Cher patron (1/4)

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Proposée le 10/03/2013 par CAVAL

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Cher patron. Première partie

Lorsque vous m'avez embauchée il y a trois ans de cela, j'étais une jeune femme de 20 ans. Je pensais être assez armée pour me défendre contre les personnes de votre espèce qui voient en toutes femmes une proie. Sexuellement parlant, je n'étais plus vierge depuis l'âge de 18 ans.

Finalement, j'étais encore très innocente et vous avez profité de moi. Oh, je n'ai pas crié, je ne me suis pas débattue, je suis restée passive, je dirais même que je vous ai laissé faire. Dès l'entretien d'embauche, j'ai senti sur moi votre regard libidineux, il se posait sur mes genoux et mes cuisses, j'avais une jupe qui, en m'asseyant remontait un peu sur mes jambes. Parfois, vos yeux fixaient ma poitrine qui pourtant n'avait rien de provocante. Je gage que lorsque je vous tournais le dos, vous deviez mater mes fesses. Mon copain venait de me plaquer, si bien qu'un homme me regardait me mettait du baume au cœur. Vous étiez beaucoup plus âgé que moi, mais vous n'étiez pas mal du tout, je dirais même assez séduisant.

Donc lorsque vous m'avez dit :
- Je suis prêt à vous embaucher, mais il faudra que vous mettiez des jupes courtes et des chemisiez blancs ou des robes légères. Je ne veux pas vous voir en pantalon.

Je me suis exécutée de bonne grâce sans penser à ce qui pourrait se passer par la suite. Par vos remarques insidieuses, j'ai vite compris que plus les chemisiers blancs étaient transparents, mieux c'était, plus les jupes étaient courtes, plus cela vous plaisait. Vous avez surtout aimé la robe que j'ai portée au début de l'été : légère, à fines bretelles, épaules et bras totalement dénudés, la poitrine bien dessinée sous le tissu léger et remontant bien au-dessus du genou. Mais cela ne semblait pas vous suffire, car vous m'avez dit :

- Audrey, pourquoi avoir mis un soutien-gorge dont on voit si nettement les bretelles ?
- Mais, monsieur, je n'avais pas de soutien-gorge de la même couleur que ma robe.
- Il fallait trouver une solution.
- J'irai acheter des sous-vêtements à armatures transparentes si vous voulez.
- C'est nul, cela se voit. Non, il faut prendre des soutiens-gorge sans bretelle.
- Je n'aime pas beaucoup, j'ai l'impression d'avoir les seins compressés.
- Bon en tout cas je ne veux pas vous voir comme-ça. Enlevez ce soutien-gorge en vitesse, cela vaudra mieux.

Vous auriez sans doute voulu que je retire ma robe devant vous. Lorsque j'aurais enlevé mon soutien-gorge, vous en auriez profité pour me reluquer. Mais je suis allée dans les toilettes pour ôter ce sous-vêtement disgracieux à votre goût. Oui, là encore j'ai accepté vos ordres qui n'avaient pas grand-chose à voir avec mon poste de secrétaire.

Quand je suis réapparue, les seins nus sous la robe, vous avez apprécié :
- Lorsqu'on a deux beaux tétons que tiennent si bien, pourquoi donc mettre un soutien-gorge. A présent, venez sans cet accessoire disgracieux.
- Même l'hiver ?
- Tout le temps vous dis-je. Ce n'est pas un soutien-gorge qui va vous empêcher d'attraper du mal.

Il vous arrivait souvent de vous positionner au-dessus de moi lorsque vous me dictiez un courrier ou que vous me montriez quelque chose sur l'ordinateur. J'ai remarqué votre manège, vous en profitiez pour glisser votre regard dans mon décolleté. Vous regardiez la rondeur de mes seins.

Et puis il y a eu ce jour où j'avais commis une erreur dans un courrier. Pas une chose énorme mais vous en avez fait une montagne en me disant que ce n'était pas la première fois, que si vous ne pouviez pas compter sur moi, il faudrait que vous preniez une autre secrétaire, qu'il y en avait plein qui attendaient la place.

J'ai bredouillé des excuses, redoutant ce genre de remontrance. J'étais au bord des larmes me sentant humiliée. Vous m'avez tout de même dit :
- Il y a un moyen de vous excuser, Audrey.
- Ce que vous voudrez monsieur.
- Vraiment. Eh bien depuis que j'attends ce moment, occupez-vous donc de moi.
Disant cela, vous avez sorti votre queue de votre pantalon. Je suis restée interdite, regardant ce sexe mou que vous exhibiez.
- Allez, ma fille, ne jouez pas les chochottes, vous n'allez pas me dire que vous n'avez jamais fait de fellation à un garçon. Approchez-vous, prenez là en main.

Je sais que je n'aurais jamais dû m'approcher, ne jamais accepter ce que vous me demandiez de faire. Mais je n'ai pas su vous dire non, je n'ai jamais su vous dire non. J'ai donc pris votre sexe en main et j'ai commencé à le masturber. Comme vous me l'aviez dit, ce n'était pas une première pour moi. Et puis, sans que vous me le demandiez, j'ai commencé à lécher, délicatement, du bout de la langue, le gland que j'avais décalotté. Vous sembliez apprécier ma pratique en poussant des grognements et quelques jurons à mon encontre :
- Mais c'est qu'elle suce bien ma salope de secrétaire. Vas-y chienne, vas-y...

J'aurais dû interrompre cette séance avec de telles injures. Et pourtant j'ai continué à vous sucer. J'ai juste eu le temps de me dégager lorsque vous avez éjaculé pour ne pas avaler votre sperme. J'en ai tout de même reçu sur le visage, dans les cheveux et sur le cou. Je me suis précipitée dans les toilettes pour effacer les traces de votre semence. Lorsque je suis retournée à mon bureau, j'avais le courrier où il y avait la fameuse erreur à corriger, comme s'il ne s'était rien passé quelques secondes avant.

Mais je savais que rien ne serait plus comme avant :
« Passé les bornes, il n'y a plus de limite. »

Ainsi, lorsque le lendemain je vous ai présenté le courrier à signer dans un parapheur, vous m'avez demandé de venir à côté de vous. J'ai senti votre main montée le long de ma jambe sous ma jupe, jusqu'à arriver à la lisière de mon sexe. Là votre progression a été stoppée par mon slip. Je ne disais rien, je restais tétanisée par la peur. Je n'avais pas peur de vous, mais plutôt de ce que vous vouliez faire. Vous avez retroussé carrément ma jupe pour vous saisir de la petite culotte que je portais, la descendre jusqu'à mes chevilles, puis me la subtiliser pour la mettre dans l'un de vos tiroirs, je n'ai pas su réagir. Puis, continuant à signer les courriers de la main droite, vous m'avez pelotée les fesses de la main gauche. Lorsque je suis sortie de votre bureau, vous m'avez simplement dit :

- Audrey, venez sans culotte demain, sinon elle va finir dans le tiroir de mon bureau et je n'ai pas envie de commencer une collection.
Donc, le lendemain, je suis arrivée au bureau sans soutien-gorge, ni culotte.

A l'époque, je ne vous ai pas dit ce que je ressentais. Il est peut-être temps que vous le sachiez. Lorsque je sortais de chez moi j'avais l'impression que toutes les personnes que je croisais savaient que j'étais nue sous ma jupe. Le fait de n'avoir rien entre les jambes faisait-il que mes mouvements étaient différents de ceux d'une femme « culottée » ? C'était certainement une idée que je me faisais, mais elle ne me quittait pas et me mettait mal à l'aise.

Tout s'est enchaîné très vite après. Vous flattiez les seins à travers mes vêtements à longueurs de journée et parfois en me faisant venir dans votre bureau, vous soulevez mon chemisier pour les caresser sans retenue. Votre main s'insinuait vers mon sexe que vous doigtiez.

Vous m'avez offert un cadeau. C'était un soin dans un institut de beauté pour un rasage intégrale de ma chatte et de mon cul :
- Comme cela, m'avez-vous dit, tu seras belle comme une jeune fille nubile.

Je suis donc venue au bureau sans aucun sous-vêtement et sans poils : encore plus nue que nue.

Il n'a pas fallu attendre longtemps pour que vous me baisiez. La première fois vous m'avez allongée sur votre bureau, le chemisier largement ouvert et la jupe relevée, avec ma chatte nue et imberbe. Vous avez pris votre sexe que je venais de branler et de sucer pour l'enfoncer en moi. Je n'ai rien ressenti, ni plaisir, ni dégoût, tout juste de l'insignifiance, comme si celle qui se faisait prendre était une autre que moi. Votre assaut était brutal et sur cette table j'étais vraiment mal installée. Je peux même dire que je souffrais. Non au niveau de mon sexe, mais au niveau du dos. Alors, j'ai simulé le plaisir pour que ça passe vite, c'est ce que vous attendiez, car vous n'avez pas tardé à éjaculer tout votre foutre en moi.

Vous avez pris ensuite un petit studio tout près du bureau où vous me retrouviez et là vous me faisiez l'amour comme vous disiez si bien. Moi je dirais plutôt que vous me baisiez car du plaisir avec vous, je n'en ai pas beaucoup éprouvé, pour ne pas dire jamais. Ne me traitez pas de frigide, avec les copains que j'ai eue, j'ai toujours pris beaucoup de plaisir à faire l'amour. Le dernier en date, lorsqu'il me prenait, il savait me faire jouir. Un autre copain, avant lui, savait me faire grimper aux rideaux. Mais avec vous, ce n'était pas le cas. Votre seul but était d'atteindre votre jouissance sans vous soucier le moins du monde de moi.

Pourtant, j'acceptais cette situation qui me permettait de moins travailler, d'aménager mes horaires un peu comme je le souhaitais. C'était la seule compensation, car au niveau salaire, je ne pouvais espérer aucune augmentation, aucune gratification, malgré les services très personnels que je vous offrais.
- Si je vous payais pour ça, vous seriez une pute, m'avez-vous dit. Or je vous respecte bien trop pour faire de vous une sale pute. Vous valez bien plus que cela.

Car je restais votre secrétaire lorsque j'étais au bureau (ce qui ne vous empêchait pas de me peloter puisque je devais rester nue sous mes vêtements) et votre maîtresse dans ce studio où je vous donnais mon corps en entier. Dans cette alcôve, je vous suçais, je vous léchais et vous me pelotiez les nichons (la seule chose que vous faisiez à peu près bien), vous me léchiez la fente en oubliant souvent mon clitoris et vous enfonciez votre sexe dans le mien en gigotant comme une marionnette. Pour me débarrasser de vous, le mieux était encore de feindre la jouissance. Cela vous mettait en joie d'ailleurs :
- Je commence à prendre de l'âge, mais je sais toujours faire jouir les jeunes femmes.

*** Un jour que vous me tripotiez dans votre bureau, je vous ai demandé :
- Ce serait peut-être mieux que je sois totalement à poil au bureau ?

C'était un défi que je vous lançais sachant bien que votre reponse serait "non". Nous recevions des clients qui auraient trouvé très étranger que la secrétaire du patron se balade à poil dans les locaux. Pourtant, votre réponse n'a pas été sans me surprendre. Au "non" vous avez attaché d'autres raisons :

- Une femme nue n'a pas d'intérêt. La beauté de la femme c'est lorsqu'elle est habillée légèrement, presque nue, mais pas tout à fait : que le corps se dévoile sans tout montrer, qu'il y ait quelque chose à découvrir, à mettre à nu. Pourquoi croyez-vous que les magasins de lingerie marchent bien, parce qu'il n'y a rien de plus beau qu'un sein dans un écrin de dentelle, une chatte dans un triangle transparent, un cul dans la raie duquel disparait la ficelle du string...
- Mais, alors pourquoi me demandez-vous d'être sans sous-vêtement si vous aimez tant les dentelles ?
- Parce que, tout comme je ne peux pas vous demandez d'être nue, je ne peux pas vous demandez d'être en soutien-gorge et string à votre poste de travail. Ne pouvant vous faire enlever le dessus, je vous fais enlever de dessous. Je favorise également votre côté exhibitionniste, puisque vous venez de me proposer d'être totalement nue... c'est donc que cela ne vous déplairait pas.

Vous aviez vraiment réponse à tout.

Heureusement, j'arrivais à me contenter sexuellement sans vous.


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