Chemins de Jacques : 17 - Petit passage en Belgique

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Proposée le 20/12/2012 par CAVAL

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Présence d'inceste!

Résumé : Jacques travaille pour une entreprise française qui l'envoie à l'étranger pour des séjours plus ou moins longs. Après l'Allemagne où il a vécu plusieurs mois une ardente histoire d'amour, il va en Belgique. avant son retour en France.


17 Petit passage en Belgique (dernier épisode)

Au dernier moment, mon entreprise me demanda de faire un court séjour en Belgique, dans la partie flamande. Je me disais que si les Flamandes étaient telles que les a chantées Jacques Brel, je n'avais pas grande chance de faire d'agréables rencontres.

Pourtant, au sein de l'entreprise, j'ai été amené à travailler avec Gloria, une gestionnaire qui travaillait conjointement avec le directeur de la production (avec qui elle parlait en français), le directeur commercial (avec qui elle parlait en allemand) et le directeur financier avec qui elle parlait en anglais). A ses talents polyglottes s'ajoutait le flamand, sa langue maternelle. Elle remplissait à merveille sa fonction qui permettait à l'entreprise de mieux servir les clients : l'idée étant que lorsque le client commandait au commercial, on lançait la production, ce qui entraînait un coût, mais également un règlement du client. Ainsi la notion même de stock n'existait pratiquement pas. J'étudiais le processus décrit ici en quelques mots et le trouvai très astucieux. Le programme informatique qu'elle avait développé était très brillant également.

J'ai tout de suite sympathisé avec elle. Sa beauté m'attirait beaucoup également. Elle était brune, à la longue chevelure teinte au henné, formant des reflets légèrement roux ou mordorés sous les rayons du soleil. Sa poitrine était assez volumineuse sous les pulls qu'elle portait.
Je sus me faire apprécier d'elle et le courant passait bien. Aussi lorsque je lui ai dit le vendredi :
- C'est notre dernier jour, je prends le Thalys à Bruxelles dimanche soir pour rentrer en France.
- Déjà ? Mais on se connait à peine.
- Je suis désolé mais cela ne dépend pas que de moi. C'est la boite qui m'envoie de pays en pays. C'est vrai que mon séjour en Belgique a été d'une durée particulièrement courte. En général, au minimum, je reste quelques mois. Là une petite semaine, pour tout connaitre et vous connaitre mieux, ce n'est pas facile.
- Il faut vraiment y remédier. Venez dîner chez moi ce soir, nous pourrons ainsi faire plus ample connaissance.

Je ne me fis pas prier. J'acceptai avec joie cette invitation me disant que cela me permettrait de ne pas passer seul une triste soirée devant la télévision et que d'autre part, il y aurait peut-être avec Gloria une possibilité de rapprochements inattendus.

Au moment de quitter le travail, elle me dit :
- On passe à votre hôtel, vous prenez vos affaires, je veux que vous restiez chez moi jusqu'à votre départ.
- Je ne voudrais pas abuser.
- Ne perdons pas de temps, il nous en reste si peu.

Moins d'une heure plus tard nous étions chez elle, une petite maison dans la banlieue de Louvain. Elle m'a fait asseoir dans le canapé de son salon et est venue tout contre moi en m'embrassant avec fureur ; nos salives se sont mêlées, nos langues se sont entrées en contact, nos lèvres soudées les unes aux autres. L'invitation était trop tentante, si Gloria m'avait fait venir chez elle pour ce week-end, ce n'était pas seulement pour discuter de choses et d'autres, ce n'était pas afin de mieux connaître nos caractères ; non c'était pour nous connaître bibliquement comme l'on dit.

Je l'ai prise à bras le corps et tout en l'embrassant, je parcourais de la main la peau douce de son corps en remontant son pull. Elle m'aida à lui ôter et c'est un soutien-gorge en dentelle fine qui m'apparut. Il emprisonnait deux magnifiques globes au galbe magnifique. Je crus reconnaître une création Aubade, le modèle de la leçon n° 6 :
« S'il résiste, pratiquez l'hypnose ».
Mais je n'avais aucune envie de résister et hypnotisé je l'étais déjà. D'autant plus que cette poitrine, non encore dévoilée était aussi belle que celle de la publicité.
Je ne voulais pas tout de suite dévoiler les charmants appâts emprisonnés sous la fine dentelle. J'ai déposé un baiser dans le vallon entre les deux monts, puis je suis parti à la découverte de ses jambes et de sa culotte qui devait être assortie avec le haut. Je suis remonté sous la jupe, le long des cuisses, au-dessus des bas. Gloria ne faisait rien pour me barrer la route. Sur ma progression, j'ai senti l'attache d'un porte-jarretelles.
« Pourvu, me dis-je, que la culotte soit portée au-dessus des attaches et qu'elle puisse être retirée sans toucher à ces dentelles. »
J'ai poursuivi la progression vers la fourche de ses jambes.

Quelle ne fut pas ma stupeur lorsque mes doigts rentrèrent en contact avec des poils pubiens, directement, sans tissu pour les recouvrir.
- Tu ne portes pas de culotte ?
- Non.
- Jamais ?
- Pas toujours, mais lorsque je ne la trouve pas sous la main ou que je n'ai pas l'assortiment entre le bas et le haut, je mets l'un ou l'autre. Souvent le haut pour que mes nichons ne se baladent trop.
Tout en caressant la douce toison je la questionnais :
- Comment t'est venue l'idée ?
- Il y a quelques années, une amie m'a avoué qu'elle faisait un maximum d'activités chez elle, complètement nue. Elle m'a raconté la joie que cela lui procurait d'être sans vêtements. Il faut bien dire qu'elle m'a un peu poussée à l'imiter. J'ai commencé par faire mes activités habillée, mais sans sous-vêtements. Je me suis tout de suite sentie bien, libérée des entraves du slip qui sert la taille, qui frotte en haut des cuisses et qui rentre dans les fesses, du soutien gorge qui pèse sur les épaules... Si bien que j'en suis arrivée à les retirer systématiquement dès mon retour à la maison après le travail. En étant de plus en plus habituée à rester dans cette tenue, je suis sortie faire mes courses sans sous-vêtement.
- Et, est-ce que comme ton amie, tu fais des activités toute nue ?
- Maintenant oui, mais au début j'étais encore trop pudique, même pour me balader à poil dans mon appartement. Et puis avec des copines, je devais avoir seize ans au plus, on s'est baignée dans une piscine que l'une possédait. Un jour que ses parents n'étaient pas là on se baignait et en faisant les folles, on s'est déshabillé et finalement on a fini la journée comme ça, à poil autour de la piscine. Au moment de me rhabiller, j'ai constaté que la culotte de mon maillot avait été déchirée dans la bataille. Je suis donc rentré chez moi cul nu. Cela avait quelque chose d'étrange mais d'agréable surtout.
- C'était ta première expérience naturiste ?
- Peut-être oui, mais je ne l'ai pas vu ainsi. C'est plutôt l'année suivante avec des copains et des copines, on a été au bord de la mer en France. Le premier jour sur une plage normal j'ai été la première fille à quitter le haut de mon bikini. Les autres nanas m'ont imitée. Puis, on a proposé d'aller sur une plage nudiste, par bravade du genre « t'es pas cap » et ensuite par plaisir, on avait trouvé ça fun. C'est là que j'ai abandonné la culotte pendant les vacances. J'éprouve un certain plaisir à la plage à enlever et remettre ma jupe en restant debout afin que tous voient que je ne porte pas de culotte dessous.
- Ça c'est les vacances, mais dans la vie de tous les jours ? Tu fais comme ta copine, celle qui fait un maximum de choses à poil ?
- Oui pour certaines activités « domestiques » et je dois dire que ça me plait beaucoup. Et à force d'être à poil chez moi, je me force à me rhabiller si je reçois quelqu'un. Sans vraiment m'en rendre compte, je mets de moins en moins souvent de sous-vêtements pour sortir. C'est extra et je me suis dit que si j'avais su le faire une fois pourquoi ne pas adopter définitivement cette façon d'être. Il m'a fallu un peut de courage, mais aujourd'hui, je ne porte plus de sous-vêtements que très rarement.
- Dans toutes les situations tu es à poil sous tes pulls, tes robes, tes pantalons ?
- Bien sûr il reste les obligations, comme le travail où le soutif est malheureusement obligatoire. Une fois je n'en ai pas mis, tous les mecs me regardaient avec des yeux grands comme des soucoupes... enfin, ils regardaient surtout mes nichons. L'hiver n'est pas la meilleure saison, mais j'attends avec impatience les premiers beaux jours de printemps. Vivement les journées ensoleillées durant lesquelles je peux facilement sortir sans sous-vêtement avec des vêtements qui mettent en valeur ma belle poitrine et chez moi, rester nue du matin au soir.

Tout en parlant elle avait remonté sa jupe, me dévoilant une chatte à la pilosité luxuriante, qui n'avait sans doute subi aucune coupe. Je n'avais jamais eu de maîtresse ayant une telle toison et dès mes premières caressez sur cette crinière, cela me plaisait beaucoup, c'était doux, c'était soyeux.

Je me suis dit alors que la chatte, étant nue, les seins devaient l'être aussi dans un souci de cohérence. Comme si elle comprenait le fond de ma pensée, elle a dégrafé son soutien-gorge, c'est alors que je vis qu'elle avait également gardé les poils sous ses bras, un duvet qui n'avait rien de déplaisant mais qui dénotait, vu que les femmes qui ne se rase pas les aisselles sont très rares de nos jours. Pourtant les photos nues de Madonna dans sa jeunesse, la montre avec des poils sur la chatte et sous les bras et c'est magnifique... mais ce n'est plus à la mode.
De son bustier, ont jaillis deux superbes seins pleins de vigueur, d'une parfaite grosseur même s'ils pendaient un peu sous le poids. Je me suis empressé de venir les honorer en les caressant avec mes mains, en les soupesant, en léchant leur pourtour, en posant des baisers sur leurs pointes qui s'érigeaient.

- Tu pourrais te déshabiller, me dit-elle.
Effectivement, sans vraiment m'en rendre compte, elle était nue devant moi, ne portant plus que son porte-jarretelles et ses bas, alors que moi je n'avais quitté que ma veste. En un instant je fus aussi nu qu'à ma naissance, avec un sexe au garde-à-vous, qu'elle est venue prendre en main pour le branler doucement. Je me suis assis sur le canapé et elle s'est agenouillée à mes pieds pour me faire une fellation. Elle a commencé par parcourir mon gland avec le bout de sa langue, puis a embouché ma tige. Sa manière de s'occuper ainsi de mon sexe bandé était admirable.
Gloria devait avoir beaucoup d'expérience en la matière.

Je ne sais si j'aurai pu tenir très longtemps, si d'elle-même n'avait pas interrompu ses divines sucions. Elle m'a pris par la queue et m'a entraîné vers sa chambre. Elle m'a balancé sur le lit après avoir arraché les couvertures et les draps. Elle s'est placée au-dessus de moi, sa chatte sur mon visage, sa bouche reprenant ma queue.
S'en est suivi un magnifique 69 où j'ai découvert toutes les beautés de son sexe. Les poils qui recouvraient le bas du ventre, descendaient le long des lèvres vaginales et remontaient légèrement sur le haut des cuisses. Elle n'avait jamais dû toucher à sa toison pubienne, pas même sous la forme de la « taille maillot » ou d'une légère coupe aux ciseaux. De toute façon, en tant que naturiste, que lui importait de tailler, elle n'avait pas ce problème des poils qui dépassent de parts et d'autres. Mais elle en prenait sans doute grand soin de sa toison, tant les fragrances qui en émanaient étaient douces et agréables, mêlant l'odeur de fruits exotiques et des saveurs plus épicées. Puis on trouvait encore quelques poils allant mourir à l'orée de son anus. Pourtant, la vulve se dessinait parfaitement dans cette forêt vierge et j'y plantai m'a langue pour qu'elle s'ouvre.
J'eus alors accès à des muqueuses délicates et roses dont perlait un peu de liqueur. C'était la source miraculeuse au milieu de la forêt profonde de Brocéliande. Je trouvais dans ces régions mystérieuses, le pays de la belle fée Morgane, l'antre de Merlin, épris de Viviane, sombre et profonde... Je m'employais à baiser, à lécher, à sucer tous ces trésors, allant du clitoris à l'anus de ma belle en faisant pivoter son bassin au-dessus de mon visage.
De son côté, Gloria, léchait mon épée magique, Excalibur, dressée.

Nous étions tout deux au comble de l'excitation, son vagin produisait de plus en plus de cyprine et moi-même je sentais ma semence poindre dans ma verge tendue. Gloria a changé de position et est venue s'empaler sur ma tige érigée en me faisant face. J'ai pris ses admirables nichons en main alors qu'elle restait statique, mon sexe enfoncé profondément en elle. Elle a laissé ainsi retomber un peu la pression. Cette position d'Andromaque me permettait, tout en maintenant mon sexe parfaitement bandé, de retarder une éjaculation trop précoce.
Sentant que je pouvais l'honorer dignement et longuement, elle a entamé des va-et-vient tout d'abord lents, puis de plus en plus rapides. Je pétrissais ses beaux lolos au même rythme que ses allers-retours sur mon pieu tentant de retarder ma jouissance le plus longtemps possible.
Je me suis dégagé, je suis sorti d'elle, l'ai renversé sur le lit et l'ai prise dans une position intermédiaire entre la posture ventro-ventrale et ventro-dorsale. Je suis entré en elle avec rapidité et constance. C'était terriblement intense, des sensations farouches, puisque son sexe était pénétré légèrement de travers. A chaque pénétration profonde, une de mes jambes rentrait en contact avec son clitoris et l'excitait agréablement. Nous nous regardions, échangions des baisers sans pour autant cesser la pénétration.
Nous sommes partis tout deux dans un orgasme terrible qui nous a mis KO plusieurs minutes.

Elle m'avoua, alors que nous faisions une pause et que mes doigts se perdaient dans la jungle de ses poils bruns teins au henné comme sa chevelure, les raisons de sa préférence de ne pas porter de culotte :
- Dès que je peux, j'adore me balader la foufoune à l'air, à la maison, et même dans la rue, je trouve ça vraiment agréable... Je porte souvent des jupes et très rarement des culottes : depuis plusieurs années je suis une véritable adepte de la foufoune à l'air. Je suis souvent cul nu que ce soit à la maison, en voiture, pour faire des courses ou au travail. Si je porte une robe, une jupe ou une mini-jupe, tu peux être assuré que je suis à poil dessous.
- Tu ne crains pas que les gens s'en aperçoivent ?
- Au contraire, ça m'excite de penser qu'à tout moment quelqu'un peut voir mes fesses ou mon entre-jambes... Remarque, avec tous mes poils ils peuvent penser que je porte une culotte noire. Mais ce n'est pas pour cela que j'ai gardé ma toison intacte. Et puis cela me permet de me toucher à tout moment de la journée, quand j'en ai envie. Je peux te dire que les jours précédents, je kiffais pour toi et je me suis astiquée plus d'une fois l'abricot en ta présence, sans que tu ne remarques rien.

Nous sommes repartis pour de nouveaux tumultes qui nous ont apporté de nouveau la jouissance recherchée. Nous sommes allés à la cuisine manger un plat congelé pour nous restaurer. Nous sommes restés nus. J'aimais admirer cette belle fille nue, arborant ses poils comme un trophée. Trophée remporté contre les diktats de la mode, contre la société de consommation. Pour elle c'était une magnifique parure qu'elle n'aurait éradiquée pour rien au monde. Elle était belle ainsi, dans la différence qu'elle entretenait par rapport aux autres femmes.

Le lendemain matin, samedi, Gloria est venue m'apporter le petit-déjeuner au lit. Il a été vite expédié et bientôt ce n'est pas sur les tartines que j'ai étalé la confiture, mais sur son corps, ses seins, ses fesses, et c'est là que je l'ai dégustée. S'en suivi d'autres chaudes caresses. Elle était en train de me procurer une magnifique fellation en se pourléchant du lait concentré sucré qu'elle m'avait étalé sur la verge, lorsqu'on sonna à la porte.
- Tu attends quelqu'un ?
- Non, je vais voir.
Elle fila nue vers la porte d'entrée. Je me suis dit :
« Elle va ouvrir comme ça, le facteur va avoir un choc. »
J'entendis la voix de Gloria et celle d'une autre femme dans l'entrée, sans pouvoir comprendre ce qu'elles disaient, puisqu'elles parlaient en Flamand.

Entra alors dans la chambre Gloria, mais avec une robe.
« Comment en un instant si bref a-t-elle pu s'habiller ? »
Puis, déboulant derrière elle, Gloria nue. Je ne comprenais plus rien. C'est Gloria (celle qui était nue) qui éclaira ma lanterne :
- Jacques, je te présente ma sœur jumelle, Linn. Linn, voici Jacques.
- Je vois que ma sœur ne s'embête pas.

La nouvelle venue me regardait alors que j'étais couché nu sur le lit. Tant j'avais été stupéfait par cette apparition dans la chambre, que je n'avais même pas pensé à couvrir ma nudité.
- Mais plus on est de fous, plus on rit.
En un tour ne main elle a fait passer sa robe par-dessus sa tête et elle se retrouva aussi nue que sa sœur. Sous le vêtement elle était sans culotte et sans soutien-gorge, portant juste un ravissant prote jarretelle assez semblable à celui que portait ma compagne de jeux. Celle-ci d'ailleurs ne voyait pas d'un mauvais-œil qu'une autre fille vienne partager nos étreintes tumultueuses. Moi-même, cela n'était nullement pour me déplaire, bien au contraire.

Linn était en tout point semblable à sa sœur. C'était de vraies jumelles : un visage similaire, juste l'une ayant une mèche de cheveux sur la gauche, l'autre ayant le front nu. Même les cheveux étaient semblables, teint au henné, les yeux verts, la poitrine lourde et très légèrement affaissée, les fesses rebondîtes et... une pilosité aussi magnifique chez l'une que chez l'autre. Leurs deux chattes étaient absolument naturelles, teinte également au henné ; sans parlé des fines touffes de poils sous les bras.

Les deux filles nues et terriblement excitantes sont venues me prodiguer de douces et délicieuses caresses.
Comme durant l'intermède de l'arrivée surprise, j'avais légèrement débandé, elles se sont employées à me prodiguer une double fellation : deux belles bouches courant sur ma pine. Je faisais aller mes mains sur les deux corps nus et admirables. Puis j'ai pu goûter au sexe de Linn, avant que Gloria ne revienne poser sa vulve tout contre ma bouche. J'ai alors senti que Linn s'empalait sur ma queue parfaitement dressée. Après un petit instant où elle resta statique, comme pour s'assurer que mon sexe entier était en elle, elle commença à pratiquer des mouvements de haut en bas et de bas en haut sur ma colonne. J'étais au summum de la félicité, surtout lorsque j'ai aperçu que les deux filles, l'une empalée sur mon sexe, l'autre se faisant lécher le bourgeon, se pelotaient mutuellement les seins.

Si je n'ai pas éjaculé trop vite, et que Linn et Gloria purent jouir de concert avec moi, c'était parce que ma partenaire de la nuit précédente m'avait déjà pas mal vidé les couilles. J'ai tout de même répandu mon sperme sur les ventres et les seins de ces deux adorables jumelles. Il semblait pourtant qu'elles n'en avaient pas assez. Ne s'occupant plus de moi au sexe flasque, elles ont lécher mon jus étalé sur leurs corps et en s'embrassant sensuellement se sont répartis équitablement de liquide blanchâtre.

J'ai quitté le lit et me suis assis sur le fauteuil qui trônait dans la chambre. Là j'ai vu un des plus beaux spectacles qu'on puisse imaginer. Deux femmes en tout point semblable s'échangeant de doux baisers avant de se prodiguer des caresses de plus en plus chaudes, de plus en plus torrides.
Je regardais ces deux corps se livrant aux plus ardents jeux saphiques. Il y avait des baisers fiévreux, sur les seins, sur les fesses, remontant de l'intérieur des cuisses à la vulve, écrin précieux entouré de poils soyeux ; il y avait ses mains qui courraient sur des zones érogènes que seules les femmes peuvent connaitre. Les doigts devenant inquisiteurs, allant se perdre dans un vagin béant ou un anus étroit, pertuis mystérieux. Ces deux magnifiques créatures exposaient sans pudeur à mon regard lubrique l'intimité de deux sœurs.

A ce moment, je ne pensais pas au fait que ces deux filles étaient sœurs et que leurs jeux saphiques étaient finalement incestueux. Mon esprit n'était pas en capacité de percevoir l'immoralité de la situation. Je faisais partie intégrante de la perversion de la situation, aussi bien en tant que spectateur, qu'en tant qu'acteur.

Lorsque j'ai rejoint les deux corps mêlés sur le lit, j'aurais été incapable de dire si je caressais Gloria ou Linn. J'ai pénétré le premier vagin qui s'est trouvé à ma portée, après quelques vas-et-viens, j'en suis sorti pour pénétrer le second. Je me transformais en satyre voulant profiter pleinement des sexes de ces deux femmes accueillantes. Je voulais partager avec elles, la jouissance. Tantôt j'introduisais mon sexe dans Gloria, mais n'était-ce pas Linn, tantôt ma queue entrait dans les muqueuses de Linn, à moins que ce ne fusse Gloria.
Je savais également que je mélangeais dans le fond de leur vagin respectif la cyprine collectée dans l'autre vagin.
Ce fut une séance de baise absolument fabuleuse qui dura longtemps, très longtemps et qui fut terriblement jouissive.

Nous passâmes le reste de la journée de samedi et la nuit qui suivi en jeux sexuels divers et varié. Le dimanche matin, j'avais mal à la queue tant j'avais baisé en ce weekend. Et une fois dans le Thalys, je me suis endormi jusqu'à ce que l'on annonce notre arrivée en gare de Paris Nord.



Nous retrouverons Jacques dans quelques mois pour son retour en France...


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