrer la journée à une longue randonnée dans la belle campagne qui entoure leur village de Saint Jean du Gard. Le chemin de Stevenson est un sentier magique mais difficile par endroit. Au départ les deux hommes marchent devant. Ils font connaissance et si on en juge par les rires fréquents, le courant passe malgré la différence d'âge. Complicité des hommes qui savent qu'ils vont baiser la femme de l'autre? Moqueries sur les clubs de foot et leurs joueurs friqués et débiles' Peu importe, ils s'entendent bien.
Clémentine et moi les suivons tout en parlant de choses et d'autres. C'est au téléphone que je lui ai longuement expliqué l'état de mes nouvelles relations avec mon mari. Je lui ai aussi fait part de mon désir, un peu particulier, pour fermer la boucle de ce cycle qui a commencé avec Natan et surtout de la vision de Jean-Louis avec un homme. Nous avons convenu d'un scénario assez libre pour s'adapter à toutes les situations. Je ne veux pas que des contraintes nous gâchent le plaisir d'être ensemble.
Après le pique-nique, Jean-Louis et Clémentine partent devant. Je suis assez fier de mon homme qui marche avec entrain alors que le sport n'est pas son fort. De mon coté je découvre mon compagnon de randonnée comme un garçon érudit et férus de botanique. Nous avions fait connaissance dans des situations qui ne prêtaient guère à la conversation.
La balade terminée, tout le monde s'accorde une pause après la douche de circonstance. Puis Clémentine entraîne mon mari pour quelques courses et de mon coté je le charge d'acheter un dessert pour le dîner. J'aide Natan à tout installer sur leur terrasse qui domine la vallée et le Gardon.

Que dire du repas. Rien si ce n'est que tout fut parfait. Les mets, les vins, nos hommes qui faisaient preuve de touchantes attentions envers nous. Juste à un moment la fraîcheur est tombée et nous avons du rentrer. Leur salon est de toute beauté. Des voûtes de pierre lui apportent un coté pastoral. Chaud en hiver, frais en été. Deux canapés se font faces juste séparés par une magnifique table basse en bois que l'on imagine taillée d'un seul tenant dans un chêne centenaire.
Les lumières sont plus tamisés. La Carthagène, boisson à la fois amère et sucrée excite les papilles. Les bougies dégagent un parfum captivant. Clémentine est assise à coté de Jean-Louis et Natan est à mes coté sur le canapé qui fait face. Clémentine appuie tendrement sa tête sur l'épaule de mon mari, comme dans un moment de faiblesse et comme lui, tourne son visage elle l'embrasse du bout des lèvres. Ce baiser accepté, je ne vois pas mon Chéri refuser un tel cadeau, le rythme change.
Clémentine s'occupe de tout. Il n'a rien à faire. Suprême plaisir de se laisser guider, par une femme, une inconnue, une séductrice, si belle, si jeune. Elle détache les boutons de sa chemise. Pas de précipitation. Caque mouvement est mesuré, comme pour le faire durer et découvrir lentement le partenaire. La chemisette est repoussée par ses mains qui se glissent entre la peau et le léger tissu. Le voila torse nu avec un léger duvet sur la poitrine. Elle s'attaque au pantalon. Pantalon de toile assez large qu'elle tire facilement. Arrive le slip, boxer ajusté, qu'en femme d'expérience, elle soulève largement pour ne pas blesser, en le retirant, la bête tapie. Car la bête ne sommeille plus dans l'ombre et la lumière la révèle déjà préparée. Oh pas encore le bâton qui va venir plus tard, mais déjà un sexe qui ne pendouille plus vers le sol. Je remarque d'ailleurs que la verge et les bourses de mon époux sont dégagées de tout poil. Mes remarques ont portées leurs fruits. La description du sexe de Natan épilé dans mon cabinet l'a convaincu de se rendre lisse.
Elle s'agenouille dans un rituel établit, de la femme qui suce, pour se placer entre ses cuisses. De la main elle aide le sexe encore mou à se soulever, mais bientôt c'est seulement de la bouche qu'elle s'en occupe. Jean- Louis la regarde mais aussi me regarde. Il sourit. Nous échangeons un regard complice comme si nous étions familiers de cette scène.
A mon tour de m'occuper de Natan. Pourquoi changer un scénario bien rodé, et en quelques instant je suis près de l'emboucher. Mais juste avant de le gober, je lui demande de se déplacer et il s'installe à coté de Jean-Louis.
Maintenant les deux hommes sont cote à cote pendant que leur femme suce le voisin. Pas de jaloux. Chacun peut voir son conjoint. Pour nos amis ce n'est pas nouveau alors que pour nous c'est une première. En tout cas c'est stimulant et je pompe mon amant d'un jour à faire pâlir mon mari de jalousie s'il n'était lui-même bien au chaud dans la gorge de Clémentine. Chaque verge en érection est différente. La courbure, la forme, la taille, le gland, les lignes des veines, le gout. Sans être une experte, mes récentes aventures me permettent de comparer.
A coté, Clémentine en venue se placer sur mon mari. Elle écarte les cuisses et je peux voir sa main guider le mandrin vers sa chatte pour le faire disparaître, littéralement happé par la vulve vorace. Il l'attire vers elle et ils échangent un baiser fougueux, bataille de langue et lèvres sucées. Étrange. C'est étrange. De voir mon mari se faire chevaucher par mon amie me fait moins d'effet que ce baiser qu'ils échangent. J'ai l'impression, ridicule j'en conviens, d'être trahie, trompée.
Ils se séparent et maintenant elle monte et descend sur le sexe. Je suis aux premières loges pour voir la queue brillante abandonnée avec regret par les lèvres qui se tendent le plus possible pour la conserver entre elles. Mais leur angoisse est de courte durée car la chatte redescend et elles poussent un "ouf" de soulagement. C'est à cet instant que je comprends le choix du terme "petites lèvres". L'analogie est évidente. Elles semblent ramper sur la bite comme les lèvres de la bouche avancent millimètre par millimètre dans l'espoir de buter sur les bourses. Il y a tant de mot que l'on utilise sans vraiment faire le lien.
Mes lèvres à moi font leur ouvrage sur la verge de Natan qui est maintenant sous son plus bel atour. Peau douce, tendue avec ce gland sans prépuce que la langue parcoure jusqu'à la couronne, frontière avec la hampe plus frustre. Il faut trouver les bourses gonflées pour sentir à nouveau la peau si délicate. Il doit s'épiler depuis longtemps pour être si lisse. Même le gout est raffiné.
A coté le rythme change et la belle Clémentine passe au trot.
Un peu de fantaisie. Un soupçon de provocation. Surtout ne pas tomber dans une pale copie des amants d'à coté. Moi, je me lève, j'enjambe Natan et m'installe en 69 sur lui. Je lui présente mes fesses et comme il n'est pas totalement allongé, mais en appui contre le dos du canapé, c'est mon anus qu'il trouve naturellement. Ses mains écartent mes lobes pour faciliter l'accès et aussitôt il entreprend une feuille de rose. Il ne faut pas longtemps pour que le passage se relâche et qu'un doigt vienne prendre possession de mon cul.
Je ne sais pas si mon chéri peut profiter du spectacle, mais en tout cas sa cavalière lui arrache des gémissements de plaisir et je comprends qu'il jouit à ses petits cris si caractéristiques. Clémentine ralentit et se termine à son rythme.
Mon anus est prêt. Je rampe sur mon amant et maintenant je suis assise sur lui, lui tournant le dos. Je fléchis les genoux. Le bâton butte contre mes fesses. Juste un ajustement et pendant que ma main le maintient en place, il me suffit de descendre lentement pour qu'il entre, lentement, autant pour le plaisir que pour le spectacle que j'offre à mon mari, le cul de sa femme lentement envahit par une belle queue.
Je me baise sur le bâton raide par de grands balancements du bassin, mouvement d'une obscénité que j'assume et il ne faut pas beaucoup de mouvements pour que mon plaisir arrive. Ah, sentir le regard d'un mari consentant excite autant que de longs préliminaires.
Quant à être salope, autant l'être jusqu'au bout. Un geste et je reviens à genoux, entre les cuisses de mon amant et après avoir fait sauter le latex protecteur je l'embouche telle une gourmande privée de bite depuis des lustres. En levant les yeux je croise ceux de Jean-Louis. Si un instant j'avais crains de trop en faire, et de le choquer, le petit sourire qu'il affiche me donne des ailes. Le spectacle que je lui offre lui plait et il le suit comme tout homme normalement constitué peut apprécier une suceuse en action, avec surement l'envie que sa propre queue soir soumise au supplice de mes lèvres rampantes, de ma langue invasive et surtout, surtout, avoir le droit de juter dans ma gorge.
Natan ne résiste pas longtemps et il crache ses jets de spermes que je relâche pour les laisser couler sur sa hampe. J'étale la semence pour mieux la lécher. Je sais que je suis au centre de tous les regards et je m'applique. Je n'abandonne que lorsque le bijou est propre comme un sous neuf. Mission accomplie.

Vient le repos. Il n'est pas nécessaire d'échanger nos impressions. Juste un échange de salutation au moment de trinquer.
- A nous.
Chacun est retourné vers sa chacune et tout naturellement les mains, précurseurs des désirs à venir, redécouvrent le corps de l'autre, un instant cédé à un autre partenaire. Les femmes rendent hommages à leur mari et pour ma part j'ai le plaisir de redonner vigueur au mandrin de Jean-Louis alors que Clémentine rivalise pour durcir celui de Natan. J'échange un regard avec ma complice. Elle comprend, abandonne son homme et tout en le tenant par la main, va s'installer sur la gigantesque table basse. En levrette elle nous offre une généreuse vision sur son postérieur avec le dessin ciselé de sa chatte que les lèvres soulignent comme en contre jour. Elle s'adresse à Natan;
- Mon amour, viens préparer ta minette pour que le sexe de notre ami lui fasse encore du bien.
Bien sur il s'exécute. Nous sommes devenus les spectateurs de leur duo bien rodé. Natan a plongé son visage entre les fesses de sa femme et il la lutine, insistant vers l'anus qu'il assouplit de ses doigts. Très vite il se retire et c'est moi qui pousse Jean-Louis vers mon amie. Lui aussi monte sur la table et par un geste que je veux solennel c'est moi qui place la queue que j'ai raidie et recouverte de latex vers l'œillet palpitant. Il ne se fait pas prier pour enculer la belle Clémentine dont les seins gonflés pendent en deux hémisphères charmants.
Le chemin est étroit mais accueillant et le mandrin fore son chemin sans difficulté. Alors même qu'il stoppe son avancée, ventre plaqué contre les fesses de l'enculée, je me précipite pour faire à mon mari ce que Natan à fait à son épouse. Feuille de rose qu'il apprécie et l'immobilise avec le jeu d'un doigt qui tourne autour du bourrelet de chair, muscles puissants encore serré pour la fermeture de l'anus. Mais la chair est faible et l'association d'une langue inquisitrice avec le doigt prospecteur, font céder la dernière résistance du cul.
Je le ramone doucement. Il s'assouplit, c'est flagrant et le deuxième doigt n'en fait qu'une bouchée. Jean-Louis se laisse faire, attentif à ne pas rompre le charme et profiter au mieux de mes caresses.
Pendant ce temps Natan qui a enfilé une capote, se place également sur la table, heureusement taillée en massif pour résister au poids des trois protagonistes. Comme si nous avions fait cela toute notre vie, son gland remplace prestement mes doigts que je retire au dernier moment. Sur le coup Jean-Louis ne réagit pas. Natan reste en place avec juste une pression suffisante pour que le gland reste en contact avec l'anus de mon mari.
C'est lorsque je suis venue à ses cotés, qu'il a réalisé que cela ne pouvait pas être moi qui jouait toujours entre ses fesses. Je crois qu'il a compris lorsque Natan à posé ses mains sur ses hanches. Le reste s'est déroulé comme dans un rêve. Il a fermé les yeux, se penchant un peu plus en avant recouvrant ainsi le corps de Clémentine. Un soupir s'est échappé de ses lèvres lorsque le mandrin est entré, long manche de chair rigide que je peux voir avancer dans le cul de mon homme. Quel spectacle étrange, singulier mais aussi d'un érotisme fou que de voir les fesses de Jean-Louis maintenant couvertes par son amant.
Il ouvre les yeux et semble me découvrir. Sa main se tend pour attraper la mienne. Natan commence ses va-et-vient, avec lenteur, sortant sa verge totalement avant de replonger. Même si les mouvements ne sont pas violents, Clémentine bouge au même rythme que mon mari. Ils sont liés par la queue maritale. C'est un plaisir de regarder. C'est excitant, ces trois corps chevillés.
Je veux aussi ma part de plaisir. J'abandonne mon mari aux coups de son amant pour venir proposer ma chatte à Clémentine. Ainsi je suis face à mon époux et nos regards se croisent pour ne plus se quitter. La bouche de mon amie transmet à ma chatte toutes ses sensations, surtout que Natan accélère. Mon mari doit apprécier car il me sourit, mais en un instant son expression change.
- Toi, c'était toi.
Sur l'instant je ne comprends pas.
- Au club, c'était toi.
Ce n'est même pas une question, non une évidence. Il vient de comprendre.
- Mais oui, juste à coté et après c'est toi que j'ai... Incroyable. J'ai baisé ma femme et je ne m'en suis pas même pas aperçu.
Il continue.
- Maintenant je comprends tout. Ah, tu m'as bien eu. Cette soirée c'était donc pour cela.
Et il fait un geste pour montrer Natan derrière lui.
Je crains le pire. Comment va-t'il réagir?
- Salope. Oh oui tu es une salope.
Catastrophe. Je suis atterrée. Il doit voir la peur dans mes yeux.
- La reine des salopes. Ma salope chérie. Viens embrasse moi. Viens embrasser ton mari.
Sauvée, enfin, pour l'instant. Je me penche et nous nous embrassons.
La suite a été endiablée. Natan a enculé mon Jean-Louis avec une vigueur et une endurance digne des plus grands. Jean-Louis a crié son plaisir, le plaisir de se faire mettre, sans retenue, sans pudeur. Je pense que de me savoir là a du le booster.

Voila, la boucle est bouclée. Moi aussi je veux sentir dans mon cul la queue de mon mari pendant qu'il se fait sodomiser. D'après Clémentine, c'est divin. Je suis impatiente que les hommes retrouvent des forces.

Je rêve déjà de nouvelles aventures. Mais patience, je vais faire en sorte que ce soit Jean-Louis qui les propose. Les hommes sont si fiers de nous dominer....