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Proposée le 26/02/2013 par PatrickEdgard
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Tu as décidé de sortir pour profiter de la douceur nocturne, du magnifique ciel étoilé et de la Lune comme voyeuse solitaire. Tu prépares ton sac de pute dans lequel tu fourres tout un bric-à-brac. Tu t'enfermes dans la chambre pour te changer en m'interdisant l'entrée. Je m'habille et je sors de l'appartement pour préparer la voiture. J'attends un bon quart d'heure pour te voir descendre l'escalier dans une tenue que je qualifie de « pute » : petites chaussures, des bas noirs, une mini-jupe très courte noire, un chemisier qui ne cache presque rien et pour une fois, absence de soutien-gorge. Maquillage discret et cheveux pèle mêle.
Tu t'approches de ma portière entrouverte pour pavaner jambes écartées comme pour m'inviter à examiner la créature plantée devant moi. Sans crier gare, ma main glisse sur tes cuisses et j'atteins ton sexe : pas de petite culotte... La petite pute est déjà trempée et je plonge ma main dans son con, l'autre main est plaquée sur ses fesses et je lui fiste la chatte. Cela se passe sur le parking derrière l'école primaire. La chienne se prête au jeu, ses mains caressent mon visage, elle gémit, tente d'étouffer ses cris en vain ! Elle crie :
« Chéri ! Vite ! Je vais jouir, viens boire ma mouille ».
Je sors de la voiture et m'agenouille entre ses cuisses et la salope verse sa mouille dans ma bouche tout en criant :
« Oui ! Mac-chéri c'est bon ! Encule-moi sur le capot chéri, j'en meurs d'envie. »
Je te pousse rudement sur le capot de la voiture, je dégrafe mon pantalon et sans ménagement, je t'explose l'anus déjà bien dilaté d'un coup de rein tel un étalon et je bourre le cul de la chienne de Clion comme elle aime. La scène dure quelques minutes. Je corse l'enculage en glissant quatre doigts dans son cul bien chaud et doux pour la faire jouir et la calmer un peu. La chienne aime tellement qu'elle me demande de la défoncer. Épuisée, tu roules sur le capot et tu m'enlaces en me susurrant :
« C'est bon, chéri ! »
Et de suite, tu te penches pour engloutir ma bite toujours bandée. Telle une pute de plein air tu lèches, avales mon chibre jusqu'aux couilles prenant du plaisir à me pomper la queue. Assouvie, tu te relèves, m'enlaces et tout en m'embrassant, tu me dis :
« Je connais un chouette parking à quelques kilomètres d'ici, allons-y chéri ! ».
Nous démarrons et oh ! Surprise, le jeune couple du collectif, nous sourit et bizarrement le mec est collé contre sa copine une main plongée entre les cuisses... Ils doivent avoir très envie, ils ont assisté à la baise hard animée par leur voisine : la pute du village. Nous roulons peinard sur la départementale pour atteindre le dit parking. Arrivée en douceur, voiture garée à peine visible près d'une table de pique-nique et de deux bancs. Dans la voiture, tu te penches, déboutonnes ma braguette, sors ma bite et tu me suces à condition que je reste sage (rire). Douce pipe, câline, tu me regardes avec des yeux de pute très amoureuse, ta main droite glisse sous mon tee-shirt tu t'arrêtes, te colles contre moi, m'embrasses quand je te dis doucement :
« Sortons ! »
Enfin de l'air frais sous ce beau ciel étoilé, et toi la Lune sois discrète : merci ! Collés contre la voiture, tendrement enlacés, sans un mot, nous scrutons le parking et sans crier gare je te bouscule et je te bouffe la chatte bien humide. Tu glousses, discrètement, tu caresses ton clitoris et j'en profite pour enfoncer deux doigts dans ton cul devenu un gouffre à bites depuis deux jours et deux nuits de baise intense.?
« Chéri ! Prends du gel et casse moi le cul, fiste-moi mon chéri ! »
Tu me donnes le gel rangé dans ton sac fourre-tout. Je te masse le fion et j'enduis ma main du précieux gel. Tranquillement, mes doigts pénètrent ton cul de chienne en chaleur. Pute amoureuse, tu es allongée sur la table de pique-nique et des petits cris de jouissance sortent de ta bouche à pipe. Ma main fourre ton cul et je ne te ménage pas... Bien dilaté, j'espère mettre entièrement la main pour te posséder, te dominer et t'entendre hurler de plaisir dans la campagne. Salope tu en profites pour te caresser le con et arrivée à tes fins tu cries car un jet de mouille coule le long de tes jambes et oh ! Miracle ! Ma main est engloutie par son putain de cul de chienne. Tu t'en aperçois et surprise de l'intrusion de la main entière dans son fondement tu murmures :
« Chéri ! Doucement s'il te plait ! »
Et roulez couple interdit par la loi, profitez ! Le mac-enculeur prend son pied en fistant ce cul offert par amour. Quand tout à coup, une voiture ralentit et se gare derrière la Ford. Deux portières claquent et des rires annoncent une visite gênante. Une voix féminine dit :
« Chaton, la place est prise ! Pas grave rétorque une voix grave, moi cela ne me gêne pas de baiser à côté de ce joyeux couple »
Le duo se rapproche. Les deux nouveaux venus se déshabillent. Elle, blonde ; maquillée, petite robe moulante, une poitrine provocante. Lui grand, cheveux longs, mince, apparemment porté sur le sexe. Sans attendre, il saisit par la taille sa compagne qui a les yeux grands ouverts quand elle voit ma main entière dans ton cul de femme très mince. Elle est Invitée à s'agenouiller et à sucer son mec lui-même à poil. Moi je reprends le fist anal pour te calmer. Tu es épuisée par cet acte et tu me demandes :
« Mac-chéri stop ! Je n'en peux plus, tu m'as cassé le cul mais c'est bon ! Chéri, baises-moi la chatte, tu l'oublies trop souvent s'il te plait... » Puis tu me glisses à l'oreille :
« Elle te tente la salope ? »
Je ne réponds pas de suite. Toujours allongée sur la table, je te saisis par la taille et je fourre ton con humide et ouvert, pensant qu'il y a de la place pour une deuxième bite... je te lime la chatte en levrette en donnant de grands reins pour te défoncer. Tu cries, caresses tes mamelons, je me retire et tu sautes sur ma queue pour la sucer et bizarrement les couples sont cote à cote. Regards complices des deux salopes et sans crier gare, vous changez de partenaires ! L'inconnue saisit ma verge hyper bandée la soupèse et pousse un petit cri d'admiration !
« Ouah ! La belle queue ! Tu as de la chance de te la prendre dans le cul et le con ! Hum ! Elle me plait. »
Et toi silencieuse, tu suces sans retenue celle du mâle macho. Admirative, elle lèche le gland, la hampe, les couilles et elle se glisse pour me titiller l'anus avec sa langue douce. Elle reprend la fellation et je sens que j'ai affaire à une sacrée salope ! Toi tu prends plaisir à sucer un autre mec devant moi Et je vois deux belles putes agenouillées, excitées pour notre plus grand bonheur. J'entends un râle de jouissance : le macho éjacule et tu te délectes à recevoir le sperme dans la bouche que tu rejettes tout en léchant la bite du mec qui dans sa jouissance saisit ton visage et fourre sa queue jusqu'aux couilles dans ta bouche puis silence. La petite pute blonde peaufine sa pipe. Elle se relève doucement puis trottine vers sa voiture et revient avec des préservatifs. Elle déchire un sachet, sort le condom, le met dans sa bouche et tout en jouant me le glisse sur ma bite toujours raide et elle me dit :
« Prends moi le fion, le con est réservé à mon mec ! Encule-moi ! J'aime ça ! »
L'autre couple est silencieux, apparemment la queue du macho est toute riquiqui et la pute que tu es cette nuit la reprend en bouche pour lui redonner vie, rude tâche ! La blondinette me semble très câline, son regard la trahit, elle me prend la main et la porte entre ses cuisses m'invitant à lui caresser le clitoris.
Nous sommes debout, corps à corps, ses seins collés contre ma poitrine et doucement je la conduis à l'orgasme désiré qui s'annonce petit à petit car son corps tremble et elle me susurre à l'oreille :
« J'ai envie de t'embrasser tu me plais mais chut ! Contrôle-toi Rachel ! »
Nos corps en sueur s'attirent et un cri perçant déchire le silence de la nuit... J'en profite pour la mettre en levrette sur la table, elle pige, écarte ses fesses, je doigte son cul pour la préparer, je présente mon gland contre son cul et d'un coup de rein alors qu'elle descend doucettement de son orgasme, ma bite dans son petit cul la surprend, elle pousse un cri et s'exclame :
« Putain ! Tu m'éclates la rondelle. Oui ! Défonce-moi ! »
Tu es assise sur les cuisses du macho qui gentiment a glissé sa main entre tes cuisses grandes ouvertes pour te caresser et à lire sur ton visage, tu prends du plaisir. Tu occupes tes mains en titillant tes mamelons tout en me regardant enculer la blonde qui en redemande. La brave petite pute se détend et je sens que son anus se dilate alors discrètement, j'enfonce un doigt puis deux et j'accompagne en rythme les aller-et-retour de ma queue dans son cul. Elle sursaute, tourne son visage vers moi et me dit à voix basse
« Continue ! C'est... hum ! »
Et sans me le dire une deuxième fois, je mets deux doigts en plus dans son cul et oh surprise ! Elle commence à jouir... Cela revigore le macho qui retrouve sa virilité et voyant sa copine se faire défoncer le trou du cul, il propose :
« Chérie ! J'arrive ! J'ai envie que tu sois enculée par deux mecs. »
Tu me rejoins, me roules une pelle pendant que j'encule toujours la pute blonde. Tu caresses mes couilles en chuchotant dans l'oreille :
« Mac-chéri, je veux être enculée par vous deux après. »
Je libère l'inconnue qui rejoint son mec allongé sur la table. Elle le chevauche saisit sa queue raide la guide et se l'enfonce dans le cul très ouvert (rire) puis me hèle :
« Viens je sens que je vais aimer ! »
Je suis souriant et je me dis que j'ai la part belle car je vais être actif et cette fois-ci je vais lui éclater voire casser son trou du cul pour son livre de souvenirs. Effectivement, excité, je me colle contre ses fesses qu'elle prend soin d'écarter. Doucement, je présente ma bite et je m'enfonce respectueusement. La salope dès l'anus torturé se met à crier :
« Que c'est bon ! Mon chaton, allez-y, enculez moi ! »
Tu es contre moi, tu me serres la taille et je te demande :
« Ma pute lèche nos couilles. »
Tu me souris, passes entre mes jambes pour sucer nos couilles et le quatuor s'éclate dans la nuit. La chienne est déchaînée, son mac lui triture les seins, elle l'embrasse, elle a le cul hyper dilaté, elle nous incite, nous excite, en redemande. Son mec heureux de voir sa copine tringlée comme une pute lui dit :
« Je suis sûr qu'il y a de la place pour une troisième belle bite chérie ? »
Elle rétorque :
« Oh ! Que oui ! J'aimerais bien essayer ! Salaud, tu jubiles de me voir baisée comme une pute et bien j'aime ça ! »
Quand tout à coup tu te manifestes :
« Et moi aussi, j'aime ça ! »
La blonde te répond : « Oui ! A toi de te faire défoncer le fion »
Nous prenons un moment de répit pour nous requinquer et faire plus ample connaissance. Lui ne dit pas grand-chose, vous échangez vos confidences, en retrait, sans que vos paroles me fracassent les oreilles, assis je vous regarde en silence. Je bande toujours, la petite salope blonde le remarque tandis que le macho s'affale sur la table et s'endort tout simplement. Aussitôt, vous m'approchez très chatte ou garce pour me caresser, vous me mettez en condition. Entre deux gestes coquins, l'inconnue nous dit :
?
« La grande gueule est KO ! La petite bite ! Zut ! Tu ne vas pas être enculée en double ? Quel con ce mec ! Pas grave, j'ai ce qu'il faut, attendez moi ! »
Elle fonce vers sa voiture, fouille dans un sac et nous rejoint avec un gode-ceinture. Tu es surprise, hilare. Tu saisis l'objet le caresse et nous dis :
« C'est souple, juste ce qu'il faut en longueur et diamètre, pourquoi pas ? »
« Ma petite pute, être enculée par ton mac et une femme ? »
« Je sais mac-chéri ! Mais je veux te faire plaisir ! »
Puis tu te réfugies dans mes bras aussitôt rejoint par la pute inconnue. Vous vous agenouillez et partagez ma bite à sucer et tu en profites pour me mettre un doigt dans le cul. Elle est toujours attirée par mon braquemart et simultanément vous vous titillez le clitoris. De longues et douces minutes s'écoulent quand tu te mets à jouir :
« Chéri, viens me boire, j'éjacule ! »
Je me précipite sous tes sexes et délicatement je recueille ta mouille et surprise la blonde me rejoint pour goûter le doux nectar qui ruisselle et la salope en profite pour m'embrasser sur la bouche et me rouler une pelle sans que cela te choque. Nous roulons sur l'herbe humide et tu te mêles au jeu. Un bruit résonne dans la nuit, le macho ronfle, nullement préoccupé par sa femme! Elle éclate de rire et nous jette ces mots crus :
« Quelle conne ! Pourquoi, je reste avec cette petite bite ? Baisons, j'en ai trop envie ! ».
Elle s'empare de son gode-ceinture, tu t'allonges sur le dos entre nous deux, tu m'embrasses, je doigte ton anus et oh surprise ! Elle te caresse les mamelons et tu consens ! Je mets du gel sur ma queue débarrassée de la capote, elle fait de même avec son gode. Elle te pénètre doucement, tu te réfugies dans mes bras tu sembles apprécier et tu me susurres :
« Chéri, à toi ! »
Je me branle pour la raidir et je commence à t'enculer. Excité, je te lime le cul et l'inconnue suit le rythme. Tu prends ma main, l'autre repose sur mon visage et tu te lâches : tu cries, ton corps tressaute et pour parfaire le tableau... tu fourres ta main dans ton con. La cadence est élevée. Tu relèves la tête, tu regardes les deux bites aller et venir dans ton cul et j'ose introduire deux doigts dans ton trou du cul. La chienne que tu es, me dévisages avec un sourire et des yeux lumineux tandis que la pute blonde te suce le sein gauche sans que tu t'y opposes tellement le plaisir inonde ton corps de putain soumise à deux êtres enculeurs : ton mac et la pute blonde. Mes deux doigts caressent ton anus, tu poses ton visage sur mon épaule et soupires... Épuisée, tu nous supplies de ne plus bouger dans ton cul, nous nous retirons doucement et hum ! Ton trou du cul reste ouvert. Tu te loves contre moi susurrant :
« C'est bon ! J'aime ça ! ».
Un petit cri s'échappe de ta bouche : oh ! Tu souris en voyant une tête blonde te bouffer le con avec beaucoup de savoir-faire. Pensant que tu refuserais qu'une femme te touche, je suis surpris !
« Salope ! Tu aimes ça ! OK ! »
Tu ris et tu me roules un patin. Doucement, je me glisse hors de tes bras, je m'agenouille derrière le magnifique cul de l'autre salope, lui écarte les fesses, enfile un condom et je l'encule hard. Un cri retentit, elle me sourit et s'exclame :
« Salaud tu es gros ! A sec, quel pied ! Mais sois doux pour commencer s'il te plaît. »
Joli tableau : la salope de Clion léchée par une pute qui est enculée par un salopard. Et pendant ce temps-là, le macho ronfle vautré sur la table. Je défonce la chienne blonde qui lâche prise et abandonne le con de l'autre pute. Repue, elle rampe vers moi se colle contre mon dos. Je sens sa main saisir mes couilles et sa langue titiller mon anus exercice difficile car je ne ménage pas ma peine pour défoncer le cul de la chienne en levrette loin d'être silencieuse. Inassouvie, elle en demande plus et je saisis le gode pour lui fourrer dans le cul. Elle soupire d'aise, ses mains arrachent l'herbe, ses seins dansent et toi tu m'abandonnes pour nous regarder tout en te caressant le clitoris.
Je sens des ondes électriques parcourir ma colonne vertébrale, j'accélère la cadence l'explosion est imminente, tu le lis sur mon visage et le devines. Tu rampes sur l'herbe, retires ma queue de son cul, vires la capote pour engloutir ma verge excitée et je me vide dans ta bouche de pute.
Tu es radieuse, pas l'autre qui réagit et me lèche les couilles et son regard suppliant fait que tu partages les dernières gouttes de foutre. Je suis las. Je m'allonge sur le sol humidifié par la rosée, tu me rejoins ainsi que notre convive et vous vous lovez contre mon corps tremblotant. Deux mains me caressent, ta bouche frôle mes lèvres et une langue douce parcourt ma verge éteinte et j'entends la blonde parler à mon sexe :
« Réveille-toi ! Je t'en prie, je te désire dans mon cul ! ».
Puis, elle s'agenouille, jette un œil sombre sur son marlou et pense à demi voix :
« Gros con, tu n'es pas foutu de me baiser toute une nuit, j'ai envie de te laisser croupir là et de me tirer connard ! »
Surpris par les propos acerbes de la blonde, je te fixe et tu me dis :
« Partons mac chéri ! J'ai envie d'aller en club. »
Elle entend le mot club et nous interroge :
« Vous allez dans un club échangiste ? Ouah ! Ça m'intéresse. Je n'ai jamais eu l'occasion d'y aller. Je viens avec vous. Rien à foutre de ce connard !»
Tu t'agrippes à mon avant-bras et réagis :
« Chéri ! Pourquoi pas ? Elle se démerde avec son mec, on l'embarque. »
Sans se faire prier, elle fonce à sa voiture, récupère son sac, passe une minijupe, un chemisier très échancré, ferme doucement la portière pendant que nous nous rhabillons. Nous nous tenons par les épaules comme de vieux complices et nous décidons de pousser la voiture pour démarrer plus loin afin de ne pas réveiller le macho ronfleur. Trois minutes plus tard, la Ford roule paisiblement en direction du club échangiste, Rachel curieuse et bavarde comme toi (gr !) s'interroge sur le déroulement d'une soirée dans un club échangiste. Mise en confiance, elle nous fait comprendre qu'elle désire finir la nuit avec nous. La route est longue car je prends le temps. À l'entrée d'un village, j'aperçois un chemin qui conduit à un cimetière, je ralentis, tu me souris, Rachel écarquille les yeux et nous questionne :
- Arrêt pipi !
- Non ! Rachel, j'ai envie de vous enculer toutes les deux !
- Oui ! Répondent en chœur les putes.
Je crois deviner un clin d'œil complice de la Lune. Je demande aux deux salopes de se mettre sur le capot côte à côte. Je me colle derrière elles et je commence à doigter leur cul. Ma verge raide pénètre le fion de ma pute qui crie :
« J'aime ça ! »
Rachel patiente, s'enfonce la main dans le cul, en me remerciant de lui avoir fait découvrir le fist anal, puis passe dans mon dos, s'accroupit et me lèche le cul. Tu te lâches, glisses ta main sous ton ventre et tu te déchaînes sur ton clitoris. Tes cris tes mots troublent la nuit et Rachel se colle contre ton bas ventre pour recueillir ta mouille. Elle ronronne de plaisir, se relève, je me retire de ton cul et machinalement nous nous enlaçons tendrement.
Rachel se baisse pour sucer ma queue, toi, tu es assise sur le capot de la voiture cherchant ton second souffle, apaisée tu nous regardes et tu me souris. La petite salope a redonné de la raideur à ma bite, enfile une capote, se retourne, écarte ses fesses et suppliante :
« Encule-moi comme une chienne ! Soit brutal ! Oui à sec d'un seul coup ! Je suis ta chose pour toute la fin de la nuit et qui sait... »
Choquée, tu serres les dents, te ravises, tu ouvres la portière, tu t'empares de la ceinture-gode que tu fixes autour de ta taille. Tu mets du gel sur le gode et tu rappliques face à Rachel sans la ménager, tu présentes le gode à l'entrée de sa chatte et tu t'enfonces d'un coup sec. La chienne hurle, s'agrippe à tes hanches comme pour t'encourager et de concert toi et moi, nous lui bourrons le cul et le con à qui mieux-mieux ! Épuisée, fourbue après un orgasme à réveiller les locataires du cimetière, elle nous demande d'arrêter et elle te demande pardon d'avoir voulu m'accaparer pour le reste de la nuit. Autoritaire, tu lui prends le visage à deux mains et tu lui dis d'une voix cassante :
« OK ! Je te pardonne ! Maintenant, tu me lèches la moule, je veux que tu me fasses jouir pendant que mon mac-chéri m'encule ! »
Le trio batifole une fois de plus dans l'insouciance. Nous somme repus. Enlacés, nous nous sourions. À petits pas, nous prenons place dans la Ford, direction le club où de picaresques aventures sont à prévoir. Je roule à faible allure, je jette un coup d'œil dans le rétro puis sur le côté : Rachel s'est assoupie et toi tu dors.