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Proposée le 4/02/2013 par Virginie
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Quelques semaines après ma rencontre au cours de laquelle un partenaire pour la première fois, me paya pour « mes services », Paul me dit « Ce soir nous allons à Lyon, nous sommes invités par un ami ». Je savais ce que cela voulait dire, nous allions faire une rencontre avec un nouveau partenaire pour une soirée à trois. Depuis mon aventure au cours de laquelle je m'étais fait payer pour « mes services », Paul n'était plus le même. Il était très excité me demandant à chacun de nos rapports comment les choses s'étaient passées, si j'avais pris du plaisir, ce que je ressentais à l'idée de me faire payer. Je ne lui répondais pas car au fond de moi je souhaitais oublier ce moment de folie.
Notre rencontre avec celui que j'appellerai Serge eut lieu à l'hôtel des Loges, un superbe quatre étoiles situé dans le vieux quartier Saint-Jean de Lyon. Nous trouvâmes Serge au bar de l'hôtel. Les présentations faîtes, Serge ne m'adressa plus la parole, la discussion se déroulant entre Paul et lui uniquement. Je me souviens très bien de ses paroles. J'avais l'impression irréelle d'assister à un film dont j'étais l'objet, sans pouvoir intervenir. Au début je pris cela pour un jeu initiatique à notre rencontre, sans lendemain. La suite des évènements quelques semaines plus tard allait me prouver le contraire. Après quelques paroles d'usage, Serge se fit plus précis.
- Tu veux faire de Virginie une vraie pute de luxe ?
- Oui c'est cela, répondit Paul.
- J'ai un réseau d'amis important, des hommes d'affaires, des avocats, des médecins, qui aiment rencontrer de façon occasionnelle des femmes mariées, je pourrai sans problème la présenter à ce cercle dans lequel elle trouvera des clients, poursuivit Serge.
- Bien sur ils savent se montrer généreux et elle n'aura pas à se plaindre, il lui faudra être souple et docile, continua-t'il.
- Je souhaiterais toutefois l'essayer pour tester ses capacités, tu n'y vois pas d'inconvénients, demanda-t'il à Paul.
- Non c'est normal, répondit Paul.
Serge avait loué une chambre dans l'hôtel, c'est ainsi qu'après une petite heure de discussion nous primes la direction de sa chambre. Une fois dans la chambre, Paul entreprit de me déshabiller. Je me souviens très bien de la scène, Serge était assis dans un fauteuil, immobile. Paul ôta mes vêtements doucement me faisant tourner sur moi-même à chaque fois qu'il enlevait un de mes vêtements. Bientôt je fus nue devant Serge.
- Fais la se cambrer... Quel cul, ne cessait de répéter Serge.
- Je voudrais voir comment elle fonctionne cette salope, dit-il à la fin.
Paul me coucha alors sur le lit, écarta mes cuisses et se mit à me lécher délicatement le clitoris et la vulve comme il sait si bien le faire et comme il le fait à chaque fois que nous faisons une soirée à trois. Bientôt je sentis mon clitoris se gonfler et une douce chaleur envahir mon bas ventre. Au bout de quelques minutes je me mis a jouir, en poussant des râles de plaisir. Paul quitta mon intimité et dit alors à Serge:
- Elle est à toi maintenant, je vous attends au bar d'ici une heure. Il quitta la chambre, j'étais seule avec Serge. C'était la première fois que Paul procédait ainsi, d'habitude il restait et continuait à me caresser pendant que notre partenaire d'un soir me pénétrait. J'étais troublée de me retrouver avec cet homme dans cette immense chambre d'hôtel.
- Viens me caresser, dit-il.
C'était les premiers mots qu'il m'adressait depuis le début de la soirée. Je me mis à genoux entre ses jambes et commençai à le caresser au travers son pantalon. Je sentais sous le tissu son membre qui grossissait.
- Prends la salope, dit-il crûment.
J'ouvris sa braguette et dégageais la verge de son slip. Elle était de belle taille. Je le décalottais doucement et mis dans ma bouche toute sa hampe. Alors que j'effectuais de lents va-et-vient, je me mis à titiller son gland avec ma langue.
- Quelle belle bouche tu as, dit-il. Tu es faite pour ça salope.
Au bout de quelques minutes, Serge me dit:
- Vas te mettre sur lit en position, je te veux en levrette.
Je me mise sur le bord du lit, les fesses bien cambrées, j'entends encore Serge dire:
- Quel cul, vraiment tu es aussi belle que sur les photos que m'a envoyées Paul, cambre toi encore plus, on commence par quoi ma belle?
Je sentais sa verge qui allait de mon anus à ma vulve. Je lui fis remarquer que j'étais étroite de l'anus et qu'il devait me préparer si tel était son désir premier. Il partit quelques instants dans la salle de bain, et revint avec un onguent qu'il appliqua avec douceur sur l'entrée de mon intimité. Il se mit à me doigter, d'abord un doigt puis deux. Je sentis de nouveau sa verge à l'entrée de mon anus. Il me prit par les épaules et violemment s'introduisit en moi, en poussant un rugissement de plaisir. Je poussai un cri de douleur, cela ne l'arrêta pas. Il se mit à faire des va-et-vient dans le creux de mes fesses de plus en plus rapidement tout en claquant mes fesses. A un instant sa verge sortit de mon anus et glissa vers ma vulve, qu'il pénétra également. Il alterna alors anus et vulve tout en me caressant le clitoris.
- Tu aimes salope, dit-il.
Je ne répondais pas.
- Tu aimes, demanda-t'il de nouveau.
- Je vais t'en donner salope.
Petit à petit la douleur aiguë faisait place à une chaude pression qui envahissait tout mon bas ventre. Je me mis à jouir sans retenue. Il se retira, enleva son préservatif, et éjacula à son tour sur mes fesses. J'étais partagée entre un sentiment de honte et de plénitude.
- C'est bien pour un début, dit-il sans plus de commentaire.
Il remit son pantalon et me dit en quittant la chambre:
- On se retrouve au bar.
Après avoir fait un brin de toilette, je me rhabillais et retrouvais Paul et Serge en grande discussion au bar. Serge fit de nouveau comme si je n'existais pas.
- Elle a des dispositions, elle est faîte pour ça, je pense que mes amis seront ravis de la découvrir. Il faudra la dilater un peu car elle a l'anus trop étroit, je connais un médecin dont c'est la spécialité, je la lui présenterai.
- Je te propose de me l'amener dans quinze jours à mon chalet de Megève, je voudrais l'éprouver une dernière fois, lui faire subir une initiation, poursuivit-il.
- C'est d'accord, répondit Paul.
Serge nous quitta sur ces paroles après avoir salué Paul, sans toujours m'adresser le moindre mot. Nous regagnâmes notre maison. Sur le chemin du retour je n'ai pas dit un mot à Paul. J'étais partagée entre plusieurs sentiments contradictoires. La honte de moi-même, j'en voulais aussi à Paul de m'entraîner dans ses aventures, et en même temps j'avais envie d'aller plus loin, à la fois par bravade vis-à-vis de Paul et aussi pour me prouver que j'étais capable de cela. J'aurai pu à ce moment dire à Paul : Stop j'arrête. En effet il avait été convenu entre nous depuis bien longtemps que j'avais à tout moment la possibilité et le choix de dire « Stop j'arrête ». Ce soir là je n'ai rien dit. Pourquoi je n'en sais rien, probablement pour les raisons que j'ai évoquées avant. La suite des évènements me prouva que je fis là une erreur de jugement.
Virginie