Marion

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Proposée le 18/02/2013 par charlotte2

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Mes malheurs ont commencé il y a plusieurs semaines et j'ai le sentiment qu'ils ne sont pas près de finir.
Je m'appelle Marion et j'ai 35 ans. Je suis responsable d'un pool de chercheurs dans un laboratoire. Un de nos clients nous a promis richesse et notoriété si nous découvrions une molécule provoquant le désir sexuel. Pas un simple viagra qui ne sert qu'à amplifier un désir défaillant certes, mais déjà naissant. Non un produit qui aussitôt ingéré générerait le désir pour sa ou son partenaire.
Nous travaillons sur ce projet avec beaucoup de détermination. La richesse mais aussi la survie de notre labo en dépendent. Nous avions fait des tests intéressants lorsque la direction américaine nous envoya un nouveau manager. Jeffrey.
C'est alors que mes soucis commencèrent. Jeffrey, à qui je plaisais énormément apparemment, se mit dans la tête de me posséder physiquement. Toutes les occasions étaient bonnes pour me frôler, me toucher ou se coller contre moi.
Je vis seule dans une petite maison isolée. Mes relations avec les hommes ont toujours été chaotiques. Je dois avoir mauvais caractère... J'ai quitté mon dernier compagnon il y a plusieurs mois et depuis je vis une sorte de chasteté, quelques fois interrompue par une masturbation rapide. Foin d'érotisme ou de longues parties sexuelles.
Le désir de Jeffrey était de plus en plus palpable. Pas vraiment un harcèlement sexuel, mais une présence permanente.
Un soir que nous devions participer à un congrès, je fus dans l'obligation de monter à l'arrière d'une limousine, tout à côté de lui. Je m'installai dans le coin opposé au sien. Mais au bout de quelques mètres il était tout contre moi et passait son bras autour de mes épaules. Je tentais de me dégager, mais sa poigne était forte. Il saisit mon visage de son autre main et me murmura les yeux dans les yeux :
- j'ai lu votre dossier et je sais que vous vivez seule. Je suis bien persuadé en outre que vous n'êtes pas frigide. Vous me plaisez.. Pourquoi ne pas envisager une relation qui ne pourrait que nous satisfaire tous les deux.
Je lui expliquai qu'il faut être deux pour ça et que lui ne me plaisait pas.
- Allons dit-il en m'approchant de lui; il suffirait que vous me donniez un petit baiser. Et tout en disant cela il posa ses lèvres sur les miennes pendant que sa main saisissait un de mes seins. Je me débattis, le repoussai, commençai à crier. Il eut le temps de me caresser les deux seins avant que je ne me libère. Jugeant leur élasticité et leur fermeté il me dit :
- Je rêve de les toucher et sans voile. Un jour prochain je vous promets que ce sera le cas.
- Pour cela il faudra que je sois morte répondis-je
- Nous verrons bien
Je fus tranquille pour la soirée.
Une semaine plus tard, alors que j'avais éludé ses avances quotidiennement tout en m'arrangeant pour ne pas me trouver seule avec lui, il me convoqua et me dit :
- Je crois que je ne vais pas pouvoir vous garder avec nous. Comme vous ne connaissez aucun succès dans votre recherche je pense qu'il est préférable que je vous éloigne de moi.
- Mais nous savons bien que c'est seulement parce que je me refuse à vous. Vous ne pouvez pas faire ça simplement pour ça!
- Si!
- Mais j'ai des droits et...
- Ils seront respectés, mais vous serez dispensée de préavis. Bien-sûr comme vengeance personnelle je m'arrangerai pour qu'aucun autre labo n'envisage de vous embaucher...
- Mais vous êtes un véritable salaud.
- La balle est dans votre camp...
- Mais... Non je n'y crois pas. Alors il suffirait que je vous cède et...
- Vous avez 8 jours pour réfléchir. Au revoir.
Je sortis de son bureau abasourdie. Licenciée pour ne pas coucher. Bien entendu je pouvais intenter un procès que je gagnerais sûrement même. Mais dans combien de temps? Et en attendant? Nul doute qu'il mettrait sa menace à exécution et que pour retrouver un job, il faudrait que je m'expatrie..
Je rentrai chez moi, désolée et triste. Pas de solution en vue, je me couchai tôt.
Le lendemain, morose, je me rendis au travail le cœur sur les lèvres. Une surprise m'attendait. Un de mes collaborateurs m'aborda, impatient.
- Je crois que nous avons fait un grand pas en avant dans notre recherche.
- Vraiment?
- Oui, les essais sur la souris qui n'était pas en période d'accouplement ont donné des résultats surprenants. Elle a réagi à la drogue. Ensuite nous avons fait un essai sur un mâle et son comportement a totalement changé. Bien sur les animaux n'éprouvent pas de désir sans stimuli. Notamment les substances émises par la femelle. Mais venez voir, il est vraiment bizarre.
En effet, le mâle cherchait continuellement la femelle. Il la reniflait, la bousculait.
- Nous devons attendre d'être sûrs. Voyons ce qui se passera quand elle sera en période de fécondité.
Je m'éloignai et soudain une lueur jaillit dans mon esprit. Pour garder ma place il fallait que cette expérience réussisse. qu'est-ce que je risquais à en parler à Jeffrey avec un peu d'avance???

Je me rendis dans son bureau. Il m'accueillit avec un petit sourire :
- Alors vous avez changé d'avis?
Je secouai la tête en signe de dénégation mais lui dis :
- Pas besoin. Nous avons peut-être un espoir de réussite rapide. Des test sur des souris donnent des résultats surprenants et inattendus. Voulez-vous venir voir?
- Non répondit-il je vous laisse le soin de mener cela a bien. Mais j'espère que vous ne me menez pas en bateau pour garder votre place.
- Non mais il me faudra peut-être plus de 8 jours pour obtenir des résultats satisfaisant.
- Pour l'instant c'est tout ce que je vous accorde. Surtout quand je vous vois aussi belle.
Pendant les jours qui suivirent nous travaillâmes comme des zombis. Mais avant la fin de mon délai les expériences étaient vraiment concluantes. Ne restait que le passage à l'être humain, mais ceci n'était pas de mon ressort. Nous devions seulement trouver la molécule pas l'exploiter.
Je me sentais ragaillardie par ma réussite. Jeffrey me convoqua et me demanda si je pouvais lui faire une démonstration de l'efficacité de notre produit. Je l'emmenai au labo d'où il ressortit satisfait et songeur.
Quelques jours plus tard il me convoqua dans son bureau.
- Marion votre expérience est satisfaisante. Vous restez ma collaboratrice mais je cela ne change rien à mon désir pour vous. Vous devriez envisager sérieusement la question. Vous mon meilleur élément et moi votre directeur, quelle équipe!!
- Il n'en est pas question, vous ne me plaisez pas.
- C‘est votre dernier mot vous êtes sûre?
- Absolument il n‘en est pas question..
- Très bien dit-il. Et comment allez-vous essayer votre produit sur l'homme? Vous ne pouvez l'exiger de personne. Il ne reste pas beaucoup de solutions...
Je m'aperçus soudain toute l'étendue du problème.
Est-ce que j'allais être obligée de le tester sur moi pour d'une part, vérifier son efficacité et d'autre part, sauver mon emploi et mon avenir?
La nuit porte conseil, pensai-je, nous verrons demain.
Mais le lendemain, j'eus beau tourner le problème dans tous les sens, il ne me restait que la solution de l'auto médication. Encore indécise, hésitante, je me résolus à me faire l'injection qui me permettrait de vérifier mon produit. Je ne ressentis rien. Dépitée du peu de succès, avec les implications qui en découlaient, mais aussi soulagée, je continuai mon travail au labo.
Le lendemain matin, je fus réveillée tôt, plus tôt que d'habitude. Mon esprit vagabondait. Puis j'eus très chaud. Puis des images érotiques s'emparèrent de mon esprit. Je me revis faire l'amour avec mon dernier partenaire. Et une sorte de désir diffus se répandit dans tout mon être. Au point que je crois que si je m'étais caressée, j'aurais joui immédiatement. Mon cerveau me transmettait des désirs, et je remuais sans cesse dans mon lit. Je m'aperçus que mes seins étaient gonflés, les bouts durs et proéminents. Je me sentais faible, pleine de sensualité, lascive.
Je me rendis au labo. Mais ma tête était ailleurs. Régulièrement des images érotiques me parvenaient, mettaient mon corps en émoi. Je n'arrivais à ne plus penser qu'à ça.
Au détour d'un couloir je rencontrai Jeffrey. Un sourire aux lèvres il me dit :
- Vous l'avez fait? Vous l'avez pris???
- Non bien sûr que non répondis-je, ne voulant pas lui donner de prétexte pour s'approcher.
- Mais si je le vois bien. Vous avez l'air hagard, comme perdue.
Il s'approcha alors que je reculai. Mais bien vite je fus acculée au mur. Il tendit les mains et me saisit les seins, les palpant, les caressant et me procurant une délicieuse torture. Je ne pouvais plus bouger, tétanisée. La chaleur montait dans mon ventre. J'eus l'impression que mon ventre était indépendant de mon corps et ne demandait qu'à s'ouvrir. Il saisit le haut de ma robe et tira. Elle se déchira sur une grande longueur, découvrant mes seins nus. Il entreprit de les caresser encore. Les pointes devinrent dures, longues, douloureuses. Il déchira encore ma robe voulant atteindre mon ventre. Le désir était là dans mon corps, j'allais abandonner toute résistance.
C'est quand il se pencha pour m'embrasser que je réalisai la situation. Je le repoussai de toutes mes forces, lui donnant un coup de pied dans la cheville. Il me lâcha et je m'enfuis.

Les jambes coupées par le plaisir si proche, je courus jusqu'à la sortie, attrapai mon imperméable que j'enfilai pour cacher les lambeaux de ma robe. Je sautai dans ma voiture. Je mis un temps interminable pour la faire démarrer. J'étais dans un état second.
Après quelques kilomètres de zigzag, je compris que je ne pourrais pas rentrer chez moi par mes propres moyens. Il devait être près de minuit. Je tâchai de trouver un taxi. Un station apparut. Je me garai en catastrophe et me jetai dans le taxi, donnant mon adresse dans un souffle.
Le taxi démarra.. Je ressentis chaque vibration de la route dans mon ventre. Au point que je ne pus retenir des gémissements.
- Ça va demanda le chauffeur.
- Oui je parvins à chuchoter
Mais cela n'allait pas du tout. J'avais une envie folle de jouir et je ne pouvais pas m'arrêter de geindre.
Le chauffeur stoppa son véhicule et interpella un de ses collègues.
- André j'ai besoin que tu m'accompagnes. J'ai pris une cliente qui n'a pas l'air d'aller très bien, et comme son adresse est en pleine campagne, je ne voudrais pas qu'il lui arrive quelque chose dans un lieu désert.
- Qu'est-ce qu'elle a?
- Je ne sais pas elle geint sans arrêt.
- Bon ok je viens, je monte près d'elle.
Il s'assit près de moi et m'observa. La voiture repartit. Les soubresauts résonnaient dans mon ventre, dans ma chatte. Je me remis à geindre serrant mon imperméable sur mon corps. Mais je ne pouvais pas contrôler mes jambes qui se frottaient l'une contre l'autre, à la recherche d'un apaisement.
L'homme se décolla du dossier et se tourna vers moi tout près. Puis il dit ;
- Qu'avez-vous?
- Rien, rien du tout.
- Mais si je le vois bien. On ne gémit pas ainsi sans raison. Faites-voir.
Il saisit les pans de mon imperméable et les écartant me découvrit à demi nue.
- Mais que vous est-il arrivé? Vous avez été violée?
- Non, non pas du tout.
Il ouvrit encore un peu mon vêtement et scruta mon corps. Je jure que je sentis son regard me pénétrer. Mon ventre se crispa. Je me mis à tremble de désir. Mes seins me faisaient mal tellement ils étaient durs. Alors, délicatement, il posa une main sur ma poitrine et pétrit mon sein gauche. Je me mis à geindre. Il posa son autre main sur mon autre sein et les caressa; excitant les bouts avec ses pouces. Je gémissais sans discontinuer à présent. Sa main droite descendit sur mon ventre, mes cuisses puis elle s'insinua entre mes jambes.
- Vous êtes en manque de sexe c'est ça?
Je ne pus répondre car dans le même temps son index s'était posé sur mon clitoris et le caressait, me provoquant une onde de plaisir tel que je me mis à crier.
Alors il s'installa à genoux devant moi. Puis il saisit mes jambes et lentement les écarta. Il posa sa main sur ma chatte. Son doigt descendit à l'entrée de mon vagin et me pénétra une peu. Je ne pus me retenir et dans un râle j'ouvris les cuisses toutes grandes; appuyant ma nuque sur le repose tête, je me cambrais pour m'offrir.
Il approcha sa bouche et me lécha les seins. Mes bouts étaient durs, longs et douloureux. Mais sa langue était si bonne. Sa main me masturbait. J'étais au bord de l'orgasme.
Il murmura :
- Tu as envie de te faire baiser n'est-ce pas?
- Non je répondis dans un souffle.
Mais il m'allongea sur la banquette et ayant posé une de mes jambes sur le dossier du fauteuil avant et l'autre sur la plage arrière pour bien m'ouvrir la chatte, il plongea sa tête sur mon sexe. Je sentis sa langue me lécher, me pénétrer et je saisis sa tête pour l'appuyer plus fort sur mon ventre. Il se dégagea et sortit son sexe de son pantalon. Je le vis à peine, mais quelques instants plus tard il me prenait. Enfin. Je hurlai de bonheur, si bien que le chauffeur stoppa inquiet. André puisque c'est son nom, était au fond de mon ventre et me limait la chatte. Je n'arrêtais pas de jouir, allant d'orgasme en orgasme. Il me baisait comme un fou et j'en redemandais. Il sortait de ma chatte en feu pour mieux y replonger.
- Regarde tout ce que tu prends me dit-il.
Je levai la tête et regardai entre nos ventre. Je vis son sexe tendu presque entièrement sorti de mon ventre. Il était gros, dur et de le voir me fit jouir. Puis il replongea. A chaque coup de boutoir je hurlais. Puis sur un ultime coup de rein il se répandit dans mon ventre et de le sentir palpiter à chaque éjaculation me donna un dernier orgasme.
Nous restâmes quelques secondes enlacés, immobiles, épuisés;
Puis la porte arrière s'ouvrit et le chauffeur apparut.
- Dis André j'aimerais bien en profiter aussi.
Je le regardai, surprise et fis non de la tête. Mais il se pencha sur moi et me caressa la poitrine nue. Je ne pus retenir un réflexe.
- Tu vois dit-il, elle a l'air d'en vouloir encore.
- Non répondis-je, mais André me caressait déjà la chatte et je me sentis repartir.
Alors le chauffeur me fit me relever, me quitta mon imperméable et ma robe en lambeaux. Puis
entièrement nue maintenant il me fit sortir, me tourna et me pencha le buste dans la voiture. Je le sentis se libérer et tandis qu'André me pelotait les seins, en excitant les bouts, il me prit en levrette d'un seul coup de rein. Je me remis à geindre, car le feu de mon ventre n'était pas éteint. Il me pilonna fort et vite m'amenant rapidement à l'orgasme que je libérai dans un cri tandis que je le sentais jouir dans ma chatte.
Je m'écroulai dans la voiture sur André. Il me releva la tête et me montrant sa queue qui bandait à nouveau il me dit :
- Suce la un peu. Tu n'as plus de honte à avoir maintenant, nous t'avons baisée tous les deux.
J'ouvris la bouche et me mis à le sucer, puis le désir revenant, carrément à le pomper. Quand il fut bien raide il s'assit au milieu de la banquette et me fit descendre sur sa queue. Je m'y empalai tandis que le chauffeur me pelotait les seins et les fesses, me procurant des frissons annonciateurs de plaisir. André me saisit par les hanches et me fit aller et venir sur son sexe tendu. Je sentais le désir revenir au galop. M'entraînant avec lui, il se coucha sur la banquette, son sexe toujours dans mon ventre. Il me limait par en dessous.
Je sentis le chauffeur s'installer derrière moi. Ecartant mes fesses, il y introduisit un doigt puis deux et me lima l'anus. Quand il me jugea prête il remplaça ses doigts par son sexe. Tout doucement il me pénétra. Puis il commença à me sodomiser. La douleur du début fit place à un plaisir étrange venu d'on ne sait où. Toute crainte d'avoir mal évanouie je me démenais sur ces deux sexes, qui me prenaient chacun à leur tour. Puis tout s'accéléra et je me mis à hurler à nouveau en les sentant jouir l'un dans mon ventre l'autre dans mon cul.
Nous retombâmes épuisés, en nage. Quelques instants plus tard, reprenant mes esprit je me rendis compte que je venais de m'offrir à deux inconnus qui m'avaient littéralement remplie de sperme. Et que j'y avais pris un plaisir que j'ignorais pouvoir éprouver.
Nos corps se séparèrent. Ils m'aidèrent enfiler mon imperméable, gardant ma robe déchirée en souvenir. Puis ils me raccompagnèrent chez moi, me bordant et m'embrassant tendrement. André me dit qu'il viendrait prendre de mes nouvelles et essayer de comprendre ce qui m'arrivait. Car bien qu'en ayant profité il se doutait bien que mon état n'était pas normal.