Tante Jeanne IV - Les phobies de Maggy

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Proposée le 9/03/2008 par Fulvia

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Une fois seule, Jeanne entama une toilette intime poussée. Méticuleusement, à l'aide de son index et de son majeur réunis, elle entreprit d'extraire de son vagin souillé les reliquats de sperme que son neveu avait lâchés à profusion. Curieuse elle contempla les filets gluants qui souillaient ses phalanges. Puis avec une pensée attendrie envers Robert, ce neveu qu'elle aimait tant, elle porta ses doigts maculés à sa bouche pour les lécher d'une langue gourmande. Cette crème blanchâtre mêlée à ces propres secrétions, avait un goût acre et salé, mais nullement déplaisant. Puis vêtue du pyjama que Maggy lui avait prêté pour la nuit, elle rejoignit la chambre d'amis mise à sa disposition.

Couchée dans le noir, Jeanne songea à cette soirée qu'elle venait de passer au sein du ménage de son neveu. Les sens enfin apaisés, après la merveilleuse jouissance que Robert lui avait fait connaitre, une fois de plus, un sentiment de remords la saisit. Remords tout d'abord vis-à-vis de son époux qu'elle venait de tromper pour la seconde fois en vingt-quatre heures, alors que le malheureux se trouvait alité à l'hôpital. Remords également vis-à-vis de Maggy, sa nièce par alliance, même si celle-ci, au dire de Robert, repoussait toutes relations sexuelles depuis le début de sa grossesse. Aussi, n'avait-elle pas fait acte de bonté en permettant à Robert d'assouvir des besoins sexuels que son épouse lui refusait...

Puis ses pensées changèrent de cap comme c'est souvent le cas chez beaucoup d'êtres humains. Passant outre à ses repentances, elle se polarisa sur les problèmes de couple que son neveu et son épouse traversaient. Vu l'âge et l'ardeur de Robert, Maggy, songea-t-elle devait bien penser que ce dernier ne pouvait rester chaste pendant neuf mois ; et que lorsque le désir deviendrait par trop insistant il irait chercher ailleurs l'apaisement de ses sens. Une autre constatation traversa l'esprit de Jeanne ; Maggy avait eu de la chance, pensa-t-elle, que son époux ait trouvé cet exutoire sexuel avec sa propre tante. Le lien de parenté les unissant, ainsi que leur énorme différence d'âge, protégeait en quelque sorte Maggy d'une rupture de son couple. Mais dans le même temps, Jeanne se rendait bien compte que, tenue de ces différences, la liaison qu'elle entretenait depuis vingt-quatre heures avec le neveu de son mari, ne pourrait durer bien longtemps. Aussi rejetant loin d'elle ses remords, elle décida de profiter au maximum de cette opportunité que le destin lui offrait, comme un ultime cadeau de la vie. A son âge, elle se savait condamnée à vivre chastement. Pierre, son époux, du fait de sa maladie cardiaque devrait ménager son cœur. C'en serait fini des accouplements fougueux qui apaiseraient ses sens ; même si son mari n'avait jamais été un amant extraordinaire. Elle devrait se contenter des rares occasions où elle pourrait s'offrir à Robert, sachant pertinemment que ces occasions ne seraient pas légion.
Comme si cette décision avait calmé ses angoisses, Jeanne s'endormit enfin, du sommeil du juste...

****

Ouvrant un œil, Robert comprit immédiatement qu'au bas de son ventre son sexe s'était également réveillé, et peut-être même avant lui. Chaque matin d'ailleurs, depuis que Maggy se refusait à lui dispenser le moindre soulagement sexuel, il se réveillait victime d'une érection phénoménale. Portant une main compatissante à l'encontre de son membre inutilement dressé, il le flatta distraitement. Il n'était pas question qu'il demande une aide quelconque à son épouse, celle-ci depuis le troisième mois de sa grossesse opposait systématiquement un refus à ses désirs. Même une simple masturbation lui était refusée. Maggy craignait que cette simple caresse ne l'excite de trop, et que dans son désir il ne veuille lui faire l'amour ; ce qui d'après elle pourrait nuire au bébé qu'elle portait. Au début de cette phobie, il avait pourtant réussi à la convaincre de le branler de temps à autre. Mais affolée à l'idée que ce simple attouchement ne lui suffise plus et qu'il en veuille davantage, Maggy se pressait alors de conclure. Elle le masturbait alors avec une telle fébrilité qu'elle réussissait à le faire décharger si précipitamment qu'il n'en éprouvait pas un réel plaisir. Aussi de lui-même il avait cessé de quémander la moindre caresse à son épouse apeurée, préférant, lorsque le désir devenait par trop pressant, se branler lui-même sous la douche lors de sa toilette matinale.
Pourtant, malgré ces déboires sexuels, Robert n'avait jamais songé à tromper sa femme, à aller chercher auprès d'une autre, ce que son épouse lui refusait. Ce qui aurait été des plus naturel, vu l'état dans lequel cette longue abstinence prolongée le mettait. Peut-être restait-il fidèle par amour, car il continuait à éprouver une immense passion pour son épouse, mais peut-être parce que l'occasion ne s'était jamais vraiment présentée.
Et puis le destin avait voulu que cette occasion se concrétise en la personne de sa tante par alliance, la femme du frère de son père. Et cela lors de l'hospitalisation de son oncle...

*****

Un bruit dans le couloir tira Jeanne de son sommeil, qu'elle avait toujours eu léger. Jetant un coup d'œil au réveil lumineux posé sur la table de nuit, elle y lut 7 h 00. Entre les volets entrebâillés, un rai de lumière éclairait faiblement la chambre. Les roucoulements d'une tourterelle faisant écho aux variations mélodiques d'un merle annonçaient une merveilleuse journée de printemps.
Jeanne s'étira alors voluptueusement entre ses draps, émergeant lentement de sa somnolence. Étendue sur le dos, bras repliés sous sa nuque, jambes largement écartées, dans une position qu'elle affectionnait particulièrement, elle se remémora avec émoi la sensuelle soirée de la veille. Son cher neveu avait de nouveau, été un partenaire sexuel fabuleux, lui procurant orgasme sur orgasme, tous autant extrêmes les uns que les autres. En amant attentionné, Robert avait attendu qu'elle soie littéralement anéantie par les jouissances successives, avant de se libérer lui-même à longs jets puissants. Elle ne se souvenait pas que ses sens n'aient été à pareille fête. Après vingt ans de mariage, ses rapports sexuels avec Pierre son époux, n'étaient plus que des moments agréables, certes, mais qui ne la faisaient plus se cambrer de plaisir, comme ça avait été le cas du temps de leur lune de miel...
Un léger craquement devant la porte de sa chambre alerta soudain Jeanne. Le cœur battant elle espéra la visite de Robert, prête qu'elle était à lui ouvrir ses bras, et surtout ses cuisses. Mais un bruit de dialogue lui apprit que Maggy était elle aussi levée. Déçue, elle se consola en se disant que la journée ne faisait que commencer, et qu'elle aurait bien l'occasion de se retrouver seule avec son merveilleux neveu et amant. N'espérant alors plus rien, elle s'éjecta du lit. Boutonnant la veste du pyjama, trop étroite pour son opulente poitrine, elle descendit rejoindre ses hôtes.

Lorsque Jeanne pénétra dans la cuisine, Maggy et Robert s'activaient chacun de leur côté à préparer le petit déjeuner. Maggy, qui surveillait la cafetière, était vêtue d'une nuisette décorée de petites fleurs bleus, décolletée en carré, retenue par deux larges bretelles et qui lui arrivait à mi-cuisses. Par moment, suivant les mouvements qu'effectuait la jeune femme, le dôme laiteux d'un de ses seins se montrait. La nuisette de soie laissait deviner par transparence, les deux larges aréoles foncées des lourdes mamelles, gonflées par la grossesse avancée. Robert, de son côté était en pyjama de soie bleu ciel, à rayures verticales.
-- Bonjour mes chéris ! Déjà debout Maggy ? Tu devrais faire attention... dans ton état...
-- Ne vous inquiétez pas Tantine, je me reposerai lorsque vous irez chercher Tonton.
-- Justement à ce sujet, j'aimerais qu'avant d'aller à l'hôpital, je puisse passer à la maison pour changer de vêtements.
-- Mais bien sur. Vous partirez lorsque vous le désirerez.
-- Ca m'embête de vous créer tout ce tracas...
-- Ne vous inquiétez pas de ça, Robert se fera un plaisir de vous conduire... Vous savez bien combien il vous aime...
« Bien plus que tu ne peux te l'imaginer », songea Jeanne.

Alors que Jeanne s'entretenait avec son épouse, Robert en profita pour fixer avec concupiscence la merveilleuse croupe de sa tante, mise en valeur par le pantalon de pyjama trop étroit. Déjà lorsque Jeanne avait fait son apparition à l'entrée de la cuisine, Robert avait eu son attention attirée par les imposantes protubérances qui déformaient la veste de pyjama prêtée par Maggy. La plantureuse poitrine de sa sensuelle tante, qu'aucun soutien-gorge ne maintenait, ballottait d'une manière fort troublante à chaque mouvement de leur propriétaire.

Laissant la future mère à la préparation du café, Jeanne se retourna alors vers son neveu à qui elle tendit son visage pour un baiser matinal.

Saisissant naturellement sa tante par les hanches, Robert jeta un rapide coup d'œil en direction de son épouse. Celle-ci occupée à surveiller la cafetière où l'eau doucement commençait à mijoter leur tournait le dos, indifférente à ce qui se passait derrière elle. Profitant alors de la situation, Robert remonta rapidement les doigts de sa main droite jusqu'à la lourde poitrine qu'il palpa fiévreusement, éprouvant un plaisir intense à sentir la masse charnue du sein gonflé s'écraser mollement sous sa paume. Immédiatement il sentit son membre se gonfler à l'intérieur de son pantalon de pyjama.
-- Tu as bien dormi, Tantine demanda-t-il avec un sourire complice ?
-- Très bien, mon chéri...J'étais vraiment fatiguée, murmura Jeanne sur le même ton alors qu'un frisson érotique la parcourait.
Tout en pressant voluptueusement le volumineux sein de sa main droite, Robert glissa sournoisement la gauche sur une fesse ferme et souple en même temps. Surveillant sa femme occupée à préparer le café, il malaxa avec passion les deux masses élastiques dans lesquelles il avait refermé ses doigts. Eprouvant un plaisir indécis, il pétrit sauvagement la croupe rebondie de sa tante, alors que de son autre main il comprimait avec plus de douceur la lourde mamelle, la pressant presque tendrement.

Sous ces attouchements simultanés, dont étaient victime les zones érogènes de son corps, Jeanne ressentit une brusque montée de désir. Son cœur s'accéléra subitement, tandis qu'un picotement bien connu se répandait au niveau de son sexe affolé. Comprenant à l'attitude de son neveu que Maggy, à qui elle tournait le dos, ne pouvait deviner ce qui se tramait derrière elle, elle osa un geste qu'elle ne se serait jamais permise quelques jours auparavant. Sans se soucier de la présence de l'épouse de Robert qui pouvait à tout moment se retourner, elle lança une main conquérante en direction du bas-ventre de son neveu et amant. Ses doigts trouvèrent immédiatement ce qu'ils étaient venus chercher ; une raideur d'une dureté incroyable que le fin tissu du pyjama ne parvenait pas à protéger, ni à camoufler vraiment. Les sens soudain en ébullition, elle pressa fermement le sexe masculin en érection, amorçant même un semblant de masturbation.

Surpris par cette soudaine initiative à laquelle il ne s'attendait pas, Robert n'en demeura pas moins ravi. Jamais il n'aurait imaginé pareille audace de la part de sa tante, même si celle-ci l'avait étonnamment surpris deux jours plus tôt, en lui dévoilant ses ardeurs sexuelles. Cette tante qu'il avait toujours connue si réservée, si effacée même, au temps où elle le gardait, s'était conduite depuis deux jours, en amante passionnée. Lorsque quarante-huit heures plus tôt elle était devenue sa maîtresse, elle s'était soumise à tous ses désirs sans montrer la moindre contrariété, se montrant même étrangement active. Suite à l'hospitalisation de son époux, sa tante avait à cet instant-là, un énorme besoin de tendresse, de compassion, de quelqu'un avec qui elle puisse communier, sur qui elle puisse épancher sa peine. Robert s'était trouvé là au bon moment. Si ce n'avait été lui, s'aurait pu être n'importe qui, pourvu que cette personne ait su se montrer attentionnée et bienveillante.
Ce que Robert par contre ne pouvait savoir, c'est que grâce à lui, ou à cause de lui, Jeanne après les extraordinaires jouissances qu'elle avait connues, avait ressenti au fond d'elle-même un changement notoire : comme si un barrage psychique s'était soudainement brisé, libérant des désirs trop longtemps refoulés. Ces prodigieux orgasmes d'une phénoménale intensité qu'elle avait connus, l'avaient sexuellement décoincée. Quarante ans d'éducation judéo-chrétienne avaient fondu comme neige au soleil, donnant naissance à une femme subitement libérée de ses contraintes bourgeoises. Une nouvelle femme qui se sentait le besoin de profiter de la vie, de rattraper tout ce qu'elle avait perdu pendant ces longues années...
-- Voila, c'est prêt ! Tout le monde à table !
L'appel de Maggy ramena les deux amants à la réalité, les forçant à se séparer. Force fut à Jeanne de lâcher l'imposante virilité qu'elle serrait passionnément, alors que Robert de son coté abandonnait à regret les plantureux appas de sa tante chérie.

Chacun se plaça autour de la table de cuisine, face à son bol fumant. Tout en dégustant un croissant réchauffé au four micro-ondes, Robert tenta, comme il l'avait fait la veille, d'aller frôler à l'aide de son pied, le sexe de sa tante. Mais l'étroitesse de la table de cuisine l'empêcha de mener à bien ses manoeuvres érotiques. Tout ce qu'il réussit, pour prouver à sa tante combien il avait envie d'elle, ce fut de lui caresser le mollet de son pied nu. Ce simple attouchement, pourtant bien bénin, réussit cependant à combler Jeanne de bonheur, qui y répondit en frôlant à son tour le mollet de son cher neveu de son pied nu.
Le petit déjeuner avalé, notre trio se reforma comme la veille : Maggy s'attela à la vaisselle, Jeanne l'essuya et Robert se chargea de la ranger. Devant le peu de couverts utilisés, la cuisine fut propre en peu de temps. Alors se posa la question de savoir qui allait utiliser la salle d'eau en premier. Ce fut Maggy qui décida, objectant que Robert, du fait de sa séance de rasage serait le plus long, il se devait de s'y rendre en premier.
Comme Robert, obéissant se dirigeait en direction de la salle d'eau, Jeanne proposa à Maggy :
-- Nous pourrions ranger ma chambre pendant ce temps.
Tous trois quittèrent alors la cuisine, l'un derrière l'autre, pour se rendre à l'étage. En tête, Maggy gravit péniblement les marches de bois, soutenant son gros ventre de ses mains. Derrière elle, Jeanne suivait lentement, précédant Robert. Fermant la marche, celui-ci pouvait suivre intéressé les balancements sensuels des fesses épanouies de sa tante. Cette croupe charnue, qui ondulait d'une façon terriblement suggestive à quelques centimètres de son visage, le ravissait sexuellement. Face à ce spectacle exceptionnellement affriolant, il ne put contenir ses envies. Sans hésiter, il tendit ses deux mains pour crocheter ses doigts dans les masses élastiques, que le pantalon de soie moulait de façon presque indécente. Avec un plaisir évident, il pressa les fesses aux chairs molles, tentant d'introduire un doigt dans la longue raie, à la recherche de l'orifice secret qui s'y cachait.

Jeanne, qui avait prévu cette attaque de ses arrières, qui l'avait même fortement désirée, sourit tendrement en sentant les doigts de son pervers neveu fureter sournoisement entre ses fesses. Stoppant momentanément sa montée, elle cambra exagérément ses reins, offrant avec un plaisir évident, son derrière aux palpations de son jeune amant. Mais comme elle reprenait son ascension, elle sentit une des mains se glisser entre ses cuisses, et des doigts impatients vinrent frôler sa longue fente, avant de tenter de s'y enfoncer malgré le tissu du pyjama. Une bouffée de désir l'immobilisa, tandis qu'une douce chaleur monopolisait de nouveau ses entrailles.
Jamais, songea Jeanne, elle n'avait été autant soumise à sa libido. Avant qu'elle ne cède aux désirs lubriques de son pervers neveu, quarante-huit heures plus tôt, ses sens la laissaient en paix entre chaque rapport conjugal. Rapports qui se produisaient en général toutes les deux ou trois semaines. Avec le temps, le désir s'était peu à peu émoussé entre Pierre et elle, remplacé par une douce affection, comme c'est le cas dans nombre de vieux couples. Or Robert lui avait fait connaître des orgasmes qu'elle n'avait jamais éprouvés avec son époux. Jamais ce dernier n'avait réussi à la faire planer dans cette espèce d'inconscience irréelle, comme l'avait fait Robert. Depuis qu'elle avait découvert que la jouissance pouvait être si violente et si merveilleuse à la fois, sa sensualité s'était bizarrement intensifiée.
Lorsqu'ils parvinrent à l'étage où se trouvaient les chambres et la salle d'eau, le groupe se divisa, Robert se dirigeant en direction de la salle de bain.
La vulve en émoi, les sens chamboulés, Jeanne suivit Maggy à l'intérieur de la chambre où elle avait passé la nuit. A peine entrée, la future mère se laissa tomber sur le lit en portant ses mains à son ventre avec un petit gémissement.
-- Ça ne va pas, s'inquiéta Jeanne ?
-- Ce n'est rien... Je ne sais pas s'il est pressé de sortir, mais depuis quelques jours il n'arrête pas de me donner des coups de pieds.
Quelque peu inquiète, Jeanne, qui n'avait connu ni les joies, ni les douleurs de l'enfantement, vint s'asseoir à sur le lit, aux côtés de la jeune femme, ne sachant trop quoi faire.
-- Tenez ! Sentez !
Retroussant sa chemise de nuit, Maggy s'empara de la main de Jeanne et la posa sur son ventre nu parcouru de légers spasmes. D'abord surprise par l'initiative de la jeune femme, Jeanne ne put s'empêcher de contempler ce ventre pansu à l'intérieur duquel une nouvelle vie avait pris naissance. Alors que son regard accrochait la légère toison blonde, à peine fournie, qui moussait en fines bouclettes au bas du pubis, un frémissement sous sa paume la ramena brutalement à la réalité. Le fœtus venait de se révéler à elle, alors que Maggy poussait de nouveau un petit gémissement.
Soudainement émue et attendrie, Jeanne caressa doucement le ventre rond en tachant de réconforter Maggy qui grimaçait :
-- Là, ce n'est rien... Encore un peu de patience... Ton calvaire va bientôt prendre fin...
-- Vivement que ce soit terminé, gémit Maggy... Je ne peux plus supporter ce gros ventre... J'en ai vraiment marre...
Comprenant qu'elle se devait de réconforter la future mère, Jeanne laissa courir sa main sur la peau tendue du ventre frémissant, d'un geste maternel, plein de tendresse.
-- Tu retrouveras vite ta taille de jeune fille... Et tu pourras remettre toutes tes robes...

Mollement allongée, se détendant au maximum, afin de tenter de calmer les soubresauts du fœtus à l'intérieur de son ventre, Maggy fut surprise de ressentir un étrange bien-être sous le frôlement de la main légère de Jeanne. Etonnée, elle dut s'avouer que les frémissements qui continuaient d'agiter son épiderme, n'étaient pas dus uniquement aux mouvements désordonnés du bébé. Sous les légères caresses que la tante de son mari dispensait à son ventre gonflé, un savoureux plaisir l'envahissait insidieusement. Depuis quelques jours, ses sens, qu'elle s'était efforcée d'ignorer depuis plusieurs mois, s'étaient soudainement rappelés à elle... Par moment, un sournois désir lui irradiait bizarrement les entrailles ; et cela, non seulement à n'importe quel instant, mais aussi n'importe où. Sans qu'elle ne puisse contrôler cet étrange désir, elle sentait sa vulve s'humidifier abondamment d'un coup, trempant copieusement l'entrejambe de sa culotte. L'abstinence sexuelle qu'elle s'était imposée depuis six mois commençait réellement à la perturber. Il lui arrivait de plus en plus souvent d'avoir des rêves érotiques, qui la réveillaient au milieu de la nuit, le corps moite et la vulve palpitante. Dans ces moments-là, il lui fallait toute sa volonté pour s'empêcher de chevaucher Robert endormi à ses côtés. S'aurait été reconnaître sa défaite face à ses décisions. Bien souvent, pour retrouver un certain calme, elle faisait appel à ses doigts pour éteindre le brasier qui lui consumait le vagin, retrouvant là ses habitudes de collégienne.
La peur, irraisonnée, que tout accouplement ne vienne mettre en danger l'évolution de cette vie qui prenait forme dans son ventre, l'avait forcé à refuser tout rapport conjugal à son époux.

Jeanne éprouvait un certain plaisir sensuel à caresser ce ventre que la grossesse distendait. Sans vraiment s'en rendre compte, elle laissa sa main accomplir des cercles de plus en plus grands sur la peau veloutée. Or à un moment, alors que ses doigts s'égaraient par mégarde dans la toison bouclée, qui ornait le pubis dilaté de Maggy, un brusque tressaillement de celle-ci la surprit. Elle immobilisa sa main alors qu'un gémissement s'échappait de la gorge de la jeune femme.
Étonnée par cette plainte auquel elle ne s'attendait pas, Jeanne soudain inquiète, interrogea Maggy du regard. Ce qu'elle découvrit alors la stupéfia : la bouche entrouverte sur une respiration accélérée, la future mère la fixait d'un air implorant, les yeux brillant étrangement. Stupéfaite par ce que ce regard exprimait, Jeanne ressentit un étrange frisson la parcourir. Le souvenir de ce que lui avait avoué Robert, deux jours plus tôt, au sujet de son épouse lui revint en mémoire. Si comme lui avait annoncé son neveu, Maggy se refusait à lui depuis le début de sa grossesse, la jeune femme n'en était pas moins victime de ses sens. Jeanne était suffisamment avertie de ce genre de besoin, pour l'avoir elle-même maintes fois subi. Tout dans l'expression du visage de la future mère, révélait que celle-ci était prête à céder à sa libido enfiévrée, qu'elle implorait même une délivrance. Et que c'était à elle, parce qu'elle était une femme, qu'elle faisait appel.
Comprenant qu'elle se devait de tenter quelque chose, Jeanne, le cœur battant à cent à l'heure, entreprit alors d'agiter ses doigts dans le minuscule écu doré. Les yeux fixés sur le ventre incroyablement arrondi, elle s'ingénia à démêler les bouclettes blondes, griffant mesurément la peau sensible du pubis. Ce ventre fabuleusement déformé par la grossesse l'attirait particulièrement, elle que le destin avait privé de cette épreuve.

Seule la respiration saccadée de Maggy troublait le silence de la chambre. Les yeux clos afin de mieux se concentrer sur le plaisir qu'elle espérait, la jeune femme s'offrait sans aucune pudeur. Frémissante d'impatience, elle attendait un apaisement de ses sens, espérant que la tante de son mari puisse soulager son malaise sexuel. Il y avait trop longtemps qu'elle se privait de jouissance : même si lorsque cela devenait trop difficile à supporter, elle calmait le feu qui lui consumait le vagin, d'un doigt impatient. Mais ce matin, dès son réveil, elle s'était rendue compte qu'elle ne pourrait résister à cet impérieux désir qui s'était propagé dans ses entrailles. Toutes ses résolutions avaient été balayées, dissoutes, par ses sens exacerbés. Le désir, qu'elle se forçait à ignorer depuis un certain temps, s'était soudainement amplifié, prenant le dessus sur sa volonté. De plus en plus troublée par les frôlements des doigts de Jeanne sur son pubis, Maggy ne put retenir un nouveau gémissement d'impatiente sexuel. Dans un sursaut surexcité, elle lança son bas-ventre gonflé au-devant de cette main si douce qui l'affolait.

Le regard fixé sur la toison blonde qu'elle ébouriffait distraitement, Jeanne se remémora, avec une certaine nostalgie, ses soirées passées au pensionnat, dirigé par des sœurs. C'est là qu'en compagnie de filles de son âge, elle avait découvert ses premiers émois sexuels.
« Chaque soir, après que la sœur surveillante ait fait son tour dans la chambrée et éteint les lumières, certains lits se vidaient de leurs occupantes. Celles-ci, furtivement se glissaient dans le lit voisin. Là, à l'abri des draps, c'était des baisers et des caresses, qui sans apporter une véritable jouissance aux jeunes filles, apaisaient quand même leurs jeunes sens en plein éveil... Jeanne se souviendrait toujours de cette fille, de deux ans son aînée, qui un jour l'avait entraînée à l'intérieur de la buanderie déserte à cette heure. Elle l'avait poussé sur un tas de linge, à l'abri d'une haute corbeille... Jeanne ne s'était pas défendue lorsque la fille lui avait retiré sa culotte de coton, toute excitée qu'elle était. Mais quand l'adolescente avait plongé, son visage entre ses cuisses pour lui lécher la fente, elle avait été prise de panique. Son sexe était un endroit tabou, lui avait-on constamment répété. Elle avait tenté alors de repousser les avances interdites de la vicieuse, sans y mettre il est vrai, beaucoup de conviction, curieuse de ce qui allait se passer. Très vite, elle avait bien été obligée de reconnaître qu'une langue prodiguait beaucoup plus de plaisir que les doigts qui l'avaient jusque-là caressée. À quatorze ans, elle avait connu sa première vraie jouissance... D'autres séances avaient eut lieu, toujours à l'intérieur de la buanderie, et chaque fois Jeanne ressentait un plaisir plus fort. Mais quelques semaines plus tard, son initiatrice s'était fait surprendre dans le lit d'une soeur. Les deux coupables avaient alors disparu du couvent. Personne n'avait jamais su ce qu'elles étaient devenues... »

Un brusque sursaut de Maggy ramena Jeanne à la réalité. Sa main avait insidieusement glissé du pubis, où elle caressait tendrement la légère fourrure dorée, jusqu'à l'entrecuisse moite de la future mère ; ce qui avait déclenché ce tressaillement chez Maggy. Prenant conscience de ce que la jeune femme attendait de sa part, Jeanne se décida alors d'assumer ce rôle de sexologue.
Se penchant sur ce sexe que la future mère lui offrait complaisamment, Jeanne fit délicatement glisser son pouce le long des lèvres sexuelles roses et nacrées par l'abondante cyprine qui les humidifiait. Habilement, par petites touches précises, elle chercha le clitoris qui se cachait encore dans les replis de la vulve. Très vite, sous les effleurements dont il était l'objet, le sensible bourgeon émergea d'entre les commissures des grandes lèvres sexuelles : petit bouton de chair rose, magique berlingot, épicentre du plaisir féminin. Jeanne s'activa alors à l'agacer d'un doigt habile, le frottant sous sa phalange. Les soupirs de Maggy se firent aussitôt plus pressants.
Tout en massant de son pouce le clitoris qui peu à peu devenait plus gros, Jeanne activa son majeur le long de la fente sexuelle extrêmement humide... Sachant par expérience tout le plaisir que l'on pouvait ressentir sous ce genre d'attouchement, Jeanne fit naviguer son doigt de la vulve palpitante à l'anus resserré. Passant méthodiquement d'un orifice à l'autre, elle s'ingénia à recueillir un peu de liqueur amoureuse à l'orée de la vulve humide, pour ensuite en humecter l'orifice anal.

Sous ces différents attouchements étrangement émoustillants que lui prodiguait Jeanne, Maggy se sentit peu à peu submergée par un indicible langueur voluptueuse. Avec un gémissement étouffé, elle se cambra péniblement, du fait de son gros ventre, pour s'abandonner alors sans retenues aux caresses de sa tante par alliance, lui offrant impudiquement son sexe enflammé. Le désir qu'elle s'était obligée à ignorer depuis si longtemps lui torturait douloureusement les entrailles, lui faisant perdre toute retenue.

Se rendant compte combien ses effleurements sexuels affolaient Maggy, Jeanne qui depuis le matin éprouvait elle aussi un certain désir, s'appliqua alors à contenter la jeune épouse de son neveu.... Tout en continuant à agacer de son pouce le clitoris complètement dilaté, elle positionna son majeur à l'entrée de la longue brèche luisante entaillant la toison dorée clairsemée. Avec beaucoup de délicatesse, elle enfonça son doigt à l'intérieur de la vulve moite d'une liqueur onctueuse. Avec un réel émoi elle perçut la tiédeur et l'élasticité des chairs intimes palpiter autour de son majeur.
N'ayant jamais eu de réelles relations homosexuelles, autres que celles pratiquées du temps de son adolescence , Jeanne s'évertua pourtant à procurer à Maggy, ce plaisir auquel la jeune femme aspirait. Sans cesser de lutiner le merveilleux bouton de chair vermillon extrêmement gonflé, elle agita son majeur à l'intérieur de la chatte moelleuse, imitant le va-et-vient d'un sexe masculin. Les soupirs de plus en plus rapprochés de Maggy l'encouragèrent à continuer ce simulacre de pénétration. Se rendant compte que la future mère possédait un vagin étonnamment dilaté, Jeanne jugea alors que son doigt, compte tenu de son diamètre, ne pouvait concurrencer un membre viril gonflé par le désir. Aussi pour remédier à ce handicap elle ajouta son index à son majeur. Maggy secrétait une telle abondance de cyprine, que les deux doigts accolés n'eurent aucune difficulté à se glisser dans la moule extrêmement élargie de la future mère. Alors, en un lent va-et-vient, Jeanne entreprit de pistonner le vagin torride de la future mère largement offerte à ses attouchements, tachant de simuler les mouvements alternatifs d'un membre viril lors d'un accouplement.
À chaque pénétration au fond de la vulve accueillante, Jeanne prenait un plaisir évident à frotter de ses phalanges, les chaudes parois ruisselantes... Un râle sourd s'échappant de la gorge de Maggy ne tarda pas à la récompenser de ses efforts. Subjuguée par cet encouragement diffus, Jeanne jeta un coup d'œil en direction du visage de sa partenaire. Ce qu'elle y découvrit l'affola étrangement : Maggy, les mains pressant ses gros seins, la fixait avec un regard exalté. Jamais encore elle n'avait découvert une telle sensualité sur un visage féminin.
Les seins gonflés, fiévreusement malaxés, laissaient échapper des perles de lait, qui suintant des tétines érigées, s'écoulaient le long des lourdes mamelles en sillons blanchâtres. N'ayant pas eu la chance de connaître ce genre de bonheur, Jeanne éprouva un impérieux désir de goûter à ce lait nutritif. D'un doigt curieux, elle recueillit, à même le mamelon tuméfié un peu de cette liqueur sirupeuse, qu'elle porta à sa bouche. La saveur qu'elle découvrit en léchant son index ne fit que renforcer son envie d'aller recueillir à même la source le divin nectar. Sans réfléchir à ce que son geste pouvait avoir d'étrange vis-à-vis de Maggy, elle se pencha alors sur l'un des seins suintant. Avec émotion elle aspira la large aréole brune et boursouflée, qu'elle pressa de ses lèvres, pour en faire jaillir le chaud liquide nourricier. Ivre de luxure, elle s'acharna sur le mamelon congestionné, le forçant à libérer sa sève onctueuse qu'elle avala avec une réelle gourmandise.

Sous cette succion, à laquelle elle ne s'attendait pas, Maggy ressentit une intense onde de plaisir lui parcourir le corps. Dès qu'elle avait commencé à allaiter, elle s'était refusée à ce que Robert ne vienne se désaltérer à ses outres de chair copieusement gonflées. Or Jeanne, lui faisait découvrir combien une bouche aspirant ses mamelons pouvait lui apporter du plaisir. Un sourd gémissement lui échappa. Dans un geste déjà maternel, elle referma sa main sur la nuque de sa sensuelle parente, lui pressant le visage sur son sein, comme elle l'aurait fait avec un nourrisson affamé.

Comprenant que cette pression sur son cou était en fait un encouragement à continuer ses cajoleries sensuelles, Jeanne accentua sa prestation érotique. Sans pour autant cesser de fouiller la vulve ruisselante et d'exacerber le clitoris enflé, elle s'ingénia à sucer alternativement les tétons dégoulinant de lait. Pressant les mamelons afin de les faire dégorger de leur liqueur nourrissante, elle s'abreuva ainsi aux deux seins gonflés, passant alternativement de l'un à l'autre.

Sous les différents attouchements, tous plus affolants les uns que les autres, que lui dispensait Jeanne, Maggy ne tarda pas à ressentir dans tout son corps, les prémices d'une jouissance proche. Des ondes voluptueuses, de plus en plus intenses, lui irradiaient le bas-ventre, tandis que des flots de lave bouillonnante s'échappaient de son sexe profondément fouillé. Incapable de résister à cet afflux de plaisir, la jeune femme se laissa emporter par les vagues successives, qui naissant au plus profond de ses entrailles venaient mourir au creux de sa poitrine. Cette houle érotique se faisant de plus en plus impétueuse au fil des secondes, Maggy s'abandonna alors sans retenue à ce raz de marée sexuel. Ivre de plaisir, elle se sentit brusquement emporter dans un tourbillon d'une sensualité extrême. Tout ce qui l'entourait disparut au profit d'une immense lueur, tandis que dans sa poitrine son cœur cessait de battre un court instant avant de s'emballer soudainement. Malgré son ventre proéminent, ses reins se creusèrent dans un spasme impulsif. Un orgasme d'une violence démesurée l'emporta dans un tourbillon extraordinaire, la pétrifiant arc-boutée sur sa couche. Les doigts crochetés dans la chevelure de sa sensuelle partenaire occupée à lui mordiller les tétons, Maggy dut faire un incroyable effort pour étouffer le cri de jouissance qu'elle sentait monter au plus profond de sa gorge.
Pendant plusieurs minutes, la jeune femme demeura le corps arqué, reposant uniquement sur la nuque et les talons, les cuisses tétanisées enserrant cette main qui l'avait si bien amenée à la jouissance. Puis d'un coup, comme une baudruche se dégonflant subitement, elle retomba sur le dos, anéantie, le souffle précipité.

Émue par ce spectacle, Jeanne contempla affectueusement sa jeune complice, tout en retirant délicatement ses doigts de la vulve encore palpitante :
-- Ça va mieux ma chérie, murmura-t-elle en essuyant tendrement la sueur érotique qui trempait le front de la jeune femme ?...
-- C'était merveilleux, murmura doucement Maggy... Il y a longtemps......
Bien qu'ayant compris ce à quoi, elle faisait allusion, Jeanne décida de pousser cette dernière à plus de confidences :
-- Comment, tu veux dire qu'avec Robert tu n'éprouves plus de plaisir ?
-- C'est-à-dire que... Il ne t'a rien dit, tenta de murmurer Maggy...
-- Qui ?... Robert ?... Non... Qu'est-ce qu'il aurait dû me dire ? Murmura Jeanne, jouant à la perfection la surprise.
-- Eh bien, voila... je... enfin, nous...
Devant les difficultés que semblait éprouver Maggy à se confesser, Jeanne tenta de l'aider :
-- Est-ce si dure à dire ?... Tu sais si tu ne veux rien me dire, je comprendrais...
-- Si, si... Eh bien, voila... Mais vous me promettez de garder ça pour vous...
-- Je te le promet, se parjura Jeanne.
-- Robert ne m'a pas touché depuis quelques mois déjà, lança précipitamment Maggy, comme pressée de se libérer d'un secret.
-- Tu veux dire que Robert ne t'a pas fait l'amour depuis plusieurs mois ?
Jeanne éprouva un plaisir pervers à insister sur le problème du couple, dont elle n'ignorait rien.
-- C'est-à-dire, tantine que c'est plutôt moi qui lui refuse de me toucher... J'ai tellement peur... que lorsqu'il me... pénètre, il fasse du mal au bébé...
Comprenant alors les craintes, irraisonnées, de la future mère, Jeanne décida de rassurer cette dernière :
-- Tu n'as pas à t'inquiéter ainsi, ma chérie... Ton bébé ne risque rien... D'ailleurs, si cela peut te rassurer, il existe certaines positions où tu peux faire l'amour sans risque pour ton bébé... Par exemple... la position de la levrette... Tu connais ?
-- Ah non !... Je ne suis pas une chienne !... C'est bon pour les animaux !...
Jeanne demeura sans voix devant ce refus outré. Que pouvait-elle répondre à de pareils arguments. Que la jeune femme soit si peu au courant de certaines pratiques sexuelles l'étonnait au plus haut point.
-- Tu n'as pas peur que Robert aille chercher auprès d'une autre femme ce que tu lui refuses, tenta-t-elle de plaider.
-- Bien sur que j'y pense, pleurnicha Maggy... Mais je ne peux me résoudre à ce qu'il me fasse l'amour... La peur est trop forte...
-- Tu pourrais peut-être accepter qu'il te prenne autrement... Nous avons un autre orifice qui peut se prêter à une pénétration...
-- Oh, s'exclama Maggy !... Vous voulez dire que je dois accepter que Robert m'enfonce son membre dans le... le...
-- Eh oui ! Dans le cul !... Ou entre les fesses, si tu préfère !... N'ayons pas peur des mots... Tu sais cela se fait couramment... Robert n'a jamais essayé ?
-- Heu... Si une fois, mais... je n'ai pas voulu... Tante, il est monté comme un mulet votre cher neveu... Il m'aurait déchiré...
Jeanne ne put s'empêcher de songer avec émoi au membre fabuleux de son neveu. Il est vrai qu'elle-même avait été extrêmement ahurie lorsqu'elle avait découvert l'imposante verge qui se dressait au bas du ventre de son neveu. Un moment même, elle avait craint que le long dard de chair ne puisse pénétrer entièrement dans son vagin.
-- Tu sais, tenta-t-elle de convaincre, ton petit trou est extrêmement élastique... Je ne connais pas le volume du membre de ton mari, mentit-elle, mais bien lubrifiée je suis certaine que tu n'aurais pas trop mal à l'accepter... Et tu ne peux pas imaginer comme c'est extraordinaire de ce coté là...
-- Vous voulez dire que l'on peut éprouver du plaisir de ce coté là ?... Vous... Vous avez déjà fait l'amour comme ça ?...
-- Bien sur, plusieurs fois... Et je peux t'assurer que j'y ai toujours pris énormément de plaisir... C'est différent d'une pénétration normale, mais c'est vraiment sublime...
Devant l'air septique de Maggy, Jeanne décida de lui prouver que ses affirmations étaient véridiques ; et ainsi réussirait-elle peut être à faire changer d'avis sa nièce par alliance. Comme sa main, après la jouissance de la jeune femme, était restée posée sur le bas-ventre de celle-ci, elle glissa doucement ses doigts le long de la fente sexuelle trempée. Frottant son majeur à la chaude liqueur qui suintait encore de la chatte béante, elle en posa ensuite l'extrémité copieusement humidifiée contre la rosace fripée de l'anus. Délicatement, avec beaucoup de douceur elle caressa la corolle qu'elle sentit frémir sous sa phalange.

Comprenant que sa sensuelle partenaire désirait lui faire connaître cette pénétration quelque peu spéciale, et à laquelle elle s'était toujours refusée, Maggy s'abandonna toute, curieuse. Relâchant au maximum ses muscles fessiers, ainsi que son anus, elle polarisa toute son attention sur les sensations qu'allaient lui apporter cette découverte. Sans trop d'émoi, elle sentit tout d'abord un des doigts de Jeanne forcer l'ouverture de son orifice secondaire pour s'y agiter doucement. Attentive à ce que pouvait lui apporter cette nouvelle pénétration, Maggy dut reconnaître que le massage des parois de ses intestins par ce doigt indiscret lui procurait un certain bien être. Rassurée par ce début, par ma fois, prometteur, la jeune femme s'abandonna alors complètement aux attouchements de son initiatrice.
Les deux mains refermées sur ses volumineux seins aux mamelons encore douloureux, elle ferma les yeux afin de mieux savourer ce plaisir diffus qui se répandait dans ses entrailles. Les secondes s'écoulèrent dans un silence religieux.
Le bruit soudain de la porte de la salle d'eau ramena brusquement les deux complices à la réalité. Jeanne retira vivement son doigt du cul accueillant et se redressa rapidement. Tendant la main à Maggy qui du fait de son gros ventre éprouvait un certain mal à se relever, elle l'aida à reprendre une position plus correcte.
Maggy eut juste le temps de rabattre sa nuisette sur ses cuisses avant que Robert fasse son apparition dans la chambre :
-- Voila, c'est terminé pour moi, lança-t-il à la cantonade... Au suivant !
-- Allez-y Tante, décida Maggy... Moi j'irais lorsque vous serez partis...
Récupérant ses vêtements de la veille, Jeanne se dirigea en direction de la salle de bain le désir toujours présent au fond de ses entrailles.
-- Je vous laisse !... Tachez d'être sage tout les deux, lança-t-elle mutine en quittant la chambre.

* * * * * *

-- Bon, je vais m'habiller, décida Robert en quittant la chambre d'amis.
-- Je viens avec toi, décréta Maggy...
Arrivés dans leur chambre conjugale, Maggy s'assit à même le lit, alors que Robert retirait sa veste de pyjama. La jeune femme ne put s'empêcher d'admirer son époux, les larges épaules, le torse musclé où une légère toison moussait, la taille fine. Emue, elle l'interpella :
-- Tu sais, pendant que tu faisais ta toilette, nous avons discutés avec ta tante...
-- Ah oui ?
-- Je... je lui ai avoué nos problèmes, continua Maggy, alors que Robert retirait le pantalon de son pyjama, apparaissant entièrement nu.
-- Ah !... Et qu'est-ce qu'elle en dit, s'exclama Robert incrédule ?...
Maggy demeura un instant sans voix, les yeux fixés sur ce sexe aux dimensions étonnantes. Malgré l'interlude sexuel que lui avait offert Jeanne quelques instants plus tôt, ou peut-être bien à cause de cet interlude justement, ses sens, nullement apaisés, continuaient de la travailler. La vue du membre viril pendant mollement au bas du ventre de son époux, la troubla fortement. Elle qui avait décidé à un moment donné, de se refuser à tout attouchement sexuel de la part de son compagnon, se sentait soudainement follement attirée par cette virilité qu'elle avait rejetée par crainte.
-- Eh bien... elle m'a fait comprendre que j'avais tort de me conduire comme ça... avec toi, murmura Maggy d'une petite voix honteuse...
Sidéré, n'en croyant pas ses oreilles, Robert s'immobilisa face à son épouse ; ainsi sa tante avait su convaincre Maggy, alors que lui n'y était jamais parvenu. Décidemment Jeanne le surprenait une fois de plus.

Devant le silence de son mari, Maggy releva la tête qu'elle tenait baissée, telle une gamine fautive. Ce qu'elle découvrit alors la rassura : à quelques centimètres de son visage, la verge de son époux oscillait mollement sous un début d'érection. Sans un mot, comme pour se faire pardonner ces mois d'abstinence sexuelle qu'elle lui avait fait endurer, elle referma ses doigts autour de la longue verge qui peu à peu se gonflait. Délicatement, elle repoussa la peau mobile du méat, dégageant entièrement le gland rosé, admirable fruit de chair. Puis retrouvant les gestes qu'elle avait si souvent pratiqué avant sa phobie, elle agita lentement son poignet, faisant coulisser sa main refermée le long du membre viril qui se tendait.
-- Je m'excuse pour tout ce que je t'ai fais endurer, murmura-t-elle... Tu ne m'en veux pas trop ?... J'avais tellement peur pour notre bébé...

Déjà extrêmement surpris par la transformation qui s'était opérée chez son épouse, grâce à sa tante, Robert se garda bien d'émettre le moindre reproche. Au contraire :
-- Bien sur que je ne t'en veux pas... Je comprends que tu ais pu être perturbée par ta grossesse... Allez, c'est de l'histoire ancienne...
-- Tu es gentil... Je veux me faire pardonner... Je vais te faire jouir avec ma bouche, mais je te promets que ce soir tu pourras me faire l'amour... J'en ai envie... Tu pourras même si tu le désire me prendre... par derrière... dans mon petit trou...
A cette précision, Robert resta abasourdi. Jamais Maggy ne lui avait permis ce genre de pénétration. Que pouvait lui avoir dit Jeanne, pour que son épouse accepte la profanation de son adorable petit cul par son membre viril ; ce qu'elle lui avait toujours refusé. Quels arguments avaient avancés sa tante pour que Maggy soit transformée à ce point. Décidemment, l'épouse de son oncle se révélait comme une femme incroyable ; non seulement elle s'était montrée à son égard une maîtresse passionnée, mais en plus voila qu'elle réglait ses problèmes sexuels.
Mais la bouche chaude et humide de sa femme se refermant sur son gland, chassa de son esprit toutes les questions relatives au comportement de sa tante. Oubliant tous ces mois de jeûne forcé, il se laissa gagner par le suave plaisir que lui prodiguait la bouche chaude et humide de son épouse.

*
* *

Loin de se douter de la mini révolution qu'elle avait créée dans le couple de son neveu, Jeanne s'activait à sa toilette. Entièrement nue sous la douche, elle laissait l'eau ruisseler sur son corps épanoui, cherchant par ce moyen à calmer ce désir sournois qui la travaillait depuis son réveil. Les jeux érotiques qu'elle avait partagés avec Maggy, quelques instants auparavant, n'avaient fait qu'empirer encore ce besoin sexuel. Si l'épouse de son neveu avait connu la jouissance, Jeanne par contre était restée sur son envie.
La tête rejetée en arrière pour éviter de se mouiller les cheveux, les yeux clos, Jeanne se laissa emporter par la douce félicitée que les jets d'eau lui procuraient en frappant les aréoles gonflées de ses seins. Sous l'insidieux désir qui lui consumait les entrailles, ses tétons, flagellés par les gouttes d'eau, se dressaient orgueilleusement, appelant un attouchement qui les auraient calmés. Aussi se laissant guider par ses sens en émoi, Jeanne porta ses deux mains à ses seins ruisselants, qu'elle cajola langoureusement, les pressant de ses paumes.
Trouvant ses bourgeons durcis au centre de leurs aréoles boursouflées, elle les pinça délicatement, se procurant comme à chaque fois, un ineffable plaisir. Longuement elle tritura ainsi ses tétons érigés. Ces attouchements, joints aux crépitements des gouttes d'eaux sur ses mamelons dilatés, déclenchèrent très vite dans le corps de Jeanne, des ondes sensuelles qui lui irradièrent les reins et les entrailles.
Affolée par cette houle voluptueuse qui prenait possession de son corps, Jeanne laissa glisser sa main droite le long de son ventre palpitant, jusqu'à la fourche de ses cuisses où l'eau de la douche s'écoulait en un filet continu. Habilement, d'un doigt habitué à ce genre d'attouchement, elle effleura son clitoris émergeant des replis de sa vulve, provocant immédiatement une vague sensuelle à l'intérieur de son ventre. Follement excitée, oubliant l'endroit où elle se trouvait, Jeanne entreprit de se masturber voluptueusement, accentuant encore un peu plus le désir qui lui échauffait les sens.
Prenant soudain conscience, entre deux bouffées sensuelles, qu'elle ne pouvait trop s'attarder ainsi dans la salle d'eau, Jeanne cessa à contre coeur les frôlements de son clito. Coupant l'eau de la douche, elle se saisit d'une serviette éponge avec laquelle elle s'essuya vivement, prenant garde de ne pas venir frôler son sexe en ébullition...
Séchée, elle entreprit alors de s'habiller rapidement. S'emparant tout d'abord de sa culotte, elle inspecta minutieusement l'entrejambe qui avait subi la veille au soir, tant de souillures vaginales. Quelques taches suspectes maculant l'entrejambe décidèrent Jeanne à se dispenser de son sous-vêtement. Tans pis, elle serait nue sous sa jupe, et comme elle avait décidé de passer chez elle avant de se rendre à la clinique, elle en profiterait, songea-t-elle pour récupérer un slip propre. L'idée de déambuler avec les fesses et le sexe sans protection, à la merci du moindre coup de vent, l'émoustilla encore un peu plus. Rangeant alors sa culotte souillée dans une des poches de sa veste elle continua de se vêtir. Ayant agrafé son soutien-gorge, elle positionna délicatement ses seins aux mamelons encore sensibles dans les balconnets de soie. Puis ce fut au tour du chemisier de dentelles qu'elle boutonna sur son opulente poitrine. Alors seulement elle enfila sa jupe sur ses fesses dénudées.
Tout en finissant d'arranger sa tenue, Jeanne éprouvait une certaine excitation en songeant que dans quelques instants elle allait se retrouver seule avec son cher neveu. Son esprit enfiévré échafaudait mille manières pour faire découvrir à ce dernier l'absence de sous vêtement intime.
Ayant enfilé sa veste de tailleur dans la poche de laquelle se trouvait son slip, Jeanne se plaça face au miroir pour mettre de l'ordre dans sa chevelure. Alors qu'elle tentait de discipliner quelques mèches rebelles, son regard se posa sur la tablette placée au dessus du lavabo. Cote à cote, dans leurs étuis respectifs, deux brosses à dents attirèrent son attention. L'une bleu et l'autre rose, prouvaient leur appartenance. Si cette différence de couleur fit sourire Jeanne, ce qui surtout éveilla sa curiosité fut que ces brosses à dents possédaient une tête ronde actionnées électriquement. Bien que sachant que ce genre d'appareil existait, c'était la première fois qu'elle en voyait... Reposant le peigne avec lequel elle se coiffait, elle s'empara de la brosse de couleur bleue pour l'examiner. Curieuse, elle appuya sur le bouton servant d'interrupteur ; dans un bruit sourd la tête dardée de poils s'activa. D'abord amusée Jeanne fixa la tête qui vibrait dans un ronronnement sourd ; puis interrogatrice sur l'efficacité de l'appareil de soins dentaires, elle posa la brosse sur la paume gauche. Un léger frottement lui agaça le creux de la main, la chatouillant en même temps.
Sous ce contact doux et presque sensuel, Jeanne dont le désir dans son ventre ne s'était pas assagi, fut prise d'une idée aussi soudaine que perverse. Si cette brosse en mouvement titillait si délicieusement la chair sensible de sa paume, qu'elle effet pouvait-elle avoir sur son clitoris en effervescence ? Sans plus réfléchir, trop énervée sexuellement pour analyser ce que son idée avait de pernicieux, Jeanne retroussa sa jupe, dénudant son bas-ventre moussu. Follement excitée par ce qu'elle allait entreprendre, elle dirigea la brosse à dents en action, en direction de sa longue fente d'où sourdait une douce humidité. Ecartant tout d'abord la luxuriante toison au centre de laquelle palpitaient ses grandes lèvres sexuelles, elle élargit cette dernière afin de dégager son bouton d'amour. Avec émotion elle approcha alors la tête vibrante de son clitoris, qu'elle maintenait, en le pinçant, hors de ses replis. Un frisson de plaisir traversa son bas-ventre, quand les poils de la brosse à dents en action frôlèrent son berlingot de chair.
Appréciant ce suave plaisir, Jeanne en oublia le temps qui passait. Agitant la brosse à dent de bas en haut, elle en frotta la tête vibrante le long de ses grandes et petites lèvres sexuelles, éprouvant un plaisir de plus en plus soutenu. Arc-boutée au lavabo, fixant son image dans le miroir lui faisant face, elle épia la montée de la volupté dans ses entrailles. Les poils mi-durs de la brosse à dents agaçant ses chairs intimes, lui procuraient des élancements jouissifs, qui prenant naissance au plus intime de ses entrailles venaient mourir dans le creux de ses reins. Chaque retour de la tête vrombissante contre son clitoris tuméfié, déclenchait dans le bas-ventre de Jeanne des spasmes de plus en plus intenses.
Sentant la jouissance prendre possession de ses entrailles, Jeanne dans un réflexe irraisonné, appuya vigoureusement la brosse en mouvement contre son clito boursouflé. Les poils mi-durs malaxant durement son berlingot irrité en un mouvement circulaire alterné déclenchèrent alors chez Jeanne une fulgurante jouissance. Accrochée d'une main tremblante au lavabo qui se trouvait face à elle, elle s'abandonna aux spasmes voluptueux qui lui irradiaient les reins et le bas-ventre, la tétanisant toute. Soudain, un orgasme d'une violence extraordinaire s'empara de tout son corps, la faisant vaciller sur ses jambes largement écartées. Sous cette jouissance foudroyante qui la plia en deux, Jeanne lâchât précipitamment la brosse à dents, qui tomba à terre sur le carrelage, pour s'accrocher désespérément au lavabo, le bas-ventre convulsé.
Il y avait si longtemps que ses sens réclamaient un apaisement.
Lorsqu'au bout de cinq minutes, Jeanne émergea de sa torpeur voluptueuse, elle demeura un instant immobile, les jambes tremblantes, tachant de reprendre ses esprits, et essayant de comprendre ce qui venait de lui arriver. Lors de son foudroyant orgasme, un flot abondant avait jailli des profondeurs de son vagin, lui éclaboussant l'intérieur des cuisses. Jamais encore, lors de ses jouissances précédentes, sa chatte n'avait rejetée une telle quantité de liquide. C'était comme si sa vessie s'était soudainement vidée ; mais elle était certaine que ce n'était pas de l'urine qui avait giclé de son sexe. Afin d'en être absolument certaine, Jeanne porta une main curieuse entre ses cuisses pour recueillir un peu de cette coulure vaginale. Puis portant ses doigts à ses narines elle les huma afin d'en découvrir le fumet, puis elle les lécha pour goûter cette étrange liqueur. Etonnée, elle ne put que constater que cette sécrétion, premièrement n'était pas de l'urine, ainsi qu'elle l'avait pressenti, mais surtout qu'elle n'avait aucune senteur particulière.
Se posant des questions sur cette étrange éjaculation vaginale, nouvelle pour elle, Jeanne essuya méticuleusement l'intérieur de ses cuisses et son sexe, avant de rabattre sa jupe sur ses jambes. Puis avec émotion elle ramassa à terre, la brosse à dents qui lui avait prodigué un si fulgurant orgasme, pour la remettre à sa place, bien décidée d'en acquérir une pour elle dès le lendemain.

*
* *

L'esprit encore troublé par ce qui lui était arrivée lors de sa folle masturbation, Jeanne pénétra dans la cuisine où Robert et Maggy discutaient calmement. Cette dernière avait revêtu une robe de chambre de soie qui camouflait quelque peu son gros ventre.
-- Voila, je suis prête, lança-t-elle à la cantonade... Maggy la place est libre...
-- Merci, Tantine... Désirez-vous une tasse de café avant de partir, car je suppose que vous avez hâte de retrouver Tonton !...
-- En effet... Mais je désirerais passer à la maison afin de me changer avant de me rendre à l'hôpital.
-- Mais bien sur, Robert va vous y mener... N'est-ce pas chéri ?
Jeanne remarqua que Maggy lui souriait d'un air complice tandis qu'elle s'adressait à son mari ; et que ce dernier la regardait étrangement. Que s'était-il passé entre eux alors qu'elle se trouvait enfermée dans la salle d'eau ? Maggy aurait-elle suivi les conseils qu'elle avait tenté de lui transmettre ?
-- Bon et bien si tu es prête Tatan, nous pouvons partir, annonça Robert.
-- Comme tu veux mon grand !
Alors qu'elle embrassait Maggy, en la remerciant de l'avoir accueilli, cette dernière lui retourna ses remerciements :
-- C'est à moi de vous remercier Tantine... Vos conseils m'auront été fort utiles, lui souffla-t-elle à l'oreille.

*
* *

A peine la voiture eut-elle franchie le portail de la propriété que Robert posa sa main sur le genou gauche de sa tante, que la jupe légèrement retroussée laissait à nu. Tout en pressant tendrement la chair chaude et ferme, il annonça :
-- Maggy m'a dit que vous aviez eu une discussion toute les deux... Je ne sais pas ce que tu lui as dis, mais je peux t'assurer que tu as réussi...
-- Ah oui !... Comment cela ?
Robert hésita un instant. Devait-il avouer à sa tante et amante, que pendant qu'elle procédait à sa toilette, Maggy lui avait fait une pipe des plus savoureuse, au point qu'il n'avait pu se retenir de jouir à longues giclées. Émission de sperme que Maggy s'était empressée d'avaler. Ne risquait-il pas par cet aveu de compromettre à jamais ses relations amoureuses avec sa chère tante. Même s'il savait que cette liaison avec la femme de son oncle ne pouvait durer longtemps, il comptait bien en profiter encore quelques temps. Au moins jusqu'à ce que son épouse puisse, après son accouchement, reprendre une vie sexuelle normale.
-- Elle m'a assuré qu'elle ferait tout son possible pour me satisfaire sexuellement, annonça-t-il.
-- Alors vous voila réconciliés, constata Jeanne avec un sentiment d'amertume.
Comme son neveu, elle savait bien que leurs relations ne pouvaient durer, mais elle avait espéré qu'ils auraient encore quelques occasions de se procurer mutuellement du plaisir. Le jeune homme lui avait procuré une telle jouissance à chaque fois qui lui avait fait l'amour, qu'elle avait escompté que cela durerait encore longtemps. Mais si Maggy, comme lui annonçait Robert, reprenait son rôle d'épouse amoureuse, elle allait devoir renoncer à tout espoir de revivre les moments fabuleux qu'elle avait connu depuis quarante huit heures. Se refusant à cette éventualité, Jeanne posa sa main sur celle de Robert qui lui enserrait le genou, pour la presser tendrement :
-- Tu vas donc retrouver une vie amoureuse normale, tenta-t-elle de plaisanter... J'en suis contente pour toi... même si j'avais espéré que cela durerait plus longtemps entre nous... Je veux te remercier pour ce que tu m'as fait connaître...
S'avisant de la détresse de sa tante, Robert s'empressa de la rassurer :
-- Tu connais Maggy, ça m'étonnerait qu'elle change vraiment pendant le reste de sa grossesse... Et même après...
Et pour appuyer ses affirmations, Robert se força à émettre un long soupir de tristesse, tout en caressant tendrement le genou lisse et rond de sa tante.

Soudainement attendrie par l'amertume prononcée de son cher neveu, Jeanne, pleine de compassion pour celui qu'elle avait toujours considéré comme un fils, et qui était devenu son amant, resserra ses doigts sur la main qui lui pétrissait le genou :
-- Tu sais que je serai toujours là pour... t'aider, tenta-t-elle de convaincre... En attendant que Maggy se conduise de nouveau... en épouse...

Robert sourit intérieurement ; son subterfuge avait largement réussi. Il pourrait continuer à assouvir les fantasmes sexuels avec sa sensuelle tante : ces fantasmes que son épouse lui refusait. Alors rassuré sur son avenir érotique, il se concentra sur sa conduite, sans pour autant cesser de caresser le genou de sa parente.

Réalisant que temps que Maggy ne se comporterait pas en épouse amoureuse, Robert viendrait épancher ses désirs sexuels en sa compagnie, Jeanne se sentit soulagée. Retrouvant subitement l'espoir, elle se laissa alors aller au plaisir diffus, que la main de son neveu caressant son genou lui procurait. Celle-ci remontait insensiblement de plus en plus haut sur sa cuisse frémissante. Encore quelques secondes et Robert allait découvrir qu'elle ne portait pas de culotte. A cette idée, elle sentit la chair de son ventre se crisper sensuellement. La gorge nouée par un désir pervers, elle attendit avec émoi le moment où les doigts de son compagnon allaient venir frôler sa toison intime. Déjà sa vulve s'humidifiait abondamment dans l'attente d'un attouchement plus précis.

Un rond-point à négocier força Robert à retirer sa main de la cuisse de sa tante afin de reprendre le volant.

Le retrait des doigts fureteurs de sa cuisse, alors que son compagnon allait découvrir sa nudité, déclencha un sentiment de frustration dans l'esprit de Jeanne. Lorsqu'elle avait compris que son aventure sexuelle avec son cher neveu n'était pas terminée, elle en avait été si soulagée, que le désir s'était de nouveau fait sentir dans ses entrailles. Profitant que Robert se concentrait sur sa conduite, et sans se soucier que l'on pouvait la voir des fenêtres des immeubles qu'ils longeaient, elle retroussa vivement sa jupe jusqu'au niveau de son pubis velu.
-- Regarde, murmura-t-elle.

Surpris par cette demande alors qu'il se focalisait sur la conduite de sa voiture, Robert jeta un regard distrait vers sa compagne. Le spectacle qui s'offrit à son regard le surprit au point qu'il faillit griller le feu qui venait de passer au rouge. Fixant incrédule le bas-ventre dénudé de sa tante où moussait l'abondante toison brune, il demeura un moment complètement ébahi, incapable de la moindre réaction. Aussi loin qu'il pouvait remonter dans ses souvenirs d'enfance, sa tante s'était toujours montrée particulièrement réservée et pudique. Du temps où il passait ses vacances scolaires chez son oncle, jamais il n'avait vu Jeanne vêtue autrement qu'avec une ample jupe qui lui tombait bien au dessous de genoux ; et un corsage fermé à ras le cou. Cela n'avait pas empêché l'adolescent qu'il était de fantasmer sur les émouvantes rondeurs qui déformaient le devant des chemisiers de sa tante.
Le comportement de Jeanne avait complètement changé, songea-t-il, au moment où elle était devenue sa maîtresse. Ou alors avait-elle toujours été cette femme sensuelle qu'il avait découverte trois jours plus tôt, à l'occasion d'un évènement bien particulier. En y réfléchissant bien, Robert reconnu qu'il avait été extrêmement surpris de découvrir en sa tante qu'il avait connu si pudique, si correcte, une telle amoureuse. Au fil de leurs relations sexuelles il avait découvert en Jeanne une femme passionnée, ardente, prête à toutes les audaces érotiques. Non seulement elle s'était prêtée complaisamment à tous ses fantasmes sexuels, mais elle l'avait même encouragé à assouvir ses plus folles envies, se montrant particulièrement intuitive.
Profitant de l'arrêt obligatoire de la voiture, il posa sa main droite sur le pubis dévoilé, fourrageant avec délice parmi les innombrables bouclettes.
-- Ca te plait, murmura Jeanne ?... J'ai pensé que tu voudrais certainement aller fureter sous ma jupe, aussi j'ai préféré ne pas mettre de culotte ...
-- Tu as bien fait, acquiesça Robert en glissant insidieusement son majeur jusqu'à la faille sexuelle tapie au centre de son abondant buisson.
Il n'eut pas à fourrager longtemps parmi les poils entremêlés pour découvrir l'accès de la grotte intime de sa perverse tante.
-- Mais tu es déjà toute trempée, constata-t-il, en enfonçant son majeur dans le magma liquide qui sourdait de la chatte en fusion.
-- Depuis ce matin j'ai tellement envie que tu me fasses l'amour... Je t'ai espéré ce matin, j'aurai tellement aimé que tu viennes me rejoindre dans mon lit...
-- J'y avais pensé, mais Maggy était réveillée avant moi... Tu veux que l'on trouve un endroit désert ?... Moi aussi j'ai envie...
-- Non, je préfère que l'on rejoigne la maison !... Je peux attendre encore un peu... Je veux que me prenne sur la table de la cuisine... Comme la première fois... Tu te rappelles ?
-- Et comment que je m'en rappelle, acquiesça Rober déjà excité... Je ne suis pas prêt de l'oublier... Tu as encore le poireau ?
-- Non, je l'ai mangé le soir même... Il était délicieux, d'ailleurs... Aujourd'hui il faudra que tu te contentes de ta queue pour me faire jouir...
Le feu de signalisation passant au vert obligea le jeune homme à retirer son doigt de la chatte ruisselante de sa sensuelle parente. Reprenant le volant à deux mains, il dirigea sa voiture dans le flot de la circulation.
-- Oh dommage, gémit Jeanne, soudainement privée de cet attouchement voluptueux.
-- Branle-toi !
-- Je préfère lorsque c'est toi, geignit Jeanne... C'est bien meilleur !...
Mais le désir qui s'était installé au plus profond de ses entrailles, étant le plus fort, Jeanne accepta de suivre le conseil de son pervers neveu. Sans se soucier de ce que sa tenue avait d'obscène pour d'hypothétiques spectateurs, elle glissa vivement sa main droite entre ses cuisses largement écartées. Fourrageant à son tour parmi les bouclettes indisciplinées de sa toison intime, elle n'eut aucune peine à trouver son clitoris, tant ce dernier avait été habilement agacé par les attouchements précis de Robert. Du bout du majeur elle entreprit alors de frôler son minuscule bouton, se procurant un plaisir insidieux.
-- C'est bon ? questionna Robert qui la surveillait du coin de l'œil.
-- Huumm...
-- Enfonce bien ton doigt à l'intérieur de ta chatte !... Branle-toi bien !...
Trop excitée pour se contrôler, Jeanne accepta de se soumettre aux désirs de son débauché de neveu. Abandonnant les frottis de son clitoris énormément gonflé, elle présenta son index et son majeur accolés à l'entrée de sa vulve copieusement humidifiée. Avec un plaisir évident, elle enfonça lentement ses deux doigts à l'intérieur de son sexe où elle les fit lentement coulisser. Sous le va-et-vient de ses phalanges dans le corridor juteux de son vagin, elle ne tarda pas à ressentir une douce volupté l'envahir. Comme animées d'une vie propre, ses hanches ondulèrent sensuellement, accompagnant le frottement de ses doigts dans sa chatte.
-- C'est bon, se répéta Robert qui surveillait toujours sa tante du coin de l'oeil ?
-- Je suis trempée, grogna Jeanne dans un murmure... Tu devras essuyer ton siège avant de rentrer...
Malgré sa récente éjaculation dans la bouche de son épouse, Robert avait senti son membre viril se gonfler spasmodiquement au fil des minutes. Le spectacle que lui offrait sa sensuelle tante avait redonné vie à son sexe momentanément apaisé par la fellation que lui avait procuré Maggy quelques instants plus tôt. Il lui fallait atteindre la demeure de sa tante le plus vite possible afin d'apaiser ses sens perturbés. Cependant, désirant un acompte avant le festin final, il saisit la main gauche de sa parente, pour la poser sur sa braguette déformée.
-- Hum, je sens que je vais me régaler, ironisa Jeanne en percevant sous ses doigts l'affolante excroissance.
Sans pour autant cesser de se masturber, Jeanne s'ingénia palper cette forme oblongue qui avait déclanché en elle cette soif de luxure. A percevoir sous ses doigts la dureté du membre viril de son cher neveu, elle sentit un accroissement de son excitation. La totalité de son corps, depuis ses seins jusqu'à son bas-ventre, ainsi que ses reins, fut parcouru par un long frémissement érotique. De sa vulve, investie par ses doigts, un véritable ruisselet de cyprine, s'écoulait, s'infiltrant entre ses fesses avant de souiller le siège de la voiture. Une fois encore, elle fut surprise par l'abondance de ses fuites vaginales : jamais auparavant elle n'avait mouillé aussi abondamment sous le désir. Elle en était sure maintenant, les fabuleux orgasmes que lui avait fait découvrir son neveu, avait déclenché en elle une étrange transformation sexuelle.
Pressant fiévreusement le sexe bandé de son cher amant, Jeanne regretta d'avoir refusé la proposition de ce dernier, de trouver un endroit discret où ils auraient pu faire l'amour. Elle avait soudain un besoin impérieux de sentir ce membre prodigieux s'enfoncer dans son sexe affamé ; sentir le gland volumineux repousser ses chairs intimes avant d'investir son vagin. Elle voulait surtout ressentir de nouveau ce plaisir extraordinaire, que lui occasionnait à chaque fois cette merveilleuse bite. Telle une droguée accro à sa dope, elle était devenue dépendante du sexe.
Elle se consola néanmoins en songeant que dès qu'ils arriveraient chez elle, ce qui n'allait pas tarder, elle forcerait son neveu à éteindre de sa lance magique, le brasier qui lui consumait les entrailles. Dut-elle pour cela le violer...

Malgré l'attention qu'il apportait à la conduite de la voiture, Robert n'en appréciait pas moins les attouchements dont il était l'objet de la part de sa sensuelle tante. Cette dernière, après avoir longuement tâter sa virilité gonflée, comme pour en reconnaître les contours, avait entrepris de la presser entre ses doigts. Ce nouveau tâtonnement, plus affolant du fait de sa précision, ne fit qu'accroître encore son érection :
-- La marchandise te convient ? tenta-t-il de plaisanter, alors que le désir lui nouait la gorge.
-- Elle me semble à point, répliqua Jeanne sur le même ton... C'est exactement la grosseur qu'il me faut...
Or comme elle passait sa main pour la énième fois sur la braguette déformée, Jeanne heurta de son pouce la tirette de la fermeture éclair. Aussitôt l'envie irrésistible de sentir la merveilleuse bite frémir au creux de sa main la saisit. Délaissant sa chatte qu'elle caressait avec de moins en moins de conviction, elle tira sur la languette de métal, pratiquant une incision dans le pantalon de son compagnon. Impatiente de retrouver l'extraordinaire membre viril qui lui avait fait connaître tant de bonheur, elle s'empressa d'enfoncer sa main dans l'ouverture provoquée.

Tout en étant attentionné à la conduite de la voiture, Robert appréciait les frôlements des doigts de sa chère tante le long de la protubérance que formait son sexe en érection. Chaque palpation accroissait son désir et la rigidité de son membre viril. Ce n'est que lorsqu'il sentit la main féminine fureter à l'intérieur de son pantalon, qu'il comprit les intentions lubriques de sa sensuelle partenaire.
-- Qu'est-ce que tu cherches là ? questionna-t-il malicieux.
-- Je veux me rendre compte si elle est suffisamment dure...
Ne voyant rien d'anormale à ça, Robert laissa sa tante œuvrer à son aise dans son pantalon. Malgré la difficulté, due à leurs positions respectives, Jeanne réussit néanmoins à repousser son slip, et c'est avec un frisson de désir qu'il sentit les doigts de celle-ci se refermer autour de sa verge.
-- Alors ? Qu'en penses-tu ?... Elle est à ton goût ?... Assez dure ?....
-- Ça peut aller !... Je sens que je vais me régaler....

Sans plus s'occuper de sa jupe largement retroussée sur son bas-ventre dénudé, Jeanne entreprit alors de branler son jeune amant. A demi tournée en direction de celui-ci, elle activa sa main autour du membre gonflé, qu'elle sentait frémir entre ses doigts. Mais l'exiguïté de l'intérieur du pantalon l'empêchant de mener à bien sa masturbation, elle décida d'extraire la verge tendue de son amas de tissu. Repoussant les bords de la braguette, elle dégagea péniblement cette bite tant convoitée.
-- Tu es folle, s'inquiéta Robert... On peut nous voir...
-- Et alors ? Tu m'as bien demandé tout à l'heure de me branler, et cela ne te gênait pas que l'on puisse me voir... Je crois même que cela t'excitait !... Je me trompe ?
-- En effet, reconnu Robert...
-- Salaud !... Je dois dire que moi aussi j'étais excitée à l'idée que quelqu'un pouvait m'apercevoir en train de me caresser... Tu m'as complètement transformé... Je ne me reconnais plus. Jamais je ne me serais conduite ainsi avant...
-- Tu le regrettes ?
-- Oh non !
Tout en dialoguant Jeanne avait repoussé la peau mobile qui recouvrait encore le prépuce, décalottant largement le gland congestionné. Longuement elle contempla le bourgeon luisant au centre duquel la minuscule bouche du méat semblait la narguer :
-- Vivement que l'on arrive, murmura-t-elle. Je meurs d'envie de sucer ton gros bout !
Ayant refermé ses doigts autour du membre viril gonflé, Jeanne les activa doucement de bas en haut, branlant voluptueusement son jeune amant. Doucement, comme elle l'aurait fait avec un jeune animal apeuré, elle entreprit de frôler d'un doigt léger le bourgeon gonflé qui frôlait le volant de la voiture.

Bien que ravi par l'audace de sa perverse tante, Robert, repoussa cependant la main sournoise.
-- Tu ferais bien de remballer l'engin. Nous arrivons...
-- Chic, s'écria Jeanne en remettant en place, non sans mal, la verge extrêmement gonflée...

Robert trouva facilement à se garer, à quelques mètres de la maison de sa tante. Jeanne n'attendit pas que son neveu vienne lui ouvrir la portière pour s'éjecter du véhicule, trop pressée qu'elle était de continuer ce qu'elle avait entrepris sur la virilité de son partenaire.
A peine la porte d'entrée franchie et refermée, Jeanne se jeta sur son neveu conte lequel elle se plaqua étroitement. Rendue hystérique par le désir qui lui travaillait les entrailles, elle colla son pubis frémissant contre l'énorme protubérance qui déformait le pantalon de son compagnon. Saisissant presque sauvagement le visage du jeune homme entre ses mains, elle appuya ses lèvres affamées aux siennes, et d'une langue vorace elle força la bouche de son partenaire, cherchant la langue de ce dernier.

D'abord surpris par l'impétuosité de sa tante, Robert laissa celle-ci assumer ses envies. Tout en lui fouillant la bouche d'une langue experte, Jeanne frottait lascivement son bas-ventre contre la bosse que faisait son membre gonflé. Emporté par le désir que sa tante ne faisait qu'attiser par ses déhanchements lascifs, Robert referma ses mains sur les fesses rondes de sa sensuelle parente, pour les presser fiévreusement. L'absence de culotte rendait le postérieur qu'il malaxait beaucoup plus élastique sous ses doigts ; aussi ne se priva-t-il pas pour y enfoncer ses doigts, pétrissant fiévreusement les chairs compressibles. Sous les massages passionnés qu'il faisait subir à la croupe de sa compagne, celle-ci ne tarda pas à onduler de plus en plus lubriquement contre son membre qu'elle écrasait de son pubis. Robert, agrippa la jupe qu'il chiffonnait depuis un instant, pour la retrousser. Alors il put empoigner les fesses nues qu'il malaxa avec ivresse, les pressant avec une réelle volupté. Crochetant ses doigts dans les chairs tendres des fesses moites de désir, il écarta largement les deux globes charnus écartés, entre lesquels il entreprit de fureter à l'aide de son majeur. Il n'eut pas à chercher longtemps pour trouver la corolle plissée de l'anus, qui s'ouvrit d'elle-même sous la poussée de son doigt fureteur.

Dès que les mains masculines s'étaient refermées sur les chairs érogènes de ses fesses, Jeanne avait ressenti un long frisson voluptueux lui irradier le creux des reins. Affolée par cet attouchement terriblement voluptueux, elle se cambra lascivement, appuyant plus fortement encore son pubis contre l'arrogante virilité qu'elle percevait, malgré les vêtements qui la protégeaient encore. Comme le doigt indiscret de son pervers neveu forçait son anus pour s'enfoncer dans ses intestins, elle ne put refréner l'impérieux désir qui la travaillait. Vivement elle porta une main en direction de la braguette déformée de Robert :
-- Donne moi ta queue, gémit-elle dans un souffle... Viens !... J'ai tellement envie de la sentir en moi ! ...
Maladroitement, elle chercha la fermeture éclair qui préservait encore l'objet de ses désirs. Comme elle tirait sur la languette de métal permettant l'ouverture du pantalon, la sonnerie de la porte d'entrée résonna dans le silence de la maison, figeant immédiatement les deux amants :
-- Qui ça peut-être ? maugréa Jeanne, furieuse d'être dérangée en pareil moment...
Puis après un moment d'incertitude, ce fut Robert qui décida de la conduite à tenir. Repoussant sa tante de son corps auquel elle était toujours plaquée, il la conseilla :
-- Vas ouvrir, notre arrivée a certainement été remarquée, si tu ne réponds pas cela va sembler bizarre...
-- Tu as raison, bougonna Jeanne en remettant de l'ordre dans sa tenue... Mais tu ne perds rien pour attendre... J'ai bien l'intention de faire l'amour une dernière fois, avant de partir pour l'hôpital...
Sur un dernier baiser, Jeanne se dirigea en direction de la porte d'entrée, ondulant exagérément des hanches, provoquant son jeune amant.

A suivre...