L'Etudiant - 2

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Proposée le 20/11/2012 par UNPEUPLIER

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La journée suivante se déroule interminablement comme dans un ralenti. Certes, pas un instant, dans cette période de réflexion, il ne pense à refuser l'offre des époux Lallourd, la visite de Monique ayant achevé, si tant est qu'il hésitait encore, de le convaincre. Il a hâte de poser sa main sur ce corps aperçu sous les étoffes légères et transparentes, de le caresser, de le pénétrer. Mais cette sexualité promise en présence d'un tiers et qui plus est du mari, le rend un peu perplexe. Il finit par se dire que ce n'est pas ce détail, si inhabituel soit-il, du moins pour lui dont l'expérience est encore jeune, qui le troublera au point de le faire débander. D'ailleurs son émoi est tel que son érection est pratiquement soutenue depuis son réveil et il ne quitte pas une longue veste de toute la journée, heureusement peu clémente. Sinon, la saillie de sa queue tendue derrière l'étoffe de son pantalon aurait tôt fait d'être remarquée.

Il revient à Monplaisir (quartier bien nommé) après avoir grignoté son dîner, mais tandis qu'il parcourt les 300m qui séparent l'arrêt du bus de son logis, la voiture de M. Lallourd qui revient de la gare de la Part-Dieu stoppe à son niveau.

- Tu veux que je te ramène, lui demande son logeur, vitre droite baissée.

- C'est avec plaisir, répond-il. Il s'installe donc aux côtés du conducteur.

- Ma femme m'a raconté au téléphone sa visite dans ta chambre hier soir.

- Ah bon, dit-il d'une voix peu assurée.

- Il n'y a pas de problème pour moi, rassure-toi. Vous êtes restés très sages, comme prévu. En tout cas, elle était ravie de t'avoir fait de l'effet et elle m'a dit que le résultat avait une belle longueur qu'elle aimerait bien apprécier. Tu vois, je mets les choses au clair.

- Effectivement.

- Alors, as-tu pris ta décision ?

- Je pense que c'est oui.

- A la bonne heure ! Ce soir, il n'est pas trop tard, si tu veux bien.

- Oui, ça va pour ce soir, répondit l'étudiant totalement abasourdi et qui avait encore du mal à y croire, malgré la courte, mais excitante visite de Monique la veille.

- As-tu dîné ?

- Oui, oui.

- Pas nous, ma femme m'attend pour passer à table. Cela va aller assez vite. Il vaut mieux ne pas avoir le ventre vide, tu comprends. Va dans ta chambre, prends une bonne douche, nous aimons l'hygiène. Monique viendra te chercher dans 30 ou 40 minutes. OK ?

En prononçant ces paroles, il gare sa voiture devant la maison. L'étudiant fait le tour par le jardin et se rend directement dans sa chambre. Gérard ouvre la porte principale et s'écrie à l'intention de sa femme:

- Chérie, c'est moi. J'ai ramené notre étudiant que j'ai trouvé sortant du bus. Il accepte notre proposition. Je lui ai dit de se préparer, on a le temps de dîner rapidement et puis tu iras le chercher. Tu sais, tout cela m'excite.

- Et moi donc, lui répond-elle, en venant à sa rencontre. Tu vas voir, il est bien musclé et aussi bien membré, ce qui ne gâche rien.

Elle lève la tête pour l'embrasser, pose une main sur son bas-ventre et constate qu'il est déjà en forme.

- Oh, dis donc, tu bandes déjà. Qu'est-ce que ça va être tout à l'heure. Vite, viens dîner, je prépare une omelette aux herbes qui va cuire en deux minutes. Ensuite on va aller se préparer pour recevoir notre euh...amant. Et elle éclate de rire.

L'omelette est rapidement cuite et avalée. Un fruit complète ce frugal repas. Monique, vérifie l'état de la chambre, la propreté du lit. Elle se rend dans la salle de bain, prend une douche chaude et se masse avec une mousse onctueuse et parfumée. Puis passe un pyjama orné de dentelle avec un pantalon court, fait d'une étoffe douce et diaphane. Elle se recouvre du même déshabillé que la veille et pendant que son mari occupe à son tour la salle de bains, elle va chercher l'étudiant.

Celui-ci, sur les conseils de Gérard, s'est également douché, changé et a revêtu un t-shirt aux couleurs de son club et un jean de velours gris. Monique qui vient d'ouvrir sa porte lui apparaît, apparemment vêtue ou plutôt dévêtue comme la veille. Elle lui sourit et lui dit,

- Tu peux venir. Mais ne met pas ce jean, trop épais. N'as-tu pas un pantalon plus léger, plus souple. Et elle ouvre son armoire et y trouve un pantalon de survêtement blanc. Tiens, passe plutôt celui-là.

L'étudiant, qui bande déjà comme un cerf, ne sait comment s'en sortir. Il lui tourne le dos, défait la ceinture de son jean et le quitte lentement. Il s'aperçoit que son gland dépasse de la ceinture de son slip. Il tend la main vers son hôtesse, tâchant de ne pas se retourner et de ne pas lui révéler trop vite son excitation si intense. Elle lui met le pantalon souple dans les mains et tourne autour de lui pour le voir de face. Un pied dans une jambe, l'autre cherchant l'autre moitié, il ne peut que lui montrer l' effet qu'elle lui produit. Elle sourit et l'aide à passer la seconde jambe de son pantalon, avant de lui rabattre, en vain, dans le slip, ce gland qui la nargue.

- Cet oiseau curieux ne veut pas rentrer dans son lit. On va l'aider à s'envoler tout à l'heure. Viens, répète-t-elle et elle lui prend la main pour l'entraîner vers la chambre conjugale.

L'étudiant, semble marcher sur du velours. Son cœur bat à 120 à la minute. Arrivé dans l'antre des plaisirs, il fait rapidement du regard le tour de la pièce. Gérard n'est pas là, il entend quelques bruits provenant de la salle de bain. Monique va s'asseoir sur le lit. Elle lui fait signe de s'approcher. Elle ouvre son déshabillé. La tenue lui paraît moins sexy que la veille, encore que le pyjama si léger et si fin semble une bien faible barrière devant sa nudité.

- Viens, viens devant moi, lui ordonne-t-elle. Il s'approche. Elle relève le t-shirt. Enlève le. Il s'exécute.

Elle lui saisit alors les mamelons, qu'elle pétrit jusqu'à lui faire mal. Sa queue se tend d'autant plus vigoureusement, elle déforme son pantalon qui se laisse pousser facilement par cette verge d'une dureté incroyable. Monique le lui baisse d'un geste, ainsi que le slip qui ne dissimule plus rien. Il a ses derniers vêtements sur les chevilles. Monique lui saisit la bite, la caresse avec douceur, entame une légère masturbation et sachant qu'une manœuvre trop vive, trop rapide en fera jaillir trop vite sa semence, vient placer ses lèvres autour du gland et très lentement en engloutit une bonne longueur sans trop serrer, sans va et vient, juste pour l'entourer d'une chaude humidité où elle se délecte.

Un léger bruit derrière lui l'incite à tourner la tête, la bite bien arrimée dans la bouche de Monique. Gérard est entré dans la chambre. Assis, nu, sur un fauteuil, il astique lentement sa verge de taille très respectable et fièrement érigée. Croisant le regard de l'étudiant, il lui sourit et il cligne des yeux complices, comme pour l'encourager.

Rassuré, l'étudiant, regarde Monique qui lève des yeux rieurs vers lui. Sans lâcher la sucette vivante qu'elle a en bouche, elle lui prend un testicule dans chaque main et les fait rouler avec doigté. Sublime , pense-t-il.

Sans bruit, Gérard s'est avancé, il s'agenouille derrière l'étudiant et l'aide à retirer complètement pantalon et slip. Surpris, le jeune homme se laisse faire. Il sent le souffle chaud de l'homme sur ses fesses. Une main s'insinue entre ses cuisses et viens avec précaution, lui caresser les couilles que Monique vient d'abandonner, pour recommencer à lui agacer les mamelons. Subjugué par ces caresses, l'étudiant se laisse faire, tout à son plaisir.

Soudain, tout s'arrête, Monique se recule, repousse un peu l'étudiant dont les fesses heurtent un instant l'organe tendu de Gérard qui s'est relevé.

- Alors, comment était ce petit hors d'œuvre ? Lui demande-t-elle.

- Assez fantastique, je n'ai jamais connu tant de sensations.

- Ce n'est qu'un début, lui assure Gérard qui est retourné s'asseoir dans son fauteuil où il peut se branler ostensiblement, très à l'aise.

Monique se lève et se débarrasse lentement de son déshabillé. Puis elle se retourne et descend doucement son pantalon de pyjama, découvrant peu à peu un admirable fessier, bombant à souhait. Puis revenant côté face, elle ôte enfin la chemisette qui lui reste, pour les rejoindre dans une nudité totale. Elle se couche, les fesses au bord du lit, écarte les cuisses et ordonne à son jeune locataire,

- Mets-toi à genoux et viens me lécher à ton tour.

Il s'exécute, plonge son visage entre les deux cuisses ainsi offertes, aspire les lèvres qui glissent sous la langue, titille et langote le bouton bien dur qui la fait gémir, entre sa langue dans l'orifice humide de son désir, et ouvrant largement la bouche, essaie de ventouser cette chatte douce, baveuse et savoureuse.

- Ah, c'est pas mal du tout, dit-elle. Gérard, il suce très bien ce garçon !.

- Tant mieux pour toi.

- J'ai envie qu'il me baise.

- Bien sûr, ma chérie. Prends le en levrette. Je vais venir mettre ma queue entre tes lèvres.

Aussitôt, Monique se redresse et se retournant, lui présente ses fesses cambrées, les genoux au bord du lit, le dos à l'horizontale, les seins, encore fermes, encore bien accrochés, pendant à peine sous l'effet de la pesanteur. Il ne peut s'empêcher de porter d'abord sa bouche entre les fesses si coquinement accessibles, retrouvant l'orifice de son vagin qu'il explore à nouveau de la pointe de sa langue, et suçant son petit trou, tout plissé qui se contracte sous la caresse.

- Entre moi ta queue, viens dans ma chatte, lui demande-t-elle.

Doucement, il approche son gland de la caverne chaude et accueillante, se demandant comment faire pour tenir les minutes nécessaires pour ne pas la décevoir. Il la pénètre. Il vient de conquérir son Graal. Quelle magnifique douceur. Quelle perfection la Nature a-t-elle créée pour cette union si parfaite entre le contenant et le contenu ! Un con et une queue qui fonctionnent avec l'ajustage le plus parfait, sans calcul d'ingénieurs, sans se gripper, avec les lubrifiants les plus adaptés.

Gérard vient comme prévu, s'agenouiller sur le lit, sa verge à hauteur des lèvres de son épouse qui l'aspire et le pompe avec ardeur, tout en remuant doucement les fesses qui caressent son jeune baiseur. Il est aux anges, heureux d'apprécier autant qu'il l'avait rêvé de se faire sucer par sa femme, qui recevait dans ses entrailles la bite d'un partenaire sympathique.

- Stop, dit Monique avant qu'il n'explose. Je ne veux pas que l'étudiant jouisse trop tôt. Allonge toi, lui dit-elle, je vais te sucer à nouveau, car ta queue aura le goût de ma cyprine et j'adore ça.

L'étudiant se met sur le dos, Monique se penche sur sa queue qu'elle commence à savourer. Guidant manifestement les ébats du trio, elle propose à Gérard,

- Viens le sucer avec moi, tu vas voir comme c'est bon une queue quand elle a limé un con bien mouillé. Tu veux bien que mon mari te suce un peu, en s'adressant à l'étudiant. J'espère que tu n'es pas contre.

Bien que surpris par cette ambiguïté du rôle de chacun qu'il n'avait pas prévu, l'étudiant n'osa pas refuser, en se disant qu'il fallait tout, ou presque, connaître pour se faire une opinion. Il ne fut pas long à trouver que deux bouches autour de sa verge, ça n'était pas du tout désagréable et il était incapable de faire la distinction entre la bouche de l'une ou celle de l'autre.

C'en était trop pour le jeune homme qui avait déjà résisté miraculeusement pour retarder sa jouissance, qui n'en était que meilleure.

- Attention, je vais partir, s'écria-t-il.

- Vas-y, laisse-toi aller, répondirent en chœur les époux.

Monique absorba le plus loin possible la bite juvénile, puis ne gardant dans la bouche que le gland, lui branla la base du sexe pour guider l'éjaculation. Quand elle le sentit près à lâcher son premier jet, elle l'ôta de sa bouche et la dirigea sur la figure de son époux qui fit, en quelque sorte, son baptême du sperme sur le visage. Elle dirigea les autres jets sur elle-même sur son visage, ses lèvres, sa poitrine et celle de son mari qui en recueillit quelques gouttes sur les poils de son thorax.

L'étudiant mit quelques minutes à se remettre de cet orgasme fou. Puis il s'excusa:

- Pardonnez moi d'être parti comme ça, mais je ne pouvais plus tenir. C'était trop bon. Je suis désolé, vous n'avez pas pris votre plaisir.

- Mais non ça n'est rien, lui dit Monique, le rassurant. Tu es jeune, tu vas redémarrer au quart de tour et nous allons encore profiter de toi. On va se nettoyer un peu pour coller moins, car ton foutre est abondant et épais. Et dans un quart d'heure tu seras prêt à recommencer. Gérard et moi, on saura s'occuper en attendant. Ne t'en fais pas.

Monique se met debout, se dirigeant vers la salle de bains. Le balancement de ses fesses émerveille l'étudiant. Gérard remarque le regard admiratif du jeune homme.

- J'ai bien de la chance d'avoir une si belle femme, n'est-ce pas ?

- On ne peut pas dire le contraire.

- Venez vous rincer un peu, dit Monique en quittant la pièce.

Les deux hommes se lèvent. Gérard qui n'a pas encore joui a toujours la queue dressée comme une hampe de drapeau. L'étudiant la regarde admiratif, la trouve très belle et s'étonne d'avoir envie de la prendre en main et de la caresser. Son sexe sans être complètement ramolli, regarde encore vers le sol, mais il sent déjà quelques picotements au bout du gland, prémices à un redressement heureux de sa virilité.

Monique est déjà sous la douche. Elle propose à l'étudiant de le rejoindre. Elle lui passe une éponge mousseuse sur le corps, fait disparaître sa verge et ses couilles sous une colline de mousse parfumée. Elle le rince, fait subir à son mari le même sort aussi agréable et tous trois se sèchent mutuellement avec un naturel étonnant, comme s'ils faisaient ça tous les jours.

- Allez, on retourne au lit et elle saisit la queue dure de son mari dans une main, celle plus molle encore de l'étudiant dans l'autre, constatant son changement de consistance, rien qu'en traversant la chambre. Ben, dis donc, on n'aura pas perdu beaucoup de temps avec toi.

- C'est que je n'ai que 20 ans. A mon âge, ça va plus vite !

Monique, qui décidément a pris dans tous les sens du terme les affaires en main, décide de la suite.

- En attendant que tu récupères, Gérard et moi allons faire un petit 69 sous tes yeux. Pendant ce temps, tu peux te branler doucement et quand tu seras prêt tu viendras participer.

- OK, ça marche. Je sens que ça ne va pas être long.

Monique et Gérard s'installent sur le lit. Couché sur le dos, Il écarte les cuisses et offre l'arrogance de son sexe dressé à la vue de ses partenaires. Monique vient enjamber son corps, elle appuie sa chatte encore et déjà humide sur les lèvres de son mari. Puis elle se penche sur sa bite qu'elle prend dans sa bouche pour entamer une fellation lente et lascive. Pendant ce temps Gérard savoure le sexe épanoui de son épouse, y enfonce la langue, mordille son clitoris saillant et se délecte de ses humeurs. L'étudiant debout au pied du lit se branle doucement en admirant ce tableau vivant qui se déroule sous ses yeux incrédules. Il sent sa queue se redresser avec envie. Le désir de participer devient plus vif.

Monique, qui sait deviner les pensées et les sentiments, la bouche pleine du vit de son mari, lui fait signe de s'approcher.

- Emmmmm, Emmmmmm. Elle lâche le sexe d'acier un bref instant. Viens m'embrasser.

Elle relève la tête, offrant ses lèvres à celles de l'étudiant qui se penche pour la rejoindre. Elle lui fait partager sa salive et le goût de la bite de Gérard, puis elle saisit la queue de celui-ci et la place entre leurs deux bouches. L'étudiant sent cette raideur sous ses lèvres. Instinctivement il passe sa langue sur le gland découvert. Il aime. Monique voyant son stratagème réussir, lui introduit une bonne longueur de queue dans la bouche.

- Suce le, vois comme c'est bon, sens le plaisir que tu lui offres. Caresse lui les couilles, murmure-t-elle.

Subjugué, étonné d'obéir si facilement, l'étudiant aspire et lèche avec ardeur le sexe de son hôte et lui prend avec douceur, les bourses dans la main, faisant rouler sous ses doigts, avec beaucoup de précautions pour ne pas lui faire mal, les deux boules fragiles et précieuses. Cette caresse semble encore renforcer sur sa langue la dureté du bâton qu'il suce.

- Un peu à moi, dit Monique, qui reprend l'organe en main et le dirige vers ses lèvres. Avant de l'engloutir, elle lui conseille. Suce lui les couilles, il adore ça.

L'étudiant s'exécute. Il prend en bouche, l'une après l'autre, les délicates glandes de Gérard dont les soupirs qui deviennent plus marqués témoignent de sa satisfaction. A quelques centimètres de la bouche de Monique, il la regarde sucer avec application, les yeux fermés la queue de son époux. Tous deux y mettent tout leur cœur. Puis s'interrompant pour souffler, ils se regardent, se sourient et l'organe tendu de Gérard en travers de leur cou, ils rapprochent leur bouche, mélangent leurs langues aux saveurs marquées par le parfum de cette bite qu'elle vient d'abandonner.

Elle se redresse ensuite, appuie sa chatte sur la bouche qui la lèche depuis quelques minutes, jusqu'à étouffer son partenaire. Elle frotte ses lèvres intimes, son clito tendu sur la bouche, la langue de Gérard qui boit ses humeurs à la source. Elle tend tout son corps, sentant le plaisir monter et pousse le long gémissement de l'orgasme triomphant. Enfin apaisée, elle relâche la position et s'écroule pendant quelques minutes sur le corps de son mari. Ses mains recherchent les deux bites tendues qu'elles caressent doucement du bout des doigts. Les deux hommes respectent ces minutes où le relâchement qui suit la jouissance confine au bien-être du nourrisson sur le sein de sa mère, ou aux instants de béatitude qui précède l'endormissement ou en un mot au paradis retrouvé.

Souriante et à nouveau pleine de son dynamisme renaissant et fortifié par le plaisir qu'elle vient de savourer, elle se redresse et propose:

- Je vais continuer à te sucer Gérard, mais notre étudiant qui, comme tu le vois, bande à nouveau très visiblement va me prendre en levrette juste au-dessus de toi. Tu seras aux premières loges pour le voir s'enfoncer en moi. Si tu redresses la tête tu pourras à ton tour lui lécher les couilles. Et si ça tombe, il se pourrait que sa bite glisse hors de mon con et qu'il te la mette dans la bouche, toute recouverte de ma mouille que tu aimes tant....
Allez, viens, viens me baiser avec ta queue si jeune, si belle, si dure.

L'étudiant vient s'installer derrière Monique qui en position de 69 a repris en bouche le sexe de Gérard. Elle cambre le dos et présente ses fesses au jeune homme. Il la pénètre avec un plaisir infini et commence à la limer avec douceur. C'est alors qu'il sent la langue chaude de Gérard, venir par en dessous lui lécher les bourses, ce qui accentue son plaisir.

- Hum, je sens que Gérard va bientôt me lâcher son foutre précise Monique.

- Moi aussi, souffle l'étudiant.

Monique, qui aime voir le sperme jaillir du gland, tel un petit geyser, ressort la queue toute enduite de salive de sa bouche et fait glisser ses doigts pour une masturbation efficace.

- Allez-y mes chéris, ne vous retenez pas.

Elle reçoit la première décharge sur le visage, la deuxième sur le cou, puis les gouttes sortant avec moins de force, sont happées par sa langue gourmande au fur et à mesure qu'elles apparaissent sous la pression des muscles de son partenaire et de son massage de la verge qui les fait remonter jusqu'à apparaître au méat, telles de précieuses perles molles.

Pendant ce temps, elle ressent sur les fesses la poussée plus forte de l'étudiant, celle qui précède la jouissance, et perçoit rapidement la chaude liqueur qui lui remplit le con. Elle attend quelques instants que son nouvel amant évacue l'essentiel de son plaisir. Puis quand elle sent que la verge ramollit, elle se retire tout doucement, se redresse et fait malicieusement couler le sperme, dont elle venait d'être remplie, sur le visage de son époux qui inconsciemment s'en lèche les babines.

Un peu éprouvés par ces efforts, tous s'écroulent sur le lit, leurs corps enchevêtrés. Les yeux se ferment. Chaque main s'écarte du corps à la rechercher d'une surface de peau appartenant à l'un ou à l'autre pour une caresse complice et apaisée. Tant mieux, si elle rencontre un sein, un sexe, une zone humide de sperme qui adoucira encore plus le contact, jusqu'à ce que, insensiblement, le sommeil les prenne.

C'est la fraîcheur de la nuit sur les corps nus qui les réveille un peu plus tard. Monique se glisse sous sa couette. Gérard la rejoint bientôt.

- Tu peux venir si tu veux, murmure Monique à l'étudiant. Mais ce sera plus confortable pour toi, si tu retournes dans ta chambre. Merci pour cette délicieuse soirée, rajoute-t-elle. Elle tend la main vers le jeune homme et rencontre comme par hasard son sexe, encore endormi. Elle le presse délicatement et le relâche en émettant le bruit d'un baiser.

L'étudiant comprend que c'est un congé qu'on lui accorde. Il se lève, un peu vacillant et nu comme un ver, retourne lentement dans sa chambre, où il se couche, en s'écroulant sur ses draps. Il pense avant de sombrer, qu'il n'a vraiment pas perdu sa soirée.

Ainsi s'achève le récit que m'a fait l'étudiant sur les premières semaines de sa rentrée universitaire. Celle-ci est encore longue. Il y aura sans doute d'autres aventures. Pourra-t-il tenir le rythme ? Ne pas négliger ses études ? S'il vient à se confier à nouveau, je vous en ferai part. C'est promis.