Louise, chapitre 1

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Proposée le 25/11/2012 par AlsiP

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Alors que j'entrais dans son cabinet pour ma visite hebdomadaire, Louise m'offrait son plus beau sourire. Louise, 1m70 d'un corps parfait qui me troublait dès que je le frôlais. Louise, ma psychologue ou devrais-je dire notre psychologue. Ma femme et moi. Dans notre couple, les cris ont remplacés les rires et dans un inespéré espoir nous sommes aller à la rencontre d'un psychologue.
Et quelle rencontre ! Ses grands yeux verts, ses longs cheveux châtain aux reflets roux, ce visage si délicat et ce corps ! Je ne pouvais m'empêcher d'imaginer ses seins fermes et insolents, prisonniers du carcan soyeux de son soutien-gorge que je devais libérer. Alors qu'elle devait sauver mon couple, je sentais qu'il s'enfonçait un peu plus, mon désir naissant pour Louise n'arrangent rien.

- Bonjour, Marie n'est pas là aujourd'hui, elle m'a appelé pour me prévenir que vous serez seul. Dit elle en me serrant la main. Un frisson parcourut mon corps et une douleur incendiaire se fit entendre dans le bas de mes reins quand je toucha sa main.
- Non, elle ne se sentait pas très bien, marmonnais-je en me dirigeant sur le confortable canapé.
- Oui, il n'y aura que nous deux ce soir.

Quelle ne fut pas ma surprise quand son regard pétillant se posa sur moi. Cette petite Louise avait décidément quelque chose derrière la tête. Je pus prendre tous mon temps pour l'admirer alors qu'elle cherchait mon dossier dans l'étagère du bas. Penchée en avant, j'observais avec fureur son petit cul parfait. Le bombé de ses fesses se dessinait au travers d'une jupe noir presque trop courte, laissant dépasser une portion de son bas accroché à un ravissant porte-jarretelle. Trop courte, vraiment. Je ne me souvenais pas de ces tenues sauvagement sexy lors de nos dernières consultations. Elle sait jouer, pensais-je. Moi aussi je suis un joueur et je gagne tout le temps.
Après avoir laborieusement cherché mon dossier, elle se dirigea vers son fauteuil, en face du mien.
Ses escarpins noirs vernis attiraient mon regard et je pris tout mon temps pour remonter longuement le long de ses jambes, de son ventre, m'attardant sur ses seins emprisonnaient dans une blouse en soie rose clair. Je me savais observé et je sentais le trouble qu'elle éprouvait. Louise se tortillait nerveusement sur son siège et l'espace d'une seconde je pus apercevoir un bout de tissu noir couvrant son intimité. Affolé, échauffé, je détournai le regard et entendis alors son rire cristallin.
Elle me fait marcher me dis-je.

- Commençons Mathieu, qu'attendez-vous en ce moment de la vie ? Que voulez-vous ?
Elle me regardait droit dans les yeux, sans sourire et je mourais d'envie d'attraper ses lèvres, de les embrasser, de les morde. Mathieu, c'était la première fois qu'elle m'appelait comme ça. En l'absence de Marie, un stade venait d'être franchi. Toujours en soutenant son regard, je lui répondis de ma voix la plus virile :
- Toi, je te veux toi. Te faire l'amour, te déshabiller, connaître ton corps par cœur. Te sentir frémir sous mes doigts, t'entendre crier mon prénom, avoir ton parfum sur ma peau. Lécher ta nudité.

Elle se leva, avança vers la porte, la ferma à double-tour, se dirigea ensuite vers son bureau, composa un numéro sur le téléphone et dit : - Julie, annule mon prochain rendez-vous, je vais en avoir pour plus longtemps que prévu.

Alors qu'elle raccrochait, j'étais derrière elle, attrapai ce petit cul parfait et lui murmurai à l'oreille : "Que le jeu commence !"